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Tennis : le cauchemar continue pour Berrettini, forfait pour l'US Open

Tennis : le cauchemar continue pour Berrettini, forfait pour l'US Open

Le Figaro2 days ago
Matteo Berrettini a été contraint de déclarer forfait pour l'US Open. L'Italien va manquer son cinquième tournoi consécutif. Brandon Holt le remplace dans le tableau principal.
Un nouveau forfait pour Matteo Berrettini. L'Italien enchaîne les pépins physiques depuis plusieurs mois et ne sera donc pas présent à l'US Open. En mai dernier à Rome, il ressentait déjà une trop grande douleur aux abdominaux pour pouvoir poursuivre son match face à Casper Ruud.
Son dernier tournoi remonte à Wimbledon, il avait perdu dès le premier tour en cinq sets contre Kamil Majchrzak (4-6, 6-2, 6-4, 5-7, 6-3). Le Romain avait pourtant atteint la finale du Grand Chelem londonien il y a quatre ans. Depuis, Berrettini a manqué quatre autres tournois ATP à cause de blessures: Gstaad, Kitzbuhel, Toronto et Cincinnati.
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«Ça commence à être un peu lourd»
Après sa défaite à Wimbledon, l'Italien était d'ailleurs insatisfait de son état actuel : «Honnêtement, ce n'est pas comme ça que je veux être sur le terrain. J'ai besoin de prendre un peu de temps et de réfléchir à mon avenir. Il faut que je trouve une autre façon de rester sur le terrain, car ça commence à être un peu lourd. Mon équipe pensait que je me sentirais peut-être mieux ici, mais cela n'a pas fonctionné».
Matteo Berrettini est le troisième joueur d'envergure à déclarer forfait pour l'US Open. Le Bulgare Grigor Dimitrov et le Polonais Hubert Hurkacz l'ont fait avant lui. Brandon Holt, qui avait obtenu une wild card (invitation des organisateurs), intègre directement le tableau principal.
À VOIR AUSSI - Mercato : «C'est incroyable», les mots d'Illya Zabarnyi après son arrivée au Paris SG
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time44 minutes ago

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Tennis de table : déjà éliminé en simple, Félix Lebrun s'arrête au deuxième tour du double en Suède

Félix Lebrun et Thibault Poret ont été éliminés par la paire chinoise Lin Shidong/Huang Youzheng, tête de série n°3, à Malmö. Éliminé d'entrée en simple du Grand Smash d'Europe disputé en Suède, Félix Lebrun s'est arrêté au stade du deuxième tour en double mercredi aux côtés de Thibault Poret, après une défaite en trois sets devant les Chinois Lin Shidong et Huang Youzheng. Habituellement associé à son grand frère Alexis Lebrun, absent à Malmö, le Montpelliérain et son compatriote de 21 ans n'ont rien pu faire face aux têtes de série n°3, qui ont mené de bout en bout de la partie (11-4, 11-3, 11-8). N°6 mondial, Félix Lebrun avait connu une grosse déception lundi en étant éliminé dès le premier tour par le Sud-Coréen Jang Woo-Jin (25e). Publicité Mercredi, en simple dames, Jia Nan Yuan et Prithika Pavade n'ont pas pu créer l'exploit face aux Chinoises Sun Yingsha (1e) et Chen Xingtong (3e). Elles s'arrêtent au deuxième tour bien qu'étant parvenues à décrocher un set face à leurs adversaires du jour. En simple, seul Simon Gauzy poursuit pour le moment sa route côté Français. Il affrontera le Belge Adrien Rassenfosse, tombeur du Chinois Liang Jingkun au tour précédent, pour tenter de rallier les quarts de finale de ce troisième Grand Smash de la saison.

