
«Il ne voulait pas rester dans une zone de confort» : cette nuit où le prince William a dormi dans la rue à Londres
Il y a 20 ans, après avoir terminé l'université, le prince William honorait l'héritage laissé par sa mère, la princesse Diana, en s'engageant auprès de l'organisation caritative d'aide aux personnes sans-abri, Centreproint. Alors que le prince de Galles se dévoue toujours corps et âme pour cette mission, en 2009, il était même allé jusqu'à passer une nuit dans les rues de Londres, aux côtés des personnes sans domicile fixe. Le PDG de Centrepoint, Seyi Obakin, qui l'avait accompagné cette nuit-là, est d'ailleurs revenu sur cet événement qui avait valu au prince William plusieurs couvertures de journaux. «Il m'avait dit : 'Je souhaite approfondir cette question, et c'est très bien de lire à ce sujet (le sans-abrisme à Londres, NDLR) et de parler aux personnes concernées, mais pourquoi ne pas en faire l'expérience personnellement ?'», a raconté Seyi Obakin à People. «Il ne voulait pas rester dans une zone de confort. Il voulait vivre une expérience aussi proche que possible de celle qu'un jeune aurait vécue s'il avait dû faire ce choix.»
À lire aussi Superyacht, jet privé et hôtel de luxe : pourquoi les vacances de Kate Middleton et du prince William en Grèce suscitent la polémique ?
«Un mécène décoratif»
Comme l'explique le PDG de Centrepoint, cet événement a rapidement attiré l'attention, sur le prince William, mais aussi sur le sans-abrisme à Londres et l'organisation caritative. «L'une des premières choses qu'il a dites, c'est qu'il ne voulait pas être un mécène décoratif», a ajouté Seyi Obakin. «Il voulait s'impliquer, comprendre les problèmes et savoir comment il pouvait aider, et il voulait aider. Il n'a pas dévié de cette ligne depuis le premier jour.» En effet, ce n'est pas la première fois que l'époux de Kate Middleton se rend utile pour venir en aide aux personnes sans domicile fixe. Régulièrement, il visite les refuges pour ceux qui n'ont pas de logement et dorment dans la rue. Durant la crise du Covid-19, il s'est rendu pendant un mois, trois fois par semaine, à The Passage, un centre qui accueille les personnes sans-abri et vulnérables. «Il est venu et a aidé, préparant et cuisinant la nourriture - et dans certains cas livrant la nourriture», a expliqué Mick Clarke, le directeur du refuge, à People. «Je pense qu'il se sent plus à l'aise quand il n'y a que lui sans caméra.»
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Le directeur de l'établissement a ajouté que l'authenticité du prince William est très appréciée par les personnes qui fréquentent le centre. «Les personnes sans domicile fixe sont très douées pour évaluer si quelqu'un est authentique ou non. Lorsqu'il (le prince William, NDLR) leur rend visite, par exemple pour les aider à Noël, il reste généralement plus longtemps que prévu : s'il doit rester une heure, il finit par rester près de trois heures», ajoute Mick Clarke. Cet engagement lui permet d'honorer la mémoire de sa mère qui a été la première à lui avoir fait visiter des refuges et lui avoir donné envie de venir en aide aux sans-abri.
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«Il ne voulait pas rester dans une zone de confort» : cette nuit où le prince William a dormi dans la rue à Londres
Loin du confort d'Adelaide Cottage, le prince de Galles aurait passé une nuit dans les rues de Londres, dans le cadre d'une mission pour l'organisation caritative Centrepoint. Il y a 20 ans, après avoir terminé l'université, le prince William honorait l'héritage laissé par sa mère, la princesse Diana, en s'engageant auprès de l'organisation caritative d'aide aux personnes sans-abri, Centreproint. Alors que le prince de Galles se dévoue toujours corps et âme pour cette mission, en 2009, il était même allé jusqu'à passer une nuit dans les rues de Londres, aux côtés des personnes sans domicile fixe. Le PDG de Centrepoint, Seyi Obakin, qui l'avait accompagné cette nuit-là, est d'ailleurs revenu sur cet événement qui avait valu au prince William plusieurs couvertures de journaux. «Il m'avait dit : 'Je souhaite approfondir cette question, et c'est très bien de lire à ce sujet (le sans-abrisme à Londres, NDLR) et de parler aux personnes concernées, mais pourquoi ne pas en faire l'expérience personnellement ?'», a raconté Seyi Obakin à People. «Il ne voulait pas rester dans une zone de confort. Il voulait vivre une expérience aussi proche que possible de celle qu'un jeune aurait vécue s'il avait dû faire ce choix.» À lire aussi Superyacht, jet privé et hôtel de luxe : pourquoi les vacances de Kate Middleton et du prince William en Grèce suscitent la polémique ? «Un mécène décoratif» Comme l'explique le PDG de Centrepoint, cet événement a rapidement attiré l'attention, sur le prince William, mais aussi sur le sans-abrisme à Londres et l'organisation caritative. «L'une des premières choses qu'il a dites, c'est qu'il ne voulait pas être un mécène décoratif», a ajouté Seyi Obakin. «Il voulait s'impliquer, comprendre les problèmes et savoir comment il pouvait aider, et il voulait aider. Il n'a pas dévié de cette ligne depuis le premier jour.» En effet, ce n'est pas la première fois que l'époux de Kate Middleton se rend utile pour venir en aide aux personnes sans domicile fixe. Régulièrement, il visite les refuges pour ceux qui n'ont pas de logement et dorment dans la rue. Durant la crise du Covid-19, il s'est rendu pendant un mois, trois fois par semaine, à The Passage, un centre qui accueille les personnes sans-abri et vulnérables. «Il est venu et a aidé, préparant et cuisinant la nourriture - et dans certains cas livrant la nourriture», a expliqué Mick Clarke, le directeur du refuge, à People. «Je pense qu'il se sent plus à l'aise quand il n'y a que lui sans caméra.» Publicité Le directeur de l'établissement a ajouté que l'authenticité du prince William est très appréciée par les personnes qui fréquentent le centre. «Les personnes sans domicile fixe sont très douées pour évaluer si quelqu'un est authentique ou non. Lorsqu'il (le prince William, NDLR) leur rend visite, par exemple pour les aider à Noël, il reste généralement plus longtemps que prévu : s'il doit rester une heure, il finit par rester près de trois heures», ajoute Mick Clarke. Cet engagement lui permet d'honorer la mémoire de sa mère qui a été la première à lui avoir fait visiter des refuges et lui avoir donné envie de venir en aide aux sans-abri.


