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Astrologie: Horoscope Bélier du jour 16 juillet 2025

Astrologie: Horoscope Bélier du jour 16 juillet 2025

24 Heures2 days ago
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Diane Boccador Publié aujourd'hui à 09h42
Tamedia AG
1ᵉʳ décan: 21 mars-30 mars | 2e décan: 31 mars-9 avril | 3e décan: 10 avril-20 avril
Le sujet famille sera aujourd'hui touchy. Ami Bélier, vous ne comprendrez pas forcément le pourquoi du comment mais quelque chose nous dit que ça risque de vous énerver vraiment. (1er décan) Vie active
Un Bélier déçu et blessé à la fois peut avoir une réaction démesurée. Ça tombera mal et ça fera mal. Bref, voilà une journée dont vous auriez pu vous passer. (1er décan)
Ne manquez pas votre horoscope de la semaine pour un aperçu encore plus complet.
Et pour découvrir ce que les astres réservent à vos proches, consultez l'horoscope des autres signes.
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Accueil | Culture | Cinéma & séries | Alors que le nom des acteurs de la future adaptation a été révélé, retour sur une franchise devenue icône de la pop culture. Publié aujourd'hui à 12h02 Nombre de gamers entretiennent une relation particulière avec la série de jeux vidéo «Zelda». Nintendo En bref: Les nostalgiques de la pop culture des années 90 et 2000 doivent exulter. Après la présentation du jeune acteur allant reprendre le rôle d' Harry Potter dans la future série HBO adaptée de la saga du même nom, voilà qu'on apprenait cette semaine que le film tiré de l'univers des jeux vidéo «Zelda» était bel et bien confirmé. La production avait même des visages à nous montrer. C'est ainsi l'actrice britannique Bo Bragason qui incarnera la princesse de Nintendo à l'écran. gée de 21 ans, cette native de Chichester qui a grandi au Luxembourg puis dans le sud de la France s'est notamment fait connaître par plusieurs séries sur la BBC One et Disney+, dont «Renegade Nell». À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Du côté des autres boss du casting, le rôle de l'aventurier Link revient à Benjamin Evan Ainsworth, Britannique lui aussi. À seulement 16 ans, l'acteur est déjà en possession d'un CV bien fourni, apparu dans la série Netflix «The Haunting of Bly Manor», le film Disney «Flora & Ulysses» et dans le live action «Pinocchio», où il prêtait sa voix à la marionnette enchantée. Le long-métrage consacré à «Zelda», qui devrait débouler dans les salles en 2027, est le premier opus inspiré du jeu à surgir sur grand écran, bien qu'une série japonaise avait déjà, à la fin des années 80, porté le monde de la Triforce en dehors des frontières du jeu vidéo pour la petite lucarne. Ce n'est cependant pas la première fois qu'une franchise star de l'univers vidéoludique est adaptée pour le cinéma. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Zelda, des consoles aux écrans de cinéma Dès le début des années 2000, Angelina Jolie avait donné vie à l'archéologue Lara Croft dans «Tomb Raider», suivie de près par «Resident Evil», où Milla Jovovich, alors actrice phare des films d'action, embrochait des zombies à la chaîne. Depuis, le phénomène a pris de l'ampleur, en particulier à partir des années 2010, où même les jeux ne mettant pas spécialement en avant une héroïne au physique formaté pour plaire au public masculin ont vu leurs alter ego cinématographiques cartonner, à l'instar de «The Last of Us» , «Arcane» ou «Uncharted». Reste que le cas de Zelda est encore à part. Véritable icône numérique, chouchou des gamers et création majeure de la pop culture nipponne, la série de jeux, qui comptabilise plus de vingt déclinaisons depuis 1986, année de sortie de «La légende de Zelda», est l'une des plus aimées de toute l'histoire des productions vidéoludiques. L'une des plus abouties aussi. «Ocarina of Time», paru en 1998, figure d'ailleurs tout en haut de la liste des meilleurs jeux vidéo de tous les temps, récoltant un métascore de 99 sur 100. Le concepteur de «Zelda» s'est notamment inspiré de l'univers de Tolkien. Nintendo Nintendo entre dans la pop culture Un statut de jeu culte en partie dû à sa conception de la quête et de l'aventure, où l'intrigue et la psychologie des rôles comptent moins que le plaisir de parcourir les univers comme on voyagerait dans un pays fantastique et immémorial, que son concepteur Shigeru Miyamoto avait voulu proche