logo
« On sait qu'on sera attendu partout » : comment le nouveau Créteil de Xavier Niel prépare ses premiers défis

« On sait qu'on sera attendu partout » : comment le nouveau Créteil de Xavier Niel prépare ses premiers défis

Le Parisien6 days ago
À Créteil, le changement est visible partout, du sol au plafond. Déjà, dans les vestiaires du stade Duvauchelle, où les bureaux des coachs et des kinés ont changé de place. Une modification symbolique mais qui témoigne d'une volonté de repartir sur d'autres bases.
Un vent nouveau souffle sur le club, plongé depuis
sa descente en National 2
(2022) dans une certaine torpeur, juste secouée par quelques éclats comme
la grève des joueurs au mois de janvier.
Mais
le rachat par Xavier Niel
, l'une des dix plus grosses fortunes françaises et enfant de la ville, a réveillé cette place forte du football francilien endormie.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Acclamation, larmes, but, blessure : le retour remarqué d'Angel Di Maria à Rosario Central
Acclamation, larmes, but, blessure : le retour remarqué d'Angel Di Maria à Rosario Central

L'Équipe

time2 hours ago

  • L'Équipe

Acclamation, larmes, but, blessure : le retour remarqué d'Angel Di Maria à Rosario Central

Angel Di Maria, qui disputait samedi son premier match sous les couleurs de Rosario depuis son départ du Benfica cet été, a profité d'un vibrant hommage avant la rencontre et inscrit un but sur penalty lors du premier match de la saison, avant de sortir sur blessure en toute fin de match. Angel Di Maria a effectué un retour remarqué en Argentine, à Rosario Central, son club formateur. Accueilli chaleureusement par le public rosarino, l'ancien attaquant du PSG, aujourd'hui âgé de 37 ans, très ému au moment d'arriver sur la pelouse, s'est illustré dès son premier match de la saison en Championnat argentin. Aligné d'entrée face à Godoy Cruz, Di Maria a rapidement rappelé l'étendue de son talent. Alors que Rosario Central dominait sans concrétiser, il a transformé avec sang-froid un penalty du pied gauche, offrant ainsi l'ouverture du score à son équipe. Une réalisation chargée d'émotions pour l'Argentin, qui n'avait plus évolué dans son Championnat national depuis son départ pour l'Europe et le Benfica en 2007. Une sortie sur civière à la 89e Déjà buteur lors de son dernier match avec Benfica en Coupe du monde des clubs, contre Chelsea - défaite 4-1 en prolongations - Di Maria poursuit sur sa lancée. Sa joie après le but, manifestée en enlevant son maillot, lui a toutefois valu un carton jaune. La soirée n'a cependant pas été parfaite pour Rosario puisqu'Angel Di Maria est sorti, en larmes, sur civière à quelques minutes du terme (89e). En toute fin de rencontre, Godoy Cruz a arraché l'égalisation à la 90e + 5, gâchant la fête pour « El Fideo » et son club formateur.

Sûr de sa force, le PSG devrait s'avancer avec le même onze dimanche pour la finale de la Coupe du monde des clubs face à Chelsea
Sûr de sa force, le PSG devrait s'avancer avec le même onze dimanche pour la finale de la Coupe du monde des clubs face à Chelsea

L'Équipe

time2 hours ago

  • L'Équipe

Sûr de sa force, le PSG devrait s'avancer avec le même onze dimanche pour la finale de la Coupe du monde des clubs face à Chelsea

