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18 morts dans le naufrage d'un bateau dans la baie d'Halong

18 morts dans le naufrage d'un bateau dans la baie d'Halong

La Presse19-07-2025
Un homme se tient sur le bateau qui a chaviré dans la baie d'Halong, le 19 juillet 2025.
18 morts dans le naufrage d'un bateau dans la baie d'Halong
(Hanoï) Au moins 18 personnes sont mortes et des dizaines d'autres sont toujours portées disparues après le naufrage d'un bateau touristique transportant plus de 50 personnes samedi dans la baie d'Halong au Vietnam, ont rapporté des médias d'État.
Agence France-Presse
« Dans l'après-midi du 19 juillet, le bateau touristique Wonder Sea transportant 53 personnes a chaviré. Les gardes-frontières ont secouru 12 personnes et retrouvé 18 corps », a rapporté indiqué le site d'informations VNExpress.
Le navire, avec à son bord 48 passagers et cinq membres d'équipage, a chaviré en raison de soudaines et fortes pluies samedi après-midi, alors qu'il visitait ce site classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, a indiqué le site d'informations Dan Tri.
PHOTO AGENCE FRANCE-PRESSE
Des secouristes près du bateau qui a chaviré.
La baie d'Halong, visitée par des millions de personnes chaque année, est l'une des destinations touristiques les plus populaires du Vietnam, réputée pour ses eaux bleu-vert et ses îles calcaires ornées de forêts tropicales.
En 2024, 30 navires ont coulé dans la province côtière de Quang Ninh, le long de la baie d'Halong, après avoir été atteints par le typhon Yagi.
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Exclues de presque toutes les professions bien rémunérées, les Afghanes se rabattent sur des emplois non qualifiés et mal payés, souvent clandestins. (Kaboul) Le 25 juillet 2024, les talibans ont commencé à fermer tous les salons de beauté et de coiffure d'Afghanistan, considérés comme contraires à la loi islamique. Ces salons étaient un des derniers secteurs permis aux entrepreneuses. Un an après, les possibilités des Afghanes se réduisent comme une peau de chagrin. Rick Noack The Washington Post Pour Simine, 22 ans, chaque nouvelle cliente lui fait craindre d'être arrêtée. Elle demande aux nouvelles venues de se garer à plusieurs rues de chez elle et d'éviter les patrouilles. Ensuite, elles doivent se diriger vers une porte sans enseigne et s'annoncer à voix basse. Simine tient un salon de coiffure et de beauté. Elle faisait de bonnes affaires jusqu'en 2023. Les talibans ont alors interdit tous les salons, accusant leurs propriétaires de « vices interdits par l'islam ». J'ai peur que les talibans nous trouvent, mais je dois continuer. C'est la seule source de revenus de notre famille. Simine, propriétaire d'un salon de beauté Simine n'avait jamais rêvé d'ouvrir un salon de beauté, encore moins un salon clandestin. Au terme de ses études secondaires, en 2020, elle voulait devenir chirurgienne cardiaque. Mais l'armée américaine s'est retirée d'Afghanistan l'année suivante et les talibans ont repris le pouvoir. Le nouveau régime a imposé une ségrégation des sexes extrême : pas d'éducation des filles au-delà de la sixième année ; aucune femme dans la fonction publique ; règles vestimentaires draconiennes et restrictions des déplacements appliquées par la police des mœurs. Au début, les 12 000 salons de beauté du pays – rares lieux publics où les femmes pouvaient encore se réunir – semblaient épargnés. Simine a saisi cette occasion. Les fiancées afghanes, privées de vie sociale, accouraient pour essayer de nouveaux looks avant leur mariage, raconte-t-elle. Simine et sa sœur pouvaient nourrir toute leur famille grâce à leurs revenus, y compris leur père et leur frère au chômage. Contraire à la loi islamique Mais ce secteur florissant a vite suscité l'ire des talibans, qui, à l'été 2023, ont ordonné la fermeture des salons. Le ministère de la Vertu et du Vice a annoncé que