77 - Tous sports : Rugby - Le replay des sélections Aus & NZ
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Depoortere : « Tous ces joueurs (néo-zélandais) sont des facteurs X »
Erdocio : « Essayer de mettre un peu de sable dans leur moteur »
Barassi, Woki et Montagne forfait pour le dernier test contre les All Blacks
Dupont espère un retour à la compétition vers la fin novembre
Fickou, Guillard et Fischer de retour dans le quinze de départ, Hastoy en 10
L'Afrique du Sud rejoint la Nouvelle-Zélande en finale
Les Baby Boks en finale
Les Wallabies en totale domination
Victoire sur le fil de l'Ecosse
Le replay d'Argentine - Afrique du Sud
Le résumé de Nouvelle-Zélande - France
Le replay de Afrique du sud - Argentine (MT2)
Laborde : «On manque de précision sur le dernier geste»
Le replay de Afrique du sud - Argentine (MT1)
Le replay de France - Nouvelle-Zélande (MT2)

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Le Parisien
11 minutes ago
- Le Parisien
Des centaines de médailles installées sur le pont Saint-Louis… Le projet de mémorial olympique dévoilé
365 jours qu'on n'avait pas vu autant de monde sur la Seine. À défaut de pouvoir remplir ses sites de baignades, pas aidés par la météo capricieuse de ces derniers jours , le fleuve parisien accueillait ce samedi matin des dizaines de kayaks, padels et dragons boats. Au rythme du tambour, tout le monde suit la cadence. « Allez, on pagaie », entend-on sur l'eau depuis le Pont Saint-Louis, dans le IVe arrondissement de Paris . Quelques mètres au-dessus de leurs têtes, un cérémonial se prépare. Ce 26 juillet sonne comme l'anniversaire des Jeux olympiques de Paris 2024 et de son inoubliable cérémonie d'ouverture, sur la Seine déjà. Un an après, un air, voire une odeur de « Paris 2024 » flotte sur la capitale, la pluie de la cérémonie d'ouverture en moins. Pour cette journée d'anniversaire, Anne Hidalgo a réuni du beau monde. Celles et ceux qui, il y a un an, étaient partout. En premier lieu, Tony Estanguet , « Monsieur Paris 2024 », mais aussi Kirsty Coventry , la toute nouvelle présidente du Comité international olympique (CIO), son prédécesseur aux manettes l'an dernier Thomas Bach, ou encore Amélie Oudéa-Castéra , passée du ministère des Sports au CNOSF en un an. Un coucou aux deux phryges installées sur un bateau, une chansonnette poussée sur « Champs-Élysées », et voici le projet du « Monument des champions et des championnes » dévoilé. Sur les rambardes du pont qui relie l'île Saint-Louis à celle de la Cité viendront s'installer des centaines de médailles faites d'aluminium et d'inox. Dessus seront inscrits les 5 000 noms de tous les médaillés des Jeux de Paris, bronzés, argentés et dorés. « Sur un côté, ce seront les médaillés olympiques, de l'autre les paralympiques », explique la designeuse Bina Baitel, à l'origine du projet. « J'ai voulu penser ce monument comme une invitation à replonger dans l'ambiance des Jeux. Avec forcément des clins d'œil. Les médailles seront toutes reliées par un ruban argenté, comme en gymnastique rythmique et sportive. Et faire ça sur un pont n'a rien d'un hasard après la cérémonie d'ouverture qu'on a connu », poursuit-elle. Avant la livraison du monument, prévu pour la fin de l'année, ses concepteurs ont tenu à offrir les premiers modèles de médailles à Anne Hidalgo, Kirsty Coventry et Thomas Bach. Si pour la première, elle a une portée symbolique, la présidente du CIO et son prédécesseur ont bien été médaillés par le passé. La Zimbabwéenne a reçu une breloque lui rappelant son titre sur le 200 m dos à Pékin, quand l'Allemand a été honoré pour son titre au fleuret par équipes de 1976. « Merci, vous n'avez pas mis l'année ! », sourit le président d'honneur du CIO. Ce samedi matin, les quelques Parisiens croisés sur le pont découvrent ce projet. « C'est ça ce qu'ils appellent un monument ? Je m'attendais à quelque chose de plus massif. C'étaient les JO quand même ! », sourit Caroline, encore rouge de son footing. Jean-Marie, chapeau sur la tête, semble plus enjoué. « Franchement, ce n'est pas si mal. On en a tellement fait avec les JO… Et là encore un an après. Là, c'est discret, j'aime bien. Ça me fait presque penser aux cadenas du pont des Arts ! »


Le Parisien
11 minutes ago
- Le Parisien
DIRECT. Tour de France : suivez la 20e étape entre Nantua et Pontarlier, taillée pour les baroudeurs
Avec quatre difficultés, dont la côte de Thésy en 2e catégorie, cette avant-dernière étape pourrait récompenser un échappé. Par Le Parisien La bataille pour l'échappée risque d'être féroce à Nantua. REUTERS/Sarah Meyssonnier Fini la haute montagne, place au dernier week-end du Tour de France 2025 avec, d'abord, une étape entre Nantua et Pontarlier (184,2 km). Quatre difficultés ont été répertoriées sur le parcours qui s'annonce très vallonné avec 2900 mètres de dénivelé positif. Il y aura notamment la côte de Thésy, en 2e catégorie (3,6 km à 8,9%). Toujours en jaune, Tadej Pogacar ne devrait plus être inquiété jusqu'à la fin du Tour. Mais gare à l'ennui mécanique. Lire le journal


