
Tour de France femmes : le parcours et le profil de l'étape 8 entre Chambéry et Saint-François-Longchamp
Grande Boucle
, redoutable ascension de 18,6 km à 8,1 % de moyenne, avec un sommet qui tutoie les 2 000 m d'altitude.
Avant d'affronter ce géant, les coureuses s'élanceront de Chambéry. Dès les premiers kilomètres, la route s'élève vers le col de Plainpalais, dont le sommet sera franchi après 13 km. Une mise en jambes tonique, suivie d'une plongée dans la vallée pour souffler… un peu.
Pas pour longtemps. À mi-parcours, la côte de Saint-Georges-d'Hurtières viendra relancer le rythme au 73e km. Un obstacle de plus vacant d'atteindre le plat de résistance : le pied du col de la Madeleine au 91e km. Là, plus de répit ! Une montée qui pourrait redistribuer les cartes… ou sceller définitivement le classement.
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Le Figaro
22 minutes ago
- Le Figaro
Suspension, avertissements... à Nantes, les chefs de files LFI aux municipales sanctionnés
Le comité de respect des principes, une instance interne au parti, indique avoir relevé des dysfonctionnements au niveau local, liés à la gestion d'une affaire de «violences sexistes et sexuelles » et à l'organisation de la campagne. À Nantes, une crise secoue la section locale de La France insoumise. Des décisions rendues récemment par le Comité de respect des principes viennent confirmer cette situation délétère. Comme révélé par Ouest France, l'instance interne chargée de faire respecter les orientations du parti a décidé de suspendre pour un an Marina Ferreruela, l'une des deux chefs de file désignés pour orchestrer les municipales nantaises. Son acolyte William Aucant, avec lequel elle n'a actuellement plus de contact, a écopé pour sa part d'un avertissement. Quatre autres militants ont subi le même sort que lui. Dans un mail qu'a pu consulter Le Figaro, le Comité insoumis indique avoir constaté, après avoir mené une quinzaine d'entretiens, des «dysfonctionnements dans la gestion locale de la saisine VSS (violences sexistes et sexuelles, NDLR), dans l'organisation des cadres militants nantais et dans l'organisation de la campagne municipale». L'instance avait été saisie «au mois de juin 2025, concernant la situation conflictuelle suite à la gestion locale d'un signalement VSS et à l'organisation de la campagne», est-il rappelé dans ce message électronique. Publicité La chef de file suspendue dénonce une «cabale» En effet, après un départ en fanfare en mars, puis un meeting d'envergure le 16 juin, une note de blog publiée ce même jour dans Le Club de Mediapart est venue semer le trouble. En ligne de mire : Marina Ferreruela, accusée anonymement par une militante d'avoir couvert un viol, et de harcèlement par d'autres. «On me reproche une mauvaise gestion d'un dossier de violences sexistes et sexuelles (VSS) au sein du mouvement à Nantes. Dès septembre 2024, j'ai accueilli la victime, l'ai orientée vers des professionnels et saisi immédiatement les instances nationales. Le militant mis en cause a été suspendu sans délai. J'ai assumé mes responsabilités», se défend Marina Ferreruela elle-même «concernée par des violences sexuelles». Dans un communiqué consulté par Le Figaro, la suppléante du député Andy Kerbrat dénonce «une manœuvre». «Je le dis clairement : cette cabale dépasse la seule question municipale. Elle s'inscrit dans une logique de conquête des places et des postes, au détriment de la vérité et de la justice», ajoute-t-elle, citant les législatives. Suspension pour un an La sanction qui est tombée stipule qu'«il ne lui est plus possible de se revendiquer de la France insoumise, de s'exprimer en son nom, de faire partie d'un groupe d'action ni de participer aux actions militantes et événements», prévient le comité. Et «sa réintégration ne sera pas automatique et devra être motivée». «Je suis une militante de terrain, engagée depuis des années dans les luttes sociales, féministes et démocratiques. Mon combat ne s'est pas construit avec La France insoumise, et il ne s'arrêtera pas avec elle», tance Marina Ferreruela. Du côté de ses soutiens, certains s'étonnent en coulisses de cette situation. «J'en ai vu des campagnes mais là, c'est dingue. Ce qui se passe est incompréhensible, si ce n'est pas politique», confie une militante de longue haleine, qui a prévu de quitter le navire. Publicité «Toute communication publique (réseaux sociaux et presse) remettant en question ces décisions et toute tentative de représailles sur les personnes à l'origine de la saisine seront considérées comme un acte de rupture définitif avec notre mouvement», prévient le comité dans son mail, incitant certains à faire profil bas. Contacté, William Aucant, désormais seul chef de file, n'était pas disponible pour répondre à notre sollicitation, se trouvant en congés. Un nouveau point est prévu en septembre, date à laquelle sera dispensée «une formation sur la gestion des VSS en milieu militant et une autre sur les luttes antiracistes», obligatoire ou facultative selon le degré d'implication dans le parti. Ces mesures interviennent après une année compliquée pour La France insoumise de Loire-Atlantique, secouée également par l'affaire Cottineau, du nom d'un ancien candidat LFI mis en examen pour des faits de viols avec torture sur plusieurs mineurs, et le feuilleton Andy Kerbrat, député nantais pris en flagrant délit d'achat de drogue.


