
Zeus, le cheval mythique de Paris 2024, va partir à l'assaut du Mont-Saint-Michel
Le cheval qui a fasciné le monde entier
lors de la cérémonie d'ouverture des
Jeux olympiques de Paris 2024
est revenu se faire une beauté dans le hangar qui l'a vu naître.
Alors que son caparaçon d'argent se fait polir, on aperçoit dessous un squelette de métal qui emprunte aussi bien à la machine qu'à l'animal. Zeus, n'est pas juste une machine de théâtre. C'est aussi un objet - presque un être - de design. « Nous voulions que les gens gardent cette image d'une pièce bien faite, d'une pièce pérenne, souligne Maël Bourseul, le responsable d'atelier de l'Atelier Blam qui a créé Zeus. Il y avait derrière cette envie l'idée que si ça marchait ce jour-là, Zeus pourrait continuer d'exister. Nous ne pouvions pas imaginer que ça prendrait autant d'ampleur ».

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35 minutes ago
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En fin de contrat chez Decathlon AG2R La Mondiale, Benoît Cosnefroy en contacts avancés avec Cofidis
En fin de contrat chez Decathlon AG2R La Mondiale et non conservé, le puncheur Benoît Cosnefroy pourrait rebondir, selon nos informations, dans une autre formation française, chez Cofidis. D'une équipe française à une autre ? Benoît Cosnefroy discute depuis plusieurs semaines de son avenir, puisqu'il ne sera pas prolongé chez Decathlon AG2R La Mondiale à l'issue de cette saison 2025. Il était dans la formation savoyarde depuis ses débuts en 2016 après avoir été formé au Chambéry Cyclisme Formation. Selon nos informations, le puncheur tricolore de 29 ans, vainqueur du Grand Prix du Morbihan début mai, est en contacts avancés avec la formation nordiste Cofidis. Des contacts sérieux existent aussi avec PicNic PostNL, où figure déjà un autre Français, Warren Barguil. Tombé lors de la première étape du Tour de Suisse le 15 juin et finalement absent du Tour de France sous les couleurs de Decathlon AG2R La Mondiale, Cosnefroy, qui avait remporté la Flèche Brabançonne l'an dernier, devrait faire son choix assez rapidement. Mais Cofidis lorgne sur lui et les discussions se sont intensifiées ces derniers temps. Sa capacité à marquer des points, notamment sur des étapes de Coupe de France et quelques classiques du calendrier, intéresse la formation de Cédric Vasseur autant que PicNic.

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35 minutes ago
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L'arrivée d'Olivier Cloarec comme président de Toulouse se précise
Presque un mois et demi après le départ de Damien Comolli, Toulouse tient enfin son nouveau président. Sauf retournement de dernière minute, il devrait s'agir d'Olivier Cloarec, notamment passé à Rennes. Sa nomination est attendue en début de semaine. Après la démission surprise de Damien Comolli, le 28 mai, le TFC, méticuleux dans ses recherches, semble enfin prêt à annoncer l'identité de son nouveau président. Selon une information révélée parLa Dépêche, que nous sommes en mesure de confirmer, il s'agit bien d'Olivier Cloarec, comme la tendance le laissait penser et comme expliqué par L'Équipe, dès le 21 juin. Sa nomination devrait être officialisée ce lundi, ou au plus tard, dans les jours suivants. Si son nom figurait dans la première short-list, avec entre autres Julien Fournier (ex-Nice), il a fallu un certain temps à l'actionnaire majoritaire américain du club haut-garonnais, le fonds d'investissement RedBird Capital Partners, pour arrêter son choix. Sur les conseils de l'agence CAA Stellar, chargée du recrutement, l'ancien directeur général et président exécutif du Stade Rennais, libre depuis son éviction le 4 octobre dernier, a finalement été retenu parce qu'il cochait de nombreuses cases pour succéder à l'intérimaire Neil Chugani. À 51 ans, le dirigeant a déjà occupé des fonctions à responsabilités dans plusieurs clubs français (Strasbourg, Brest, Vannes, Dijon, Lorient et donc Rennes). « Il a l'expérience, les compétences et les qualités humaines pour rebondir à un poste comme celui-là », estime Olivier Dall'Oglio, qui l'a connu au DFCO. Mais au-delà de son parcours, c'est aussi la personnalité de Cloarec qui a convaincu ses nouveaux patrons. Décrit comme très humain, à l'écoute et discret, le futur président toulousain a toujours laissé une bonne image dans les clubs où il a travaillé. « Il a une empathie naturelle, ajoute l'ex-coach de Montpellier et Saint-Étienne. Dans ce milieu, ce n'est pas simple d'avoir cette qualité. » «Il sait exactement où il veut aller. Et il ne va pas chercher à ramener les choses à lui. Il est dans la bienveillance. » Un agent qui a déjà négocié avec Olivier Cloarec et Damien Comolli. Après une fin de collaboration tendue entre RedBird et Comolli, la société de placements new-yorkaise souhaitait se tourner vers un nouveau profil. « La manière sera forcément différente, prévient un agent qui a déjà négocié avec les deux dirigeants et constaté leur mode de fonctionnement. Damien (Comolli) peut être dur s'il n'y a pas de résultat, mais ce n'est jamais gratuit et toujours dans la volonté de faire avancer le club, explique le conseiller de joueurs. Là où Cloarec est malin, c'est qu'il te laisse croire qu'il va composer mais il sait exactement où il veut aller. Et il ne va pas chercher à ramener les choses à lui. Il est dans la bienveillance. » Marqué par son départ soudain de Rennes, dans sa région de coeur, alors qu'aucun indice ne le lui laissait penser, l'ancien membre du conseil d'administration rennais s'est vite tourné vers la suite. Ces derniers mois, le quinqua a continué de se déplacer pour aller voir des matches et s'est perfectionné en anglais, pour se donner toutes les chances de rebondir, dans un projet autour d'un fonds étranger. Sa participation à la modernisation de la Piverdière, le centre d'entraînement du Stade Rennais attendu pour 2026, a aussi joué en sa faveur, Toulouse venant de relancer les travaux de son nouveau centre de performance. Comme les ventes records (Doku, Doué, Aguerd, Camavinga...), permettant au club breton d'empocher plus de 300 millions d'euros sous sa direction. En quête du « profil idéal pour que ce club continue de grandir », selon les mots de l'entraîneur Carles Martinez Novell, la semaine dernière à la reprise, Toulouse s'apprête à entamer une nouvelle ère avec Olivier Cloarec à sa tête. Peut-être avec moins de data, « pas son axe prioritaire même s'il n'en a pas peur », selon un proche observateur, séduit par le personnage : « Il sait déléguer sans problème, mais sait prendre les décisions quand il faut. Il a les codes et le réseau. Sa capacité d'adaptation, c'est le mot qui le caractérise ». Contacté, l'intéressé n'a pas donné suite. Quant au TFC, il a expliqué « ne pas commenter les rumeurs ». À lire aussi Weah et Balerdi au coeur des discussions entre l'OM et la Juventus Hakimi, une machine qui ne s'arrête quasi jamais Ousmane Dembélé attend son or et son pote L'incroyable histoire du «Bernard Tapie de l'Indre»


