
Le FC Barcelone sans Rashford ni Koundé mais avec Fermin Lopez pour ses débuts en Liga face à Majorque
Le gardien Joan Garcia, arrivé pour compenser la blessure de Marc-André ter Stegen, sera la seule recrue alignée d'entrée du côté du FC Barcelone, samedi face à Majorque. Marcus Rashford, inscrit in extremis sur la liste des Barcelonais en Championnat, sera lui sur le banc pour débuter. Ce sera aussi le cas du défenseur français Jules Koudé, qui a récemment prolongé jusqu'à 2030. Fermin Lopez, qui a marqué les esprits en amical face à Côme en inscrivant un doublé, est lui aux commandes du milieu de terrain pour cette rencontre. Devant, Lamine Yamal et Raphinha devront composer sans Robert Lewandowski, blessé et remplacé par Ferran Torres à la pointe de l'attaque.

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L'Équipe
31 minutes ago
- L'Équipe
Abline et Mohamed sur le départ, jeunes inexpérimentés et recrues sans garanties : en attaque, Nantes doit composer avec beaucoup d'incertitudes
Le FC Nantes a complètement régénéré son effectif, cet été. Et il doit encore recomposer une attaque, avec moult incertitudes, alors que se profile la réception du PSG, dimanche soir (20 h 45). Un seul être vous marque et tout le reste serait à-peu-près ? Il est clair qu'il sera compliqué pour le FC Nantes de remplacer en attaque Moses Simon, parti au Paris FC, cet été, après six riches années. D'autant que de nombreuses incertitudes entourent encore ce secteur de jeu, au matin de recevoir la meilleure équipe d'Europe. Abline-Mohamed Là jusqu'à quand ? Ils seront dans le groupe face au PSG, probablement titulaires, même. Mais on ne parierait pas qu'ils seront toujours Canaris dans quelques semaines. Matthis Abline (22 ans) a pris une autre dimension la saison dernière, capable d'évoluer sur les trois postes de l'attaque. Au point d'être devenu international Espoirs. Au point surtout d'avoir des envies d'ailleurs. Le Paris FC le voulait, c'était réciproque, mais le président Waldemar Kita, lui, veut des sous. Beaucoup, puisqu'il est question de 40 M€, et le club de la capitale est parti voir ailleurs. Il sera moins gourmand pour Mostafa Mohamed (27 ans), annoncé sur le départ et cible d'un intérêt récent du RC Lens, même si le club artésien n'a pas encore formulé d'offre au FC Nantes. Si l'Égyptien, qui a montré de la motivation et de l'efficacité durant la préparation, devait être transféré, on a du mal à imaginer que la recrue Youssef el-Arabi (38 ans) soit capable d'enchaîner durant toute la saison. Nantes sans Centonze, Radakovic et Lahdo face au PSG Guirassy-Benhattab La relève maison ? Le premier, Herba Guirassy, 19 ans à la fin du mois, a déjà goûté à l'élite, au gré de quelques apparitions (2 titularisations, 17 entrées en jeu), plus ou moins remarquées (2 buts). L'un des héros de l'aventure en Youth League, en 2024 (jusqu'aux demi-finales), aime prendre de la vitesse, côté gauche, mais il n'a pas encore la capacité à remplacer Simon. Alors, le club songe-t-il à recruter un excentré, après la signature de Mayckel Lahdo (voir ci-dessous) ? À l'opposé, côté droit donc, et un peu plus âgé (22 ans), Yassine Benhattab va lui découvrir la Ligue 1, après un prêt réussi à Aubagne, puisqu'il a été élu meilleur joueur du National. Ce petit gabarit (1,70 m), vif et adroit techniquement, a enchaîné durant la préparation. Il a une carte à jouer, à condition de répondre aux exigences physiques du plus haut niveau. Lahdo-Camara Ca vaut quoi ? Des transferts d'attaquants exotiques sur les bords de l'Erdre, ces dernières années, ou tout au moins sans états de service très rassurants, il en regorge. Et les craintes ont souvent été validées. Alors il est naturel de s'interroger sur les arrivées (en prêt) de Mayckel Lahdo (22 ans), en provenance de l'AZ Alkmaar (HOL), et d'Amady Camara (20 ans), qui débarque de Sturm Graz (AUT). Mais ils sont encore jeunes et possèdent une belle marge de progression. Le Suédois, attaquant de côté voire milieu axial, se dit prêt à succéder à Simon, ce qui serait un gage de réussite et qui traduit une certaine assurance, une ambition. Seulement, il s'est déjà blessé musculairement à une cuisse et ne pourra débuter, dimanche soir. L'international malien (2 sélections), lui, est gaucher, dribbleur et préfère évoluer faux pied, donc à droite. Il connaissait le FC Nantes grâce à son compatriote, Kalifa Coulibaly, ancien de la maison jaune et verte (2017-2022).

