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Trade Republic vs Revolut : quelle est la meilleure néo-banque

Trade Republic vs Revolut : quelle est la meilleure néo-banque

Le Parisien3 days ago
Revolut et
Trade Republic
ont pris des parts de marché importantes ces dernières années, dans le domaine du paiement, de la gestion financière ou de l'investissement. Les néo-banques, moins chères que les banques traditionnelles, permettent de lier facilement gestion financière et boursicotage, une nouveauté.
Pour investir, Trade Republic paraît encore plus complet et moins cher. Elle permet de choisir parmi plus de 8000 actions et 1800 ETF, soit 8 et 12 fois plus que pour Revolut. Elle offre aussi des plans d'investissement programmés gratuits, à l'inverse de Revolut : vous pouvez choisir d'investir sans frais toutes les semaines, tous les mois ou moins souvent.
Côté frais, les deux plateformes sont très compétitives : aucun frais d'ouverture, de garde, de tenue de compte, à l'inverse des banques. Les frais par ordre sont plus élevés pour Trade Republic (1€ sur chaque ordre quand ils ne sont pas programmés à l'avance) que pour Revolut, qui offre 1 à 10 ordres gratuits tous les mois.
Côté banque, Revolut marque un point, car Trade Republic est concentré sur l'investissement. La britannique offre des cartes gratuites (pour
la carte virtuelle
) et plus chères, par abonnement, de 3,99 à 45 euros par mois. Trade Republic, de son côté, offre deux cartes physiques, de 5 à 50 euros en paiement unique. Elles ont les mêmes fonctionnalités.
Parmi les possibilités de Trade Republic, des retraits gratuits au-delà de 100 euros, y compris à l'étranger ; des paiements gratuits, même à l'étranger. Revolut met un plafond aux paiements en devises étrangères, en fonction de la carte choisie : au-delà, des frais s'appliquent. A noter que les deux néo-banques offrent des cartes de débit, parfois refusées. Revolut offre des assurances selon le forfait choisi, ce que ne fait pas Trade Republic. Pour conclure, les deux néo-banques présentent des avantages à ceux qui souhaitent limiter leurs frais bancaires. Trade Republic tire son épingle du jeu en pensant la carte comme un moyen d'investir, notamment avec
le save-back
et le round-up !
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Bourse de Paris : le CAC 40 à l'arrêt avec les nouvelles menaces douanières, Eutelsat en forte hausse
Bourse de Paris : le CAC 40 à l'arrêt avec les nouvelles menaces douanières, Eutelsat en forte hausse

Le Figaro

time10 minutes ago

  • Le Figaro

Bourse de Paris : le CAC 40 à l'arrêt avec les nouvelles menaces douanières, Eutelsat en forte hausse