À Venise, le football vit caché
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L'Équipe

time2 hours ago

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À Venise, le football vit caché

Venise : ses canaux, sa lagune, sa situation géographique et son stade au bord de l'eau... La Cité des Doges constitue un endroit unique au monde pour pratiquer et vivre le football, alors que le club vient d'être relégué en Serie B. Venise est de ces rares villes qui ne laissent personne insensible. Qu'on l'ait visitée ou non, on l'a rêvée, fuie, aimée, peut-être haïe, après un coup de soleil lors d'une balade en gondole ou une trop longue file d'attente au palais des Doges. L'art, le cinéma, la musique ou des couples d'amis nous rappellent souvent à son souvenir. Le foot, pas vraiment. « Je ne savais même pas qu'il y avait une équipe », me glisse un touriste français croisé à l'aéroport. Malgré des passages en Serie A, Venise ne s'impose toujours pas comme une ville de foot dans l'imaginaire collectif. Et difficile d'en vouloir aux voyageurs. Retrouvez d'autres villes de foot Alors que l'Italie frémit avant le dernier week-end de mai pour l'ultime journée qui sacrera Naples au détriment de l'Inter, et que la Cité des Doges joue sa survie dans l'élite face à la Juve, la place Saint-Marc semble impassible. Malgré le fourmillement infernal du coeur de ville, je n'aperçois ni maillot du club, ni bar en fusion. Ici, c'est la norme. Le foot vit caché. Pour le trouver, il m'a fallu me perdre dans le labyrinthe de ses étroites ruelles. Tout d'un coup, j'entends un gang de pigeons s'envoler, effrayé par le rebond d'un ballon bleu sur l'église San Giacomo dell'Orio. C'est là, sur ces campos, que les jeunes locaux inventent le foot à la vénitienne. « C'est à San Giacomo que j'ai appris à jouer. On créait notre espace de jeu, ça favorise la créativité ! » sourit Tommaso Kusch, 20 ans et enfant de la ville. Comme il le faisait avec ses potes dix ans plus tôt, une quinzaine de gosses s'y sont rejoints, juste après la cloche de fin des cours. Le mur de l'église se mue en but, quand ce rôle n'est pas joué par des pulls en boule ou des sacs à dos. Et là, plus rien d'autre n'existe. Ni moi, qui tente timidement de leur montrer mes talents après que la balle m'a frôlé, ni les touristes autour desquels ils slaloment. Quand les ballons finissent dans l'eau En balayant le campo du regard, on tombe sur trois fillettes à la chasse aux fourmis, un autre groupe dessinant une marelle à la craie et des parents sirotant un verre au bar d'à côté, en les surveillant à peine, dans cette ville sans voiture. Ici, il n'y a que des gondoles, très utiles pour récupérer les ballons flottant dans les canaux. « Jouer au foot à Venise, c'est ça. On a des interactions uniques au monde », assure Tommaso, dans un français parfait. Si son foot de rue n'est pas célèbre pour avoir sorti des stars, il s'est créé une identité. « En Italie, quand quelqu'un garde trop la balle, on lui dit : "Arrête de faire ton Vénitien", argue Ermanno Rosso, président depuis 2012 du club de Sacca Fisola, petite île au sud de Venise. Dans la rue, les petits font peu de passes et les tennis-ballons au-dessus des canaux les ont rendus techniques. Comme des Brésiliens ! » Sur sa minuscule terre, à cinq minutes de vaporetto (bateau-bus, transport en commun local) du centre historique, l'élégant Ermanno tente de faire perdurer le foot traditionnel. « Dans le passé, notre île était gangrénée par le crime, la mafia, la malavita. On se servait du foot pour sortir les gamins de la rue. Aujourd'hui, on a gardé cette mission sociale. » Les années ont apaisé les moeurs. Mais sur son îlot hors du temps, rien ne semble avoir bougé depuis des décennies, si ce n'est la rénovation du terrain synthétique communal, niché au creux de bâtiments colorés mais décrépis. Le logo du club, ce lion de Saint-Marc ballon à la patte, rugit sur le mur du petit QG. Une publication partagée par Pitchhunters (@pitchhunters) Et, comme depuis la plupart des terrains vénitiens, on profite d'une vue sur mer. « Chaque année, une cinquantaine de ballons finissent à l'eau », se marre Ermanno. Heureusement, Andrea Rizzo, directeur sportif du club et gondolier, en sauve. « Je fais le meilleur métier du monde ! » se réjouit-il. Plus de touristes que d'habitants Plus les années passent, moins les ballons disparaissent. Non, les enfants de Sacca Fisola ne sont pas devenus des finisseurs hors pair, ils sont juste moins nombreux. « Avant, il y avait une vingtaine d'équipes