
XV de France : le bulldozer Guillard, les éclairs d'Attissogbe... Les notes des Bleus après la courte défaite face aux All Blacks
Les Tricolores, privés de leurs meilleurs éléments, sont tombés avec les honneurs, ce samedi à Dunedin, face aux Néo-Zélandais (27-31). Découvrez les notes attribuées par nos spécialistes rugby.
Beria (5,5) : Le pilier de Perpignan d'origine géorgienne a honoré à Dunedin sa première cape avec les Bleus. S'il a participé à la bonne tenue de la mêlée tricolore à Dunedin, il a été plutôt discret dans le jeu mais très solide en défense (9 plaquages). Remplacé par Mallez (48e).
Barlot (6) : Préféré à Pierre Bourgarit pour le premier des trois test-matches, l'ancien talonneur de Castres, qui va rejoindre l'UBB, a rivalisé avec les All Blacks et imposé sa densité physique. Grosse activité en défense (16 plaquages) et dans les zones de combat. Remplacé par Bourgarit (56e).
Slimani (3) : Pour son retour en équipe pour la première depuis la Coupe du monde 2019, le pilier vétéran a apporté sa solidité en mêlée fermée. Mais, à 35 ans, le joueur du Leinster a souffert face au rythme imposé par les Kiwis. Pris plusieurs fois au ras des regroupements (8 plaquages mais 3 ratés), a semblé perdu par moments sur le terrain. Remplacé par Montagne (48e).
Auradou (4,5) : Le deuxième-ligne…

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« Stratégiquement, Fabien Galthié a réussi son pari » : Jean-Baptiste Elissalde salue la prestation de la France malgré la défaite en Nouvelle-Zélande
Malgré la défaite en Nouvelle-Zélande (31-27) samedi en test-match, Fabien Galthié et l'équipe de France ont stratégiquement réussi leur pari, selon Jean-Baptiste Elissalde, ancien international et consultant à L'Équipe. On peut résumer le match des Bleus, face à la Nouvelle-Zélande (défaite 31-27), par ce proverbe : plier mais ne pas rompre. Je trouve qu'ils ont fait preuve d'énormément d'abnégation samedi. Ça reste un match compliqué à analyser, avec autant d'écarts sur le papier : du côté des Blacks, 858 sélections sur la feuille contre un peu plus de 300 pour le quinze de France. Stratégiquement, Fabien Galthié a réussi son pari. Les Français n'ont eu qu'une poignée de semaines pour préparer ce match avec une équipe « montée ». C'était très compliqué de construire des choses très précises dans ces conditions, il fallait aller à l'essentiel. Et ils se sont dit : on va taper loin, défendre, serrer les dents et jouer avec nos fulgurances, ce qui s'est passé. L'équipe était bien adaptée à la stratégie... ou la stratégie était bien adaptée à l'équipe. D'habitude, le jeu au pied de l'équipe de France est assuré en priorité par le demi de mêlée (Nolann Le Garrec). Samedi, il a partagé la tâche avec l'ouvreur Joris Segonds. En titularisant le Bayonnais, le staff avait pour objectif de taper loin dans le terrain, un peu comme ce qui s'était passé en novembre lors du match face aux All Blacks (30-29). Les Bleus ont encore voulu trouver de la longueur pour défendre haut. Durant les vingt-cinq premières minutes, en jouant ainsi et en plaquant au-delà de la ligne des 50 mètres, ils ont réussi à ne pas se mettre en danger. Mais progressivement, les coups de pied sont devenus plus courts, les sorties de camp moins réussies et les opportunités néo-zélandaises se sont multipliées. Cela aurait même pu être lourd si les essais néo-zélandais de la 57e et 63e avaient été validés. Nos deux piliers étaient aussi en difficulté autour des rucks en première période. Les Bleus ont commis beaucoup d'erreurs défensives, parce qu'ils étaient occis à certains moments, et c'est bien normal puisque cette jeune équipe découvre en bonne partie ce niveau. « Théo Attissogbe, samedi, c'était Fabien Barthez 1998, il a sauvé un paquet de situations sur la ligne, avec du placement, de la réactivité, des couvertures, des marques » Je note aussi qu'il y a eu de belles réussites sur ce match, comme Théo Attissogbe. Pour moi, samedi, c'était Fabien Barthez 1998, il a sauvé un paquet de situations sur la ligne, avec du placement, de la réactivité, des couvertures, des marques. Avec peu de ballons, Mickaël Guillard a quant à lui été encore bluffant. Il est prêt pour ce niveau. Mais on peut souligner que les Français ont eu de la réussite avec donc ces trois essais refusés à l'adversaire et ces trois essais inscrits avec peu de possession. Faire une fois ce genre de match peut passer, cela ressemble presque à une victoire. Mais reproduire ce type de rencontre, en laissant autant la possession aux All Blacks, me paraît compliqué. À lire aussi Ces Bleus n'ont rien d'une équipe «bis» Slimani : «Je riais et je pleurais en même temps» Les notes de Nouvelle-Zélande - France Attissogbe : «Jouer mon jeu, libéré»

