
Shakira a battu un « record historique » impressionnant au Mexique avec sa tournée
« C'était déjà la plus grande tournée de l'histoire du Mexique, mais là, c'est un tout autre niveau », a insisté le promoteur dans une publication sur Instagram. S'il se félicite du « chiffre sans précédent » de vente de billets, OCESA souligne par ailleurs « le record historique » que représentent les « douze dates à guichets fermés » dans l'Estadio GNP Seguros, un stade de Mexico qui peut accueillir jusqu'à 65 000 personnes.
« Est-ce qu'ils comptent changer le nom du stade pour le rebaptiser Stade Shakira ? », c'est amusé un internaute face à l'ampleur du succès de la chanteuse colombienne. Le chiffre d'un million de billets vendus n'est pas dû qu'aux seuls concerts à Mexico mais aux 28 shows au total que la superstar va donner dans le pays d'Amérique latine.
Comme le rappelle Bilboard, les ventes avaient très bien commencé en mars avec sept concerts consécutifs à guichets fermés dans l'Estadio GNP Seguros. Il avait alors fallu rajouter six autres dates à la fin août et en septembre pour combler les attentes des fans. Ce sont ces dates supplémentaires prévues face à l'affluence qui ont permis à la chanteuse d'être la première de l'histoire du stade à atteindre les douze shows au total, pulvérisant le record précédent détenu par le Grupo Firme, un groupe mexicain régional qui avait donné neuf concerts.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le HuffPost France
6 hours ago
- Le HuffPost France
« Papamobile », le dernier film « pas drôle » avec Kad Merad sort en catimini, retour sur un raté très rare
DR CINÉMA - Un véritable fiasco. Sorti mercredi 13 juillet, le film Papamobile dans lequel l'acteur Kad Merad incarne un souverain pontife enlevé par un cartel mexicain aux côtés de Myriam Tekaïa, n'est diffusé que dans sept salles de cinéma, malgré son budget de 1,2 million d'euros. Dans les colonnes du Canard Enchaîné, le producteur Jean Bréhat reconnaît un « raté », pour expliquer cette quasi-invisibilisation du film même pas diffusé à Paris. « C'est une comédie pas drôle, selon la plupart de ceux qui l'ont vue. Ça arrive dans le métier », admet-il. Lire aussi Kad Merad travaille bien sur le retour de « Baron Noir », dont il prévoit le tournage en 2026 La distributrice, Violaine Barbaroux a quant à elle expliqué au journal Le Parisien ne pas avoir voulu investir les 200 000 euros de frais de sortie. « Le premier montage en 2024 n'était pas satisfaisant. Puis le montage définitif s'est révélé décevant, pas seulement pour nous, et pas à la hauteur du scénario, du réalisateur, de ses acteurs et des promesses associées », a-t-elle développé. Un « nanar revendiqué » tourné au Mexique La société de distribution s'est donc contentée d'une sortie technique, dans sept salles, afin d'honorer les obligations prises avec le Centre national du Cinéma (CNC). Le film sera disponible dans six villes : Avignon (Vaucluse) ; Bagnoles-de-l'Orne (Orne) ; Saverne (Bas-Rhin) ; Douvaine et Évian-les-Bains (Haute-Savoie) ; Romans-sur-Isère (Drôme). Hormis Avignon, toutes ces villes comptent moins de 35 000 habitants. Il sera par ailleurs impossible de voir Papamobile en Île-de-France. Dans Le Parisien, le réalisateur du film Sylvain Estibal affirme avoir pensé le film, tourné pendant un peu plus de trois semaines au Mexique en 2023, comme ayant « un côté nanar revendiqué ». Il a également regretté que le producteur « s'exprime ainsi dans la presse le jour de la sortie » du film, au lieu de défendre le projet. Le film sur les plateformes en 2026 ? « C'était censé être une grosse comédie d'action, mais dès le début, on n'a pas eu le budget espéré », déplore le cinéaste césarisé en 2011 pour Le cochon de Gaza. Il indique par exemple que le projet était de tourner à Rome dans les studios de Cinecitta mais que faute d'argent il a dû se résoudre à tourner au Mexique où il a peiné à trouver des acteurs locaux parlant français. Sylvain Estibal ajoute avoir dû couper une dizaine de pages du scénario faute d'avoir pu les tourner. Mais il confie au journal avoir trouvé « une belle énergie » sur le tournage et assure que Kad Merad en a gardé un « excellent souvenir ». « Il est beau visuellement. J'espère qu'avec le temps, les gens y trouveront du charme », conclut le réalisateur qui espère que la distribution ne sera pas remise en cause.


