
La femme qui a vendu la kétamine ayant tué Matthew Perry va plaider coupable
Connue dans certains milieux hollywoodiens comme la « reine de la kétamine », Jasveen Sangha, 42 ans, « devrait officiellement plaider coupable dans les semaines à venir », a fait savoir le parquet fédéral de Californie dans un communiqué.
VidéoLa mort de Matthew Perry a été causée par une prise de kétamine
Actuellement en détention provisoire, cette Américano-britannique risque jusqu'à 65 ans de prison dans le cadre de l'accord de plaider coupable, qui inclut plusieurs chefs d'accusation, dont celui de distribution de kétamine ayant entraîné la mort.
Retrouvé inconscient dans son jacuzzi
La mort de Matthew Perry, retrouvé inconscient dans son jacuzzi en octobre 2023, avait choqué les fans de « Friends » et suscité une pluie d'hommages à Hollywood.
L'acteur, qui interprétait le rôle de Chandler Bing dans la série à succès, avait parlé publiquement de ses problèmes d'addiction.
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Le Parisien
5 hours ago
- Le Parisien
Jean Pormanove : « Les images ne sont que des mises en scène », défend l'avocat du streamer Naruto, accusé d'avoir violenté « JP »
Depuis la mort en direct du streamer Jean Pormanove, de nombreuses vidéos refont surface sur les réseaux sociaux. Violences physiques, défis extrêmes, humiliations… De nombreux extraits témoignent des souffrances vécues et diffusées en direct depuis des mois par « JP » sur la plate-forme de streaming Kick et sur la chaîne YouTube @LeLokalTV, avec d'autres streamers, dont « Naruto » et « Safine ». Si rien ne permet pour l'heure d'établir un lien formel entre ces séquences et la mort du streamer, les images scandalisent. Me Yassin Saoudini, avocat d'Owen Cenazandotti, connu sous le pseudonyme de Naruto, a évoqué le sujet ce mardi soir. « Toutes ces scènes ne sont que des mises en scène issues d'un script entre Naruto et le défunt tout simplement », a-t-il déclaré, sur BFMTV. Une « mise en scène » à laquelle aurait aussi participé la mère du défunt, selon l'avocat, « notamment lors de différents lives ». « Elle appelait mon client et il y avait un jeu où elle devait l'insulter, mais tout cela n'était qu'une mise en scène », insiste-t-il. [4/4] Cécile Vallin, les secrets d'une disparition Crime story raconte chaque semaine les grandes affaires criminelles. Écouter « Il n'y est pour rien » L'avocat a rappelé qu'il n'y avait « aucun élément constitutif de quelconque infraction » à l'encontre de son client, « bouleversé » par la mort de son « meilleur ami ». « Il n'y est pour rien et l'enquête le déterminera. Il se tient prêt à être entendu et à donner toutes les informations utiles. L'autopsie déterminer les raisons de la mort », souligne-t-il, chez nos confrères. Indiquant que son client était victime de cyberharcèlement, Me Yassin Saoudini a annoncé qu'il avait déposé plainte. Par ailleurs, cette même source ajoute que son client est en lien avec la mère et le frère de Jean Pormanove. La mère écarterait, selon lui, toute responsabilité de son client dans la mort de son fils.


Le Figaro
6 hours ago
- Le Figaro
À New York, la magistrale leçon d'élégance «old Hollywood» de Pamela Anderson
Lors de la promotion du film Y a-t-il un flic pour sauver le monde ?, la star d'Alerte à Malibu a rendu hommage à de nombreuses icônes du Hollywood d'antan, de Marilyn Monroe à Grace Kelly. Il y a les influenceuses mode, et il y a les icônes. Depuis plusieurs semaines à New York, Pamela Anderson intègre définitivement la deuxième catégorie : celle qui regroupe ces actrices de plus de cinquante ans qui n'ont plus rien à prouver - au point de complètement délaisser le maquillage -, et enchaînent les looks toujours plus pointus et inspirants. En pleine promotion du film Y a-t-il un flic pour sauver le monde ? depuis la fin du mois de mai, dans lequel elle partage le premier rôle avec son nouveau compagnon, Liam Neeson, la star d'Alerte à Malibu a transformé New York en un terrain de jeu vestimentaire, remettant au goût du jour la tendance «old Hollywood». À lire aussi Liam Neeson et Pamela Anderson posent ensemble avec leurs enfants respectifs à New York Fin mai déjà, elle arborait une robe chemise en popeline signée Marni. Une pièce immaculée imprimée d'une multitude de roses rouges et noires, caractérisée par une taille cintrée, des boutons dans le dos et une jupe sirène évasée et froncée. Le tout complété par trois accessoires calqués sur le vestiaire emblématique de Grace Kelly : escarpins à talons hauts, lunettes de soleil œil-de-chat et foulard blanc sur la