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Les rues secrètes de Paris : la Cité florale « c'est juste magique »

Les rues secrètes de Paris : la Cité florale « c'est juste magique »

Le Parisien6 days ago
Ce sont
de petites rues insolites
, discrètes, secrètes, très souvent pavées et fleuries avec de jolies maisons, quelques ateliers… Des endroits que l'on peut considérer hors du temps, hors de la capitale, où les transactions immobilières sont rares. Le Parisien part à la découverte de ces ruelles qui parfois font rêver.
« Ça fait vingt-cinq ans que j'habite dans
le XIVe arrondissement
, pas loin d'ici, et je ne connaissais pas cet endroit. C'est incroyable ! » Nombreux sont les Parisiens, comme cette promeneuse, à ne pas connaître la Cité florale, dans
le XIIIe arrondissement
de
Paris
.
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Réservé aux abonnés ANALYSE BOURSE - L'un des Sept Magnifiques américains vient d'entrer au tour de table d'un grand nom du CAC 40. C'est incontestablement une bonne nouvelle pour les actionnaires, mais il ne faut pas en exagérer la portée. Au creux de l'été, les lunettes connectées à verres teintés d'EssilorLuxottica ont fait parler d'elles à la Bourse de Paris. C'était effectivement un événement : pour la première fois de l'histoire de la Bourse parisienne, un géant technologique américain, Meta Platforms précédemment connu sous le nom de Facebook, a mis un pied au capital d'un membre du CAC 40. Une nouvelle que l'action parisienne a salué d'une hausse de l'ordre de 5% mercredi 9 juillet. À découvrir Suivez Le Figaro Bourse sur WhatsApp Trois milliards de dollars pour environ 3% Que sait-on exactement ? Selon les agences de presse Reuters et Bloomberg, Meta aurait acheté pour «environ trois milliards d'euros» d'actions du géant intégré de l'optique EssilorLuxottica. Ce qui au cours de clôture de la veille de ces informations (239,40€, à comparer avec le record de 298€ de février dernier) représenterait 12,5 millions de titres, soit près de 2,7 % du capital. Bloomberg ajoute que cela ne serait qu'un début et que Meta aurait l'intention, de monter, à terme, «jusqu'à environ 5 % ». Les deux groupes se connaissent…

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Le nombre de Livrets d'épargne populaire (LEP), placement d'épargne réservé aux ménages modestes, est en baisse depuis le début de l'année, indique ce jeudi 17 juillet la Banque de France, qui appelle les banques à en faire davantage pour en doter leurs clients éligibles. «Il faut (...) que les banques au maximum appellent l'attention de leurs clients sur l'intérêt du Livret d'épargne populaire», a affirmé le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau à l'occasion de la sortie du rapport annuel de l'épargne réglementée. Après avoir augmenté d'un million l'an dernier, le nombre de titulaires de LEP a diminué entre janvier et avril pour s'installer sous la barre des 12 millions, à 11,8 millions. «Cette baisse n'augure pas du tout d'une inversion de tendance», a souligné François Villeroy de Galhau, qui table sur 12,2 millions de LEP à la fin de l'année, cependant en dessous de l'objectif qu'il s'était lui-même fixé à 12,5 millions de livrets à l'été 2024. Après un pic à 82,8 milliards d'euros atteint à la fin de mois de mars, l'encours sur les LEP décroît depuis deux mois consécutifs, pour atteindre 79,6 milliards d'euros, selon les dernières données publiées par la Caisse des dépôts (CDC). Publicité Les banques frileuses Ce volume reste loin des plus de 19 millions de ménages identifiés par la Banque de France comme clients potentiels, en raison notamment leur capacité d'épargne, et encore plus loin des 31 millions de personnes éligibles, selon la même source. L'ouverture d'un LEP se fait sous conditions de revenus : il ne faut par exemple pas excéder 22.823 euros de revenu net fiscal en 2023 pour une personne seule, davantage à mesure que le nombre de parts de quotient familial augmente. D'eux-mêmes, les établissements bancaires ne participent que timidement à l'essor du LEP. Le produit est loin d'être en tête de gondole des agences ou des sites internet des établissements bancaires. Gratuit, défiscalisé et liquide, le LEP est pourtant aujourd'hui le produit d'épargne garanti le mieux rémunéré, même si son taux a été plus que divisé par deux en l'espace de 18 mois, passant de 6% en début d'année dernière à 2,7% au 1er août, parallèlement au repli de l'inflation. Le ministère de l'Économie s'est engagé à faire envoyer un courriel d'information, via le service des impôts, aux personnes éligibles, une initiative saluée par la Banque de France.

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