Le HuffPost France
11 minutes ago
- Le HuffPost France
Avant le départ du Tour de France femmes, Marion Rousse nous explique comment le cyclisme a changé en dix ans
CYCLISME - Il y a le fameux chassé-croisé des juillettistes et des aoûtiens sur la route des vacances, mais il y a aussi celui du Tour de France. Alors que la course masculine se termine ce week-end, avec une dernière étape au tracé inédit qui passera dimanche par Montmartre dans Paris, l'épreuve féminine démarre en parallèle ce samedi 26 juillet, depuis Vannes dans le Morbihan. Pour nous parler de ce Tour de France féminin, Le HuffPost s'est tourné vers une observatrice de choix en la personne de Marion Rousse, directrice de la course depuis sa création en 2022. Avec sa carrière sportive de cycliste qui a pris fin en 2015, celle-ci a pu constater l'évolution - dans la bonne direction - prise par le cyclisme féminin, qui ne cesse de se professionnaliser. • L'évolution du Tour de France féminin en quatre ans Cette année, la course gagne un jour passant de huit à neuf. Cela en fait logiquement l'édition la plus longue, avec 1165 kilomètres et plus de 17 000 mètres de dénivelé positif notamment au cours de deux étapes de haute montagne. « Lors de la première édition, on s'est imposé aux gens et les gens nous ont adoptés. Ça a été un gros défi, mais maintenant on évolue, on ne se ferme pas de portes », explique Marion Rousse, alors que la course est désormais retransmise dans 190 pays, tandis que France Télévisions retransmettra 2h50 en direct sur chaque étape. L'ancienne cycliste met aussi en avant « les mêmes ingrédients qui marchent chez les hommes »: les « routes fermées des deux côtés », une caravane publicitaire conséquente avec « plus de 50 véhicules »... « Notre priorité, c'était de pérenniser l'épreuve et d'évoluer au même rythme que le cyclisme féminin. Il ne faut pas aller trop vite non plus vite », tempère toutefois Marion Rousse. • L'évolution sportive du peloton Si le peloton, avec ses 154 cyclistes réparties dans 22 équipes, reste plus ou moins le même depuis les débuts du Tour (144 en 2022 et 2023, puis 154 en 2024), son « niveau global a évolué, c'est beaucoup plus homogène », note Marion Rousse. « Sur la première édition, il y avait des amatrices avec des professionnelles, donc forcément, les écarts de niveaux étaient plus importants. Maintenant, ça se resserre », complète-t-elle. Cette année, il faut aussi ajouter une « star » au peloton, Pauline Ferrand-Prévot. Celle qui a décroché l'or olympique l'été dernier en VTT avait besoin de se donner un nouveau challenge, revenant ainsi à ses premières amours, la route, elle qui avait notamment été championne du monde en 2014. « On attend un successeur à Bernard Hinault depuis tellement d'années (chez les hommes) qu'il faudra finalement peut-être plus se tourner vers le peloton féminin pour trouver la future maillot jaune » à l'arrivée, veut croire Marion Rousse, même si elle place la Néerlandaise Demi Vollering (vainqueure en 2023, deuxième l'année dernière derrière Katarzyna Niewiadoma) en « grandissime favorite ». • De l'anonymat à la professionnalisation Retraitée sportive il y a dix ans maintenant, elle qui avait notamment été championne de France en 2012, Marion Rousse a connu le cyclisme « d'avant », qui n'a plus grand-chose à voir avec celui du XXIe siècle. « Nous n'étions pas payées, on courait dans l'anonymat le plus complet puisque la télé n'était pas là et la presse écrite ne parlait pas de nous non plus. On dormait dans des lycées, des casernes, on était à la cantine le midi », se souvient-elle à propos de la plupart de ses courses. « C'était vraiment très amateur, il n'y avait pas d'argent, pas de sponsors, et parfois on avait l'impression de ne pas avoir de statut social. » • Un avenir qui s'annonce radieux Comme elle l'explique au HuffPost, il y a clairement eu « un avant et un après avec la création du Tour de France » en 2022. Sa directrice actuelle met notamment en avant le « salaire minimum annuel qui a été instauré pour le WorldTour », qui était de 35 000 euros en moyenne l'année dernière (contre environ 60 000 euros chez les hommes). Alors qu'elle sort tout juste de trois semaines de commentaire et d'analyses sur le Tour masculin pour France Télévisions, elle pointe toutefois des améliorations encore possibles, rappelant par exemple que chez les staffs des équipes masculines, « on a 30 personnes rémunérées », contre seulement « 10-11 » dans les équipes féminines. Mais globalement, Marion Rousse se félicite de « l'avenir (qui) s'annonce radieux » autour du cyclisme féminin et du Tour de France, « le sommet de la pyramide ». « On voit que les gens s'y intéressent, au niveau des audiences ça fonctionne bien. Les gens reconnaissent les championnes, les petites filles peuvent s'identifier à elles », se réjouit-elle. « On ne se fixe pas de limites », conclut-elle avec enthousiasme. Un signe d'émancipation et de maturité ne trompe pas : pour la cinquième édition en 2026, le grand départ sera donné le 1er août, soit cinq jours après la fin du Tour chez les hommes. Ce sera donc la première fois que l'épreuve féminine se dissocie complètement de celle masculine, sans chevauchement qui lui permettait de prendre un peu de lumière.