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« J'en ai pleuré » : Claudia Tagbo évoque les messages abjects qu'elle a reçus en révélant son cancer

« J'en ai pleuré » : Claudia Tagbo évoque les messages abjects qu'elle a reçus en révélant son cancer

Le Soira day ago
Ce dimanche 17 août, Claudia Tagbo est revenue sur une période très compliquée qu'elle a traversée alors qu'elle avait 30 ans. C'est en effet à cet âge-là que la comédienne et actrice a découvert qu'elle était atteinte d'un cancer du sein.
Un cancer qu'elle avait déjà évoqué en 2015. « Ça a démarré comme un gag. Un jour, je suis allée chez le médecin à cause d'une bonne crève et je lui ai dit : « Bon, à part ça, ça y est, j'ai 30 ans, l'âge de commencer les tests, les dépistages. Faites-moi faire une mammographie ». Il m'a répondu : « Heu… OK, si vous voulez ». Alors quand on m'a découvert quelque chose, je n'y ai pas cru », avait-elle confié auprès de RoseUp.
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Décès du streamer Jean Pormanove : une autopsie prévue ce jeudi
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time15 hours ago

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Décès du streamer Jean Pormanove : une autopsie prévue ce jeudi

Le corps du streamer Jean Pormanove, décédé lundi lors d'un live sur la plateforme Kick, sera autopsié jeudi matin, a indiqué mercredi le procureur de Nice, faisant état par ailleurs d'auditions et saisies de matériels dans l'enquête sur la mort en direct de cet homme de 46 ans. « Plusieurs auditions de personnes présentes au moment du décès ont été faites sans qu'à ce stade elles permettent de donner une orientation quant aux causes de celui-ci », déclare le procureur Damien Martinelli dans un communiqué. Raphaël Graven, connu en ligne sous les pseudos Jean Pormanove ou JP, est mort dans la nuit de dimanche à lundi à Contes, au nord de Nice, après plus de 12 jours de diffusion vidéo en direct, le montrant, au côté d'un autre homme surnommé Coudoux, violenté et humilié par deux partenaires connus sous les pseudos de NarutoVie et Safine. « De nombreuses saisies de matériels et vidéos » ont été réalisées « afin notamment de préciser les faits intervenus en amont du décès et susceptibles d'avoir pu contribuer à celui-ci », indique le procureur de Nice. L'enquête de la PJ de Nice, ouverte pour « recherche des causes de la mort », s'inscrit « en parallèle » de celle ouverte le 16 décembre 2024 après la diffusion d'un article de Mediapart sur de précédentes vidéos dans lesquelles « des personnes susceptibles d'être vulnérables faisaient l'objet de violences et d'humiliations parfois encouragées par des versements d'argent des spectateurs », ajoute le magistrat. Dans le cadre de cette enquête, NarutoVie et Safine avaient été placés en garde à vue le 8 janvier 2025, et « les personnes apparaissant comme victimes des violences et humiliations entendues », poursuit-il. Lors de leurs auditions, Jean Pormanove et Coudoux « contestaient fermement être victimes de violences, indiquant que les faits s'inscrivaient dans des mises en scène visant à 'faire le buzz' pour gagner de l'argent ». Selon le magistrat, Coudoux avait déclaré gagner jusqu'à 2.000 euros par mois, Jean Pormanove évoquant « des sommes à hauteur de 6.000 euros » via « une société qu'il avait créée (et) sur la base des contrats établis avec les plateformes ». « L'un et l'autre indiquaient n'avoir jamais été blessés, être totalement libres de leurs mouvements et de leurs décisions et refusaient d'être examinés par un médecin et un psychiatre », ajoute le procureur. Mercredi matin, la plateforme australienne Kick indique sur X que « tous les co-streamers ayant participé à cette diffusion en direct ont été bannis dans l'attente de l'enquête en cours ». La plateforme, qui s'engage à « collaborer pleinement avec les autorités », affirme également entreprendre une « révision complète » de son contenu en français.

Pourquoi les chaussures moches cartonnent
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time15 hours ago

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Pourquoi les chaussures moches cartonnent

