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Hadrien à Rome : sur les traces d'un empereur esthète et bâtisseur

Hadrien à Rome : sur les traces d'un empereur esthète et bâtisseur

Le Figaro5 days ago
GRAND RÉCIT - Du Panthéon à sa villa de Tivoli, les constructions laissées par Hadrien sont invariablement des manifestations du pouvoir impérial où pointe cependant l'expression d'un goût personnel.
Cet article est extrait du Figaro Hors-Série « Rome antique, la Légende des siècles ». Retrouvez l'histoire de cette Ville qui se crut éternelle, et nous laissa la beauté en héritage, en un numéro de 164 pages.
« Rome antique, la Légende des siècles. »
Le Figaro Hors-Série
On cherche en vain son nom au fronton des monuments de Rome ou dans les appellations des guides touristiques. Les forums impériaux portent ceux de César, Auguste, Nerva et Trajan. Les arcs de triomphe font défiler Titus, Septime Sévère ou Constantin. Pis : le fameux Panthéon arbore en lettres de bronze le nom d'Agrippa alors que c'est lui qui l'inaugura en 125 sous son aspect actuel. Et tandis que le mausolée d'Auguste désigne explicitement l'empereur pour qui il fut bâti, le sien disparaît derrière l'appellation de château Saint-Ange… Hormis le péristyle du temple que lui dédia après sa mort Antonin le Pieux sur la piazza di Pietra, il semble qu'Hadrien ne soit nulle part à Rome et partout à Tivoli, où sa villa accueille chaque jour des centaines de visiteurs.
Les sources…
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Loi Duplomb : une pétition citoyenne qui prône l'abrogation du texte bat des records sur le site de l'Assemblée nationale
Loi Duplomb : une pétition citoyenne qui prône l'abrogation du texte bat des records sur le site de l'Assemblée nationale

Le Figaro

timea minute ago

  • Le Figaro

Loi Duplomb : une pétition citoyenne qui prône l'abrogation du texte bat des records sur le site de l'Assemblée nationale

La pétition citoyenne lancée pour l'abrogation immédiate de la loi Duplomb a rassemblé près de 200.000 signatures en huit jours sur le site de l'Assemblée nationale. Une pétition citoyenne pour l'abrogation immédiate de la loi Duplomb et sa mesure très contestée de réintroduction d'un pesticide bat des records sur le site de l'Assemblée nationale, rassemblant près de 200.000 signatures en huit jours. La pétition a été lancée le 10 juillet et a récolté vendredi à 13 heures 187.608 signatures, dont 100.000 ces trois derniers jours. Elle réclame l'«abrogation immédiate» de la loi, «la révision démocratique des conditions dans lesquelles elle a été adoptée», ainsi que «la consultation citoyenne des acteurs de la santé, de l'agriculture, de l'écologie et du droit». Publicité La Conférence des présidents de l'Assemblée nationale peut décider d'organiser un débat en séance publique si elle recueille au moins 500.000 signatures. Une loi considérée comme une «aberration» et un «acte dangereux» «La Loi Duplomb est une aberration scientifique, éthique, environnementale et sanitaire. Elle représente une attaque frontale contre la santé publique, la biodiversité, la cohérence des politiques climatiques, la sécurité alimentaire, et le bon sens», écrit Eléonore Pattery, étudiante de 23 ans à l'origine de la pétition. «Cette loi est un acte dangereux. Pour les travailleurs, les habitants, les écosystèmes, les services écosystémiques, et pour l'humanité tout entière», ajoute-t-elle. «Je ne suis affiliée à aucun parti», précise-t-elle sur son compte LinkedIn. Adoptée le 8 juillet au Parlement, la loi Duplomb prévoit notamment la réintroduction à titre dérogatoire et sous conditions de l'acétamipride, pesticide de la famille des néonicotinoïdes, interdit en France mais autorisé en Europe. Les députés de gauche ont saisi le 11 juillet le Conseil constitutionnel estimant ce texte incompatible avec la préservation de l'environnement et le droit à la santé.

