
« La vie est meilleure ici » : Ellen DeGeneres confirme avoir quitté les États-Unis à cause de Donald Trump
BBC
dimanche avoir déménagé au Royaume-Uni dès le lendemain de la
réélection de Donald Trump
.
Le retour du républicain à la Maison-Blanche est bien la raison de son départ des États-Unis, a-t-elle assuré à l'animateur Richard Bacon à l'occasion de sa première apparition publique depuis plusieurs mois. « La vie est meilleure ici », a affirmé
Ellen DeGeneres
face aux spectateurs présents au théâtre de Cheltenham (sud-ouest de l'Angleterre).
Avec sa femme Portia de Rossi, elles ont acheté ce qu'elles croyaient être une maison secondaire au Royaume-Uni, initialement prévue pour y passer trois ou quatre mois dans l'année. Elles s'y trouvaient d'ailleurs le jour de l'élection présidentielle américaine. À leur réveil, lorsqu'elles ont découvert les résultats, elles ont pris la décision de rester en Angleterre.
L'animatrice a par ailleurs annoncé qu'elle et sa femme réfléchissaient à se remarier dans leur pays d'adoption, face à la crainte de
voir les droits des personnes LGBT reculer
de l'autre côté de l'Atlantique. Les Américains peuvent être « inquiétants » pour les gens qui veulent « être qui ils sont », a-t-elle commenté. « J'aimerais vivre dans une société où chacun accepte l'autre et ses différences », a conclu Ellen DeGeneres.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
3 hours ago
- Le Figaro
Chemise à carreaux et polaire sans manches : le prince George «à la papa» sur le portrait officiel de ses 12 ans
Pour célébrer les 12 douze de leur fils aîné, Kate Middleton et le prince William ont partagé comme de coutume un nouveau portrait officiel. «Le temps passe trop vite», ont déclamé les fans royaux face au cliché. Il est accoudé sur une clôture, détendu et souriant dans sa chemise à carreaux blanche et son gilet sans manches so british. Un vrai look de «senior royal» pour George de Cambridge, fils de Kate Middleton et du prince William, qui fête ce mardi ses 12 ans. Comme chaque année, les parents de l'héritier au trône partagent la photo officielle de son anniversaire. L'occasion d'observer son évolution physique et de projeter sa posture de futur roi. Capturée par le photographe Josh Shinner - et non par sa mère, comme l'année précédente - l'image témoigne chez lui d'une certaine maturité. Sous la photo, postée sur le compte officiel des Galles, les internautes se sont alors enthousiasmés. Couper le cordon «Joyeux anniversaire à notre petit (plus si petit ) Futur Roi», «comment peut-il avoir 12 ans ?» ; «Le temps passe si vite» ; «Vœux les plus chaleureux pour l'anniversaire du Prince George. Quel beau jeune homme est-il devenu - beau, prêt et plein de confiance» ; «Happy birthday au Prince George ! Hier, il n'était encore qu'un bambin», peut-on lire, pêle-mêle. Publicité Ajoutons que Kate Middleton ne s'est pas expliquée sur son choix de laisser son photographe, Josh Shinner, capturer son aîné, chose peu habituelle pour celle qui est passionnée de photographie. À l'inverse, c'est à elle que l'on doit les photos officielles de l'anniversaire de ses cadets, Charlotte et Louis, en avril et mai dernier. Est-ce alors une simple coïncidence ou une décision plus réfléchie, comme une volonté de couper le cordon et de progressivement imposer une nouvelle image de son aîné, indépendante et royale, à l'image de sa future destinée ?


Le Figaro
4 hours ago
- Le Figaro
Rosie Roche, cousine des princes William et Harry, retrouvée morte à son domicile dans le Wiltshire
Lundi 14 juillet, le corps de Rosie Roche, 20 ans, cousine des fils du roi Charles III a été retrouvé par sa mère et sa sœur, selon The Sun. Une arme à feu se trouvait à proximité. Lundi 14 juillet, une cousine des princes William et Harry, dénommée Rosie Roche, petite fille d'Edmund Roche, l'oncle de la princesse Diana, a été retrouvée morte à son domicile familial de Norton, dans le Wiltshire, selon le quotidien britannique The Sun . Une arme à feu se trouvait à proximité du corps de la jeune femme de 20 ans. Le coroner de la région, Grant Davies, a déclaré lors d'une audience au tribunal de Wiltshire et Swindon, que la police «a jugé que la mort n'était pas suspecte et qu'il n'y avait pas d'implication d'un tiers», toujours d'après le journal britannique. La raison du décès de Rosie Roche pencherait donc en direction du suicide, même si une enquête a été ouverte. Aucune explication concernant son geste n'a été laissée par la jeune femme. Le corps de Rosie Roche aurait été retrouvé par sa mère et sa sœur, alors qu'elle venait de préparer ses bagages pour partir en vacances avec des amis. À lire aussi Le prince Harry sur un champ de mines antipersonnel en Afrique : la même photo que sa mère Lady Diana trente ans plus tard Qui était Rosie Roche ? Cousine éloignée des princes William et Harry, Rosie Roche fait partie de la famille de la princesse Diana et non du clan Windsor. Née le 21 juin 2005, elle est la fille d'Edmund Hugh Burke Roche et de Pippa Long. La jeune femme de 20 ans n'a jamais été aperçue aux côtés de ses cousins William et Harry. Elle étudiait la littérature anglaise à l'Université de Durham. Si la famille ne s'est pas encore exprimée publiquement au sujet de son décès, une annonce de décès a été publiée dans les pages nécrologie du journal local Yorkshire Post : «Roche, Rosie Jeanne Burke. Décédée le lundi 14 juillet 2025. Fille chérie de Hugh et Pippa, incroyable sœur d'Archie et Agatha, petite-fille de Derek et Rae Long. Funérailles familiales privées. Un service commémoratif aura lieu à une date ultérieure». Les fils du roi Charles III n'ont pas réagi au décès de leur cousine éloignée.