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35 minutes ago
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Le panache mal payé de Kévin Vauquelin dans le final de la deuxième étape du Tour de France
Avec quatre tentatives, Kévin Vauquelin (Arkéa-B & B Hotels) fut le plus offensif dans le final de la 2e étape, ce dimanche. Victime d'un gros marquage et trop généreux dans l'effort, il a perdu sa meilleure chance de victoire sur ce Tour de France. Un maillot blanc pour seule récompense, c'est trop peu et ç'a le même goût amer qu'au Tour de Suisse, où Kévin Vauquelin avait perdu la tête du général le dernier jour au profit de Joao Almeida (UAE-XRG). « Il y avait un beau coup à faire pour le maillot jaune, a débriefé le puncheur normand. C'est un rêve, et ça s'éloigne un petit peu. C'est un peu chiant. » Le coureur de l'équipe Arkéa-B & B Hotels peut encore en vouloir au Portugais, qui a ruiné un de ses coups ce dimanche, sur la deuxième étape du Tour de France, mais il n'est pas le seul coupable cette fois. Dans ces 10 derniers km punchy à l'approche de Boulogne-sur-Mer, Vauquelin a planté quatre banderilles inutiles, terminant à la 8e place de l'étape qui lui convenait le plus sur cette édition. Victime de son nouveau statut - vainqueur de la 2e étape l'an dernier, 2e de la Flèche Wallonne et du Tour de Suisse -, le Normand de 24 ans a été marqué de près par les favoris et s'est un peu éparpillé avec toutes ces attaques sur des terrains bien différents, à l'image de sa polyvalence. Pris tout de suite en chasse par Mathieu Van der Poel (Alpecin-Deceuninck) - preuve de la méfiance des favoris envers Vauquelin -, le puncheur d'Arkéa-B & B reçoit le soutien du Néerlandais mais flaire le mauvais coup en cas d'arrivée au sprint. De toute façon, Matteo Jorgenson (Visma-Lease a Bike) roule très fort derrière. Cette fois, Vauquelin renonce de lui-même. C'est l'une des plus tranchantes et Oscar Onley (Picnic-PostNL), qui l'a affronté au Tour de Suisse, veut prendre la roue. Cela facilite le travail de Tadej Pogacar (UAE-XRG), juste derrière, et le retour de tout le groupe des favoris à la bascule. Jorgenson suit et offre un premier relais, une vraie cassure se crée. Alexey Lutsenko (Israel-PremierTech) revient fort sur eux et à trois, ils ont des chances d'aller au bout. Mais au grand désespoir du Normand, plus personne ne veut collaborer. « Quand on sort avec Matteo, pourquoi il ne roule pas avec moi ? s'interrogerait Vauquelin à l'arrivée. Je ne comprends pas, même s'il ne faut pas réagir à chaud. C'est dommage, je pense que j'étais très fort, on aurait pu sortir à deux ou trois, je ne sais pas pourquoi ils n'ont pas voulu... » C'est à ce moment-là qu'Almeida, à la tâche pour Pogacar, revient sur le trio. Se sachant déjà battu en cas d'arrivée au sprint, le Normand a voulu anticiper mais cette ultime attaque manque de vitesse, sûrement en raison de sa précédente débauche d'énergie. « À un moment donné, je me suis dit que j'en avais mis beaucoup », a compris Vauquelin. Épuisé et délogé par Pogacar, il n'arrive pas à prendre la roue de Van der Poel et peut définitivement enterrer ses chances au sprint.