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« J'ai hâte d'écrire l'histoire de Neom » : le nouveau pari saoudien de Christophe Galtier

« J'ai hâte d'écrire l'histoire de Neom » : le nouveau pari saoudien de Christophe Galtier

Le Parisien2 days ago
Libre de tout banc depuis
son départ du club qatarien Al-Duhail en mai dernier
, Christophe Galtier a rapidement retrouvé chaussure à son pied dans le pays voisin. L'ex-coach du
Paris Saint-Germain
(2022-2023) a officiellement signé en Arabie saoudite, au Neom SC, promu en Saudi Pro League et qui a décidé de se faire un nom rapidement dans son championnat, mais aussi sur le marché des transferts européen.
« Je suis très impatient de faire partie de
cet énorme projet saoudien
. Je suis heureux de rejoindre l'une des meilleurs ligues du monde. J'ai hâte d'écrire l'histoire de Neom », a déclaré Christophe Galtier dans sa vidéo d'officialisation sur X (anciennement Twitter).
C'est seulement le deuxième club hors de France que Christophe Galtier va diriger, après 23 saisons passées en Ligue 1 entre Lille, Nice, Paris et surtout Saint-Etienne. Il aura pour mission de faire exister Neom, tout juste promu mais richissime, face à des clubs comme Al-Ittihad ou Al-Hilal,
éliminé en quarts de finale du Mondial des clubs
.
Dans ce championnat qui lui est inconnu, le Français de 58 ans ne sera pas dépaysé puisqu'il retrouvera plusieurs têtes familières. Outre son compatriote Alexandre Lacazette, fraîchement recruté en provenance de l'Olympique lyonnais, il côtoiera d'autres pensionnaires de la Ligue 1, dont un autre Lyonnais
Saïd Benrahma, prêté en janvier
et définitivement acheté il y a quelques jours, et très probablement le gardien de l'OGC Nice
Marcin Bulka
, passé lui aussi par le PSG (2019-2021).
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« J'ai compris que je devais faire gaffe » : Frank Leboeuf revient sur son retour en L1, en 2001, après cinq ans à Chelsea
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L'Équipe

timean hour ago

  • L'Équipe

« J'ai compris que je devais faire gaffe » : Frank Leboeuf revient sur son retour en L1, en 2001, après cinq ans à Chelsea

Habitué à la rudesse de la Premier League après cinq saisons à Chelsea, Frank Leboeuf se rappelle avoir dû tempérer ses ardeurs à son retour en France en 2001, après avoir pris un carton jaune dès son premier match avec l'OM. En 2001, après cinq saisons à Chelsea où il lui restait un an de contrat, l'ancien Strasbourgeois Frank Leboeuf, signe, à 33 ans, un bail de deux saisons à l'OM, alors en pleine reconstruction. Sous le capitanat du champion du monde 1998, le club phocéen retrouve des couleurs et termine 3e de L1 en 2003, avant que le défenseur central ne parte à Al-Sadd au Qatar. « Pourquoi avoir rejoint l'OM en 2001 ?Je sentais que Claudio Ranieri (l'entraîneur de Chelsea) voulait faire jouer John Terry (avec qui il était en concurrence en défense centrale). À un an de la Coupe du monde 2002, je ne voulais pas prendre le risque d'être sur le banc. Une semaine avant la reprise de la Ligue 1, Bernard Tapie (alors directeur sportif de l'OM) m'appelle en me disant : "Je te mets capitaine de l'OM." C'était un beau défi, surtout que l'OM sortait de deux saisons dans les bas-fonds de Ligue 1 (15e). Cela me permettait aussi de me rapprocher de ma famille et de mon père malade. « Je me suis fait siffler partout, même à Strasbourg. Me faire siffler à la Meinau, ça m'a fait mal » Quel était votre état d'esprit à l'idée de retrouver la Ligue 1 que vous aviez quittée cinq ans plus tôt ?J'étais content. J'étais plutôt en fin de carrière et je trouvais ça sympa de jouer à Marseille, la ville où je suis né, dans un Vélodrome où il y a une telle ferveur. À 16 ans, au centre de formation (de Toulon), j'ai fait un essai à l'OM et on ne m'avait pas pris. C'était pour moi une sacrée revanche d'y arriver comme capitaine de l'équipe première. À Marseille, tu as une grosse pression, c'est sûr que ce n'est pas du tout ce que va ressentir Olivier (Giroud) à Lille. L'OM est un club aimé par beaucoup de gens mais aussi haï par beaucoup. Je me suis fait siffler partout, même à Strasbourg (où il évolua de fin 1990 à 1996). Me faire siffler à la Meinau, ça m'a fait mal. Cinq ans après mon départ, je m'attendais à autre chose. Ça fait bizarre de se faire siffler à l'extérieur. Tu te dis : "Mince, on a quand même été champions du monde avec les potes en 1998, ce n'est pas trop cool." Mais ça fait partie du jeu, il faut l'accepter. Après cinq ans en Premier League, vous a-t-il fallu un temps de réadaptation ?À l'époque, le football anglais était assez rude. Pour mon premier match à Montpellier (1-1), j'ai pris un carton jaune après un duel où j'avais récupéré le ballon (38e, charge irrégulière sur Toifilou Maoulida). J'ai compris que je devais faire gaffe. Le jeu était beaucoup plus soft en France. Je ne pouvais pas me lâcher comme je le faisais en Angleterre. « Personne ne trichait, il n'y en a pas un qui faisait semblant car ils savaient tous que je serais le premier à leur tomber dessus » Ressentiez-vous un poids particulier peser sur vos épaules dans le vestiaire, par votre statut de champion du monde et d'Europe ?Non, au contraire. J'ai senti des joueurs contents, avec l'envie de travailler avec moi. Ç'a été top. Personne ne trichait, il n'y en a pas un qui faisait semblant car ils savaient tous que je serais le premier à leur tomber dessus. C'est comme ça qu'avec une équipe plutôt moyenne et malgré une instabilité au niveau des dirigeants (cinq entraîneurs), après avoir terminé en milieu de tableau la première année (9e), on a fini 3e la saison suivante où on avait été champion d'automne. »