l'épilation des sourcils, le maquillage et la pose de mèches étaient « contraire à la charia », ce caprice des mariées étant de surcroît un « fardeau financier indu pour les familles des mariés ». « Nous avions ouvert ce salon avec tant d'espoir et d'amour, dit Simine. Je ne trouve pas les mots pour décrire le choc quand on nous a ordonné de fermer. » PHOTO RAHMAT GUL, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS Une esthéticienne maquillant une cliente dans un salon de beauté à Kaboul, en 2021 Selon Saïf-ul-Islam Khyber, porte-parole du ministère de la Vertu et du Vice, le gouvernement n'a pas prescrit de sanctions précises pour les femmes qui enfreindraient cette décision. Mais selon l'ONU, plusieurs femmes ayant refusé d'obtempérer ont été arrêtées en 2023. Exclues de presque toutes les professions bien rémunérées, les Afghanes se rabattent sur des emplois non qualifiés et mal payés, souvent clandestins. Parmi la quinzaine de femmes interviewées pour cet article, presque toutes ont demandé l'anonymat ou donné seulement leur prénom, de crainte d'être visées par le gouvernement. PHOTO ATIF ARYAN, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE Des femmes afghanes vêtues de burqas vendant du pain naan au marché de Mazar-i-Sharif Dans ce pays marqué par 45 ans de guerre ayant tué ou handicapé tant d'hommes, les femmes sont souvent les seules ou les principales sources de revenus des familles ; beaucoup travaillent dans l'ombre pour de maigres salaires. Sawita, 30 ans, subvient aux besoins de sa mère handicapée et de ses cinq jeunes frères et sœurs. Son père a été tué en 2017 dans un attentat suicide des talibans. Quand ils ont interdit les salons de beauté, Sawita a eu trop peur pour continuer clandestinement. Elle travaille désormais le cuir et enseigne la maroquinerie et la cordonnerie à d'autres femmes dans un sous-sol à Kaboul. Mais son salaire est si maigre que sa famille a dû déménager dans un petit logement à une seule chambre. Même aujourd'hui, son estomac se noue quand elle aperçoit la police des mœurs dans les rues. Et elle rêve de rouvrir son salon : « C'était ma définition de la liberté. » Séparation des sexes Les talibans n'ont pas caché leur intention d'empêcher les femmes de travailler. Dans une entrevue à la télévision afghane en 2023, le vice-ministre du Travail, Din Mohammad Haqbin, a déclaré que « 95 % des Afghans ne veulent pas que leurs femmes travaillent », accusant les 5 % restants d'avoir subi un lavage de cerveau par l'Occident. Depuis, le régime a nuancé sa position, autorisant le travail des femmes sans adoucir sa politique de séparation des sexes. Elles peuvent travailler dans « leurs secteurs spécifiquement réservés », affirme Samiullah Ibrahimi, porte-parole du ministère du Travail. Les talibans ont permis l'ouverture de marchés non mixtes où les femmes peuvent vendre vêtements, poterie et autres produits. Les femmes sont encouragées à travailler dans les écoles pour filles, les hôpitaux pour femmes et les prisons pour femmes. PHOTO CAROLYN VAN HOUTEN, ARCHIVES THE WASHINGTON POST Deux femmes discutant dans un marché réservé aux femmes à Ishkashim, dans la province de Badakhchan, en 2024 « Un environnement de travail sûr a été mis en place pour les femmes », dit M. Ibrahimi. Certaines femmes disent trouver leur place dans le nouvel ordre, comme Fariba Noori, une entrepreneuse de 50 ans qui aide les Afghanes à créer des étals sur les marchés ou à lancer leur entreprise. Elle dit ne pas subir d'ingérence de la part des talibans : « Ils nous disent de travailler et ils sont coopératifs. » Or, de nombreuses femmes, surtout celles qui ont grandi sous l'ancien régime soutenu par l'Occident, se disent opprimées. « J'ai arrêté de postuler à des emplois », déplore une ancienne employée de la Banque mondiale sans travail depuis le retour des talibans. « C'est sans espoir ici. » Là où les femmes peuvent