Le Figaro
9 hours ago
- Le Figaro
Cinéma, séries : retour en force du biblique sur les écrans
Réservé aux abonnés Une suite en deux films de la Passion du Christ selon Mel Gibson, une relecture de la naissance de Jésus et deux séries sur des figures importantes des textes religieux sont sur les rails aux États-Unis. Faut-il y voir le reflet d'un regain d'intérêt pour les croyances religieuses ? Plus historiquement, pour les origines communes de nos civilisations? Plus politiquement, pour quelque chose qui sonnerait comme un contre-feu à la débâcle spirituelle généralisée? Ou plus concrètement, d'un filon qui s'ouvre ou se rouvre, potentiellement très lucratif, en mode péplum modernisé. Allez savoir ce qu'il se passe dans les bureaux des producteurs et des patrons de plateformes…


Le Figaro
14 hours ago
- Le Figaro
Selon la Cour suprême sud-coréenne, la chanson Baby Shark n'est pas un plagiat
Le compositeur américain Johnny Only accusait la start-up sud-coréenne SmartStudy d'avoir copié son titre de 2011. Une mélodie entêtante. En pleine polémique sur des accusations de plagiat, la Cour suprême sud-coréenne a décidé jeudi que le tube viral pour enfants Baby Shark n'était pas un plagiat. Elle a ainsi confirmé le jugement d'un tribunal de première instance qui avait débouté la plainte d'un compositeur américain. Avec ses paroles entraînantes « Baby Shark doo doo doo », la vidéo « Baby Shark Dance » est la plus regardée de la plateforme de vidéos YouTube, avec plus de 16 milliards de vues, soit environ le double de celles de Despacito (Luis Fonci) ou de la chanson pour enfants Wheels on the Bus. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour À lire aussi YouTube: avec 7 milliards de vues, «Baby Shark» devient la vidéo la plus vue de l'histoire En 2019, le compositeur new-yorkais Johnny Only a intenté une poursuite à Séoul, en invoquant qu'à travers la chanson Baby Shark (2015), la startup éducative sud-coréenne SmartStudy avait copié un de ses titres sorti en 2011. Il a demandé une indemnisation de 30 millions de wons (environ 18.500 euros), accusant la startup d'avoir copié des éléments de son œuvre, notamment sa ligne de basse et son rythme. SmartStudy, désormais connue sous le nom de The Pinkfong Company, a rétorqué que sa version était une adaptation d'une chanson traditionnelle pour enfants d'Amérique du Nord non protégée par le droit d'auteur. Lors d'une interview avec la télévision publique canadienne CBC en 2019, Johnny Only avait déclaré qu'il avait créé une version de Baby Shark adaptée aux tout-petits en 2011, a partir d'une chanson portée sur une attaque de requins sanglante. « J'étais le premier à faire ça (réécrire la chanson), vous savez? Et en gros, la version de Pinkfong fait la même chose, » a-t-il alors déclaré. Publicité Un tribunal de première instance avait acquitté The Pinkfong Company en 2021. La décision avait été confirmée par une cour d'appel en 2023, ce qu'avait contesté Johnny Only. « Tous les appels ont été rejetés et les décisions du tribunal de première instance ont été confirmées, » indiquent les documents judiciaires consultés par l'AFP. Contactés par l'AFP, Johnny Only et The Pinkfong Company n'ont pas immédiatement donné suite.