tête. Pamela Anderson en total look Marni. (New York, le 21 mai 2025.) Aeon / GC Images Publicité La même journée, Pamela Anderson a opté pour un look cette fois inspiré de Jackie Kennedy : une mini-robe en tweed à paillettes Marc Jacobs sans manches, complétée par des collants noirs opaques, des escarpins pointus encre, un microsac à main en cuir Dual et des lunettes mouche. Petites marques et maisons de luxe «Pas de styliste, pas d'équipe glamour, c'est juste moi», a déclaré l'actrice américaine sur le tapis rouge des Golden Globes le 5 janvier dernier, appuyant l'idée que, contrairement à beaucoup de célébrités, c'est bien elle qui décide comment s'habiller. Et c'est peut-être ce parti pris, aussi, qui fait toute la différence, rendant ses silhouettes toujours plus mémorables et spontanées. D'autant qu'elle privilégie aussi bien les grandes maisons de mode que les marques émergentes. Pamela Anderson en Gucci. (New York, le 30 juillet 2025.) Lloyd Bishop/NBC via Getty Image Fin juillet donc, toujours à New York, elle était vêtue d'un ensemble Willy Chavarria, l'étoile montante de la mode américaine qui a récemment habillé Jessica Alba. Un look tiré de la collection printemps-été 2026 du label, composé d'une blouse vert menthe et d'une jupe en brocart assortie. Tandis que quelques jours plus tard, en direction du plateau de l'émission Late Night with Seth Meyers, elle a été photographiée en total look Gucci jaune beurre avec chemisier drapé à col montant et jupe crayon bordée de dentelle. Toujours coiffée de son brushing blond à la Marilyn Monroe dont elle ne se lasse visiblement plus.


Le Figaro
8 hours ago
- Le Figaro
Mort de Joe Caroff, l'homme au crayon d'or qui a imaginé le logo 007
L'artiste américain, à qui l'on doit également les affiches de Manhattan et West Side Story, est décédé à l'âge de 103 ans. Pour l'emblème de la saga James Bond, il avait touché à l'époque 300 dollars. Son œuvre était plus connue que son nom. Le graphiste Joe Caroff est décédé dimanche à 103 ans à New York. Avec un style à la fois élégant, fantaisiste et épuré, cet artiste est à l'origine de certaines des affiches les plus emblématiques de Hollywood. Du film de Woody Allen Manhattan à la comédie musicale West Side Story, en passant par Le dernier Tango à Paris avec Marlon Brando et Maria Schneider. Il avait également travaillé avec Martin Scorsese sur La Dernière Tentation du Christ et illustré la couverture du roman Les Nus et les morts signé Norman Mailer, un classique de la littérature américaine. Son œuvre restée la plus célèbre parmi cette production ? Le logo 007 de James Bond. À lire aussi James Bond ne peut pas être une femme, selon Helen Mirren Publicité 300 dollars pour une œuvre iconique C'est pour le premier long-métrage de la saga, Dr. No (1962), qu'il avait été chargé de créer le fameux logo. Le natif du New Jersey était parti du principe que James Bond, en bon agent secret, devait bénéficier d'un permis de tuer et d'une arme. « Il fallait qu'il y ait un pistolet », se souvenait Joe Caroff dans un documentaire de 2022, intitulé By Design: The Joe Caroff Story . Le graphiste trouvait cependant le très compact Walther PPK de l'agent de Sa Majesté peu attrayant. L'inspiration lui viendra en identifiant dans la ligne supérieure du chiffre 7 le canon allongé d'un pistolet. Pour ce logo devenu iconique, Joe Caroff n'a reçu à l'époque que la somme de 300 dollars, sans redevances supplémentaires. Son nom n'a jamais figuré au générique des films. En guise de remerciements tardifs, Caroff a finalement reçu de la part de la production une montre Omega, gravée du logo, pour son 100e anniversaire. Sa femme, Phyllis, décédée en février de cette année, regrettait que les producteurs n'aient jamais eu à lui verser de droits d'auteur - la pratique était moins courante qu'aujourd'hui. « Nous aurions été riches », estimait-elle. Mais si la saga James Bond n'a pas apporté la fortune à son époux, elle lui a permis de multiplier les contrats. « Ce fut comme un coup de publicité pour mon art », concédait le dessinateur. Joe Caroff avait reçu la somme de 300 dollars pour le logo 007. Capture d'écran YouTube / Turner Classic Movies Joe Caroff avait la réputation de ne pas faire étalage de sa carrière, au cours de laquelle il a pourtant imaginé environ trois cents affiches de longs-métrages. « Je n'en ai jamais fait toute une histoire », concédait-il dans le documentaire By Design. « C'était mon travail, j'aimais le faire et j'ai toujours respecté mes délais. » La discrétion d'un artiste dont les créations trônaient tout en haut de l'affiche.