dans tout Venise. Aujourd'hui, elles se comptent sur les doigts d'une main : le Lido, Burano, Murano... Les autres ont disparu ou fusionné », regrette-t-il, en m'offrant un spritz au bar du coin. Le foot n'est qu'un symptôme du mal qui ronge la Cité des Doges : en soixante-quinze ans, elle a perdu plus de 70 % de sa population. Trop prisée, la belle Venise ne s'appartient plus, abandonnée aux touristes et aux pigeons. Croulant sous le poids de la foule, le pont du Rialto devient celui des soupirs pour les locaux. La vie se fait plus coûteuse. Alors, beaucoup laissent leur maison familiale se transformer en Airbnb ou en hôtel, leur boutique se faire engloutir par la vague d'immigration bangladaise (à Venise, un nouveau citoyen italien sur trois vient du Bangladesh)... Et peu à peu, l'identité si particulière de la ville s'évapore. Depuis le 9 septembre 2023, le nombre de lits touristiques a dépassé celui des résidents. « Le tourisme, c'est notre pétrole, mais il étouffe Venise. Nos enfants ne peuvent plus y acheter de logement. Ils doivent quitter la ville. La population vieillit », constate Ermanno Rosso. Visite guidée de Bergame, nouvelle place forte européenne En me promenant sur son immense place Saint-Marc, je comprends mieux la chanson de Serge Reggiani : Venise n'est pas en Italie, ici, c'est chez n'importe qui. Au creux de ses ruelles où les piétons font des bouchons, rares sont les fois où l'italien m'effleure les tympans. Cette démographie unique offre à ses footballeurs pros un privilège : celui de vivre totalement incognito dans leur ville. En ce jour de match, mettre la main sur un supporter du Venezia FC devient une sorte de Où est Charlie ? Sauf qu'on interchange son t-shirt rayé, porté par les gondoliers, par un maillot. Pour en trouver, j'ai triché : un groupe d'habitués de la Curva Sud m'attend au Campo San Paulo. Écharpe au cou, maillot au corps, la bande a promis de me faire vivre la « véritable expérience d'avant-match vénitienne ». Le bateau, le bus des stades vénitiens Dès le pied posé sur l'embarcation en bois de Rocco Plessi, l'un des copains, l'engagement était tenu. Sous la lumière du soir, notre petit bateau navigue entre les sublimes façades gothiques de la cité, avant de s'enfoncer au coeur de la lagune. Plus ça accélère, plus je suis trempé. Dans un vaporetto au loin, j'aperçois drapeaux et maillots de la Juve. « Parfois, avant les matches, des bateaux remplis de supporters adverses se croisent. Celui qui chante le plus fort gagne la bataille navale », raconte Marco Minto, 31 ans, peintre en parallèle de son job en marketing. La barque jette l'ancre Via Garibaldi, à un quart d'heure à pied du stade. Repaire des supporters, la rue se gorge de tifosi au fil des minutes. Du noir dans le regard des pessimistes, du blanc sur les maillots et de l'orange dans les verres de spritz, cette jeune foule dégage une esthétique rare. Leurs maillots, chics et inspirés de la ville, y sont pour beaucoup. Depuis plusieurs saisons, ces pièces s'arrachent à l'international. Le fruit d'une imagerie insufflée par Ted Philipakos, directeur de la marque du club de 2020 à 2023 et créateur des maillots. « Ma mission était de faire du club un ambassadeur de cette cité unique en représentant ses valeurs, sa culture et ses habitants », m'explique l'Américano-Grec. Sa plus belle réussite n'est pas d'avoir remis Venise sur la carte du foot, mais d'avoir reconquis l'amour de ses habitants. « Ma plus grande fierté ? Voir le stade plein : des hommes, des femmes, des jeunes, des vieux, des locaux, des touristes... » L'heure tourne, les verres n'ont plus d'orange, alors ce beau monde se presse. Cap à l'est, quartier de Sant'Elena, principal vestige de l'âme vénitienne sur l'île. Au fil des pas, l'ambiance s'italianise. Les commerces se raréfient, les murs prennent une couleur de terre battue, les vêtements sèchent au soleil sur un fil attaché d'un côté à l'autre de la rue... « C'est un endroit un peu oublié des touristes. Les résidents ont peur que leur trésor soit découvert », taquine Tommaso Kusch, jeune président de l'association sportive Sant'Elena. Longeant la mer, le chemin emprunté me mène à un premier terrain, rénové quelques jours plus tôt. Sur ce synthétique, une vingtaine d'enfants s'affrontent. Les arbres, la mer, et le soleil se couchant au dos du Campanile di San Giorgio Maggiore les observent. « C'est le seul terrain public où les jeunes peuvent jouer quand ils veulent », note Tommaso. L'arène étant pleine, des touristes espagnols improvisent