L'Équipe
31 minutes ago
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Le baptême réussi d'Eric Dier en Ligue 1 avec Monaco
Pour sa première en Ligue 1, le défenseur anglais a livré un match solide, ponctué par un but. De son propre aveu, Eric Dier n'est « pas un très bon chanteur », et ses partenaires ont dû « subir » son interprétation de Three Little Birds de Bob Marley & The Wailers, le titre choisi pour son bizutage. Mais les joueurs monégasques lui pardonneront bien volontiers ce petit défaut. Car sur le terrain, avec la voix comme avec les pieds, sa première partition en Ligue 1 fut quasiment sans fausse note. Titularisé axe droit au côté du jeune Christian Mawissa (20 ans), l'international anglais a tout de suite montré pourquoi l'ASM était allé le chercher au Bayern Munich, où il était en fin de contrat. Des interventions à propos, un calme olympien, de la communication avec ses partenaires. Et un but de la tête, aussi, le deuxième du club de la Principauté, sur un corner d'un Lamine Camara pourtant moins précis qu'à l'accoutumée (61e). Les notes de Monaco-Le Havre : Akliouche fait mouche, Sangante dépassé « C'était une très belle journée, résumait après la rencontre le joueur de 31 ans. Évidemment, pour ma première, il y avait pas mal d'inconnues, je ne savais pas trop à quoi m'attendre. Marquer était un joli bonus, j'ai juste attaqué la zone où je devais être, Lamine a fait un super centre. On a juste très bien exécuté ce que l'on voulait. Et le plus important est d'avoir gagné. » « Oui, cela a été très facile de m'adapter » Eric Dier Son entraîneur, Adi Hütter, a apprécié ce baptême, même s'il n'en attendait pas moins d'un joueur au CV conséquent : « Il est une grande menace dans la surface adverse, a expliqué l'Autrichien, par ailleurs satisfait d'avoir marqué sur coup de pied arrêté alors qu'un spécialiste de la question a rejoint son staff. Avoir quelqu'un comme Eric aide aussi beaucoup Chris (Mawissa) et les autres jeunes joueurs. Ce que j'aime chez lui, c'est qu'il est toujours d'un grand soutien, il aide les autres dans différentes situations, il communique tout le temps, c'est son job et il aime le faire. C'est quelqu'un de calme, mais quand il dit quelque chose, ce sont les mots justes et au bon moment. » Annoncée dès la fin de saison dernière, son arrivée semble semer des promesses, d'autant que le garçon n'a de toute façon pas de problème d'intégration. « Oui, cela a été très facile de m'adapter, reconnaissait-il. Je ne suis plus si jeune, donc cela rend les choses plus aisées. J'ai trouvé ici des personnes très sympas et qui travaillent dur. Idem dans le vestiaire. Tout le monde a rendu les choses faciles. » Monaco assure contre Le Havre, Eric Dier buteur pour sa première en Ligue 1 Évidemment, cette première réussie devra être confirmée face à des adversaires plus redoutables que des Havrais qui n'ont commencé à jouer qu'à partir de la 70e minute. Mais c'est forcément encourageant, à un poste où beaucoup de Monégasques ont eu des performances sinusoïdales la saison dernière. Lui n'a manqué qu'une passe facile, dans la foulée de son but, mais elle n'a pas eu de conséquence. Alors que la concurrence promet d'être féroce en charnière, avec Wilfried Singo et le vice-capitaine Thilo Kehrer, le joueur aux sept saisons à Tottenham a forcément marqué des points, au-delà des trois remportés par son équipe.

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31 minutes ago
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« Comme si on était en pré-saison » : le PSG peut-il utiliser la L1 pour comme matches de préparation ?