Le CAC 40 reste bloqué entre l'enthousiasme d'une potentielle baisse des taux de la Fed, mais également d'une pression douanière qui est toujours présente. Pour ajouter à l'équation, un indicateur américain a créé la surprise et les marchés financiers ont été refroidis en fin de séance. La tendance du marché Le mois d'août est généralement une période plus calme sur les marchés financiers, mais l'effervescence dans l'actualité boursière ne s'est pas totalement éteinte. Le CAC 40 a d'ailleurs ouvert dans le vert, mais les nouveaux rebondissements dans les négociations commerciales ont mis à mal cette dynamique. À découvrir Suivez Le Figaro Bourse sur WhatsApp En moins d'une heure, les gains matinaux ont fondu pour finalement glisser sous l'équilibre. Pour autant, l'enthousiasme des investisseurs pour un probable assouplissement monétaire de la Fed a maintenu l'indice parisien en territoire positif. Il a également pu compter sur le rebond de Teleperformance, d'Axa et de Saint-Gobain. Publicité Toutefois, les poids lourds français faisaient partie des plus fortes baisses comme Schneider Electric, L'Oréal ou encore LVMH. Une situation qui a tiré le CAC 40 vers l'équilibre. Un démarrage poussif de Wall Street combiné à un chiffre décevant de l'activité américaine des services a causé la chute du CAC 40. L'indice français a basculé définitivement dans le rouge dans la dernière heure de séance. Du côté des indices en France et dans le monde CAC 40 - 0,14% 7 621,04 points SBF 120 - 0,08% 5 796,25 points DAX + 0,37% 23 853,39 points FTSE 100 + 0,16% 9 139,10 points Nikkei + 0,64% 40 549,54 points Dow Jones* - 0,23% 44 073,81 points Nasdaq* - 0,49% 20 951,56 points *indice arrêté à la clôture des bourses européennes Le fait du jour L'actualité boursière n'est plus aussi active que la semaine dernière, mais la pression douanière est toujours là pour combler ce vide. À deux jours de l'entrée en vigueur des droits de douane américains, Donald Trump continue de resserrer l'étau. En effet, Karin Keller-Sutter, la présidente suisse, ainsi que son ministre de l'Économie, Guy Parmelin, se rendent dès ce mardi à Washington pour tente d'infléchir la Maison Blanche sur le taux de 39% de surtaxes douanières contre la Confédération suisse. Le président américain maintient également un bras de fer avec l'Inde, qu'il menace de nouvelles taxes douanières «dans les prochaines 24 heures». Le milliardaire de 79 ans reproche à New Delhi de poursuivre ses achats de pétrole russe. Du côté de l'Union européenne, Bruxelles a suspendu ses mesures de riposte contre les États-Unis après l'accord trouvé avec Washington. Pour autant, les négociations sur une exemption douanière du vin et des spiritueux n'ont toujours pas abouti. Donald Trump a rouvert un nouveau front sectoriel avec l'industrie pharmaceutique. L'ancien magnat de l'immobilier souhaiterait imposer «un droit de douane bas» dans un premier temps avant de les relever ensuite : «Dans un an, un an et demi maximum, cela sera 150% et ensuite 250%, parce que l'on veut des médicaments fabriqués dans notre pays», explique-t-il. Les valeurs en vue Le Top Publicité Eutelsat est en tête du SBF 120 lors de cette séance avec une hausse de 12,05%, à 3,30 euros. L'opérateur de satellites a dévoilé ses résultats annuels de son exercice décalé 2024/2025. Les investisseurs ont notamment salué quelques données au-dessus des attentes comme un chiffre d'affaires des activités opérationnelles qui a atteint 1,226 milliard d'euros, contre 1,211 milliard d'euros attendus. Le groupe français peut s'appuyer sur les satellites OneWeb en orbite basse (LEO) qui ont vu leur chiffre d'affaires grimper de 84,1%. Ils représentent désormais près de 15% du chiffre d'affaires de l'entreprise. La société a également enregistré un Ebitda annuel de 676,2 millions d'euros, soit mieux que les 664 millions d'euros anticipés. En revanche, Eutelsat a vu sa perte nette se creusait de 309,9 millions d'euros à 1,1 milliard d'euros en un an. Le groupe justifie cette aggravation par les effets de change défavorables, mais également par la dépréciation de ses satellites. Pour le prochain exercice, le deuxième opérateur mondial de satellites s'attend à une hausse de 50% de ses revenus sur les activités LEO, mais sa marge Ebitda «devrait être légèrement inférieure à celle de l'exercice 2024-25». Le groupe a également officialisé la nomination d'Éric Labaye comme nouveau président du conseil d'administration. Le Flop Schneider Electric est la lanterne rouge du CAC 40 et du SBF 120 lors de cette séance avec une baisse de 2,05%, à 214,80 euros. Le spécialiste des équipements électroniques est bousculé en Bourse depuis la publication de ses résultats semestriels jeudi dernier. 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BPCE: bénéfice tiré par la «bonne performance» de toutes ses activités au second trimestre
BPCE: bénéfice tiré par la «bonne performance» de toutes ses activités au second trimestre

Le Figaro

time10 minutes ago

  • Le Figaro

BPCE: bénéfice tiré par la «bonne performance» de toutes ses activités au second trimestre

