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DIRECT. Tour de France : un tracé pour les sprinteurs, suivez la 3e étape entre Valenciennes et Dunkerque

DIRECT. Tour de France : un tracé pour les sprinteurs, suivez la 3e étape entre Valenciennes et Dunkerque

Le Parisien11 hours ago
Le peloton poursuit sa route dans le Nord de la France ce lundi 7 juillet avec une troisième étape entre Valenciennes et Dunkerque (178 km). Un tracé qui devrait couronner une nouvelle fois un sprinteur. Par Coralie Salle Tadej Pogacar, Mathieu van der Poel et Jasper Philipsen lors de cette troisième étape. Icon Sport/JASPER JACOBS Ivon Sport/JASPER JACOBS
Bienvenue sur leparisien.fr pour suivre cette troisième étape sur la Grande Boucle… Avec un nouveau sprint massif à l'arrivée ? La troisième étape prévue ce lundi sera une nouvelle fois une belle aubaine pour les sprinteurs. Les coureurs roulent sur du plat entre Valenciennes et Dunkerque.
Grâce à sa victoire dimanche, Mathieu van der Poel s'est emparé du maillot jaune et voudra le garder ce soir.
Le parcours complet étape par étape du Tour de France 2025 (5-27 juillet) est à retrouver sur leparisien.fr Lire le journal
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« Je ne voulais pas prendre de risque » : Bryan Coquard, le symbole malheureux d'une étape marquée par les chutes
« Je ne voulais pas prendre de risque » : Bryan Coquard, le symbole malheureux d'une étape marquée par les chutes

L'Équipe

time29 minutes ago

  • L'Équipe

« Je ne voulais pas prendre de risque » : Bryan Coquard, le symbole malheureux d'une étape marquée par les chutes

