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Shakira a battu un « record historique » impressionnant au Mexique avec sa tournée

Shakira a battu un « record historique » impressionnant au Mexique avec sa tournée

MUSIQUE - « Un million de billets… dans un pays de 129 millions d'habitants ! » La chanteuse Shakira a battu un record en vendant un nombre ahurissant de places au Mexique pour sa tournée mondiale « Las Mujeres Ya No Lloran » (« Les femmes ne pleurent plus »), a annoncé le promoteur mexicain OCESA le jeudi 31 juillet dans un communiqué cité par le magazine américain Billboard.
« C'était déjà la plus grande tournée de l'histoire du Mexique, mais là, c'est un tout autre niveau », a insisté le promoteur dans une publication sur Instagram. S'il se félicite du « chiffre sans précédent » de vente de billets, OCESA souligne par ailleurs « le record historique » que représentent les « douze dates à guichets fermés » dans l'Estadio GNP Seguros, un stade de Mexico qui peut accueillir jusqu'à 65 000 personnes.
« Est-ce qu'ils comptent changer le nom du stade pour le rebaptiser Stade Shakira ? », c'est amusé un internaute face à l'ampleur du succès de la chanteuse colombienne. Le chiffre d'un million de billets vendus n'est pas dû qu'aux seuls concerts à Mexico mais aux 28 shows au total que la superstar va donner dans le pays d'Amérique latine.
Comme le rappelle Bilboard, les ventes avaient très bien commencé en mars avec sept concerts consécutifs à guichets fermés dans l'Estadio GNP Seguros. Il avait alors fallu rajouter six autres dates à la fin août et en septembre pour combler les attentes des fans. Ce sont ces dates supplémentaires prévues face à l'affluence qui ont permis à la chanteuse d'être la première de l'histoire du stade à atteindre les douze shows au total, pulvérisant le record précédent détenu par le Grupo Firme, un groupe mexicain régional qui avait donné neuf concerts.
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time6 hours ago

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« Papamobile », le dernier film « pas drôle » avec Kad Merad sort en catimini, retour sur un raté très rare

DR CINÉMA - Un véritable fiasco. Sorti mercredi 13 juillet, le film Papamobile dans lequel l'acteur Kad Merad incarne un souverain pontife enlevé par un cartel mexicain aux côtés de Myriam Tekaïa, n'est diffusé que dans sept salles de cinéma, malgré son budget de 1,2 million d'euros. Dans les colonnes du Canard Enchaîné, le producteur Jean Bréhat reconnaît un « raté », pour expliquer cette quasi-invisibilisation du film même pas diffusé à Paris. « C'est une comédie pas drôle, selon la plupart de ceux qui l'ont vue. Ça arrive dans le métier », admet-il. Lire aussi Kad Merad travaille bien sur le retour de « Baron Noir », dont il prévoit le tournage en 2026 La distributrice, Violaine Barbaroux a quant à elle expliqué au journal Le Parisien ne pas avoir voulu investir les 200 000 euros de frais de sortie. « Le premier montage en 2024 n'était pas satisfaisant. Puis le montage définitif s'est révélé décevant, pas seulement pour nous, et pas à la hauteur du scénario, du réalisateur, de ses acteurs et des promesses associées », a-t-elle développé. Un « nanar revendiqué » tourné au Mexique La société de distribution s'est donc contentée d'une sortie technique, dans sept salles, afin d'honorer les obligations prises avec le Centre national du Cinéma (CNC). Le film sera disponible dans six villes : Avignon (Vaucluse) ; Bagnoles-de-l'Orne (Orne) ; Saverne (Bas-Rhin) ; Douvaine et Évian-les-Bains (Haute-Savoie) ; Romans-sur-Isère (Drôme). Hormis Avignon, toutes ces villes comptent moins de 35 000 habitants. Il sera par ailleurs impossible de voir Papamobile en Île-de-France. Dans Le Parisien, le réalisateur du film Sylvain Estibal affirme avoir pensé le film, tourné pendant un peu plus de trois semaines au Mexique en 2023, comme ayant « un côté nanar revendiqué ». Il a également regretté que le producteur « s'exprime ainsi dans la presse le jour de la sortie » du film, au lieu de défendre le projet. Le film sur les plateformes en 2026 ? « C'était censé être une grosse comédie d'action, mais dès le début, on n'a pas eu le budget espéré », déplore le cinéaste césarisé en 2011 pour Le cochon de Gaza. Il indique par exemple que le projet était de tourner à Rome dans les studios de Cinecitta mais que faute d'argent il a dû se résoudre à tourner au Mexique où il a peiné à trouver des acteurs locaux parlant français. Sylvain Estibal ajoute avoir dû couper une dizaine de pages du scénario faute d'avoir pu les tourner. Mais il confie au journal avoir trouvé « une belle énergie » sur le tournage et assure que Kad Merad en a gardé un « excellent souvenir ». « Il est beau visuellement. J'espère qu'avec le temps, les gens y trouveront du charme », conclut le réalisateur qui espère que la distribution ne sera pas remise en cause.

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