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Les Alouettes en mission pour faire oublier la contre-performance face aux Tiger-Cats

Les Alouettes en mission pour faire oublier la contre-performance face aux Tiger-Cats

La Presse3 days ago
(Montréal) Chez les Alouettes de Montréal, on souhaite à tout prix faire oublier la contre-performance de vendredi dernier face aux Tiger-Cats d'Hamilton et quitter pour la première pause de la saison avec une fiche de 4-1. La tâche ne sera cependant pas mince, avec la visite des Lions de la Colombie-Britannique.
Frédéric Daigle
La Presse Canadienne
Tout d'abord, il ne faudra pas se laisser berner par la fiche de 1-3 des Lions. La formation de Vancouver retrouvera les services de son quart étoile Nathan Rourke pour ce duel face aux Alouettes (3-1).
Blessé aux obliques depuis le match en semaine contre les Blue Bombers de Winnipeg, Rourke aurait pris toutes les répétitions avec la première unité à l'attaque jeudi, selon ce que les médias vancouvérois ont rapporté, et l'entraîneur-chef Buck Pierce a confirmé qu'il serait le partant samedi, à Percival-Molson.
Assurément, les Lions ne sont pas le même club avec Rourke dans la formation.
« Ça commence avec l'attaque qu'ils envoient sur le terrain. Buck Pierce a fait ses preuves comme coordonnateur offensif dans cette ligue, a analysé l'entraîneur-chef des Alouettes, Jason Maas, lors de l'entraînement de jeudi. Ensuite, Nathan peut lancer le ballon partout sur le terrain. Il est très précis de sa pochette de protection et s'il est mal pris, c'est un habile coureur.
Nous devrons tenir compte de tout cela quand nous appliquerons de la pression. Il fait du très bon travail à la tête de leur attaque. On tentera de mettre beaucoup de pression, d'affecter son rythme et de lui montrer plusieurs formations défensives pour le piéger.
l'entraîneur-chef des Alouettes, Jason Maas
Le maraudeur Marc-Antoine Dequoy sait que ses coéquipiers et lui devront être prêts à tout.
« On va voir comment il s'est remis de sa blessure, mais de ce qu'on sait de lui, de ce qu'on a vu en début de saison et lors des dernières campagnes, c'est un gars qui est capable de trouver ses receveurs dans les zones profondes et qui est capable de se faufiler à travers la défense, a-t-il rappelé. C'est un beau défi pour nous sur la tertiaire. »
Les Lions compteront aussi sur le joueur de ligne défensive québécois Mathieu Betts. Ils s'amènent à Montréal en confiance, ayant balayé la série de deux matchs la saison dernière, en plus d'avoir remporté trois des quatre derniers matchs sur la pelouse des Oiseaux.
D'ailleurs, les Alouettes, qui seront privés du quart Davis Alexander pour un deuxième match consécutif, n'ont pas battu les Lions depuis septembre 2022 (0-4), alors qu'ils étaient dirigés par Danny Maciocia. Les Lions ont remporté 10 de leurs 12 derniers matchs contre les Alouettes.
Grosse différence
En plus de vouloir faire oublier leur contre-performance de la semaine dernière, les Alouettes souhaitent retrouver le chemin de la victoire afin d'aborder cette semaine de relâche la tête plus légère.
« On s'attend à terminer ce match à 4-1. C'est de cette façon qu'on a abordé cette semaine, a indiqué Maas. Nos attentes ne sont jamais diminuées. Cela dit, chaque fois que vous pouvez commencer une semaine de congé après une victoire, ça vous donne quelques jours de plus pour l'apprécier. C'est toujours ce qu'on préfère. »
« Ça fait quand même une grosse différence, a admis Dequoy. Surtout pour ta première pause. Elles sont plutôt bien positionnées cette saison et celle-ci arrive pratiquement au tiers de la campagne. Avoir joué trois matchs sur la route et en avoir gagné deux, c'est un très bon ratio. Ensuite, tu veux gagner tous tes matchs à domicile. Après la pause, on a une bonne série de matchs à domicile, on veut utiliser cette foule. »
Le coup d'envoi est prévu à 19 h.
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Jamais deux sans trois pour Tobie Paquette-Bisson
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time6 hours ago

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Jamais deux sans trois pour Tobie Paquette-Bisson