Dans l'affaire Hedi, le rapport implacable de l'IGPN contre les policiers
Dans l'affaire Hedi, le rapport implacable de l'IGPN contre les policiers

Le HuffPost France

timea minute ago

  • Le HuffPost France

Dans l'affaire Hedi, le rapport implacable de l'IGPN contre les policiers

POLICE - Deux ans après l'affaire Hedi, l'enquête se poursuit et met en cause les policiers de la BAC impliqués dans ce dossier. Selon des révélations de Mediapart et Marsactu mercredi 16 juillet, l'IGPN a rendu le 13 février son rapport sur ce dossier. L'inspection générale de la police nationale y réclame un conseil de discipline contre les quatre policiers mis en examen pour violences aggravées, mais aussi pour leur cheffe, Virginie G.. Dans ce rapport de 200 pages, il est pointé du doigt un « usage disproportionné » de la force sur le jeune homme dans la nuit du 1er au 2 juillet 2023 à Marseille, « qui ne représentait aucune menace immédiate ». Quant à Virginie G., qui avait assuré ne pas avoir été témoin de la scène, elle a commis une « faute disciplinaire » en n'empêchant pas ses agents de se déchaîner sur le jeune homme. Selon l'IGPN, la cheffe a bien assisté à cet épisode de violence. Gravement blessé à la tête par un tir de LBD lors des nuits d'émeutes qui ont suivi la mort du jeune Nahel à Nanterre, Hedi avait accusé la police de l'avoir visé et roué de coups. Les policiers interrogés avaient pourtant minimisé les faits, à l'exception de l'un d'entre eux. Puis des images dévoilées par Mediapart en octobre 2023 sont venues renforcer le témoignage accablant du jeune homme défiguré. « Une faute disciplinaire » Victime d'un trauma crânien, le jeune homme de 21 ans à l'époque des faits a passé une semaine en réanimation, puis deux dans un service de neurochirurgie. Après deux opérations, les médecins lui ont retiré un morceau de crâne. « Des fois, je me dis que je vais me réveiller, mais en fait je me réveille toujours avec la tête déformée, avec ces migraines, avec cet œil flou », avait-il confié à Konbini quelques semaines après les faits. « Je me suis regardé une fois à l'hôpital par curiosité mais c'était trop, quand tu vois que ton crâne il est plus comme avant, c'est super dur à supporter », ajoutait Hedi, qui indiquait se déplacer et s'exprimer plus lentement qu'auparavant. Contactés ce jeudi par BFMTV, les avocats de Hedi se sont dits « satisfaits » des conclusions de ce rapport. « Ce rapport nous conforte dans notre idée et ne fait que confirmer ce que l'on avance depuis plusieurs mois, à savoir que la commandante de police a assisté aux violences commises par ses subordonnés et qu'elle s'est abstenue d'intervenir et d'y mettre un terme en dépit de son pouvoir hiérarchique », réagit Me Mehdi Khezami auprès de la chaîne. « Cette abstention constitue une faute disciplinaire selon l'enquête administrative. » L'avocat considère également « que le comportement de la commandante caractérise, également, plusieurs infractions pénales et qu'il existe, à ce stade de la procédure, des indices graves ou concordants justifiant sa mise en examen ». Tir de LBD, agression et coups répétés En octobre dernier, les images révélées par Mediapart ont permis d'éclairer sur le déroulé des faits. On pouvait le voir recevoir à une distance de 5 à 8 mètres un tir de LBD de dos, dont le projectile atteindra finalement la tête du jeune homm e, ce qui est formellement interdit. Après être tombé, avoir été ramassé puis balayé au sol par les agents, il a été roué de coups de pied et de poings, défiguré, avant d'être relâché. Ce sont ces images qui avaient conduit à la mise en examen des quatre agents et au placement en détention provisoire pendant 40 jours de l'auteur du tir de LBD qui a touché Hedi. Ce policier avait finalement été libéré le 1er septembre 2023.

Belgique : un bébé de 15 mois meurt, oublié dans une voiture
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Le Figaro

time31 minutes ago

  • Le Figaro

Belgique : un bébé de 15 mois meurt, oublié dans une voiture

Un nourrisson âgé de 15 mois a été retrouvé mort à l'intérieur d'une voiture jeudi après-midi, à Namur, dans le sud de la Belgique. Un bébé de 15 mois a été retrouvé mort ce jeudi 17 juillet dans l'après-midi à Namur, en Belgique, à l'intérieur d'une voiture dans laquelle il avait été oublié, selon les premiers éléments de l'enquête annoncée vendredi par la justice. Le médecin légiste qui a examiné le corps a conclu à «un décès lié à une hyperthermie», «sans intervention d'un tiers», a précisé le parquet de Namur dans un communiqué. Une enquête a été ouverte pour «homicide involontaire» pour déterminer les circonstances exactes des faits. À lire aussi Loiret: un bébé retrouvé mort dans une voiture après avoir été oublié Publicité D'après la presse locale, le père a oublié le détour par la crèche avant de se rendre à son travail, et l'enfant serait resté plusieurs heures dans la voiture sur le parking de sa société. Des informations que le parquet a refusé de commenter, indiquant simplement que «l'enfant serait resté dans le véhicule à la suite d'un oubli, selon les premiers éléments de l'enquête». Il faisait un temps estival jeudi en Belgique, avec des températures de saison oscillant autour de 25°C l'après-midi.

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