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Pourquoi faut-il voir « Une nature sauvage » sur Netflix ?

Pourquoi faut-il voir « Une nature sauvage » sur Netflix ?

Le Parisien2 days ago
« Untamed », en anglais, signifie « sauvage » mais au sens de vierge, libre, indompté, non domestiqué. C'est le titre en VO d'une nouvelle série
Netflix
lancée jeudi 17 juillet, et proposée chez nous sous l'intitulé « Une nature sauvage ».
Un thriller sec, sombre et naturaliste, qui conte comment un agent spécial des parcs nationaux américains enquête sur une mort suspecte qui va faire remonter des secrets, les siens comme ceux du parc. La série nous a beaucoup impressionnés : alors, pourquoi faut-il s'y précipiter ?
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Chahutées par une bourrasque de vent, la skieuse olympique Lindsey Vonn et sa robe très fendue ont frôlé l'incident vestimentaire
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Le Figaro

time34 minutes ago

  • Le Figaro

Chahutées par une bourrasque de vent, la skieuse olympique Lindsey Vonn et sa robe très fendue ont frôlé l'incident vestimentaire

Ce 16 juillet, sur le tapis rouge des ESPY Awards, Lindsey Vonn a échappé à une catastrophe vestimentaire. Une robe à risque. Sur le photocall des ESPY Awards, la cérémonie hollywoodienne qui récompense les meilleurs athlètes de l'année, un vent de malaise a embarrassé Lindsey Vonn. La skieuse américaine était présente aux côtés de divers sportifs, à l'instar de Simone Biles ou de son petit ami Jonathan Owens, et a été nommée dans la catégorie du Meilleur Retour de l'année pour sa reprise de la compétition après plusieurs opérations au genou. Bien qu'elle n'ait pas remporté de trophée, son apparition au Dolby Theatre n'est pas passée inaperçue et pour cause, sa robe s'est largement soulevée, aux yeux de tous. Lindsey Vonn en Elisabetta Franchi aux ESPY Awards. (Hollywood, le 16 juillet 2025.) Savion Washington / FilmMagic En effet, Lindsey Vonn était vêtue d'une robe bustier satinée couleur aubergine, provenant de la collection automne 2025 d'Elisabetta Franchi. La particularité de la pièce ? Sa large fente qui s'étendait jusqu'au-dessus de sa hanche et affichait volontairement une ficelle de string noire. Pour les accessoires, elle a opté pour une paire de sandales à talons plateformes prune et une pochette noire, rappelant le détail de son sous-vêtement. Mais alors qu'elle posait face aux photographes, une bourrasque de vent a fait s'ouvrir davantage sa robe, révélant bien plus qu'un simple morceau de son string. Sa sœur, Karin Kildow, également présente à l'événement, n'a pas hésité à lui venir en aide afin de remettre en place sa tenue et d'écourter la scène. Lindsey Vonn en Elisabetta Franchi aux ESPY Awards. (Hollywood, le 16 juillet 2025.) Christopher Polk / Penske Media via Getty Images Publicité Changement de look imposé La skieuse de 40 ans a finalement troqué sa robe fendue contre une autre création signée Elisabetta Franchi. Celle-ci, d'une valeur de 1 850 dollars, était totalement transparente et dotée de franges argentées à sequins. Après la soirée, l'athlète a gardé sa tenue scintillante alors qu'elle profitait d'un dîner au Craig's, aux côtés du mannequin du célèbre magazine Sports Illustrated Swimsuit Brooks Nader.

Donald Trump se délecte de la mort programmée de « The Late Show with Stephen Colbert »
Donald Trump se délecte de la mort programmée de « The Late Show with Stephen Colbert »

Le HuffPost France

time34 minutes ago

  • Le HuffPost France

Donald Trump se délecte de la mort programmée de « The Late Show with Stephen Colbert »

