
L'incroyable anecdote de Zoë Kravitz qui a dû détruire la salle de bain de Taylor Swift
Mais la fille de Lenny Kravitz a vécu le cauchemar de tout invité qui ne veut surtout pas déranger : elle a été obligée de détruire la salle de bains de la chanteuse, pour empêcher un serpent de s'échapper entre les murs. Elle a raconté cette folle anecdote sur le plateau du Late Night with Seth Meyers, mardi 12 août.
L'actrice, très reconnaissante envers son amie, a d'abord posé le décor : « Taylor a une superbe maison. Je pense qu'elle date des années 30, c'est une belle maison, quelque chose que l'on veut préserver et entretenir. » Et de préciser : « Ma mère a un serpent comme animal de compagnie, donc quand elle a évacué, elle est venue avec le serpent. »
Avec sa mère et son serpent, elles sont restées près de deux semaines chez la pop star. Alors que Zoë Kravitz était sur le point de partir pour tourner son film Blink Twice, elle a tout fait pour être « une bonne invitée » et laisser la maison comme si elles n'avaient jamais été là. « J'aime rendre les endroits en meilleur état que celui dans lequel je les ai trouvés », ajoute-t-elle, consciencieuse.
Pendant qu'elle faisait un peu le tour de la maison pour nettoyer, sa mère, à l'étage, l'appelle sur son portable avec une voix anormalement aigüe. Zoë Kravitz la trouve accroupie dans un coin de la salle de bains. C'est là que les ennuis commencent.
Serpent en fugue
Lisa Bonet lui explique qu'elle a posé son serpent de compagnie par terre le temps de se laver le visage, et que le reptile nommé Orpheus a trouvé un trou dans le mur dans lequel se faufiler. « Mais c'est un défaut de conception. C'est la faute de Taylor. On ne peut pas avoir un trou à serpent dans sa maison », blague Seth Meyers.
Zoë Kravitz continue d'expliquer que le trou est à côté d'une banquette encastrée dans le mur, avec des tiroirs, mais que ces derniers ne donnent pas accès à la planque du serpent. Pendant qu'elle cherche une solution, sa mère retient Orpheus par le bout de sa queue, mais il lui file de plus en plus entre les doigts. « Les serpents sont tout en muscles et très, très forts », précise l'actrice en mimant la scène surréaliste.
Paniquée, elle finit par appeler son assistante, qui ne sait pas quoi faire pour l'aider. C'est finalement l'intendant de Taylor Swift, présent par chance dans la maison ce jour-là, qui leur a sauvé la mise. Avec un pied-de-biche, il entreprend de démonter puis carrément démolir la banquette pour pouvoir attraper le reptile. « On a arraché le carrelage, rayé les murs et à ce stade on ne voyait plus qu'un petit bout du serpent », se remémore Zoë Kravitz.
Le nouvel album de Taylor Swift
« À un moment donné, je me suis dit : 'soit on détruit sa salle de bains, soit je dois lui dire qu'il y a un serpent quelque part dans sa maison' », explique-t-elle à Seth Meyers. Même si l'animateur estime que les deux sont « de mauvaises options », l'actrice a quand même privilégié la première pour ne pas laisser un reptile en liberté dans les cloisons de la chanteuse.
Après avoir « complètement détruit » la salle de bains, Zoë Kravitz a bien évidemment assuré à l'intendant qu'elle paierait pour tout réparer, et lui a demandé de ne rien dire à la propriétaire avant que tout soit comme neuf. Mais lorsqu'elle a appelé son amie, Taylor Swift lui a répondu : « Est-ce que tu veux me dire que tu as failli perdre un serpent dans ma maison et détruit ma salle de bains ? »
Vu le ton et le sourire de Zoë Kravitz, son amie ne l'a pas mal pris. « Je pense qu'il y aura trois chansons sur ce serpent sur son prochain album », a blagué Seth Meyer. La chanteuse vient justement d'en annoncer le titre, The Life of a Showgirl, prévu pour l'automne. D'ici là, Zoë Kravitz peut toujours réécouter l'album Reputation, sorti en 2017, dont l'animal totem n'est autre que… le serpent.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
2 hours ago
- Le Figaro
Extraction : Omar Sy à l'affiche d'une nouvelle série
Le héros de Lupin rejoint le casting de cette série d'action américaine, tirée, comme la franchise Tyler Rake, du roman d'Ande Parks. À peine libéré de Lupin, Omar Sy repart en tournage pour Netflix, à l'affiche, cette fois-ci, d'Extraction, série en huit épisodes de Glen Mazzara d'après le roman d'Ande Parks, dont a déjà été tirée la franchise cinématographique du même nom de la plateforme, Tyler Rake (Extraction). «Un mercenaire est envoyé en mission en Libye pour y retrouver la trace et organiser la libération une poignée d'otages. Pris au piège entre factions militaires et tueurs à gage sanguinaires, il se retrouve contraint à faire des choix difficiles et à faire face à la résurgence d'émotions qu'il croyait définitivement enfouies», dit le synopsis. Publicité Castagne et psychologie Il ajoute : «La série explore les thèmes du trauma, de la trahison et des conflits moraux au travers des comportements de personnages poussés dans leurs derniers retranchements». Omar Sy y campe le personnage principal. Sorte de pendant au rôle tenu dans les deux films précédents par Chris Hemsworth. Tyler Rake (campé par le dieu vivant nordique de Marvel, Chris « Thor » Hemsworth) mettait en scène les opérations d'exfiltration d'un ancien des forces spéciales australiennes, grand gaillard, devenu mercenaire pour fuir un passé douloureux. Une intrigue de castagne, à laquelle s'ajoute une volonté inédite des scénaristes de creuser les trajectoires de leurs héros. La série veut conserver le même parti. Glen Mazzara, auquel on doit l'étonnante The Shield (sur les ripoux de la police de Los Angeles) et une trentaine d'épisodes de The Walking Dead, notamment, est créateur, adaptateur, coproducteur et showrunner du programme. Joe Russo, scénariste des films Tyler Rake, écrit les épisodes en collaboration avec l'auteur Ande Parks. Outre Omar Sy, Boyd Holbrook (Sandman) vient de rejoindre le casting.