L'équipe alignée dimanche soir par Luis Enrique pour affronter Chelsea en finale de la Coupe du monde des clubs (21 heures) ne devrait pas changer par rapport à celle qui a éliminé le Real Madrid en demi-finales, mercredi. À deux jours près, la saison 2024-2025 du Paris-Saint-Germain aura duré un an. Débutée le 15 juillet dernier avec la reprise de l'entraînement au Campus PSG, elle va s'achever tout à l'heure, autour de 17 ou 18 heures à New York (23 heures ou minuit en France), à l'issue de la finale de la Coupe du monde des clubs. Après la victoire en Ligue des champions (5-0 en finale face à l'Inter Milan, le 31 mai), un nouveau titre viendrait parachever un bilan exceptionnel pour les Parisiens. « Je pense que l'on est conscient de l'importance de ce match. On sait qu'il s'agit d'une opportunité en or pour nous, c'est une compétition qui n'a lieu que tous les quatre ans. Depuis le premier jour ici, le coach nous le dit : dans quatre ans, on ne sait pas où l'on sera ni si on pourra à nouveau y participer, a insisté le capitaine Marquinhos, vendredi. On s'est mis ça en tête depuis le premier jour. Maintenant qu'on est arrivés jusque-là, cette finale a une valeur importante. Ce serait une saison parfaite, très dure à reproduire. Cela nous tient à coeur de remporter ce titre. » La seule incertitude concerne Barcola Les Parisiens se sont entraînés une dernière fois à l'université Rutgers samedi matin. Aucun bobo n'a été officiellement communiqué. Pour cette dernière danse de la saison, Luis Enrique devrait reconduire le onze qui a largement dominé le Real Madrid mercredi, en demi-finales (4-0). S'il doit y avoir une incertitude, elle porte sur Bradley Barcola. Remplaçant il y a quatre jours, l'ancien Lyonnais devrait l'être à nouveau aujourd'hui ; sinon, il sera probablement en balance avec Désiré Doué. Outre les deux suspendus Willian Pacho et Lucas Hernandez, déjà partis en vacances, seul Presnel Kimpembe manque à l'appel. Le défenseur, victime d'un coup au début du séjour à Atlanta, suit un programme spécifique. Ousmane Dembélé, de retour comme titulaire mercredi et très précieux dans le succès de son équipe, sera aligné au coup d'envoi, sauf pépin d'ici-là.

Comment Luis Enrique a vécu cette Coupe du monde des clubs avec le PSG
Comment Luis Enrique a vécu cette Coupe du monde des clubs avec le PSG