travailler, elles se heurtent à de sérieuses entraves. Elles ne peuvent se déplacer dans le pays sans un tuteur masculin. Et les règles de la police des mœurs semblent souvent vagues et arbitraires, disent-elles. De nombreuses entreprises préfèrent ne pas en engager. L'été dernier, la police s'est rendue dans une station de radio dans la province de Parwân. Une employée de 24 ans, prévenue par ses collègues, s'est cachée. Rentrée chez elle, elle a décidé de démissionner. Chaque matin, elle regarde ses courriels, espérant une invitation à une entrevue d'embauche ailleurs : « J'espère que ma prière sera exaucée », dit-elle. Un horizon bouché Certaines femmes se lancent dans le commerce en ligne. Beheshta, 23 ans, a commencé à vendre des cosmétiques et des bijoux en octobre 2023. Ses amies et d'autres femmes ont aimé l'idée. Certaines l'ont contactée pour lui demander conseil sur le commerce en ligne. PHOTO CAROLYN VAN HOUTEN, ARCHIVES THE WASHINGTON POST Une femme passant devant un salon de barbier pour hommes à Kaboul Mais dans ce pays en délabrement économique, les petits commerces lancés par des femmes en arrachent. L'aide étrangère se tarit – l'administration Trump a mis la hache dans l'aide humanitaire et économique américaine – et beaucoup craignent une crise prolongée. Beheshta signale que sa clientèle commence à se plaindre des prix. Cela n'arrivait pas auparavant. Son chiffre d'affaires est en baisse d'environ 20 % depuis six mois. « Au début, je pensais que c'était ma faute. Puis j'ai compris que tout le monde vivait les mêmes difficultés. » Selon Noori, la conseillère commerciale, des dizaines de demandes de financement international d'entreprises lancées par des femmes ont été rejetées ces derniers mois. « Tout ce qu'on veut, c'est outiller les femmes pour leur indépendance », dit-elle. Pour Simine, ce but s'éloigne à vue d'œil. 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Les largages d'aide reprennent
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Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos (Gaza) Les largages d'aide ont repris dimanche sur la bande de Gaza assiégée, où la malnutrition a atteint des « niveaux alarmants » selon l'ONU, après l'annonce israélienne d'une pause des combats à des fins humanitaires dans certains secteurs. par l'équipe de l'AFP dans la bande de Gaza, avec Chloe ROUVEYROLLES-BAZIRE à Jérusalem Agence France-Presse Les premiers camions chargés d'aide ont également traversé dimanche la frontière depuis l'Égypte vers le point de passage israélien de Kerem Shalom, distant de quelques kilomètres, pour y être inspectés avant d'entrer dans la bande de Gaza. Des images de l'AFP montrent une file de camions chargés de sacs blancs traversant, du côté égyptien, l'entrée du terminal de Rafah où le poste-frontière du côté palestinien est fermé depuis plus d'un an. PHOTO SOCIÉTÉ DU CROISSANT-ROUGE ÉGYPTIEN, FOURNIE PAR REUTERS Des camions transportent de l'aide humanitaire à destination de la bande de Gaza, au poste-frontière de Rafah, en Égypte, le 27 juillet 2025. Depuis les airs, trois avions jordaniens et émirati ont largué 25 tonnes d'aide sur le territoire palestinien affamé. L'armée israélienne a elle aussi annoncé avoir parachuté de l'aide, après des semaines de pression internationale pour permettre l'arrivée de vivres pour la population du territoire ravagé par la guerre, déclenchée par l'attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas le 7 octobre 2023. « La faim est impitoyable » « Des avions israéliens ont largué sept caisses de vivres […] dans le nord-ouest de la ville de Gaza. Des dizaines de personnes se sont précipitées pour les récupérer, on dirait une guerre. Tout le monde essayait d'attraper tout ce qu'il pouvait », témoigne Samih Humaid, 23 ans, qui dit être rentré avec « seulement trois boîtes de fèves ». « La faim est impitoyable », ajoute-t-il. De précédents