Bryan Coquard a été impliqué dans deux des trois chutes qui ont agité la longue étape de plaine jusqu'à Dunkerque, lundi. Il nous arrive de discrètement fermer les yeux lorsqu'un homme va à terre, d'être touché par la douleur et la peur qu'il doit ressentir. Mais un homme debout est parfois encore plus touchant. Bryan Coquard (33 ans) est arrivé devant une nuée de micros lundi en début de soirée, les yeux secs, puis un peu moins, pour finir carrément humides à mesure qu'il tentait de retracer sa journée et ses malheurs. Le sprinteur de Cofidis est celui qui a entraîné la chute de Jasper Philipsen avant de faire un soleil dans le final à Dunkerque. Douleur mentale dans le premier cas, physique dans le second. « Je m'attendais à ce que vous soyez tous là, souffle Coquard lorsqu'il prend la parole après avoir, en plus, dû patienter de très longues minutes au contrôle antidopage. C'est une sale journée oui, vous imaginez que... » Une pause pour faire le ménage dans ses émotions. « Faire abandonner le maillot vert, ça ne fait pas plaisir. Même si ce n'était pas un acte volontaire, je tiens à m'excuser auprès de Philipsen et d'Alpecin. Je ne suis pas un mauvais bougre, un mauvais garçon, ce n'est pas agréable. » Touché et touchant. « Je ne voulais pas vraiment faire le sprint final... », ajoute-t-il un peu plus tard en ravalant un deuxième sanglot. « Je me suis remobilisé puis... » Sa voix tremble. « Nouvelle chute, et voilà... J'ai mal un peu partout, j'ai des abrasions, on verra... » Brûlures à la jambe gauche et la fesse gauche, multiples plaies superficielles, douleurs musculaires du côté de l'omoplate, le bilan médical dans la soirée n'était pas réjouissant. « C'est toujours la faute à pas de chance dans les sprints donc on ne peut blâmer personne » Paul Penhoët, victime de la chute lors du sprint final lundi Cette deuxième chute, spectaculaire, l'a envoyé jambes par-dessus tête à plus de 60 km/h, après avoir tenté d'éviter une vague provoquée par le duo Davide Ballerini (XDS-Astana) et Danny Van Poppel (Red Bull-Bora Hansgrohe) forçant Paul Penhoët (Groupama-FDJ) à se déporter vers la gauche. La même chute qui a envoyé Émilien Jeannière (TotalEnergies) dans les barrières. Sur un rétrécissement à trois kilomètres de l'arrivée, Remco Evenepoel (Soudal-Quick Step) est aussi tombé, mais sans gravité. Tout l'inverse de Jordi Meeus (Red Bull-Bora), qui a mis longtemps a se relever, avait le bras en écharpe après l'étape et n'était pas encore certain de prendre le départ ce mardi. Il pourrait souffrir d'une commotion. Rentré à l'hôtel peu avant 20 heures, Jeannière souffre selon son équipe d'un traumatisme facial sans gravité, de contusions multiples au niveau des épaules et de plaies déjà suturées. Il était monté dans une ambulance le casque explosé. « Je suis touché au dos, fesses, doigts, pieds. J'ai vraiment fini sur le dos », listait de son côté Penhoët, qui a passé la ligne en marchant à côté de son vélo, dépité : « Je n'ai pas envie de dire quoi que ce soit là-dessus, c'est toujours la faute à pas de chance dans les sprints donc on ne peut blâmer personne. Moi le premier, je ne freine pas, donc voilà. Moi je voulais aller là car un mec s'écartait et je voyais que ça lançait devant... » « C'est miraculeux pour lui de rester sur le vélo. (...) Je vais lui dire de surtout pas culpabiliser » Cédric Vasseur, manager de Cofidis, au sujet de la chute qu'a provoquée Bryan Coquard Être là ou là, choisir une ligne plutôt qu'une autre et composer avec les aléas, c'est aussi la phase vécue par Coquard juste avant le sprint intermédiaire à 60 bornes de l'arrivée. Le coureur de Cofidis a revu les images des deux sprints qui ont fait de sa journée un enfer. « Je ne sais vraiment pas ce qu'il s'est passé en fait. J'ai l'impression que (Jonathan) Milan lance son sprint, peut-être que ma roue avant touche son dérailleur ou peut-être que c'est (Laurenz) Rex qui me déséquilibre, j'en sais vraiment rien, décortiquait-il la voix remplie d'émotion. Ce n'était pas mon intention de créer une chute, je ne voulais pas prendre de risque. J'étais juste dans la roue de Milan quand il a lancé, je n'ai même pas l'impression d'avoir touché quelque chose. Ensuite, j'ai été clairement déséquilibré, j'ai perdu la pédale de la chaussure, j'en ai presque perdu la chaussure. » Une séquence, comme les deux autres, où personne n'était vraiment fautif, où aucun comportement violent ou antisportif n'a été pointé. Simplement des faits de courses un peu malheureux, provoqués par la vitesse élevée et un vent de face qui n'a pas aidé. « Il s'en tire miraculeusement sur cette chute mais il a eu moins de chance dans les derniers hectomètres à Dunkerque, soupirait Cédric Vasseur, manager de Cofidis, sur le plateau de Vélo Club. C'est miraculeux pour lui de rester sur le vélo, il saute de sa selle, il déchausse complètement. Je vais lui dire de surtout pas culpabiliser. » Le communiqué des commissaires tombé dans la soirée, le sanctionnant d'un carton jaune pour son mouvement au sprint intermédiaire, n'était pas la pire chose de la journée, mais un petit coup de plus sur la carafe. Comme les reproches formulés par Jonas Rickaert (Alpecin-Deceuninck), véhément sur la route alors que Coquard se plaignait d'une de ses jambes, puis franchement désagréable après l'arrivée au micro de la chaîne Sporza. Coquard, digne, était lui sincèrement touché par ce qu'il avait causé et subi. Un homme debout après avoir mis à terre puis été à terre. À lire aussi Philipsen, la bascule du rêve au cauchemar Des chutes à la victoire, tout se joue au millimètre La démonstration de Merlier pour gagner sans train ni poisson-pilote Merlier, le sprinteur habitué à se débrouiller tout seul

Remettre au pot ou risquer très gros : l'avenir de l'OL dans les mains de ses créanciers
Remettre au pot ou risquer très gros : l'avenir de l'OL dans les mains de ses créanciers

L'Équipe

time29 minutes ago

  • L'Équipe

Remettre au pot ou risquer très gros : l'avenir de l'OL dans les mains de ses créanciers