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DIRECT. PSG-Bayern Munich (Coupe du monde des clubs 2025) en direct
afficher uniquement les temps forts (1) 6' Après une talonnade d'Aleksandar Pavlovic, sur le côté droit, Michael Olise est bien servi en retrait, à l'entrée de la surface de réparation. Sa frappe du pied gauche est trop écrasée pour surprendre Gianluigi Donnarumma, qui se couche sur le ballon. 5' Le pressing du PSG met déjà le Bayern Munich, notamment dans ses tentatives de relance. 3' Michael Olise perd le ballon vers sa surface de réparation. Khvicha Kvaratskhelia, au pressing, le récupère rapidement. Désiré Doué, bien servi, peut ensuite enchaîner avec une frappe lointaine du pied droit, mais son ballon passe juste à côté ! 1' Le match commence ! C'est parti pour la première période ! Le coup d'envoi a été donné et le PSG a engagé. Hommage à Diogo Jota et son frère André Silva Une minute de silence est respectée en hommage à Diogo Jota et son frère André Silva, décédés il y a deux jours dans un accident de voiture. Par rapport à la dernière sortie, Vincent Kompany (Bayern Munich) procède, quant à lui, à deux changements dans son onze de départ. Leon Goretzka et Serge Gnabry prennent place sur le banc et sont remplacés par Aleksandar Pavlovic et Jamal Musiala. Dembélé sur le banc Luis Enrique (Paris Saint-Germain) reconduit le même onze de départ qui a éliminé les Américains de l'Inter Miami (4-0), en huitièmes de finale de cette Coupe du monde des clubs. Ousmane Dembélé débute donc cette nouvelle rencontre sur le banc. Le vainqueur de cette confrontation affrontera, lors des demi-finales, les Espagnols du Real Madrid ou les Allemands du Borussia Dortmund, qui se rencontrent ce samedi soir (22h00). La demie est prévue le 9 juillet prochain à 21h00. Depuis le début de cette édition de la Coupe du monde des clubs, avec trois buts marqués, les meilleurs buteurs du Bayern Munich sont Michael Olise, Harry Kane et Jamal Musiala. Au PSG, avec deux réalisations, il s'agit d'Achraf Hakimi et de Joao Neves. Le Bayern Munich, son parcours De son côté, le Bayern Munich (deux victoires, une défaite) a terminé deuxième du groupe C, avec six points, douze buts marqués et deux encaissés. En huitièmes de finale, la formation allemande a ensuite écarté les Brésiliens de Flamengo (2-4). Le PSG, son parcours Dans cette Coupe du monde des clubs, le Paris Saint-Germain (deux victoires, une défaite) a terminé en tête du groupe B, avec six points, six buts marqués et un encaissé. En huitièmes de finale, le club a sorti les Américains de l'Inter Miami (4-0). La dernière confrontation entre les deux formations remonte au 26 novembre dernier. A l'occasion de la cinquième journée de la phase de Ligue de la Ligue des champions, le Bayern Munich avait battu le Paris Saint-Germain (1-0), grâce à Kim (38e). Au Mercedes-Benz Stadium d'Atlanta aux Etats-Unis, l'arbitre de la rencontre sera l'Anglais Anthony Taylor. Bonjour à toutes et à tous. Bienvenue sur notre site pour suivre en direct et en intégralité la rencontre Paris Saint-Germain - Bayern Munich, comptant pour les quarts de finale de la Coupe du monde des clubs. Le coup d'envoi est prévu à 18h.


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Depuis ce samedi matin, trois sites de baignade dans la Seine sont ouverts aux Parisiens et touristes de la capitale, nombreux à vouloir nager dans le fleuve un an après les triathlètes des Jeux de Paris 2024. Ce samedi matin, à l'heure du petit déjeuner, il faisait plus chaud dans la Seine qu'au bord des quais. Avec une eau à 25 degrés, au Bras Marie, l'un des trois sites de baignade aménagés par la ville de Paris et la préfecture, on ne pouvait rêver meilleure ouverture. Quelques dizaines de nageurs se sont jetés à l'eau peu après 8 heures sous l'oeil des maîtres nageurs, qui les ont tous équipés d'une bouée de natation jaune, et des caméras du monde entier. Plusieurs personnalités étaient présentes pour ce nouvel usage du fleuve qui fait figure d'héritage emblématique des Jeux de Paris 2024, à commencer par la ministre des Sports Marie Barsacq. L'ex-directrice Impact et Héritage des Jeux de Paris 2024 était accompagnée de la maire de Paris Anne Hidalgo, du préfet de Paris et Île-de-France Marc Guillaume et du préfet de police Laurent Nunez. La veille, le président Emmanuel Macron avait tweeté : « L'un de mes prédécesseurs, alors maire de Paris, a rêvé d'une Seine où chacun pourrait nager. Demain (aujourd'hui), sa promesse sera tenue ». Allusion à Jacques Chirac qui avait promis, en 1988, que l'on se baignerait dans le fleuve cinq ans plus tard. Il aura fallu attendre trente ans supplémentaires et surtout les 3es Jeux Olympiques et 1ers Paralympiques dans la capitale pour que les Parisiens se réapproprient le fleuve le temps de l'été et plus précisément jusqu'au 31 août. « Je suis très heureuse », souriait samedi matin la maire socialiste en brandissant avec Marie Barsacq une carafe d'eau de Seine pour montrer qu'elle était claire. Le fruit d'un long travail d'assainissement engagé avant les Jeux pour mais qui s'est accéléré quand Paris a décroché leur organisation en 2017. Et se poursuit. « Depuis l'été dernier, 2 000 raccordements aux réseaux d'assainissement ont été réalisés pour un montant de 44 M€ », a expliqué Marc Guillaume, préfet de Paris et d'Île-de-France en charge de l'assainissement du fleuve. Chaque jour les drapeaux verts, jaune ou rouge seront hissés, comme sur les plages, afin d'indiquer si la baignade est possible, en tenant compte de la météo et du taux de bactéries.