
«I love you, Kate !» : l'éclat de rire de Kate Middleton après la déclaration d'un inconnu à Wimbledon
Un silence solennel, puis trois mots qui ont tout changé. Dimanche 13 juillet, sur le court central de Wimbledon, Kate Middleton serre la main des ramasseurs de balles et s'apprête à remettre les trophées de la finale du simple messieurs quand soudain une voix masculine brise le protocole : «Je t'aime, Kate !» L'auteur de cette déclaration d'amour, perdu dans les gradins ? Un certain Jim Sichko, 58 ans, prêtre catholique venu du Kentucky pour assister au prestigieux tournoi de tennis. Face à cet élan d'affection inattendu, la princesse de Galles n'a pas pu s'empêcher de rire. Une réaction rare qui a immédiatement fait le tour des réseaux sociaux.
«Il y avait de la joie dans l'air»
«C'était un moment de vraie spontanéité. Il y avait de la joie dans l'air», confie à People le père Sichko, qui assistait à l'événement avec sa sœur et quatre couples dans le cadre d'une vente aux enchères caritative. Le religieux, lui-même survivant d'un cancer du rein et de la prostate, avoue avoir agi sur un coup de tête, sans vraiment mesurer l'impact de son geste. «Je n'avais même pas remarqué que [Kate] avait réagi», avoue-t-il. Ce n'est qu'en découvrant les vidéos virales sur les réseaux sociaux qu'il a pris conscience de l'effet de ses mots sur la princesse. «J'ai commencé à chercher sur Google et les gens montraient à quel point elle était enthousiaste et souriante. C'était très émouvant pour moi, car, encore une fois, tout s'est passé très vite.»
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«Kate a du cœur»
«On reconnaît facilement l'authenticité d'une personne, et elle l'est», affirme le prêtre du diocèse catholique romain de Lexington et missionnaire de la Miséricorde du pape Léon XIV, qui comprend aussi la pression qui pèse sur les épaules de Kate Middleton à force d'être constamment sous les feux des projecteurs. «Elle aurait pu ignorer complètement mon appel. Elle aurait même pu me regarder d'un air narquois : "Qu'est-ce que tu fais ? Ce doit être un Américain !"», analyse-t-il. «Rien de tout cela. En fait, c'était tout le contraire, et cela confirmait mon intuition : elle a du cœur, elle tient à ce rôle, elle le vit et il le transmet.»
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