Amical : le Stade Brestois s'offre le Naples de Kevin De Bruyne
Vous ne rêvez pas, le Stade Brestois s'est bel et bien offert le champion d'Italie en match de préparation ! Une victoire de prestige (2-1), en Italie, qui permet au club breton d'engranger de la confiance avant le début du championnat. Les hommes d'Eric Roy enchaînent donc un quatrième succès en préparation.
Bien aidé par un Ludovic Ajorque des grands jours, auteur d'un doublé, Brest assure donc une belle victoire. Après des victoires contre Concarneau (2-1), Rennes (3-2) et Le Havre (1-0), c'est donc Naples a subi la loi du club brestois.
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« Pas le droit à l'erreur au haut niveau » : Frédéric Fauthoux met en garde les Bleus après la victoire arrachée contre le Monténégro
Les Bleus ont arraché la victoire contre le Monténégro lundi soir (81-75) pour leur premier match de préparation à l'Euro. Satisfait du succès, leur sélectionneur Frédéric Fauthoux met en garde contre le relâchement aperçu dans le troisième quart-temps, pendant lequel l'avance française a disparu. Frédéric Fauthoux (sélectionneur de l'équipe de France, victorieuse du Monténégro) : « Il y a la satisfaction d'avoir gagné. C'est toujours bien de progresser, de mettre des bases, quelques certitudes. On le dit depuis le début, c'est une équipe en reconstruction et quand on joue des nations de ce niveau (le Monténégro est 16e au classement FIBA), qui connaissent bien leur basket, avec beaucoup de joueurs matures, c'est intéressant. On aurait pu mieux faire les choses avant, on les a laissés revenir dans le troisième quart-temps (de 38-27 à 59-55), mais on a des bases plus certaines pour voir ce qu'on doit améliorer. (Sur le manque d'expérience de sa sélection rajeunie) Je l'ai dit dès le premier jour de stage, sur la capacité à rester concentré sur toutes les actions. On n'a pas le droit à l'erreur au haut niveau, dès qu'on se relâche, on le voit. (Sur la performance offensive) Il y avait beaucoup de tirs à trois points (8 sur 30 au final), surtout en première période, beaucoup trop de tirs sur rebonds offensifs où on a voulu trop vite sanctionner, prouver qu'on pouvait marquer. Mais en deuxième période, c'étaient des tirs plus ouverts. Je suis satisfait dans l'envie de se partager le ballon. » Les chantiers des Bleus avant l'Euro Guerschon Yabusele (capitaine des Bleus, 4 points) : « C'était un match intéressant, on s'attendait à un niveau élevé en face et nous, forcément, on n'avait pas encore joué ensemble. Il faut trouver les connexions. On voit qu'on doit encore travailler en défense, on encaisse 28 points dans le troisième quart-temps. Il y a beaucoup de choses à revoir, mais c'est positif et c'est important de prendre la victoire. On voit que quand on impose notre rythme en attaque et en défense comme en début de match, tout devient plus facile. On a vu des jeunes qui nous ont poussés, des gars qui se sont battus sur chaque ballon, et offensivement, on a essayé de se partager la balle, c'est positif. En face, Nikola Vucevic (19 points) était à l'aise, il pouvait poper (s'écarter), marquer à trois points, mais c'est le premier match et on va s'améliorer. » Alexandre Sarr (pivot des Bleus, 19 points pour sa première sélection) : « Je voulais ramener de l'intensité dès le début du match, faire des stops, laisser le jeu venir et je suis content qu'on ait créé des automatismes. Il y a beaucoup moins d'espace en FIBA (jeu international) qu'en NBA, tout est plus proche, il faut être plus juste sur chaque mouvement. Chaque espace peut coûter une balle perdue, il faut comprendre ça. (Sur sa performance) Je veux impacter la victoire, que ce soit en défense ou en attaque, essayer de faire les petites choses qui comptent pour gagner. Je suis fier de faire partie de ce groupe et j'avais hâte de jouer. »
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« Signez pour sauver l'Irlande ! » : Conor McGregor lance une pétition pour être candidat à l'élection présidentielle
Conor McGregor, star hautement contesté de l'UFC, a créé une pétition ce lundi pour appeler les Irlandais à le soutenir dans sa quête de candidature à la présidence de l'Irlande. Connor McGregor entame sa campagne. Loin des octogones - il n'a plus combattu depuis 2021 -, la star de l'UFC, champion des poids plumes et welters entre 2015 et 2018, a lancé lundi une pétition sur son compte X pour que les Irlandais le soutiennent dans son souhait d'accéder à l'élection présidentielle, qui aura lieu le 11 novembre prochain. McGregor (37 ans), reconnu coupable d'agression sexuelle - il vient de perdre son appel - avait fait part de cette nouvelle lubie politique en mars dernier. Mais pour briguer la présidence, la constitution irlandaise requiert vingt parrainages de parlementaires ou de quatre conseils de comtés. « Je vous implore donc de vous joindre à moi dans cette démarche en signant cette pétition » Conor McGregor « Ce système, bien que destiné à garantir une certaine influence politique parmi les candidats, restreint involontairement la voix directe de l'électorat irlandais, a-t-il écrit. Dans ce contexte, je propose une pétition demandant une modification du processus de nomination afin que mon nom puisse figurer sur le bulletin de vote. Je soutiens que les citoyens irlandais devraient avoir le droit absolu de choisir les candidats qui figureront sur le bulletin de vote présidentiel. Je vous implore donc de vous joindre à moi dans cette démarche en signant cette pétition. » Avant de scander : « Signez ma pétition pour sauver l'Irlande ! ». Le natif de Dublin en profite aussi pour tacler en lettres capitales le Premier ministre actuel, Simon Harris, qu'il juge « honteux », avant d'inciter à voter pour « n'importe quel candidat que ces traîtres, ces inhumains ». En bas du tweet, Conor McGregor a inséré un lien vers sa pétition publiée sur la plateforme qui recense, quelques heures après sa parution, un peu moins de 5000 signatures. Il reste encore du chemin.
