
Nouveaux maillots, hommage au Grand Jojo : les coulisses de la collaboration entre Stromae et Anderlecht
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Le Soir
6 hours ago
- Le Soir
Nouveau look pour les Mauves : les nouveaux maillots portés pour la première fois contre l'Aris Salonique (vidéo)
Ce samedi, les Mauves ont disputé un match amical face à l'Aris Salonique. Les Bruxellois se sont imposés 1-0 grâce à un but de Vazquez. Mais ce n'était pas qu'un simple match de préparation : c'était aussi l'occasion pour les joueurs de porter pour la première fois les maillots flambant neufs qu'ils arboreront cette saison. Une collection très attendue, aussi bien par les fans du RSCA que par les amateurs de design et de mode. Pour rappel, quatre nouveaux modèles ont été créés en collaboration avec Mosaert, le collectif fondé par Stromae, sa compagne Coralie Barbier et son frère Luc Van Haver. Les classiques mauves et blanc sont évidemment de la partie, pour les rencontres à domicile et à l'extérieur. Mais deux modèles supplémentaires viennent compléter la gamme : un maillot argenté, et surtout une version noir et mauve en hommage au Grand Jojo, dont la chanson culte « Anderlecht Champion » fête cette année ses 40 ans. Une référence directe figure d'ailleurs dans le col de la vareuse. Imaginés dans un esprit très années 80, avec des motifs géométriques, ces maillots sont le fruit d'un travail tripartite avec Joma, l'équipementier espagnol du club.

Le Soir
10 hours ago
- Le Soir
Elise Mertens rend hommage à Yanina Wickmayer : « Mon idole quand j'étais enfant »
Elise Mertens (WTA 23) était satisfaite, lundi soir à Londres, d'avoir franchi le premier tour à Wimbledon. Sur le Court n°15, en dernier match de la journée, la Limbourgeoise, 29 ans, tête de série n°24, a battu 6-4, 6-2 la Tchèque Linda Fruhvirtova (WTA 148), 20 ans, issue des qualifications. Elle a estimé que c'était un bon premier tour : « Je n'étais pas du tout nerveuse, je sentais bien la balle. A 20 ans, Linda Fruhvirtova est une adversaire qui n'a certainement pas mal joué », a-t-elle confié à Tennis Belgium. Mertens admet que la fin du premier set a été « un peu tendue, mais j'ai pu le gagner ». De manière générale, la Belge est contente du niveau qu'elle a affiché. « Contre Svitolina à Bad Homburg, je n'avais pas saisi mes occasions, mais ici, dans le tournoi plus important, je l'ai fait. Je me sens bien. Mon tennis est là. Je fais peu de cadeaux, et je parviens tout de même à mettre la pression ». Elle admet qu'en Grand Chelem, elle n'a pas atteint les résultats qu'elle souhaitait. « J'espère que ce sera le cas ici, avec un nouvel élan », a-t-elle annoncé. Elise Mertens dispute son huitième Wimbledon, où elle a déjà atteint à deux reprises les huitièmes de finale en simple, en 2019 et en 2022. Elle rencontrera au tour suivant l'Américaine An Li (WTA 65), 25 ans, qu'elle a battue en finale du tournoi WTA 250 de Singapour début février. « Je la connais, évidemment. Elle a des frappes puissantes, mais peut-être avec un peu moins de contrôle. Je l'ai battue à Singapour, mais c'est quelqu'un qui peut très bien jouer. Il faut essayer de la dérégler. On verra dans quelle forme elle sera », a décrit la n°1 belge, promettant de « mettre la pression » sur son adversaire. La Limbourgeoise a eu une pensée pour Yanina Wickmayer, laquelle a joué son dernier match en simple à Wimbledon. « Elle a été une belle source d'inspiration pour le tennis belge. Quand j'étais enfant, elle faisait partie de mes idoles, car je trouvais sa rigueur et son éthique de travail très inspirantes ».