L'Équipe

time2 hours ago

  • L'Équipe

Comment Luis Enrique a vécu cette Coupe du monde des clubs avec le PSG

Plus serein mais toujours aussi compétitif : l'entraîneur parisien traverse l'épreuve avec son état d'esprit habituel. Même lors de ces cinq semaines outre-Atlantique, ses méthodes n'ont guère changé. De la Californie au New Jersey, la scène s'est répétée à l'issue de chaque entraînement, encouragée par les températures tropicales. Torse et pieds nus, muscles luisants, casquette vissée sur la tête, Luis Enrique fait des va-et-vient le long des pelouses sur lesquelles ses joueurs terminent leurs exercices par une session de frappes au but. Pour un peu, l'entraîneur du PSG donnerait l'impression d'être un vacancier venu faire sa marche digestive sous le soleil américain. Le même cérémonial se déroule pourtant tout au long de la saison au Campus de Poissy. Le technicien espagnol est un adepte du earthing-grounding, une pratique visant à se reconnecter à la terre, comme il l'avait détaillé dans son documentaire : « Ça fait plus d'un an que je fais ça. J'avais des allergies chaque printemps, ça m'empêchait de faire du vélo. Depuis que je m'y suis mis, ç'a disparu. J'adore la connexion avec la nature. » Luis Enrique est tout sauf en vacances aux États-Unis. « Vous croyez qu'il leur a dit quoi aux joueurs depuis le début du tournoi ?, glisse un membre du club. Même s'il a évoqué la saison longue, la fatigue, les conditions de jeu spéciales, son objectif est clairement de remporter le titre ici. » Pour ce faire, la méthodologie en vigueur à Poissy a été transposée de l'autre côté de l'Atlantique, avec ses petits rituels, ses marottes. L'idée est de reproduire des conditions de travail similaires pour engendrer les mêmes effets. Cela va de la location d'une plateforme élévatrice pour analyser les entraînements à l'installation d'un écran géant en bord de terrain, en passant par les menus préparés à table. « Notre objectif principal était d'écrire l'histoire. Maintenant, il va falloir commencer le prochain chapitre, remporter d'autres trophées » Luis Enrique Pour autant, le coach s'est adapté à la perspective particulière de vivre pendant près de cinq semaines en vase clos, loin de l'Europe. Les matinées sont consacrées au travail, les après-midi laissés libres pour se changer les idées. L'Asturien de 55 ans a ressenti chez ses ouailles une certaine impatience de profiter des vacances, après une saison aussi riche et dense. Physiquement et mentalement. Il a d'ailleurs insisté en interne pour que tous les joueurs prennent bien leurs trois semaines de congé à l'issue du tournoi. Mais il a misé sur cet équilibre entre exigence et décontraction pour leur demander encore un effort. Il leur fait confiance pour ne pas se laisser aller à des abus lors des séquences extrasportives. Et, à l'entraînement, c'est même lui qui, parfois, calme le jeu. Comme avec Ousmane Dembélé, dont il a retardé le retour à la compétition malgré l'impatience du postulant au Ballon d'Or. En revanche, plus on se rapproche du match, plus il retrouve ses réflexes compétitifs et se montre tendu, exigeant. Le reste du temps, il apparaît plus relax, comme apaisé. En remportant la Ligue des champions, il a rempli la mission majeure pour laquelle il a signé au PSG en 2023. « Malgré tous les discours du style "Ce n'est plus l'objectif no 1, on va se donner le temps de la gagner", le connaissant, je suis absolument persuadé que, dès son premier jour à Paris, il s'est fixé le défi de leur apporter l'étoile », souffle un bon connaisseur du personnage. Quoi qu'il arrive, il a déjà « marqué l'histoire », comme il dit, et assuré sa place à jamais dans le grand livre du club et même du foot français. Ces semaines dans une ambiance familiale ont permis aussi de resserrer les liens au sein du groupe, dans la veine des quelques jours ensemble en janvier à Doha, au moment du Trophée des champions. Mais Luis Enrique n'entend pas s'arrêter là. « C'était notre premier objectif quand nous sommes arrivés à Paris la saison dernière, avouait-il vendredi au sujet de la C1. Ce n'était pas facile. Notre objectif principal était d'écrire l'histoire. Maintenant, il va falloir commencer le prochain chapitre, remporter d'autres trophées. » Et continuer de donner une identité marquée à son équipe, un élément qui lui est cher. Il s'exprime de plus en plus en français dans les conférences de presse Comme les joueurs, il a profité de quelques moments de relâche. Le temps d'aller faire un tour à la plage, en Californie, ou de partager un restaurant avec ses adjoints ou le conseiller sportif Luis Campos. Il ne partage pas forcément les mêmes centres d'intérêt que son staff, très jeune, et le plus proche reste le psychologue, Joaquin Valdes (48 ans). Entre un peu de lecture et des exercices physiques, son quotidien a en fait surtout ressemblé à ses journées à Poissy. Si beaucoup de joueurs ont vu des membres de leur entourage faire le déplacement, lui n'a vu sa femme arriver aux États-Unis qu'il y a quelques jours. Il a regardé des matches, beaucoup étudié les adversaires à la vidéo et à la data : une des spécificités de cette compétition était de découvrir des équipes rarement affrontées. Fait quelques briefs avec le président Nasser al-Khelaïfi et Campos. Seule (demi-) nouveauté : il s'est mis, dès sa première prise de parole aux USA, à faire ses conférences de presse en français, du moins pour les questions posées dans la langue de Molière. Un petit signe supplémentaire qui témoigne de son intention, malgré la consécration européenne, de s'inscrire sur la durée avec le PSG, où il a prolongé jusqu'en juin 2027. À lire aussi Nkunku, un été à ne pas rater «Johan Cruyff aurait adoré» : Rexach adoube le PSG Makelele fait son show Geyoro, le facteur X qui change les ambitions des Bleues

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store