Le PSG poursuit sa préparation en Ligue 1, dimanche soir, à Nantes, où ses faibles ressources athlétiques du moment pourraient être bousculées. Le vrai Paris risque d'attendre le retour de la Ligue des champions, mi-septembre. Ils ont conquis l'Europe et parcouru le monde, mais il est l'heure, désormais, de rentrer à la maison et de retrouver la Ligue 1, leur royaume le plus constant et le plus ancien : près de trois mois après leur victoire en finale de la Coupe de France, le 24 mai, face à Reims (3-0), les joueurs du PSG sont de retour sur le sol français. Auréolés de leurs couronnes, les revoilà à Nantes, en clôture de la première journée de Ligue 1, après un exil historique de neuf rencontres de compétition à l'étranger, de la finale de la Ligue des champions, le 31 mai, face à l'Inter Milan (5-0), jusqu'à la Supercoupe mercredi face à Tottenham (2-2, 4-3 aux t.a.b.), en passant par l'odyssée de sept matches de la Coupe du monde des clubs, aux États-Unis. La sensation que le soleil ne se couche jamais sur une saison de football est une réalité : l'été dernier, Paris avait repris l'entraînement le 14 juillet 2024, et aura disputé son dernier match de compétition le 13 juillet 2025, face à Chelsea (0-3) à New York, 364 jours plus tard. En comparaison, la saison 2025-2026 sera mécaniquement plus courte d'une quinzaine de jours, puisque les Parisiens ont repris l'entraînement le 6 août, après trois semaines de vacances, et que ceux d'entre eux qui disputeraient la finale de la Coupe du monde étireraient leur saison jusqu'au 19 juillet. Un nouveau tireur de penalty après les échecs de Vitinha ? « Jusqu'à début septembre, on va se préparer » Ousmane Dembélé, attaquant du PSG Dans ces conditions, à quoi peuvent ressembler les premiers pas du PSG dans l'été, après six jours de préparation ? La Supercoupe a répondu : sur le plan du jeu, à pas grand-chose, ce qui est presque rassurant. Longtemps, les joueurs revenaient à l'entraînement avec quelques kilos en trop qu'ils allaient perdre dans un long stage de préparation avec footing en K-way avant le petit déjeuner, dans un lourd cycle foncier qui leur permettrait de traverser l'automne sans flancher. Mais les méthodes d'entraînement ont évolué et la préparation athlétique a souvent lieu avec le ballon, désormais, pendant que les joueurs suivent des programmes avant la reprise : ceux du PSG ont reçu un programme particulier à observer dix jours avant les retrouvailles. Mais ce qui reste constant, c'est la nécessité d'une réathlétisation en début de saison, à travers l'entraînement ou les matches. Et ce qui est nouveau, pour le PSG, cette saison, est d'effectuer cette préparation en compétition. Après six jours d'entraînement, Paris est parvenu à gagner un match qu'il n'était pas vraiment en état de jouer, et la séquence du mois d'août est assez simple : après Tottenham, mercredi, Nantes, dimanche soir, Angers, vendredi prochain, le PSG ira à Toulouse et aura bouclé une période de quatre matches en dix-huit jours, avant une trêve internationale qui dispersera l'essentiel de l'effectif. « Jusqu'à début septembre, on va se préparer, avouait Ousmane Dembélé, mercredi soir, à Udine. Il y a Nantes, Angers ensuite : ce sont des matches officiels, mais le mois d'août c'est fait pour se préparer, c'est comme si on était en pré-saison. » La gestion des temps de jeu à surveiller Ainsi Paris entame-t-il un stage en Ligue 1, avec une obligation de résultats qui ne s'attache pas, d'ordinaire, aux matches de préparation, et qui poussera à observer les éventuels progrès parisiens et la gestion des temps de jeu par Luis Enrique : la saison dernière, dans un contexte de préparation plus classique, il avait titularisé seize joueurs différents au cours des deux premières journées. On peut imaginer qu'il va faire tourner dès aujourd'hui et qu'il y a peut être une chance qu'on assiste aux débuts de Zabarnyi. Pour le reste, on saura s'il veut préparer ses titulaires en priorité ou s'il veut 20 joueurs au niveau de forme comparable. Samedi, à Poissy, l'entraîneur parisien a répété ce qu'il avait esquissé à Udine : pour des joueurs à court de préparation, le déficit à la reprise n'est pas seulement athlétique, mais également technique. Luis Enrique n'est pas rassasié Et avec moins de jambes, Paris essayera de montrer autant de coeur que dans le Frioul : « La condition physique est importante, mais pour moi, la condition mentale l'est encore plus, souligne l'Asturien. J'aime la manière dont l'équipe s'est battue, mercredi, avec peu d'entraînement. Ce que nous voulons maintenant, c'est retrouver le feeling avec le ballon. On va le retrouver au fur et à mesure des entraînements. » Mais Nantes, dimanche soir, proposera un peu plus qu'une séance d'entraînement en conditions réelles. Peu d'équipes joueront, cette saison, contre un PSG qui n'est pas prêt, et celle-ci sait comment s'y prendre puis qu'elle n'avait pas perdu contre les Parisiens (1-1, 1-1), la saison dernière.