Le Figaro
4 hours ago
- Le Figaro
Salaires indécents et caprices du roi : 11 jardiniers de Charles III démissionnent et dénoncent un lieu de travail toxique
Highgrove, son refuge du Gloucestershire qui s'étend sur quelque 364 hectares est, de façade, un paradis sur terre. Mais selon une enquête du Sunday Times, le roi serait un tyran avec ses jardiniers. Highgrove House, sa résidence de campagne dans le Gloucestershire (au sud est de l'Angleterre), a longtemps été décrite comme son havre de paix, son sanctuaire garni de roses, de lavandes, et d'autres plantes exotiques qui font sa fierté. Et pourtant, selon une enquête fouillée du Sunday Times, publiée dans son édition du 20 juillet, ce paradis horticole serait devenu un enfer pour de nombreux jardiniers. Depuis 2022, onze des douze employés permanents du domaine auraient quitté leur poste. Un turnover si massif que la fondation du roi - la King's Foundation, qui gère les jardins - a dû recourir à des intérimaires, ou encore à des bénévoles retraités. En cause ? Des salaires très bas, une pression constante, et un management jugé toxique. Vers la paix ? À Londres, cette discrète réunion entre les émissaires de Charles III et du prince Harry Des salaires trop bas Highgrove House vu d'en haut. David Goddard / Getty Images Publicité En 2022, apprend-on, certains jardiniers n'étaient alors payés que 8,91 livres sterling (soit 10,30 euros) de l'heure, à peine au-dessus du salaire minimum dans le pays. L'un d'eux confie : «C'est comme s'ils vous disaient : vous devriez être reconnaissant de travailler pour le roi, la personne la plus importante du pays.» À cela s'ajoute le tempérament de Charles III. On lit dans les pages du journal britannique que l'exigence et la méticulosité du roi seraient à l'origine de nombreux dérapages, Charles III, passant régulièrement entre ses allées, mains dans le dos, à la recherche de la moindre erreur envers ses employés. Pour exemple, selon les témoignages récoltés par le Times, il aurait exigé que l'on retire sur-le-champ un simple séneçon aperçu près de sa piscine, aurait pesté contre la disparition des étiquettes de son magnolia préféré, ou encore enragé conte la coupe trop précoce de ses delphiniums, qui aurait « gâché un de ses plus beaux moments de l'été ». Dans une lettre, il aurait regretté que ses jardiniers ne nourrissent pas suffisamment ses fleurs aux algues, comme il l'avait ordonné. Par ailleurs, l'un des chefs jardiniers n'aurait pas passé sa période d'essai après avoir confondu le nom d'un arbuste japonais. «Sortez cet homme de ma vue», aurait tempêté le souverain. D'autres évoquent également une attitude de chaud-froid constante soufflée par le roi, entre commentaires tranchants et grandes envolées voyant une rose atteindre son épanouissement. À lire aussi En photos : promenade enchantée à Highgrove House, dans les jardins de rêve du roi Charles III Une enquête externe Charles III et le prince Harry à Highgrove en 1986. Tim Graham / Tim Graham Photo Library via Get Outre le roi, son bras droit à Highgrove, Constantine Innemée, est lui aussi accusé d'avoir instauré un climat de peur sur le domaine. Il est soupçonné d'avoir hurlé sur plusieurs employés, notamment lorsque l'un d'eux a osé suggérer au roi l'embauche d'un spécialiste pour ses magnolias. À noter qu'en 2018, déjà, dans la biographie Rebel Prince: The Power, Passion and Defiance of Prince Charles, l'écrivain Tom Bower évoquait les jardiniers du roi contraints «de s'allonger à plat ventre sur une remorque pour arracher les mauvaises herbes à la main en raison de la haine de Charles III pour les pesticides», et «de militaires indiens à la retraite qui faisaient des rondes nocturnes avec des torches pour enlever les limaces des plantes», rappelle Vanity Fair . Des accusations tells qu'à l'automne 2023, la fondation du roi a été forcée de commander une enquête externe, qui avait reconnu par la suite des «pénuries de personnel», des «pratiques managériales défaillantes», et un problème au niveau des salaires. Le rapport a finalement recommandé des formations et un soutien psychologique pour tous les employés de sorte à préserver leur santé mentale. Force est de constater que les conditions peinent toujours à s'améliorer, rapporte le Sunday Times.