Ligue 1 : dans le flou le plus complet, l'OL reprend l'entraînement avant le verdict de la DNCG
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timean hour ago

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Ligue 1 : dans le flou le plus complet, l'OL reprend l'entraînement avant le verdict de la DNCG

Alors que Lyon n'est pas encore sur de rester un Ligue 1, les Gones vont reprendre l'entraînement ce lundi. Lyon reprend l'entraînement lundi après-midi dans la plus grande incertitude quant à sa participation ou non au championnat de Ligue 1 en attendant de se présenter devant la commission d'appel de la DNCG, le gendarme financier du football français, le 10 juillet selon plusieurs médias. La direction nationale du contrôle de gestion a décidé de la rétrogradation administrative du club rhodanien en Ligue 2, le 24 juin. De son côté, le club, qui observe le plus grand mutisme sur le dossier, n'a pas confirmé cette date d'audience. Lundi, 29 joueurs sont attendus au centre d'entraînement de l'Olympique lyonnais à Décines-Charpieu (Métropole de Lyon) sous la direction du Portugais Paulo Fonseca. Parmi eux, des jeunes issus de l'équipe B, deux joueurs en convalescence, l'attaquant Ernest Nuamah et le milieu Orel Mangala de retour de prêt d'Everton (1ère div. anglaise). Publicité Thiago Almada, un retour retardé Pour le reste, c'est la plus grande incertitude pour les contours de l'effectif qui devraient beaucoup évoluer dans les prochaines semaines que l'OL soit maintenu ou non mais en attendant la décision de la commission d'appel, tout est bloqué. Après le départ de plusieurs éléments majeurs comme Nicolas Tagliafico, Alexandre Lacazette ou Rayan Cherki, d'autres, parce qu'ils sont convoités, pourraient quitter le club comme le gardien Lucas Perri, les attaquants Georges Mikautadze et Malick Fofana, voire le milieu Corentin Tolisso. Enfin, rien n'est finalisé sur le programme de la pré-saison en termes de stages et de matches amicaux.