Le Parisien
2 hours ago
- Le Parisien
Une guitare d'Eddie Van Halen estimée entre 2 et 3 millions de dollars bientôt aux enchères
De quoi électriser tous les fans du mythique groupe de hard rock et faire rêver les collectionneurs… Cinq ans après la mort d'Eddie Van Halen, l'une des guitares les plus emblématiques du virtuose sera mise aux enchères fin octobre à New York par la maison de vente Sotheby's. Elle est depuis peu exposée à Monterey (Californie) en attendant de passer sous le marteau. Tout de rouge vêtu, zébré de blanc et de noir, le « monstre » est une Kramer de 1982, qui ressemble à la « Frankenstrat » de Van Halen datant de 1975, et reprend le même design. Elle a accompagné le musicien sur scène de 1982 à 1983, lors des tournées qui, à l'époque, ont soigneusement évité la France. Beaucoup copiée Elle est aussi restée célèbre pour être la vedette d'une publicité télévisée de la marque de guitare Kramer. « Cette guitare est l'un des instruments les plus identifiables d'Eddie Van Halen, encourageant les copies d'autres fabricants et inspirant des générations de fans à concevoir leurs propres instruments », commente Sotheby's dans le communiqué annonçant la vente. L'instrument a également une histoire dont il porte la trace. Après de nombreux concerts, Eddie Van Halen l'a offert à son technicien de guitare, Robin Leiren, avec une dédicace au feutre noir : « Rude - Its Been a Great Ten Years - Lets Do Another Ten » (« C'était dix années formidables – Repartons pour dix autres »). Quelque temps plus tard, ce dernier l'a revendu à Mick Mars, guitariste de groupe Mötley Crüe, qui l'a notamment utilisée sur l'album « Dr Feelgood » (1989). Le propriétaire actuel, comme souvent lors des ventes aux enchères, a préféré rester anonyme.


Le Figaro
7 hours ago
- Le Figaro
Alerte aux pickles : Pamela Anderson lance sa marque de cornichons à des prix vertigineux
L'icône des années 1990 lance sa marque de cornichons aux saveurs saugrenues et au prix faramineux, en collaboration avec la marque de lifestyle américaine Flamingo Estate. Personne n'aurait pu le prédire. Ce mardi 13 août, la marque de lifestyle américaine spécialisée dans les produits haut de gamme, Flamingo Estate, a levé le voile sur sa dernière actualité : des cornichons signés Pamela Anderson, baptisés Pamela's Pickles. Des condiments épicés disponibles en édition limitée, assaisonnés de rose, d'aneth, de moutarde, de piment d'Espelette, d'ail, poivre rose, piment guajillo et sel de mer fumé, vendus aux prix vertigineux de 38 U$ le bocal (soit environ 32 euros). «Pour être honnête, il y a six mois, nous ne savions pas grand-chose sur les cornichons, si ce n'est que nous les aimions. Mais dans cette maison, quand Pamela Anderson appelle avec une idée, la réponse est toujours un OUI retentissant», a partagé la marque fondée par Richard Christiansen sur son compte Instagram. À lire aussi George Clooney et sa tequila, Cameron Diaz et son vin… Ces stars qui se sont lancées dans l'alcool ou la food Les cornichons de Pamela Anderson. Capture d'écran Instagram / @flamingo_estate Une tradition familiale Le choix de lancer une gamme de cornichons n'est pas vraiment anodin pour Pamela Anderson : cette recette est en réalité un grand indétrônable de sa table familiale, héritée de sa grand-tante Vie. Pour l'occasion, la vedette d'Alerte à Malibu a fait le choix d'y ajouter sa touche personnelle, en parfumant la recette de famille de roses séchées. De son côté, Flamingo Estate y a incorporé les saveurs emblématiques de la maison : du poivre rose, du piment guajillo, du sel de mer fumé, ainsi que du piment d'Espelette biologique. Désormais disponibles à la vente sur le site de la marque, l'ensemble des bénéfices tirés seront alors reversés à California Wildlife Center, une organisation à but non lucratif dédiée à la réhabilitation des animaux sauvages blessés ou malades, choisie par l'actrice. Publicité Cette tradition familiale, Pamela Anderson l'a déjà revisitée dans son premier livre de cuisine intitulé I Love You by Pamela Anderson, publié le 15 mai 2024. «Un livre de cuisine, rien d'extraordinaire, juste des recettes familiales végétales revisitées, et des moments conviviaux empreints d'une joie simple», écrivait l'actrice sur son compte Instagram, le 3 avril dernier. Bref, le énième projet d'une célébrité qui s'infiltre dans l'univers de la food, à l'image de Meghan Markle, Cameron Diaz ou encore Emma Watson.