parachutages, menés en 2024 par plusieurs pays, avaient été jugés dangereux et de portée limitée par nombre d'ONG. « Nous avons entendu aux informations que des camions transportant de la farine et de la nourriture allaient entrer à Gaza. Nous espérons que s'ils entrent, ils parviendront jusqu'à nous », raconte à l'AFP Souad Ishtaywi, une femme de 30 ans qui vit sous une tente dans le nord de Gaza. Israël, qui assiège la bande de Gaza depuis le début de la guerre, avait imposé début mars un blocus hermétique au territoire, très partiellement assoupli fin mai, qui a entraîné de très graves pénuries. L'ONU et des ONG s'alarment d'une flambée de la malnutrition infantile et d'un risque de famine généralisée parmi ses plus de deux millions d'habitants. Les taux de malnutrition dans la bande de Gaza atteignent « des niveaux alarmants », a prévenu dimanche l'Organisation mondiale de la santé (OMS), estimant que le « blocage délibéré » de l'aide humanitaire avait coûté la vie à de nombreux habitants. À Beit Lahia, dans le nord de Gaza, des images de l'AFP montrent des foules de Palestiniens marchant dimanche dans le sable au milieu des ruines, portant sur le dos des sacs de farine qu'ils venaient de récupérer au poste-frontière de Zikim. PHOTO DAWOUD ABU ALKAS, REUTERS Des Palestiniens transportent des sacs d'aide entrés à Gaza, le 27 juillet 2025 à Beit Lahia. « Plus d'excuses » La Jordanie avait annoncé l'envoi de 60 camions transportant 962 tonnes de denrées alimentaires vers ce point de passage. Israël a annoncé qu'une « pause tactique » serait observée quotidiennement de 10 h à 20 h, pour permettre la distribution de l'aide dans les zones de Deir-el-Balah (Centre), Al-Mawassi (Sud) et la ville de Gaza (Nord), selon l'armée. 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La guerre a été déclenchée par une attaque sans précédent menée par le mouvement islamiste Hamas en Israël le 7 octobre 2023, qui a entraîné du côté israélien la mort de 1219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles. En riposte à l'attaque, Israël a lancé une offensive qui a fait au moins 59 821 morts à Gaza, en majorité des civils, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.

Le déraillement d'un train fait au moins trois morts et plusieurs blessés
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Des secouristes recherchent des passagers dans un train déraillé près de Riedlingen, en Allemagne, le 27 juillet 2025. (Francfort) Le déraillement d'un train de voyageurs dans le sud-ouest de l'Allemagne dimanche soir a fait au moins trois morts et plusieurs blessés, selon le dernier bilan communiqué par la police fédérale à l'AFP. Agence France-Presse Une centaine de passagers se trouvaient à bord du train lors de l'accident qui s'est produit vers 18 h 10 (12 h 10, heure de l'Est) près de Riedlingen, dans le Bade-Wurtemberg, a déclaré un porte-parole de la police de Stuttgart, précisant qu'une enquête était en cours pour en déterminer les causes. Un important dispositif de secours a été déployé sur les lieux, a-t-il, sans donner de précisions sur la gravité des blessures. PHOTO THOMAS WARNACK, AGENCE FRANCE-PRESSE Des secouristes travaillent sur le site d'un train déraillé près de Riedlingen, en Allemagne, le 27 juillet 2025. Des images prises sur les lieux de l'accident montrent des secouristes s'employant à dégager les voitures du train, dans une zone boisée. D'après le quotidien Bild, les autorités ont dû parcourir une longue distance pour y parvenir. Les transports allemands sont régulièrement pointés du doigt par les passagers en raison du retard des trains et de la vétusté des infrastructures. Le gouvernement du chancelier conservateur Friedrich Merz s'est engagé à investir plusieurs centaines de milliards d'euros au cours des prochaines années, notamment pour moderniser les infrastructures.

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