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Alors qu'elle profite de sa pause estivale avec son époux, le prince William, et leurs trois enfants, la princesse de Galles a brièvement interrompu ses vacances pour partager sur Instagram une vidéo célébrant la nature et le vivre ensemble. Ce n'est un secret pour personne : Kate Middleton a le sens des responsabilités. Même en vacances, l'épouse du prince William, qui a pourtant vécu une année éprouvante marquée par un état de santé toujours fragile, ne peut s'empêcher de penser à ses divers engagements. La preuve : ce mardi 13 août, la princesse de Galles a interrompu son break estival pour partager sur Instagram le deuxième épisode de sa mini-série intitulée «Mère Nature». «Une saison d'abondance» Cette nouvelle vidéo montre la beauté de la nature anglaise en plein été, ses champs de blé bercés par le vent, ses fleurs colorées butinées par les abeilles, ses immenses forêts, et sa côte sauvage. Des images évoquant la liberté et le voyage, commentées par Kate Middleton herself : «L'été est une saison d'abondance, rappelle la mère de George, Charlotte et Louis. Tout comme les fleurs s'épanouissent et les fruits mûrissent, nous sommes, nous aussi, rappelés à notre propre potentiel de croissance. C'est le moment d'allumer notre feu intérieur et d'explorer notre créativité, nos passions et nos rêves.» Publicité La princesse de Galles poursuit son récit en rappelant à ses fans que l'été est la saison idéale pour profiter des «heures baignées de soleil» en famille et entre amis. «Nos vies s'épanouissent lorsque nous chérissons les liens d'amour et d'amitié. Alors ouvrez vos cœurs; chantez, dansez, jouez. Les jours sont encore longs, alors aimez simplement et soyez aimé», intime l'épouse du prince William qui, à travers cette ode à la nature, prône aussi un retour aux choses simples. Des vacances en Grèce Elle-même profite en ce moment de la douceur estivale en famille, au côté de William et de leurs trois enfants, George, Charlotte et Louis, loin du tumulte de Buckingham. Fin juillet, les Galles ont été aperçus sur un yacht de 50 mètres sillonnant les eaux turquoise de la Méditerranée, aux abords des côtes grecques. Un choix de vacances jugé «bling-bling» qui a sans surprise très vite fait polémique, Kate et William ayant toujours mis en avant leur mode de vie simple et leur engagement pour la protection de l'environnement. On ignore si la petite famille a désormais pris le large vers une autre destination ou si elle a croisé la reine Camilla, qui profite elle aussi de ses vacances sur un yacht, en Grèce. L'épouse du roi Charles III a en effet été photographiée en début de semaine sur le Zenobia, le palace flottant du milliardaire syro-saoudien Wafic Saïd, dont la valeur est estimée à 30 millions de livres sterling, soit plus de 34 millions d'euros.


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FIDÈLE AU POSTE - Amoureux de la culture française, le chanteur sera bientôt à l'affiche du film Kaamelott, inspiré de la série créée pour M6. « Sting » n'est pas son vrai patronyme. Juste un surnom donné par un pote tromboniste à la fin des années 1970 lorsqu'ils jouaient du jazz ensemble dans les pubs de Newcastle. Rapport à un pull rayé jaune et noir, façon guêpe, et à la piqure suggérée au public… Né dans le nord-est de l'Angleterre, Gordon Matthew Thomas Sumner enseignait à l'école élémentaire de Cramlington. Un demi-siècle plus tard, sa silhouette de maître n'a pas changé. Et on peut affirmer sans se tromper que le beau gosse ne fait toujours pas son âge malgré les années qui passent : il fêtera ses 74 ans le 2 octobre prochain. Publicité « Rooo-xaaaanne… You don't have to put on the red light… » Reviennent à l'esprit les paroles du premier tube de The Police. Mythique. Et les images du clip qui révèlent ce bassiste blond aux yeux de braise, à la fois rocker et fils idéal. Sa voix aiguë crie le désespoir d'une femme dans la nuit, calée entre les frappes du batteur Stewart Copeland et les riffs du guitariste Andy Summers. Des instants de grâce et des notes inoubliables. Éternelle jeunesse. Père de six enfants, Sting est un amoureux de la France : il y possède une maison à Senlis, dans l'Oise. Entre ses omoplates, le chanteur a fait tatouer le labyrinthe de la cathédrale Notre-Dame de Chartres, une figure géométrique circulaire, chemin symbolique où l'homme part à la rencontre de Dieu. Et on l'adore, pas seulement pour sa musique en groupe puis en solo, mais aussi pour ses talents d'acteur démontrés dans Dune, de Ridley Scott, Et bientôt renouvelés dans Kaamelott, le film inspiré par la série d'Alexandre Astier pour M6. Juste « Fan de… Sting ».