Tobie Paquette-Bisson a quitté le marché des joueurs autonomes deux fois, le 1er juillet dernier. En l'espace d'une heure, il a apposé son nom au bas d'un contrat d'un an avec le Rocket de Laval, mais aussi de ses documents de mariage. Paquette-Bisson et sa future femme étaient réunis à la maison, avec parents et amis. Le couple avait opté pour une cérémonie à la bonne franquette. Lors des heures précédentes, le contrat d'un an du costaud défenseur avec le Lightning de Tampa Bay avait expiré. Une offre inattendue du Rocket est alors survenue. Inattendue, parce que le Rocket lui offrait de rejoindre l'organisation pour la troisième fois en cinq ans. « Quand on a eu l'offre du Rocket, on a hésité un peu, mais clairement, c'était la meilleure décision pour nous. On a tout de suite pu l'annoncer à la famille, tout le monde était super content », raconte Paquette-Bisson. C'est justement pour des raisons familiales que le Rosemèrois a choisi Laval. Sa conjointe a donné naissance à leur premier enfant il y a un mois. « Il y avait de l'intérêt en Europe, mais j'avais un deal avec ma femme : on ne voulait pas partir tout de suite. J'ai parlé avec d'autres joueurs en Europe, qui ne voient pas leur bébé pendant des semaines. Je ne voulais pas vivre ça », justifie le joueur de 28 ans. Départ sur désaccord Lorsqu'il a plié bagage pour Syracuse, l'été dernier, Paquette-Bisson croyait bien ne jamais retrouver le vestiaire du Rocket. Surtout parce qu'il l'avait quitté à deux reprises, de son plein gré, pour l'organisation des Kings de Los Angeles, puis du Lightning. Mais aussi en raison du dénouement de son dernier passage lavallois. En pleine course aux séries éliminatoires, en 2024, le Rocket avait placé de jeunes joueurs dans son alignement au détriment de vétérans. Paquette-Bisson avait publiquement critiqué la décision et, de son propre aveu, s'était ensuite fait « taper sur les doigts ». « Ça avait fait mal de manquer les séries », se rappelle-t-il. « Surtout qu'on les avait vécues dans les années d'avant. Même si un jeune est dans les gradins, il peut apprendre en séries, en voyant comment se comportent les gars et leur camaraderie », estime-t-il. Le plus récent parcours du Rocket en séries a convaincu Paquette-Bisson de rentrer au bercail. Le principal intéressé a assisté au premier match de la finale de l'Association de l'Est, opposant les Lavallois aux Checkers de Charlotte. Rapidement, il a compris que le Rocket ne serait pas de taille. La filiale du Canadien a finalement été balayée. L'un des enjeux a clairement été le manque de robustesse de l'équipe. Paquette-Bisson, du haut de ses 6 pi 3 po et 207 lb, compte bien y remédier. « J'aurais aimé ça être là, l'an dernier, pour amener cet aspect-là, avoue-t-il. Ramener la Coupe à Laval, ça serait fun en tabarouette. » Le Rocket a clairement expliqué à Paquette-Bisson qu'il prendrait la place occupée par Tyler Wotherspoon lors de la dernière saison. Concrètement, on s'attend de lui qu'il joue « de grosses minutes » et qu'il encadre les jeunes. Bonheur de jouer À Laval, Paquette-Bisson renouera avec celui qui a été son entraîneur des défenseurs au sein de l'Armada de Blainville-Boisbriand et du Rocket : Daniel Jacob. L'an dernier, il pensait bien jouer sous ses ordres, en signant un contrat avec l'organisation du Lightning. C'était avant que Jacob ne fasse le chemin inverse, pour accepter de devenir l'adjoint de Pascal Vincent. La déception allait venir accompagnée. Paquette-Bisson a entamé la saison avec de sévères maux de dos. « Je suis arrivé au camp à Tampa Bay avec tellement d'inflammation au bassin que j'avais de la misère à marcher. Ç'a été dur en première moitié de saison. La blessure a eu un impact sur mon jeu et, surtout, sur ma confiance », confie-t-il. Après avoir consulté un spécialiste à New York et reçu des traitements spécialisés, Paquette-Bisson assure aujourd'hui être « top shape ». Même s'il estime avoir connu une saison difficile, le Lightning a tenté de conserver ses services. On lui aurait offert une prolongation de contrat à deux volets, qui lui aurait permis d'être rappelé dans la LNH. Cette éventualité sera impossible avec le Rocket, puisque son entente se limite à la Ligue américaine. Même si Paquette-Bisson croit encore à la LNH, il accepte de mettre temporairement son rêve sur pause. Je me suis dit que tant qu'à courir après les contrats de la LNH et être déçu [de ne pas être rappelé], il valait mieux signer un contrat qui me garantirait d'être heureux. Tobie Paquette-Bisson Et ce bonheur, semble-t-il, se trouve à Laval. Cela a de quoi surprendre. Pas parce que l'on sous-estime les attraits du Centropolis, et encore moins du Colossus, mais surtout parce qu'au moment de quitter l'organisation, en 2024, Paquette-Bisson avait affirmé publiquement qu'il serait « ridicule d'y retourner ». « Comme on dit, il y a juste les fous qui ne changent pas d'idée », conclut-il, en riant.

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