Le Soir
19 hours ago
- Le Soir
« Je n'aurais jamais osé en rêver »: Jasper Philipsen savoure sa victoire et son maillot jaune
Les deux mains sur le casque, incrédule alors qu'il venait de remporter un succès éclatant près de deux vélos d'avance sur son dauphin, Bini Girmay- il s'est spontanément exprimé en… français, lui qui par pudeur ou précaution n'use jamais de la langue de Molière dans ses contacts médiatiques. « Incroyable ! » Dans les bras de Mathieu van der Poel puis de Jonas Rickaert, cherchant du regard sa compagne Mélanie, Jasper Philipsen semblait avoir du mal à prendre conscience du moment. Intense et unique. Sous un ciel à peine moins grisâtre que son maillot, au bout d'une journée extrêmement nerveuse et tourmentée, le coureur de Ham a conquis un 10 e succès personnel sur les routes du Tour (le 491 e de l'histoire pour la Belgique), le plus important de tous puisqu'il lui offre de facto le maillot jaune. « C'est pour ce moment si particulier que depuis deux mois, avec les gars de l'équipe lors des stages ou des courses de préparation, on s'est levé chaque matin. Je viens de concrétiser le rêve que tout le peloton caresse… » A 27 ans, l'ancien vainqueur de Milan-Sanremo (deux fois 2 e de Paris-Roubaix derrière son leader Mathieu van der Poel) a certes élargi sa palette mais il reste un finisseur patenté, qui a désormais ajouté beaucoup de puissance à sa vivacité naturelle. La fulgurance de Jasper Sur le Tour, pas de place pour la magie des débuts romanesques, l'étape d'ouverture, tendue comme un fil à couper le beurre de ferme, s'est jouée sur trois paramètres : le savoir-faire flandrien pour créer des bordures dans le vent ; la puissance du « train Alpecin » bien sûr ; et in fine, la capacité de Philipsen à transformer la pression en un sprint à la précision chirurgicale. « C'est une journée parfaite, un moment essentiel de ma vie », résumait l'ancien buteur de Westerlo, qui a conservé sur deux roues ce sens de la finition. « On était tous formidablement placés quand la cassure s'est dessinée (NDLR : elle a emporté Remco Evenepoel ou Primoz Roglic mais aussi ses rivaux directs Tim Merlier et Jonathan Milan) ». Ce train gris, lancé entre les gares de Lille comme un TGV impossible à contenir, a dès lors étouffé toute velléité adverse, à plus de 71 km/h de moyenne dans le kilomètre ultime. Un chef-d'œuvre collectif, avec signature flamboyante d'un Campinois qui, ce samedi, a égalé le palmarès sur la Grande Boucle de Walter Godefroot (10 succès) et a pris le relais de Wout van Aert (2022) dans la liste des Belges ayant porté le maillot jaune. Bini Girmay (Intermarché) « jamais aussi déçu » Sur le boulevard Vauban, le maillot vert 2023 a fait parler ses « jambes de feu » (sic) et pris le meilleur sur celui qui lui a succédé au classement de la régularité l'été dernier, Biniam Girmay. Le leader de l'équipe Intermarché-Wanty est apparu très à l'aise et incisif dans la finale venteuse d'une étape qui faisait parfois penser à Gand-Wevelgem (la classique flandrienne remportée par l'Érythréen en 2022), mais l'Africain n'a rien pu faire pour contester la nette domination de Philipsen. « J'ai manqué d'un peu d'aide dans la finale, alors que Jasper était lui au milieu de ses équipiers, c'est dommage. Cette 2 e place (la 5 e cette saison !) sur l'étape d'ouverture de la plus grande épreuve du monde constitue la plus grosse déception de ma carrière… » L'Africain n'a plus levé les bras depuis près d'un an (11 juillet 2024 à Villeneuve-sur-Lot) mais est pourtant de retour en grande forme au moment le plus opportun de la saison. Il n'aura guère de mal à se convaincre que le succès n'est plus très loin. Dès ce dimanche, à Boulogne-sur-Mer ?