Le Parisien
22 minutes ago
- Le Parisien
« Vous finirez par reconnaître un cimetière » : Emmanuel Macron appelé à prendre des « sanctions immédiates » contre Israël
Ils tentent de l'interpeller. Ce mardi, dans une tribune publiée dans Le Monde, l'ancien ambassadeur d'Israël en France, Elie Barnavi, et l'historien Vincent Lemire exhortent Emmanuel Macron à prendre des sanctions contre Israël, soulignant « l'urgence absolue » de telles mesures face à la situation humanitaire désastreuse de la population et des otages israéliens à Gaza. « Monsieur le Président, si des sanctions immédiates ne sont pas imposées à Israël, vous finirez par reconnaître un cimetière. Il faut agir maintenant pour que la nourriture et les soins puissent entrer massivement à Gaza », écrivent les deux hommes dans la tribune. « Vous le savez, seules des sanctions immédiates et concrètes pèseront sur l'opinion publique israélienne et donc sur le gouvernement israélien, pour modifier vraiment la situation. Pour faire cesser la famine, pour un cessez-le-feu permanent, pour la libération de tous les otages, pour la protection des Palestiniens de Cisjordanie, pour sauver Israël contre lui-même », poursuivent-ils. Ils estiment que « l'excuse de l'absence de consensus européen ne tient plus » alors que le président français a créé un « élan diplomatique » le 24 juillet en annonçant que la France reconnaîtrait un État de Palestine lors de l'assemblée générale de l'ONU en septembre, avant d'être rejoint notamment par le Royaume-Uni et le Canada. Ne pas confondre diplomatie et « réalité du terrain » « Vous pouvez initier et entraîner une coalition de volontaires parmi les États européens. Vous devez agir maintenant, car il y a urgence absolue », insistent Elie Barnavi et Vincent Lemire, mentionnant l'appel à l'annexion de la Cisjordanie voté par le Parlement israélien le 23 juillet, « par 71 voix contre 13 ». Ils déplorent en outre le « deux poids deux mesures », alors que l'Union européenne a émis 18 paquets de sanctions contre la Russie et aucun contre Israël. Pourtant, arguent-ils, l'isolement géographique d'Israël rendrait des sanctions « immédiatement efficaces et perceptibles, dans tous les magasins du pays ». VidéoLa reconnaissance d'un État palestinien est « un devoir moral », assure Emmanuel Macron « Monsieur le Président, ne confondez pas le bruit diplomatique et la réalité du terrain. Depuis votre annonce du 24 juillet, tout a basculé sur le plan diplomatique, mais rien n'a changé à Gaza », constatent-ils : « La promesse d'une reconnaissance n'a jamais nourri personne. »


Le Parisien
22 minutes ago
- Le Parisien
Paris : une personne meurt dans un incendie d'appartement dans le XVIIe arrondissement
Un incendie mortel s'est déclaré ce lundi 4 août dans l'après-midi, dans un immeuble abritant des logements d'urgence dans la rue de Lévis à Paris (XVIIe), étroite artère commerçante des Batignolles, à deux pas du parc Monceau. Le sinistre a coûté la vie à un homme de nationalité roumaine, selon une source policière. Le drame s'est produit avant 15 heures. Les flammes ont ravagé un appartement situé au quatrième et dernier étage d'un bâtiment du 74, rue de Lévis. L'intervention des sapeurs-pompiers a permis de circonscrire l'incendie et ainsi d'éviter sa propagation aux logements voisins. Une quarantaine de personnes évacuée Une quarantaine d'habitants a dû être évacuée par mesure de précaution, indique cette même source policière. Lors de leur reconnaissance dans l'appartement sinistré, les secours ont fait la macabre découverte du corps carbonisé d'un homme. Il s'agirait de l'occupant de ce logement social. Pour l'heure, l'origine du feu reste indéterminée. Un officier de police judiciaire du Service d'accueil et d'investigation de proximité (SAIP) du XVIIe s'est rendu sur place pour effectuer les premières constatations. En parallèle, les techniciens du Laboratoire central de la préfecture de police de Paris ont aussi été sollicités. À voir aussi « Il s'agit d'un incendie mortel dans un logement d'urgence pour une association d'aide aux personnes en situation de précarité », précise de son côté le parquet de Paris. Et d'ajouter : « une enquête en recherches des causes de la mort a été ouverte » ce lundi. Le commissariat du XVIIe est chargé des investigations.