Tongs à talons, sandales à froufrous, sabots de jardin revisités, sneakers aux proportions exagérées, boots pantoufles… Au cours des dernières années, on a vu se multiplier les modèles de chaussures à l'esthétique douteuse. Pourtant, dès leur apparition sur les réseaux et dans la presse spécialisée, ces chaussures affolent les modeux et modeuses, qui ne rêvent que d'une chose : les acquérir, les porter, et surtout être vus avec elles ! Dernières en date : les tongs sculpturales nées de la collaboration entre Havaïanas et Zellerfeld ; un modèle pensé pour « repousser les limites de la tong » (disponible en magasin en septembre). Car aujourd'hui, on ne se moque plus de la chaussure moche, on l'adule ! Plusieurs facteurs pourraient expliquer ce phénomène… La nécessité de surprendre La fascination du monde de la mode pour le « moche », ou du moins pour tout ce qui sort de la norme, ne date pas d'hier. C'est même l'un de ses fondements : la mode se nourrit de nouveauté, de surprise… L'inventivité n'est pas une qualité bienvenue, elle est primordiale. Pour tout créateur, amener quelque chose d'inattendu, de décalé… est une façon d'exister et de se démarquer. C'est en partie pour cela que des maisons renommées ont associé leur nom avec des marques de chaussures peu flatteuses. On pense à Balenciaga et Swarovski qui ont travaillé avec Crocs, à Manolo Blahnik et Dior qui se sont associées à Birkenstock… La fonction avant l'esthétique Dans le cas de nombreux modèles, l'argument invoqué par ceux qui les adoptent est tout simplement le confort. Si, voici quelques années encore, il était impensable de s'afficher à une soirée ou à un événement avec des chaussures sabots, ces modèles ayant été entre-temps validés par des marques haut de gamme, il n'y a désormais plus aucune gêne à les porter. Un acte de rébellion Certains y voient enfin une forme de rébellion. Tout ce qui sort du cadre est synonyme de créativité, de transgression des règles, et au final, d'une forme de liberté. Porter une tenue ou un accessoire qui heurte le regard est vu comme un acte de provocation ou d'affirmation de soi, de sa volonté de sortir du lot. Si moche que ça devient presque joli Tout ce qui, au départ, nous semble bizarre ou moche, à force d'être répété, encensé, porté par des célébrités influentes, devient « normal », voire carrément désirable. Ce principe ne s'applique d'ailleurs pas qu'aux chaussures, comme en attestent la désormais incontournable tradition des pulls de Noël ou le récent succès des poupées Labubu. En parlant des Labubu, découvrez en vidéo pourquoi les blind box connaissent une folle success-story : Reste à voir si, sur la longueur, à force de rentrer dans la norme, tous ces objets – en particulier les éditions spéciales et autres fruits de collab' – ne vont pas tout simplement finir dans le placard… pour être remplacés illico par le nouvel objet à la mode, encore plus moche !

Jennifer Lopez recalée chez Chanel : tout le monde peut-il entrer dans une boutique de luxe ?
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Jennifer Lopez recalée chez Chanel : tout le monde peut-il entrer dans une boutique de luxe ?

À Istanbul, Jennifer Lopez a connu ce que n'importe quel touriste de l'avenue Montaigne redoute : se faire refouler à l'entrée d'une boutique Chanel. Selon la presse turque, début août, l'agent de sécurité de la maison l'a stoppée net. En cause ? La boutique était « à sa capacité maximale ». Ce à quoi a réagi par un poli « Okay, no problem » avant de poursuivre son shopping marathon « de trois heures chez Celine et Beymen » selon Türkiye Today. De là à imaginer un complot marketing pour doper l'aura d'exclusivité de Chanel, il n'y a qu'un pas. Mais comme m'explique Sophie Naca, consultante en positionnement stratégique pour les marques de luxe et fondatrice d' AYIN Strategy, l'histoire est sans doute plus prosaïque... et plus révélatrice de la manière dont le luxe gère ses flux. Le temps c'est de l'argent Première idée reçue : l'époque où l'on filtrait les clients sur leur tenue est révolue. « Le luxe a compris que ce n'est pas parce que vous entrez en jogging que vous n'êtes pas un gros client », assure Sophie Naca. Les portes sont donc théoriquement ouvertes à tout le monde. Évitons le backlash. En revanche, le vrai contrôle se joue sur la jauge. Dans une boutique de luxe, l'expérience client est pensée pour durer. « Une étude a démontré que plus vous passez de temps à l'intérieur, plus votre intention d'achat augmente. En dessous de dix minutes, l'intention est à 25 %. Au-delà de trente, elle grimpe à plus de 60 % », rappelle Sophie. Pas question donc de transformer l'endroit en hall de gare : pas de file d'attente visible, pas de caisse apparente, pas de foule compacte autour des portants. Derrière la corde, un monde parallèle Pour les VIP — ou plutôt les VIC, Very Important Clients — la question ne se pose même pas. « À partir d'un certain palier d'achat, on ne fait plus la file. Les rendez-vous sont pris directement, souvent pour accéder à un salon privé », explique Sophie Naca. Autrement dit, si Hermès vous fait patienter trois fois pour acheter une bague, c'est que vous n'avez pas encore le statut qui ouvre la porte arrière. Ce système explique aussi pourquoi l'histoire de laisse sceptique Sophie. « Vu son potentiel d'achat, je doute qu'il y ait eu une vraie rupture. Je suis sûre qu'un message a été envoyé à son assistant pour lui proposer de repasser à un moment où la boutique pouvait mieux l'accueillir », avance-t-elle. L'art de rendre le temps délicieux Les marques de luxe optimisent chaque détail pour prolonger la visite : lumière douce, musique feutrée, odeur calibrée. Rien à voir avec la frénésie sensorielle d'un Zara un samedi après-midi. Certaines, comme Brunello Cucinelli, transforment carrément leur espace en salon privé avec bibliothèque, œuvres d'art et bar à espresso. « Tout est pensé pour créer une parenthèse enchantée », résume Sophie. Et pour cela, il faut limiter le nombre de personnes présentes, non pas par snobisme, mais pour offrir un service fluide et personnalisé. Erreur humaine ou coup de com' ? Alors, refuser l'entrée à Jennifer Lopez, c'est du marketing ou de la maladresse ? Sophie penche pour la deuxième option. « Ce serait contre-productif pour la marque. À mon avis, c'est une décision ponctuelle liée à la capacité réelle de servir. Une capacité initialement décidée par le responsable de boutique, et ensuite appliquée par le vigile ». En somme, dans l'univers du luxe, tout est une question de timing, de carnet d'adresses et d'invitations discrètes. Et ce jour-là, à Istanbul, Jennifer Lopez a brièvement pu se remémorer — entre deux sacs à cinq chiffres — à quoi ressemble la vie du commun des mortels. Plus de luxe : Un nouveau temple du bien-être vient d'ouvrir à Bruxelles

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