Lyon a repris l'entraînement lundi, à l'entame d'une semaine cruciale avec son audition en appel devant la DNCG, mercredi. En coulisses, la partie se joue entre actionnaires et créanciers. L'Olympique Lyonnais a retrouvé le chemin des terrains lundi après-midi, sous une pluie battante une bonne partie de la séance. Animée par Paulo Fonseca, la séance accueillait 26 joueurs pros et s'est déroulée sur la plaine de jeu n° 1 du centre d'entraînement, qui pourrait prochainement prendre le nom du regretté Bernard Lacombe. Pendant ce temps, Orel Mangala, en réathlétisation après la rupture d'un ligament antérieur croisé d'un genou en janvier, enchaînait les tours de terrain en compagnie de deux adjoints. Jordan Veretout, lui, était absent pour raisons personnelles, selon le club, et Ernest Nuamah, prolongeait sa rééducation après sa rupture du ligament antérieur du genou gauche en avril. Personne ne s'est exprimé, à l'entame d'une semaine périlleuse avec l'audition en appel mercredi devant la DNCG fédérale, alors que le club a été rétrogradé en L2 le 24 juin. L'OL a seulement communiqué sur la prolongation de contrat du jeune défenseur de 20 ans, Téo Barisic, jusqu'en 2028. À peine une dizaine de supporters attendait les joueurs arrivés pour la plupart en milieu d'après-midi dans un ballet de berlines de luxe ou de voitures électriques fournies par l'un des sponsors asiatiques du club. « On ne peut pas tomber en Ligue 2 avec un stade pareil, s'inquiétait Julien, un fan lyonnais qui diffuse très régulièrement des images de son club de coeur sur le réseau TikTok. On est mitigés sur la suite des événements. On tourne en rond dans l'attente de la décision de la DNCG (*). Avec ses belles promesses, John Textor (l'ancien président mis en retrait) nous l'a fait à l'envers, nous a promenés depuis deux ans. On reste inquiets. » Les supporters des Gones peuvent l'être. Car leur club ne bénéficiera d'aucune mansuétude s'il ne répond pas aux attentes du gendarme du football français au siège de la FFF. Ce n'est pas l'endettement lié au prêt consenti par le fonds Ares qui intéresse l'instance de contrôle de gestion. Mais les garanties en termes de trésorerie, afin d'assurer l'équité du Championnat au regard des autres clubs de L1. Lyon doit pouvoir terminer la saison qu'il entame. Mais pas que. Ses fonds propres négatifs posent aussi problème. Et il est probable que les échéances à venir sur les achats de joueurs soient une autre raison qui pousse la DNCG à demander encore plus de garanties. Soit du cash que l'on ne peut pas récupérer sur un compte bloqué. Ares ne fera pas de sentiments La situation est donc manichéenne. Soit les créanciers et/ou les actionnaires remettent au pot, soit l'OL risque très gros sur le plan économique. Jusqu'à la relégation et, à terme, la liquidation judiciaire. L'issue de cette équation décidera du sort du septuple champion de France (2002-2008). Ares, qui contrôle les sorties d'argent, n'a pas vocation à détenir un club à long terme. Et ne fera aucun sentiment. Son board s'est donc renseigné sur la viabilité du club. À date, il en a conclu qu'aucun investisseur ne se présenterait pour le racheter. Il s'agit donc, pour le prêteur, d'évaluer le risque à venir. Soit il participe à une augmentation de capital afin de récupérer une partie de son dû, environ 300 M€ si l'on retranche la grande partie de la revente de Crystal Palace qu'il s'est attribué prioritairement, avec les intérêts compris. Dans ce cas, il sera probablement contraint d'expliquer à ses 200 à 300 investisseurs pourquoi il se réengage dans un souci de meilleure fortune. Soit, comme on le dit dans le business américain, « don't throw good money after bad » (« ne pas jeter de l'argent par les fenêtres »). Il jettera alors l'éponge et précisera à ces investisseurs qu'ils n'ont perdu qu'une infime partie de leur placement. Une partie de poker menteur peut se jouer avec les actuels actionnaires, qui contrôlent le club, dont Michele Kang, dans l'optique d'une augmentation de capital où les parts de Textor seraient diluées. L'idée est de faire croire à l'autre que la valeur du club (ses actifs, dont les joueurs) peut être détruite si l'argent n'est pas apporté. Donc à l'obliger à remettre moyennant un accord (pour récupérer ses billes). Pour l'OL, il vaudrait mieux que ce soit all-in. À lire aussi Comment le club se prépare pour l'appel devant la DNCG Pour se maintenir, l'OL devra trouver une somme énorme Un combat hors terrain plus vif que jamais entre Mbappé et le PSG Rester ou partir, les tiraillements d'André

L'Olympique Lyonnais passera finalement mercredi devant la DNCG d'appel
L'Olympique Lyonnais passera finalement mercredi devant la DNCG d'appel

L'Équipe

time31 minutes ago

  • L'Équipe

L'Olympique Lyonnais passera finalement mercredi devant la DNCG d'appel

L'audition de L'Olympique Lyonnais devant la DNCG d'appel de la Fédération française de football (FFF) aura lieu mercredi et non jeudi comme il avait été envisagé un temps. L'OL passera finalement devant la DNCG d'appel de la Fédération française de football (FFF) mercredi et non jeudi. Et il sera le seul club auditionné. L'équipe rhodanienne a été reléguée en L2 à l'issue de son passage devant la Direction nationale de contrôle et de gestion (DNCG) de la Ligue le 24 juin club a fait appel en milieu de semaine dernière et travaille à monter, autour de Michele Kang et Michael Gerlinger, respectivement nouvelle présidente et nouveau DG, un dossier permettant à l'OL de se sauver. Quelque 200 millions d'euros sont attendus : 100 M€ cash et 100 sur un compte bloqué.

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