Le groupe bancaire BPCE, qui rassemble notamment les Banques populaires et les Caisses d'épargne, a annoncé mardi un bénéfice net en hausse de 21% au deuxième trimestre, à près d'un milliard d'euros (976 millions), porté par «la très bonne performance organique» de toutes ses activités. Le président du directoire Nicolas Namias s'est félicité des «excellentes performances» de la banque lors de la période allant d'avril à juin, «portées par la croissance organique» tant de la banque de détails que de l'assurance ou des activités de gestion d'actifs, lors d'un entretien. Le produit net bancaire (PNB) du groupe, équivalent du chiffre d'affaires pour le secteur, ressort à 6,32 milliards au deuxième trimestre, en hausse de 12% sur un an. Le coût du risque - les sommes provisionnées pour faire face aux éventuels impayés sur les crédits consentis - reste stable à 559 millions d'euros. Dans le détail, le PNB du pôle «Banque de proximité et assurance», qui rassemble les deux principaux réseaux Banque Populaire et Caisse d'Épargne ainsi que des métiers tels que l'assurance et les paiements, progresse de 13% sur un an, à 4,2 milliards d'euros, et son bénéfice net avant impôt augmente de 36% à 1,1 milliard. Le réseau bancaire a accueilli 187.000 nouveaux clients d'avril à juin et a connu une forte hausse de la production de crédits immobiliers, notamment au sein de Banque Populaire. Publicité Le PNB de l'activité «solutions et expertise financière» en hausse L'activité «solutions et expertise financière» affiche sur le trimestre un PNB en hausse de près de 40%, à 388 millions d'euros, avec l'intégration de BPCE Equipement Solutions, la branche financement de biens d'équipement pour les entreprises (leasing) de la Société Générale acquise en mars. La division «Global financial services», qui regroupe les métiers dits «mondiaux» issus de la banque Natixis, affiche un résultat avant impôts de 600 millions d'euros, en hausse de 11%, pour un PNB de 2,11 milliards d'euros (+6%). Le pôle est tiré par les performances de la banque de grande clientèle (banque de financement et d'investissement et marchés) dont les revenus progressent de 10% à 1,25 milliard d'euros et les résultats avant impôts, de 17% à 412 millions. BPCE a également annoncé la signature le 1er août de l'accord juridique d'acquisition de 75% de la banque portugaise Novo Banco, valorisée 6,4 milliards d'euros, auprès du fonds américain Lone Star. Le groupe bancaire avait annoncé le 13 juin l'ouverture de négociations exclusives avec Lone Star pour racheter la banque portugaise. La finalisation de l'opération est prévue pour le premier semestre 2026. Par ailleurs, «l'État, le gouvernement et le fond de résolution» des banques portugaises, qui détiennent les 25% restants «ont manifesté publiquement leur intention de céder leur part» à BPCE, a indiqué Nicolas Namias.

Après les «memes coins», les «memes stocks» : ces actions dont le cours s'envole grâce aux réseaux sociaux
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Le Figaro

time2 hours ago

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Après les «memes coins», les «memes stocks» : ces actions dont le cours s'envole grâce aux réseaux sociaux

Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Portées par des communautés d'investisseurs amateurs sur Reddit et X, des actions longtemps délaissées connaissent des hausses fulgurantes sans justification économique. Elles s'appellent GoPro, Krispy Kreme ou encore Opendoor. Le point commun entre ces entreprises ? Le cours de leur action s'est récemment envolé sans qu'aucun indicateur financier traditionnel ne puisse l'expliquer. Un phénomène qui n'est pas sans rappeler l'envolée de l'entreprise de jeux vidéo GameStop, en 2021, et qui refait surface aux États-Unis. Après les «memes coins» qui ont percé l'écran pendant la campagne de Donald Trump, s'ouvre l'ère des«memes stocks», des titres boursiers dopés par l'engouement des réseaux sociaux. Depuis plusieurs semaines, les volumes d'échanges sur certains titres américains ont explosé. L'action GoPro a bondi de 100% en quelques jours et retrouve sa valeur d'il y a un an, après une année continue de baisse. Krispy Kreme, le fabricant de donuts qui s'est lancé en France en 2024, a bondi de 61% en une semaine et frôle les 4,5 dollars l'action. À chaque fois, les volumes d'échange ont été multipliés par deux ou trois sur ces titres délaissés des investisseurs…

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