
Cette boulette des Jonas Brothers sur « Camp Rock 3 » va faire plaisir aux fans
Au cours de l'émission publiée le 12 août, alors qu'ils venaient déjà de manger deux ailes de poulet accompagnées de sauce piquante, Nick Jonas a lu une nouvelle question rédigée par la production. « En tant qu'auteur-compositeur, il est nécessaire de documenter en permanence tes pensées et tes sentiments les plus intimes. Lis à voix haute ta dernière note sur ton téléphone », demande-t-il à son frère Joe.
« Oh oh », répond Joe Jonas qui sort son téléphone pour ne pas reprendre de piment. « Lire Camp Rock 3 », sort-il alors à voix haute tandis que ses deux frères sont stupéfaits par ce qu'il vient de lire comme vous pouvez le voir ci-dessous. « C'est la vérité, c'est littéralement juste ici », poursuit-il en montrant son écran avant de demander pardon à Disney en faisant une grimace.
Les rumeurs autour de Camp Rock 3
Le troisième volet de la comédie musicale, qui a mis en vedette Demi Lovato dans le rôle de Mitchie Torres, est comme un mirage pour les fans. Le deuxième film a été diffusé pour la première il y a 15 ans et, jusque-là, seules des rumeurs circulaient sur un potentiel troisième volet. En avril, l'insider de Hollywood Daniel Richtman a révélé que Disney serait en train de travailler sur une comédie musicale et qu'il pourrait bien s'agir de Camp Rock 3. Mais la firme n'a encore rien confirmé.
En juin dernier, le magazine People a interviewé l'actrice Alyson Stoner qui jouait Caitlyn Geller, une camarade de Mitchie Torres. Quand nos confrères américains l'ont interrogé sur Camp Rock 3, elle n'a pas pu « confirmer ou infirmer quoi que ce soit » car elle n'a reçu aucun coup de fil. Elle s'est toutefois demandé à quoi le scénario ressemblerait. « Il faudrait qu'il s'épaississe considérablement pour que nous puissions tous revenir », a-t-elle souligné. Reste que dans la presse américaine, des rumeurs sur un retour de Camp Rock se multiplient depuis plusieurs semaines.
Le 10 août, la présence de Demi Lovato sur scène lors de la tournée anniversaire des 20 ans des Jonas Brothers, a une fois de plus ravivé les bruits de couloir parmi les nostalgiques du téléfilm. Sur scène, les quatre artistes ont notamment repris This Is Me, un morceau issu du premier film sorti en 2008. Et qui surgit dans la tête des fans à chaque fois qu'ils pensent à Camp Rock.
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44 minutes ago
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Voici les numéros à jouer selon les experts pour toucher le jackpot EuroMillions ce vendredi 15 août
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Le Figaro
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Angelina Jolie : «Les pires moments de ma vie sont liés à la célébrité »
INTERVIEW - Au dernier Festival de Cannes, elle était la marraine du prestigieux Trophée Chopard. L'occasion d'une rencontre exclusive avec une héroïne pas comme les autres. Cannes, 17 mai 2025. Le festival de cinéma est sur les rails et, la veille, Angelina Jolie a remis le prestigieux Trophée Chopard à deux gloires montantes, la Française Marie Colomb et l'Anglais Finn Bennett. La superstar américaine n'est pas exactement au comble de l'aise quand des milliers d'yeux la dévisagent, mais s'acquitte de sa mission avec l'enthousiasme et le professionnalisme afférents à son statut. On la retrouve au septième étage du Martinez, dans les élégants salons de Chopard, la prestigieuse maison de luxe suisse joaillière et horlogère, partenaire fidèle du Festival de Cannes et soutien sans faille du cinéma en général. Elle porte un ensemble crème passe-muraille («Je ne suis pas à la mode», s'amuse-t-elle), et écoute très attentivement les questions qui lui sont posées. Ce qui frappe chez Angelina Jolie, ce sont ses gestes lents, son regard bienveillant qui vous fixe, sa voix douce, son élocution extrêmement posée. Le visage de la dignité. Il y a de la gravité chez elle, une vibration douloureuse perceptible, une particularité totalement atypique dans le star-système – a fortiori hollywoodien – où n'importe quel débutant prend des airs invulnérables et conquérants. Mais le star-système n'est plus, et n'a sans doute jamais été, sa priorité. Il y a longtemps que le cinéma ne suffit plus à remplir la vie d'Angelina Jolie, superstar, réalisatrice, qui consacre l'essentiel de son temps à ses activités de militante des droits de l'homme, personnalité hors norme qui semble avoir choisi le sacerdoce humanitaire qui la conduit inlassablement sur des zones de guerre. Publicité Elle se dit «humaniste, mais internationaliste surtout.» Citoyenne du monde, à l'évidence. 