
Lennart Monterlos, le jeune cycliste franco-allemand arrêté en Iran le 16 juin, est «innocent de tout» affirme sa famille
Le cyclo randonneur franco-allemand arrêté en Iran le mois dernier et détenu depuis dans un lieu inconnu, est «innocent de tout», ont affirmé ce jeudi ses parents et amis dans un communiqué à l'AFP.
«Nous demandons aux autorités iraniennes qui le détiennent un signe de vie et de pouvoir rentrer en contact avec lui au plus vite», demandent les proches de Lennart Monterlos, qui précisent que le jeune homme de 19 ans a été arrêté le 16 juin à Bandar-Abbas, en Iran, devenant ainsi le troisième Français détenu dans ce pays.
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- Le HuffPost France
Les prix du timbre et des colis vont augmenter en 2026, voici de combien
ÉCONOMIE - Une hausse significative. Envoyer une lettre classique, un recommandé ou un colis coûtera en moyenne 7,4 % plus cher à partir du 1er janvier 2026, a annoncé La Poste ce lundi 28 juillet dans un communiqué transmis à l'AFP. L'an dernier, les tarifs avaient déjà augmenté de 6,8 % en moyenne. Le groupe public justifie cette hausse nette des tarifs d'affranchissement par la nécessité « d'assurer la pérennité du service universel postal avec une qualité élevée » alors que la baisse continue du nombre de lettres transportées fait diminuer les revenus de La Poste depuis des années. Malgré le renouvellement pour dix ans de son mandat de prestataire de service universel postal, La Poste fait face à une attrition du courrier. Chaque année, elle perd « 500 millions d'euros de chiffre d'affaires » pour cette raison, a régulièrement rappelé le PDG de l'entreprise Philippe Wahl, désormais à la présidence par intérim du conseil d'administration du groupe public, qui a réalisé 34,6 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2024. De 1,39 à 1,52 euro pour la lettre verte Ainsi, au 1er janvier 2026, le prix d'une lettre recommandée de 20 g sera porté de 5,74 à 6,11 euros. Celui de la lettre services plus, pour les envois de documents importants, passera de 3,15 à 3,47 euros. Le tarif de l'e-lettre rouge, pour les envois urgents distribués le lendemain, sera porté de 1,49 à 1,60 euro. Le prix de la lettre internationale jusqu'à 20 g sera porté lui de 2,10 à 2,25 euros. La lettre verte, pour les envois du quotidien, passera à 1,52 euro contre 1,39 aujourd'hui. La Poste souligne que les clients du service en ligne de timbres à imprimer chez soi (MonTimbrenLigne) bénéficieront de remises « en fonction du poids de leur lettre par rapport au tarif public classique ». Enfin, les tarifs des Colissimo envoyés par les particuliers augmenteront en moyenne de 3,4 % toutes destinations confondues (France et international). La hausse des prix n'entraînera pourtant pas d'augmentation « du budget des ménages » pour les services postaux, fait valoir La Poste : « En 2025, le budget d'un ménage en produits postaux représente 28 euros par an en moyenne ». Or, « compte tenu de la baisse d'envois de courriers, cette dépense en produits postaux devrait s'afficher en diminution de 6 % en 2026 », argumente-t-elle.


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2 days ago
- Le Parisien
Le prix des timbres et des colis augmentera de 7,4 % en moyenne en 2026, annonce La Poste
Une hausse de plus. Le prix d'affranchissement des courriers et des colis augmentera en moyenne de 7,4 % au 1er janvier 2026, avec notamment une hausse de 9,35 % pour la lettre verte pour les envois du quotidien, qui passera à 1,52 euro contre 1,39 aujourd'hui, a annoncé La Poste lundi à l'AFP par communiqué. Le groupe public justifie cette hausse nette des tarifs d'affranchissement par la nécessité « d'assurer la pérennité du service universel postal avec une qualité élevée » alors que la baisse continue du nombre de lettres transportées fait diminuer les revenus de La Poste depuis des années. > Plus d'informations à venir sur


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Angola : 2000 manifestants à Luanda contre la hausse du coût de la vie
Quelque 2000 personnes ont manifesté samedi à Luanda, la capitale angolaise, pour dénoncer la hausse des prix du carburant et des coûts de transport, brandissant des pancartes hostiles au gouvernement, a constaté un correspondant de l'AFP. Un important déploiement de policiers en tenues anti-émeutes a encadré la manifestation, organisée à l'appel de plusieurs associations de la société civile. De précédentes manifestations avaient eu lieu les samedi 12 et 19 juillet. La manifestation était autorisée, mais la police a bloqué la progression du cortège à plusieurs reprises avant de le disperser à la tombée de la nuit. Le 12 juillet, deux manifestants avaient été grièvement blessés et plusieurs autres arrêtés. Publicité Le gouvernement angolais a augmenté le 1er juillet le prix du litre de carburant de 300 à 400 kwanzas (27 à 36 centimes d'euros). Les prix de l'essence sont toujours largement subventionnés dans le pays, un des principaux producteurs de pétrole du continent. Mais cette hausse a été répercutée sur le coût des transports (publics et taxis), faisant pleinement sentir ses effets sur le pouvoir d'achat de nombreux Angolais. «La population est dans la souffrance» «Je suis venu me solidariser au peuple qui manifeste. La population est dans la souffrance, la vie quotidienne se dégrade de jour en jour et nous ne savons pas où cela va nous mener. Le carburant a augmenté et le prix des transports devient compliqué», a expliqué à l'AFP Sebastião Boaventura, chômeur de 45 ans. Les manifestants ont aussi brandi des pancartes dénonçant «la corruption» du MPLA, le parti à la tête de ce pays lusophone d'Afrique australe depuis son indépendance en 1975. D'autres visaient le président Joao Lourenço, réélu pour un second mandat de cinq ans en 2022. «J'ai rejoint la manifestation, moi, en tant que maman, car je suis mécontente de voir la jeunesse sans destin. Le pays n'est pas bien gouverné», a indiqué à l'AFP Eurosa Faustino Zungueira, 47 ans, habitant la province de Kwanza (au sud de Luanda). «Nous produisons beaucoup de pétrole mais nous ne voyons rien de notre richesse», a dénoncé Dalas, un jeune activiste, venu aussi réclamer la libération de ses camarades arrêtés le 12 juillet. De telles manifestations ne sont pas inédites dans le pays: en octobre 2023, une centaine de personnes avaient été arrêtées pour avoir protesté contre le gouvernement, le coût de la vie et la corruption.