un foot sur l'herbe avoisinante. Comme un symbole de deux Venise qui vivent côte à côte mais ne se parlent pas. En marchant quelques centaines de mètres, j'arrive au nid du Venise FC. Ici, le parking est un port - on aperçoit les mâts depuis le stade - et, en ce soir de match, le brouhaha camoufle la mélodie des coques qui s'entrechoquent. Trônant sur la pointe est de l'île historique, face à la mer, le stade Pier Luigi Penzo, inauguré en 1913, est le deuxième plus ancien d'Italie. Sûrement le plus spécial. « J'y ai joué près de 150 matches et j'ai vécu chaque fois comme si c'était la première, confie l'ex-défenseur Marco Modolo, légende du club avec 273 rencontres entre 2009 et 2024. Arriver en bateau, ressentir la beauté de la ville... Tu ne peux vivre ça nulle part ailleurs. Pour nos adversaires, c'est tout aussi fou ! » Le déménagement, un déchirement Cette expérience unique se contera bientôt au passé. Si, d'après une étude de l'Institut national italien de géophysique et de volcanologie parue en mars, Venise pourrait se voir submergée en 2100, le Venise FC, lui, quittera la lagune dès 2027. En avril, le club a annoncé la construction de son nouveau stade de 18 500 places proche de l'aéroport Marco-Polo, sur la partie terrestre. Un déchirement, pour beaucoup. « On perd une partie de notre identité. Le nouveau stade ne pourra pas être aussi romantique », se résigne Marco Minto, même si ce déménagement l'arrange. Comme beaucoup de fans, il habite Mestre, de l'autre côté du pont de la Liberté. Et si ce grand brun appelle son équipe « l'Union », c'est parce qu'à la fin des années 1980, le calcio de Venise terre et de Venise mer ne faisait qu'un. L'éphémère fusion Venise-Mestre n'a laissé qu'un mince héritage au club : sa couleur orange et une petite rivalité. « La ville de Mestre, c'est presque un autre pays ! » lance Tommaso Kusch. Depuis 1991, la partie terrestre fait à nouveau cavalier seul en Serie D. « Le dernier derby remonte à neuf ans. L'ambiance était chaude ! » rit Enrico Busolin, directeur général de l'AC Mestre. L'atmosphère l'est un peu plus ce 25 mai. Depuis la tribune, je vois et j'entends les Curve finaliser leurs préparatifs, accompagnées par One Dance de Drake. Ça peut paraître fou mais, si ce match se joue, c'est aussi un peu grâce au rappeur canadien et à sa marque Nocta, l'équipementier du club depuis l'été dernier. En août 2024, alors que l'équipe venait de valider sa montée en Serie A, l'artiste a évité aux propriétaires américains de vivre la quatrième faillite du club (après 2005, 2009 et 2015) en levant 34,3 millions d'euros. Que Drake ne se vexe pas, son art ne fera pas danser les fans ce dimanche. À moins d'un miracle, car c'est ce qu'il faut pour maintenir le club : un succès face à la Juve et une contre-performance de Lecce et Empoli. « Au cas où le "miracolo" se produirait », Edoardo Mognato, natif de Venise, est rentré de Serbie, où il travaille. Heureusement, pas de retard d'avion, car dès la première minute, les locaux marquent. Le stade explose. En soixante-dix secondes, « l'impossible » se transforme en « et si » ? La rivalité avec Padoue en Serie B Mais quatre-vingt-dix minutes de combat plus tard, le soleil a disparu au-dessus du Penzo et les espoirs aussi : défaite 2-3, victoire de Lecce et descente en Serie B. Que c'est triste Venise, quand on ne gagne plus. Les vaincus vont saluer la Curva Sud, l'air désolé. La tribune chante et applaudit ses soldats vaincus. « Les fans ont été fantastiques, ils savent que l'équipe a tout donné », confie Marco Modolo, membre du staff. Les supporters quittent le stade. « Je suis un peu triste, mais on se doutait que ça finirait ainsi, le club n'a pas d'argent (plus petit budget avec 45 millions d'euros). Venise en Serie A, c'était un mirage », reconnaît Marco Minto. Ce n'est pas faux : depuis la création de ce Championnat voilà presque cent ans, le club n'y a évolué que quatorze saisons. « Venise est unique et le restera, quelle que soit la division. Nous reviendrons », renchérit-il avant de prendre son bateau retour. Au bar Strani, leur QG, les fans boient le verre à moitié plein : six ans après, ils vont retrouver Padoue, leur meilleur ennemi, promu de Serie C. Et pourront se consoler avec leur autre club. Car ici, trop habitués à voir le VFC squatter les divisions inférieures, chacun s'est choisi une équipe de coeur dans l'élite. « Moi, je supporte l'AC Milan. Venise, c'est ma mère, Milan, c'est ma femme », avoue Ermanno Rosso. Plus qu'à attendre le prochain repas de famille.