des géographies imaginaires du «Seigneur des anneaux» de Tolkien. Ce lien affectif inusable des joueuses et des joueurs avec l'une des plus anciennes franchises du jeu vidéo a d'ailleurs été bien entendu par son éditeur Nintendo, qui a pris soin d'entretenir la flamme Zelda en sortant plusieurs opus successifs pour sa nouvelle console portable Switch . L'histoire d'amour des gamers, expérimentés comme plus occasionnels, avec le jeu Nintendo, est forcément un argument de poids en faveur d'une adaptation au cinéma, mais c'est aussi un possible traquenard. Car les attentes du public, qui seront élevées, obligent les producteurs à être à la hauteur. Autour de Zelda et de Nintendo Nicolas Poinsot est journaliste à la rubrique culture et société. Auparavant, cet historien de l'art de formation a écrit pendant plus de dix ans pour le magazine Femina et les cahiers sciences et culture du Matin Dimanche. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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Accueil | Culture | Cinéma & séries | Le documentaire retrace l'ascension fulgurante et la chute brutale de l'enseigne fondée par l'homme d'affaires Dov Charney. Publié aujourd'hui à 10h31 Les enseignes American Apparel ont fleuri aux quatre coins du globe dans les années 2000. En Suisse, la ville de Zurich abritait un magasin de la marque. EPA American Apparel: si ce nom ne vous dit pas grand-chose, pour les enfants des années 90, il ravive des souvenirs vestimentaires. American Apparel, c'était le summum du chic à la sauce hipster, avec des basiques stylés, des pubs (très) suggestives et une promesse de mode éthique made in USA. Pour cette marque, tout avait bien commencé. Peut-être un peu trop. Ou alors seulement sur papier. Le 1er juillet 2025, Netflix a sorti «Trainwreck: The Cult of American Apparel» . Durant cinquante-quatre minutes et à coups de témoignages d'anciens employés, le film retrace l'ascension fulgurante, puis la chute brutale de l'enseigne fondée par l'homme d'affaires canadien Dov Charney au printemps 1989. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Lorsque American Apparel débarque sur le marché au début des années 90, l'enseigne est saluée pour ses salaires soi-disant décents et sa production locale. Mais dès le début, il y a une ombre au tableau, qui déplaît comme elle séduit: la mise en scène sexualisée des campagnes publicitaires, avec de jeunes mannequins dans des poses osées. Derrière l'idéal, le délétère Et ce n'est pas tout. Car le documentaire raconte aussi une autre histoire. Celle d'un environnement de travail toxique, avec Dov Charney en chef d'orchestre. Un personnage dont l'aura de génie un peu fou cachera trop longtemps un management délétère – comme lorsqu'il hurle sur un employé, par téléphone, à 3 heures du matin. Au fil du documentaire, les accusations fusent contre Charney. Parmi elles: des conditions de travail épuisantes, mais aussi des gestes inacceptables dont du harcèlement sexuel à l'encontre de jeunes employées et une position de «gourou» assumée. Un système à interroger Dov Charney, de son côté, nie en bloc. Il n'a jamais été reconnu coupable d'un crime. Mais l'accumulation de scandales aura raison de lui: il est évincé en 2014, la marque fait faillite en 2015 puis sera rachetée. Elle survit aujourd'hui, en ligne seulement. Charney, lui, a rebondi chez Yeezy, l'enseigne d'un certain Kanye West. Séduisante, la production Netflix laisse cependant un goût d'inachevé. Le film évite d'interroger un écosystème plus large, qui inclut les investisseurs, les médias, et même les consommateurs, tous trop souvent fascinés par le mythe du «créatif déviant», ce génie à qui on pardonnait tout. Jusqu'à maintenant. Plus sur les films, séries et documentaires à voir sur Netflix Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Montreux Jazz: The Black Keys, une première qui décoiffe
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Montreux Jazz: The Black Keys, une première qui décoiffe

