Mercato : accord trouvé entre Liverpool et Francort pour le transfert d'Ekitike

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Le Figaro

7 minutes ago

• Le Figaro

Formule 1 : «si vous ne voyez rien, vous pouvez toujours lever le pied», Verstappen mécontent du départ reporté à Spa

Max Verstappen n'était pas du tout d'accord avec la décision du directeur de course de reporter le départ du Grand Prix de Belgique et il l'a fait savoir après l'arrivée. Max Verstappen aurait aimé rouler sous la pluie ce dimanche après-midi à Spa-Francorchamps en Belgique. Mais le directeur de course Rui Marques a décidé de reporter le départ du Grand Prix de plus d'une heure trente pour s'assurer que les pilotes aient une visibilité suffisante et éviter de potentiels accidents. Le quadruple champion du monde est revenu sur ce choix en interview, à l'issue de sa quatrième place finale : «bien sûr, après Silverstone, on a discuté du fait d'être un peu plus prudents dans les décisions (de la direction de course, ndlr), mais là, c'était l'extrême inverse pour moi». Publicité «La piste était praticable» Le Néerlandais a par la suite assuré qu'à «15h pile, il aurait fallu donner le départ. Il ne pleuvait même pas. Et bien sûr, entre les virages 1 et 5, il y avait pas mal d'eau, mais avec deux tours derrière la voiture de sécurité, cela aurait été beaucoup plus dégagé. Et le reste de la piste était de toute façon praticable. C'est un peu dommage», a-t-il regretté. Il a aussi été demandé à Max Verstappen s'il pensait que le circuit de Spa-Francorchamps, où plusieurs décès tragiques ont été à déplorer ces dernières années (notamment sous la pluie), influençait les décisions concernant les risques pris : «oui, possiblement. Bien sûr, au final, ils font ce qu'ils veulent, n'est-ce pas ? Ce sont eux qui décident. Mais je trouve juste que c'est un peu dommage pour tout le monde. On ne verra plus jamais de courses classiques sous la pluie. Plus vous roulez, mieux c'est. Et si vous ne voyez rien, vous pouvez toujours lever le pied car à un moment donné, vous y verrez plus clair». À noter que le pilote Red Bull aurait été avantagé si le départ avait été lancé sous la pluie puisqu'il avait réglé sa monoplace pour des conditions humides, ce qui a peut-être alimenté sa frustration et donc influé sur ses paroles d'après-course.

L'Équipe

7 minutes ago

• L'Équipe

Yohann Ndoye-Brouard qualifié pour la finale du 100m dos des Mondiaux, Mewen Tomac coince

Le Français Yohann Ndoye-Brouard a signé le 7e temps des demi-finales du 100m dos (en 52''47), aux Mondiaux de Singapour. Il se qualifie donc pour la finale, contrairement à Mewen Tomac. Cette fois, Yohann Ndoye-Brouard n'a pas forcé son talent. Meilleur temps des séries après son record personnel (52''30), le Français de 24 ans n'a fini qu'à la 5e place de sa demi-finale ce lundi, mais son temps (52''47) lui suffit pour rallier la finale du 100m dos des Mondiaux de Singapour. Double médaillé de bronze européen sur la distance, il aura une carte à jouer dans cette finale ouverte, mardi à 13h56 (heure française). L'autre Tricolore en lice, Mewen Tomac (23 ans), finaliste en 2023 à Fukuoka, s'arrête cette fois en demi-finales. Qualifié avec le 10e chrono (53''07) pour les demi-finales, il n'est pas parvenu à hausser son niveau (53''15) dans une course dominée par un Kliment Kolesnikov impressionnant, qui en a gardé sur la fin après être parti sur les bases du record du monde. Pourquoi les nageurs se frappent-ils avant une course ?

Le Parisien

7 minutes ago

• Le Parisien

Mercato PSG : Lucas Chevalier à Paris dès la semaine prochaine ?

Activée depuis plusieurs mois, la piste menant à Lucas Chevalier (23 ans) s'accélère sérieusement au PSG. Alors que la prolongation de Gianluigi Donnarumma est gelée, faute d'accord entre les deux parties, le club parisien a pris langue avec le gardien de Lille pour anticiper un possible départ de l'Italien, sous contrat jusqu'en 2026. Luis Campos le connaît bien pour lui avoir fait signer son premier contrat professionnel au Losc et le visualise comme le candidat idéal pour occuper les cages à la place du portier transalpin. L'apport de Lucas Chevalier a déjà été validé par Luis Enrique qui a pu s'entretenir en personne avec le gardien numéro de 2 de l'équipe de France pour lui expliquer ses attentes. En coulisses, les dirigeants des deux clubs sont en contacts depuis plusieurs jours afin de trouver un terrain d'entente. De source lilloise, il faudrait un peu plus de 40 millions d'euros pour convaincre Olivier Létang de céder son gardien titulaire alors qu'il ne cache pas son ambition de monter une équipe taillée pour jouer les premiers rôles en Ligue Europa cette saison. Des pistes ont été activées par Lille, notamment à l'étranger, pour anticiper son départ. En attendant que les échanges aboutissent entre Lille et le PSG, Lucas Chevalier, très emballé par une signature chez les champions d'Europe, a pris ce lundi matin la direction d'Iserlohn, au sud-est de Dortmund, pour participer à un stage de présaison en Allemagne avec les Dogues, du 28 juillet au 2 août. L'équipe entraînée par Bruno Génésio doit rencontrer le Borussia Dortmund, quart de finaliste de la dernière édition de la Coupe du monde des clubs, samedi 2 août, à 17 heures, avant de rentrer en France. Une dernière tournée avant de dire au revoir à son club formateur pour le gardien tricolore ? Ce week-end, un certain optimisme régnait autour du transfert de Lucas Chevalier au PSG . Preuve, peut-être, que les discussions progressent, le jeune gardien Thomas Sajous (17 ans) a été appelé en renfort par le staff lillois pour accompagner l'équipe cette semaine. Comme expliqué sur notre site, tout pourrait aller vite, puisque Paris nourrit l'ambition de le faire avant la reprise de l'entraînement prévue la semaine prochaine (6 août) au Campus de Poissy. Si les délais de finalisation le permettent, il n'y aurait rien de surprenant à le voir se déplacer à Udine (Italie) pour la Supercoupe d'Europe contre Tottenham, le 13 août prochain. Reste à savoir si Donnarumma sera encore un joueur du PSG à cette date. Alors que le dossier Chevalier apparaît comme prioritaire, l'avenir du portier transalpin semble s'écrire loin de Paris. La règle était simple : soit il prolonge, soit il part. Un accord n'ayant pu être trouvé et le dossier de son remplaçant placé en haut de la pile, les prochains jours s'annoncent mouvementés chez les gardiens.