De l'idylle à la rupture   : comment la relation entre Kylian Mbappé et le PSG est devenue explosive
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time9 hours ago

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De l'idylle à la rupture : comment la relation entre Kylian Mbappé et le PSG est devenue explosive

La demi-finale entre le PSG et le Real Madrid, ce mercredi (21h), sera l'occasion de retrouvailles riches en émotions avec Kylian Mbappé. Une grande première depuis leur séparation, après une relation de sept ans devenue explosive. Quand cela a-t-il commencé, vraiment ? Quand cette liaison entamée en 2017 dans l'enchantement réciproque puis prolongée en grande pompe en 2022 a-t-elle basculé du côté obscur pour se terminer par une séparation sans appel avant de jouer la prolongation dans les prétoires ? Kylian Mbappé et le PSG se retrouvent mercredi au MetLife Stadium d'East Rutherford (New Jersey) dans une affiche explosive mais ils seront adversaires. Depuis son départ libre pour le Real Madrid il y a un an, l'attaquant de 26 ans et son ancien club entretiennent une relation au mieux indifférente, au pire conflictuelle. Un comble pour celui qui demeure le meilleur buteur de l'histoire du club (256 buts en 308 matches). Un gâchis pour beaucoup de témoins de ce septennat riche en couleur. Le vent a commencé à tourner bien avant le divorce, à vrai dire. La prolongation de 2022 commence par un mensonge. Sur la pelouse du Parc des Princes, le 21 mai, le maillot brandi fièrement par le président Nasser al-Khelaïfi et Mbappé affiche « 2025 ». L'accord signé quelques heures plus tôt prévoit en réalité deux ans de plus (2024), et un de plus en option. Une nuance qui sera source de vives crispations par la suite. Quand il accepte finalement de rester, après des semaines d'âpres négociations et alors que les Madrilènes préparaient déjà sa venue, le champion du monde 2018 le fait pour une raison principale : on lui promet que les choses vont changer, qu'on va lui broder une équipe compétitive et sur mesure pour décrocher enfin la Ligue des champions. Face au constat partagé par tous en interne que le PSG ne gagnera jamais la C1 avec un effectif aussi déséquilibré, on lui assure qu'il est désormais le numéro 1 et que si ça pose problème, on cherchera des portes de sortie à Neymar ou Lionel Messi. De l'idylle à la rupture Et dans un premier temps, les choses changent. Le directeur sportif Leonardo est débarqué pour faire venir Luis Campos, que la famille Mbappé a connu à Monaco et en qui elle a confiance. Le Portugais convainc la direction de mettre sur le banc Christophe Galtier, avec en tête de placer l'attaquant des Bleus dans les meilleures conditions puisque le coeur du « projet PSG », désormais, c'est lui. Bien vite pourtant, le recrutement ne prend pas la direction annoncée. Les pistes ronflantes espérées (Robert Lewandowski, Marcus Rashford, Milan Skriniar...) sont une à une abandonnées, faute de moyens suffisants ou parce que les intéressés ne le sont pas. Courant juillet déjà, Mbappé est envahi par le sentiment d'avoir été dupé. C'est la douche froide, les nuits blanches à ruminer, s'interroger. Il essaie de joindre le président Al-Khelaïfi. Envisage même de rompre son contrat, quitte à s'asseoir sur des dizaines et des dizaines de millions d'euros. Pendant ce temps-là, la saison reprend et le PSG enchaîne les cartons avec Messi et Neymar, toujours là et en pleine forme. La Coupe du monde au Qatar n'est pas encore passée et avoir trois des stars du tournoi sous pavillon parisien est une aubaine trop belle pour la laisser filer, du côté de Doha. Après son coup de blues estival, Mbappé va se remettre dedans. Il a le Mondial dans le viseur lui aussi, puis il n'entend pas saborder sa quête européenne. Mais quelque chose s'est définitivement cassé, que rien ne saura réparer. À l'été 2023, l'état-major du PSG s'y essaie. Messi n'est pas reconduit, Neymar se voit montrer la sortie, un nouveau projet est mis en route avec un effectif plus jeune et à la mentalité collective, un entraîneur à l'identité de jeu marquée. Mais c'est trop tard : Mbappé a pris sa décision et elle est irrévocable. En juin, il a envoyé un courrier faisant savoir qu'il ne lèverait pas son année optionnelle. Les dirigeants sont sidérés par le procédé. La réaction d'Al-Khelaïfi ne va rien arranger et creuser, au contraire, le fossé entre les deux camps. Alors que Campos prône le dialogue et la mesure, le boss parisien choisit la manière forte et écarte son joueur du groupe de Luis Enrique. Envoyé dans le loft avec les indésirables, le Bondynois est privé de tournée et des premiers matches de la saison. En août, une conversation entre l'attaquant et son président - au coeur de leur différend judiciaire - aboutira à sa réintégration. Du moins, dans une certaine mesure. 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