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Le Figaro
20 minutes ago
- Le Figaro
Pourquoi l'été donne des sueurs froides aux investisseurs et boursicoteurs ?
Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Volatilité, faible liquidité, effets psychologiques : chaque été, les places boursières traversent des turbulences inhabituelles qui plombent leurs résultats. Après la pluie le beau temps… jusqu'à la prochaine averse. Et comme ça tout l'été ! C'est l'enseignement que l'on peut tirer de la dernière séquence boursière : vendredi 1er août, le CAC 40 plongeait de 2,91 %, après l'annonce d'une hausse du taux de chômage en juillet aux États-Unis ; ce lundi, l'indice parisien regagnait 1,14 % dans l'espoir d'une baisse des taux de la Réserve fédérale américaine. «Que ce soit pour le CAC 40 ou pour le S&P 500, l'indice phare américain, août et septembre sont historiquement les mois les plus volatiles et les moins performants de l'année», constate John Plassard, responsable de la stratégie d'investissement chez Cité Gestion Private Bank. Depuis 1945, en effet, le S&P 500 affiche une variation moyenne de -0,07 en août, et de –0,73 % en septembre, selon les données de CFRA Research citées par Reuters. L'été est-il vraiment la saison horribilis des marchés boursiers ? La «malédiction estivale» est en tout cas une tendance lourde qui se répète…


Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
Incendies : quel coût pour les assurances en France ?
Les incendies font flamber la note des assureurs depuis plusieurs années. Avec le réchauffement climatique et la multiplication des fortes sécheresses, le coût de ces feux violents plombe de plus en plus les comptes du secteur de l'assurance dans le monde. Selon le géant Swiss Re — qui fait office d'assureur pour les assureurs — les dégâts couverts par les compagnies d'assurances se sont élevés à 80 milliards de dollars (68,8 milliards d'euros) sur les six premiers mois de 2025, contre 62 milliards de dollars (53,3 milliards d'euros) au premier semestre 2024. La raison de cette hausse mondiale brutale ? Les incendies de Los Angeles qui représentent à eux seuls 40 milliards de dollars (34,4 milliards d'euros) de pertes. En France, alors qu'un gigantesque incendie a déjà décimé plus de 15 000 ha de végétation dans l'Aude depuis 24 heures, le coût des feux grimpe également. Selon France Assureurs, les indemnisations des incendies ont augmenté de 47 % en 20 ans du fait de l'évolution de la fréquence et du coût moyen des sinistres. Près de 80 % des forêts françaises non assurées Mais ce ne sont pas les plus gros feux qui brûlent forcément les caisses des assureurs. « Les incendies très importants qui ravagent des milliers d'hectares de forêt ne coûtent pas vraiment cher aux assurances, analyse Olivier Moustacakis, le cofondateur du comparateur Assurland. Près de 80 % des forêts françaises appartiennent à des particuliers qui bien souvent n'assurent pas leur parcelle contre les incendies. Lorsqu'il y a eu des feux spectaculaires dans les Landes en 2022, la facture n'a pas été énorme car il s'agissait principalement de végétation non assurée. » Ce qui fait flamber la note, ce sont les habitations ravagées par les flammes et les biens qu'elles contiennent. À Los Angeles par exemple, l'incendie a détruit des zones très peuplées avec, notamment, des villas contenant des actifs de grande valeur qui étaient assurés. À Marseille (Bouches-du-Rhône), début juillet, une trentaine de maisons ont été calcinées. Si les assureurs ne disposent pas encore d'un bilan chiffré concernant les indemnisations des particuliers, la note pourrait être assez salée.


Le Figaro
9 hours ago
- Le Figaro
Wall Street portée par Apple, les nouveaux droits de douane en ligne de mire
Par Le Figaro avec AFP Par Le Figaro avec AFP La Bourse de New York a terminé en hausse mercredi, profitant de l'engouement pour Apple après l'annonce d'un investissement massif aux États-Unis, à la veille de l'entrée en vigueur d'une nouvelle vagues de surtaxes américaines. Le Dow Jones a pris 0,18%, l'indice Nasdaq 1,21% et l'indice élargi S&P 500 a gagné 0,73%.