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Elle y joue une réalisatrice de cinéma plongée dans le milieu de la mode à l'occasion d'un tournage publicitaire à Paris, dont les fondamentaux de vie vont être revus lorsqu'un épisode dramatique survient. Elle y croise Ella Rumpf, maquilleuse qui se rêve romancière, et Louis Garrel, son assistant et amant d'un soir. Madame Figaro. – Qu'est-ce qui vous a convaincue d'accepter d'être la marraine du Trophée Chopard, qui célèbre chaque année un acteur et une actrice au talent prometteur ? Angelina Jolie. – J'aime l'idée d'un tel dispositif, d'un programme qui vise à encourager, soutenir et accompagner les jeunes. C'est une des belles facettes du Festival de Cannes, et je suis très heureuse d'en être partie prenante cette année. Je me suis entretenue avec les deux lauréats, ils m'ont semblé brillants et déjà entièrement dédiés à leur art. Ils sont équilibrés, ancrés, très conscients de tous les aspects du métier. Par ailleurs, je suis également metteuse en scène : il est très intéressant pour moi de découvrir avec Chopard qui est la nouvelle garde du cinéma, autrement dit les acteurs de demain. Êtes-vous un modèle pour les jeunes comédiens ? C'est difficile pour moi de répondre à cette question. Quand j'avais leur âge, il n'était même pas question pour moi d'imaginer qu'un jour je pourrais être inspirante pour qui que ce soit. Si je le suis, peut-être, aujourd'hui, ce pas seulement pour ce que j'ai fait de bien, mais aussi pour mes erreurs… Vos erreurs ? Pas vraiment des erreurs, disons la vie et les fluctuations de la vie. Ce qui est positif, c'est que je suis heureuse de pouvoir mener une vie d'artiste. Pourtant, je n'ai jamais tout pris pour argent comptant, plus exactement la vie publique, la célébrité. Je suis une personne extrêmement privée. Et lorsqu'il m'arrive de fouler un tapis rouge avec mes enfants, l'idée est vraiment de s'amuser tous ensemble. L'art doit être une source de joie. «Il est très intéressant pour moi de découvrir avec Chopard qui est la nouvelle garde du cinéma, autrement dit les acteurs de demain», Angelina Jolie. Luc Braquet Comment faire le distinguo entre vie publique et vie privée quand tout est particulièrement brouillé aujourd'hui ? Comme je n'ai aucun goût pour la célébrité, il m'est très facile de séparer les territoires. Les pires moments de mon parcours, les moments les plus sombres, ce sont lorsque la célébrité et ses excès sont entrés dans ma vie. Rien n'est moins naturel. Ce que j'aime, c'est l'art, l'engagement, les films, les échanges. C'est très excitant d'être portée par un projet artistique et de le partager avec une équipe, quand tout le monde regarde dans la même direction. Mais tout ce qui relève de la célébrité est non seulement sans intérêt, mais surtout très encombrant. Publicité Comment concilier tous ces états contradictoires ? J'essaie comme je peux. Je viens d'une autre génération, une génération où vous pouviez faire un film, disparaître un an et revenir. Dans l'intervalle, il vous était à peu près permis de vivre votre vie comme une personne privée. Aujourd'hui, ce n'est plus vraiment la tendance de disparaître sans donner de nouvelles. Tout est imbriqué et l'air du temps – les réseaux sociaux – vous enjoint de commenter n'importe quelle activité de votre agenda. Si je débutais aujourd'hui, je ne pourrais pas m'adapter. On me trouverait trop «privée», et je serais requalifiée de «non bankable.» Je suis sans doute trop irrégulière pour les réseaux sociaux et pas du tout à l'aise avec la communication continue. Quelle femme étiez-vous à l'âge des lauréats du Trophée Chopard ? J'étais déjà mère de famille. J'avais adopté mon fils Maddox et j'effectuais des missions aux Nations unies. J'avais déjà commencé la transition vers une autre vie. Quel conseil donner à un jeune acteur ou une jeune actrice ? Mettre l'art au centre de ses préoccupations. Ne pas être timide et intégrer la communauté des artistes. Échanger. Partager. L'art doit être une source de joie Angelina Jolie À 20 ans, quelles actrices vous inspiraient ? Bizarrement, mes modèles étaient des hommes. Alan Bates, Marlon Brando, des acteurs. Bien sûr, j'aimais Meryl Streep, comme tout le monde, mais je n'étais pas une cinéphile à cette époque, non. Peut-être parce que mon père était acteur (Jon Voight, 86 ans, Oscar du meilleur acteur en 1979 pour Retour, de Hal Ashby, NDLR) ? Il y avait déjà trop de films dans ma vie… Je voyais bien que tout cela n'était pas réel. Ce qui m'intéressait chez les acteurs, ce n'était pas leurs personnages mais leurs personnalités… Je n'ai pas beaucoup changé d'avis : aux gens connus, je préfère les artistes singuliers. 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Je pense qu'il y a une piste à suivre : ce genre d'initiatives peut faire boule de neige et bénéficier à des communautés voisines, et ainsi de suite, en permettant aux locaux d'établir et de faire prospérer leurs propres réseaux. Coutures , d'Alice Winocour, avec Angelina Jolie, Louis Garrel, Ella Rumpf… Sortie le 15 octobre.


Le Parisien
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Elsa Bois, de « Danse avec les stars », rejoint « Ici tout commence » : « Je ne voulais pas jouer une danseuse »
On l'a connue finaliste de « Danse avec les stars » au printemps, au bras du nageur Florent Manaudou. La voici maintenant actrice ! Dès ce vendredi, à 18h20, la danseuse Elsa Bois rejoint le casting du feuilleton quotidien « Ici tout commence » sur TF 1. « Je suis un peu une touche-à-tout », nous confie la jeune femme de 25 ans, entre deux tournages. Pourtant, la comédie est venue à elle pendant la saison écoulée du concours de danse de la Une. « La direction m'a parlé des séries quotidiennes et m'a demandé laquelle je préférais », raconte-t-elle.