Tennis : Swiatek remonte au deuxième rang, Gracheva gagne vingt places
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Le Figaro

time5 hours ago

  • Le Figaro

Tennis : Swiatek remonte au deuxième rang, Gracheva gagne vingt places

Grâce à son succès à Cincinnati, la Polonaise gagne une place dans la hiérarchie. Joli bond pour la Française Gracheva. Encore loin de la reine Aryna Sabalenka, l'ancienne numéro un mondiale Iga Swiatek profite de sa victoire finale lundi à Cincinnati pour remonter au deuxième rang aux dépens de Coco Gauff, dans le nouveau classement WTA. Victorieuse du WTA 1000 dans l'Ohio - le 24e titre de sa carrière - à quelques jours du début de l'US Open, la Polonaise de 24 ans retrouve un rang qu'elle n'avait plus occupé depuis le mois de mai. Elle compte moins de 100 points d'avance sur Gauff, tandis que Sabalenka dispose encore d'un matelas confortable avec plus de 3.000 points de plus. Publicité Finaliste malheureuse à Cincinnati, l'Italienne Jasmine Paolini en profite néanmoins pour grimper d'une place (8e), au sein d'un Top 10 qui compte quatre joueuses américaines (outre Gauff, Jessica Pegula 4e, Madison Keys 6e et Amanda Anisimova 9e). Chez les Françaises, Loïs Boisson, qui s'est inclinée lundi au premier tour à Cleveland, reste la numéro un (46e, +1). Mais c'est Varvara Gracheva, quart de finaliste à Cincinnati, qui se distingue avec un bond de 20 places lui permettant de réintégrer le Top 100 (83e). Elle devance Léolia Jeanjean, qui obtient le meilleur classement de sa carrière (91e, +4), et Elsa Jacquemot (98e, -2). . Classement WTA au 19/08: 1. Aryna Sabalenka (BLR) 11225 pts 2. Iga Swiatek (POL) 7933 (+1) Publicité 3. Coco Gauff (USA) 7874 (-1) 4. Jessica Pegula (USA) 4903 5. Mirra Andreeva (RUS) 4733 6. Madison Keys (USA) 4699 7. Zheng Qinwen (CHN) 4433 Publicité 8. Jasmine Paolini (ITA) 4116 (+1) 9. Amanda Anisimova (USA) 3869 (-1) 10. Elena Rybakina (KAZ) 3663 11. Emma Navarro (USA) 3095 12. Karolina Muchova (CZE) 2838 (+2) 13. Elina Svitolina (UKR) 2834 14. Ekaterina Alexandrova (RUS) 2786 (+2) 15. Clara Tauson (DEN) 2781 16. Paula Badosa (ESP) 2564 (-4) 17. Daria Kasatkina (AUS) 2361 18. Belinda Bencic (SUI) 2265 (+1) 19. Liudmila Samsonova (RUS) 2166 (-1) 20. Beatriz Haddad Maia (BRA) 2074 (+1) ... 46. Loïs Boisson (FRA) 1218 (+1) 83. Varvara Gracheva (FRA) 861 (+20) 91. Léolia Jeanjean (FRA) 809 (+4) 98. Elsa Jacquemot (FRA) 766 (-2)

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