INTERNATIONAL - L'émission n'est pas encore enterrée que le président américain sort déjà le champagne. Après avoir annoncé avec beaucoup d'émotion et une profonde surprise la fin définitive de sa célèbre émission « The Late Show with Stephen Colbert », le présentateur éponyme a reçu − sans grande surprise − un message de la part de Donald Trump. Et ce n'est pas pour saluer le travail de Stephen Colbert que le locataire de la Maison Blanche a pris la parole sur son réseau Truth Social ce vendredi 18 juillet. Car Donald Trump n'a rien trouvé de mieux à faire que de se réjouir de cette annonce. Dans son style habituel. Très souvent moqué mais surtout critiqué dans le célèbre late show américain, Donald Trump a déclaré : « J'adore le licenciement de (Stephen) Colbert. Son talent était encore inférieur à son audience ». En plus de se réjouir de la décision de la chaîne CBS de mettre fin au programme que Stephen Colbert présentait depuis 2015, Donald Trump s'en est également pris à d'autres figures phares de la télévision américaine en charge d'émissions similaires et tout aussi critiques sur l'action du président américain depuis son premier mandat. Le fameux message laissé ce vendredi 18 juillet par Donald Trump sur son réseau social. « J'ai entendu dire que Jimmy Kimmel serait le suivant. Il a encore moins de talent que Colbert ! Greg Gutfeld (présentateur de l'émission du late show de Fox News) est meilleur qu'eux tous réunis, y compris l'idiot de NBC qui a ruiné le Tonight Show, autrefois excellent », s'est permis d'ajouter le président des États-Unis, dans une dernière référence directement adressée à Jimmy Fallon. Autre figure importante et populaire de la télévision américaine. Ce dernier a d'ailleurs réagi avec beaucoup de tristesse à l'annonce de Stephen Colbert. « Je t'aime Stephen », avait-il écrit sur Instagram après l'annonce en direct sur CBS. Avant d'adresser un laconique « Allez vous faire foutre » à la chaîne CBS. Des raisons « purement financières » Il faut dire que la fin du programme, annoncée pour mai 2026, a surpris plus d'un observateur du petit écran. Car celle-ci intervient au moment de la fusion annoncée entre Parmount (société mère de la chaîne CBS) et Skydance. Pour justifier l'arrêt, CBS a pourtant invoqué dans un communiqué des raisons « purement financières », dans un contexte de déclin de la télévision et des programmes de fin de soirée. Cette décision n'a d'ailleurs « aucun lien avec la performance, le contenu ou d'autres événements de Paramount », est-il précisé. Pour autant, d'autres explications sont soulevées dans la presse américaine spécialisée, qui évoque notamment l'affaire de la plainte déposée par Donald Trump contre la chaîne pour une interview de Kamala Harris dans l'émission 66 minutes. Un entretien malhonnête et à son désavantage selon Donald Trump car « monté de manière trompeuse ». Si le communiqué de la chaîne indique que cette fusion n'avait pas été un facteur déterminant dans la décision, The Hollywood Reporter explique que l'accord à l'amiable passé par CBS après la plainte de Donald Trump a été « largement perçu comme un atout pour obtenir l'approbation de la fusion par la FCC (agence américaine de régulation des contenus audiovisuels) sous l'administration Trump ». Sauf qu'en critiquant cet accord un peu plus tôt dans la semaine à l'antenne de CBS (en évoquant un règlement de 16 millions de dollars comparable à un « pot-de-vin colossal »), Stephen Colbert pourrait avoir fait les frais de sa prise de position comme le laisse entendre le média américain et plusieurs observateurs en ligne. Pour se justifier de l'arrêt définitif, sans changer le visage de l'émission, CBS s'est également caché derrière la figure forte du présentateur Stephen Colbert. « Nous considérons Stephen Colbert comme irremplaçable et mettrons fin à la franchise The Late Show », est-il indiqué, tout en assurant que le présentateur et son émission «

Une Américaine se fait escroquer 170 000 euros par un faux Gipsy King sur Internet
Une Américaine se fait escroquer 170 000 euros par un faux Gipsy King sur Internet

Le Figaro

time3 hours ago

  • Le Figaro

Une Américaine se fait escroquer 170 000 euros par un faux Gipsy King sur Internet

Une septuagénaire aux États-Unis, croyant avoir noué une relation amoureuse sur le Web avec le chanteur de flamenco Nicolas Reyes, a versé à un ou plusieurs aigrefins une somme de quelque 200 000 dollars. Après les arnaques des « faux » Brad Pitt et Martin Henderson en janvier 2025, c'est au tour d'un «faux Gipsy King» d'escroquer une internaute, rapporte, La Provence . La victime, une Américaine de 70 ans, croyant avoir noué une relation sentimentale sur les réseaux sociaux, a versé quelque 200 000 dollars (170 000 euros) à l'aigrefin (ou plusieurs ?) qui se faisait passer pour le chanteur des Gipsy Kings. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour L'arnaque «sentimentale» remonte à l'été 2023. Fan du groupe de flamenco, «Jane» (le pseudonyme choisi par nos confrères de La Provence) consulte le compte Instagram des Gipsy Kings. Peu de temps après, elle reçoit un message, signé Nicolas Reyes. Elle est aux anges. Elle peut parler directement avec ce musicien, qu'elle adule. Elle discutera avec lui désormais sur Google Chat et WhatsApp. Publicité Le faux Reyes, en bon escroc qui a trouvé sa proie, l'enjôle. Et finit par la séduire. Pour montrer que ses sentiments sont sincères, le malfaiteur virtuel (et bien réel), lui envoie une copie de son passeport. La trop naïve «Jane» tombe amoureuse. L'escroc fait croire qu'il est victime d'un enlèvement Au fil des messages, l'arnaqueur lui raconte qu'il n'a plus confiance dans son entourage et qu'il a besoin d'argent pour régler une taxe et récupérer son compte bancaire en Suisse. l'Ingénue, - de 70 printemps quand même -, tombe dans le piège et lui fait un premier virement. Continuant à jouer de sa naïveté, le voyou lui fait ensuite croire qu'il a été enlevé. Il supplie «Jane» de payer la rançon. Une fois de plus, la septuagénaire, soumise à ce chantage affectif, s'exécute. Le montant total de l'arnaque avoisinera 200 000 dollars, soit l'équivalent de 170 000 euros. Ce n'est qu'au bout de plusieurs mois que «Jane» comprend la supercherie et décide de porter plainte. Son avocat maître Damien Faupin plaide aujourd'hui l'emprise affective pour défendre sa cliente: « On joue avec les sentiments des gens. Peu importe le niveau intellectuel ou social. Une personne amoureuse ne raisonne plus de façon rationnelle. Certains virements ont même eu lieu après la plainte ». Depuis le dépôt de plainte, la police s'est saisie de cette affaire. Selon La Provence, trois numéros de téléphone, anglais et français ont été utilisés pour échanger avec «Jane». Pour l'instant, l'escroc n'a pas encore été identifié et malheureusement court toujours.

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