Montreux Jazz – The Black Keys à Montreux, une première qui décoiffe Il faut bien un début à tout. Jeudi soir, The Black Keys ont décapé la scène du lac du festival après le très beau concert des Hermanos Gutiérrez. Andrea Di Guardo Montreux, le 17 juillet 2025. Le guitariste et chanteur Dan Auerbach, cofondateur des Black Keys avec Patrick Carney. Peter Klaunzer/Keystone Abonnez-vous dès maintenant et profitez de la fonction de lecture audio. S'abonnerSe connecter BotTalk En bref : Les Hermanos Gutiérrez ont offert une ambiance latine paisible au coucher du soleil. L'expérience musicale des Black Keys a électrisé la scène de Montreux. Dan Auerbach impressionne avec sa voix polyvalente et sa maîtrise instrumentale. Le duo américain démontre une parfaite symbiose durant leur performance énergique. The Black Keys, c'est sans aucun doute ce qu'a produit de mieux la petite ville d'Akron dans l'Ohio, avec Lebron James, Devo, et le stade de baseball des Rubber Ducks. Les deux génies du groupe de rock américain, Dan Auerbach et Patrick Carney, le premier à la guitare et le second à la batterie, ont fait un sans-faute ce jeudi pour leur première au Montreux Jazz Festival (MJF). Attention aux oreilles. Mélodie au soleil couchant Hermanos Guitérrez, transportant le public au fin fond des déserts américains, devant le Lac Léman. ©MJF Emilien Itim Pourtant, la soirée avait démarré en douceur avec le concert des Hermanos Gutiérrez, «les frères de cœur» de Mathieu Jaton, directeur du MJF, comme il les présentait devant la scène du lac ouverte sur le Léman pour l'occasion. Une jolie surprise qui permet de profiter des concerts au gré des voiliers naviguant. Le contenu qui place des cookies supplémentaires est affiché ici. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Autoriser les cookies Plus d'infos Le temps d'un magnifique soleil couchant, les deux frères équatoriens (qui on le rappelle sont nés à Zurich) ont transporté le public à travers une musique latine infusée aux cactus et aux virevoltants du désert. La Riviera a résonné aux doux coups de «lap steel» d'Alejandro pendant qu'Estevan, l'aîné, grattait humblement sa guitare. Rien de tel pour se débarrasser d'une mauvaise semaine. S'il fallait écouter quelque chose avant de mourir en paix, ce serait sans aucun doute leur titre «Tres Hermanos», produit d'ailleurs par un certain Dan Auerbach, cofondateur des Black Keys. Lorsque le rideau de la scène du lac s'ouvre sur le Léman, la magie opère. Casser la baraque Et ça tombe bien, les voilà qui débarquent justement sur un grand slide de guitare plus rock que jamais. Immenses stars que l'on ne présente plus, les Black Keys n'ont jamais cessé de croître depuis 25 ans, avec des albums acclamés tels que «Brothers» et «El Camino», avant de devenir un duo incontournable de l'histoire du rock. Pendant que Patrick Carney bat la mesure, Dan Auerbach improvise des solos à n'en plus finir. Dan Auerbach, en pape de la coolitude, maîtrise le set comme un chef d'orchestre que l'on croirait allumé aux amphètes du Mississippi, pendant que Patrick Carney rythme le tout tel un métronome à la matraque imperturbable. Les deux compères, réglés au diapason, pourraient presque tenir la barque sans leur big band de cinq musiciens. Du show et de l'énergie, en veux-tu en voilà. L'âme du rock Galvanisé, le public entre en communion sur «Howlin for you», «Girl on my mind» et bien sûr, «Lonely Boy». Malgré son gabarit de baril, Dan Auerbach peut passer d'une voix grave éraillée au timbre aigu d'un quasi-ténor, en digne héritier de Robert Johnson, saint patron du blues. Sans aucune peur, le chanteur pousse même le sifflement en live pour «Tighten Up». Trop fort. Le contenu qui place des cookies supplémentaires est affiché ici. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Autoriser les cookies Plus d'infos Aucune fausse note dans ce show extrêmement bien huilé d'une bonne heure et demie. Et quelle belle surprise que cette reprise de «On the road again», classique du blues composé par Tommy Johnson. Ce qui nous fait d'ailleurs penser qu'entre les deux Johnson, on ne sait plus très bien qui a vendu son âme au diable au bord d'un croisement. En tout cas, Auerbach et Carney ont dédié la leur au rock'n'roll, et ça, ce n'est que du bonheur au Montreux Jazz Festival. Andrea Di Guardo est journaliste RP à la Tribune de Genève depuis mars 2024. Attaché à la rubrique culturelle (pôle Vibrations), il écrit également pour 24 Heures et Le Matin Dimanche. Il s'intéresse aussi aux sujets locaux et internationaux. Il est titulaire d'un Master en journalisme et communication et d'un Bachelor en sciences politiques. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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