
Isaac Del Toro remporte la 2e étape du Tour d'Autriche et confirme la domination d'UAE Team Emirates
UAE Team Emirates continue d'écraser le Tour d'Autriche. Après la victoire de Felix Grossschartner, mercredi, son coéquipier Isaac Del Toro s'est à son tour imposé ce jeudi lors de la deuxième étape. Le Mexicain a été le plus rapide au sprint dans la montée finale vers St. Johann Alpendorf, qui a vu l'équipe émiratie placer trois coureurs dans le top 5, Grossschartner (4e) - toujours leader du général - et Alessandro Covi (5e) accompagnant le dauphin du dernier Giro.
Au milieu de l'armada d'UAE, Andrew August (Ineos-Grenadiers) et Hector Alvarez (Lidl-Trek) ont réussi à s'inviter sur le podium de l'étape. Le jeune Espagnol (18 ans), impressionnant chez les juniors en 2024, confirme sa bonne forme après avoir terminé 7e mercredi. Son coéquipier et compatriote, Aleix Espargaro, termine en 70e position, à 1'23'' du groupe de tête.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes

L'Équipe
2 hours ago
- L'Équipe
À Nantes, l'enjeu du jeu avec plus de jeunes et moins de moyens
Après une saison anxiogène, Nantes ouvre un nouveau chapitre avec Luis Castro à sa tête et l'espoir de renouer avec le jeu. Mais son budget est drastiquement revu à la baisse. C'est sympa, l'été à Nantes. Le Voyage, une déambulation culturelle surprenante, s'invite en ville et le musée d'arts accueille l'expo « Electric Op », qui propose des oeuvres de Vasarely. Les spectateurs sont quand même avertis pendant la visite : des effets visuels peuvent affecter certaines personnes sujettes aux vertiges. Le conseil ne serait peut-être pas de trop, non plus, pour les supporters nantais car leur FCN est un spécimen difficile à identifier en cette période agitée. D'un côté, il pourrait presque séduire. Luis Castro, entraîneur qui a épaté à Dunkerque (L2), a succédé à Antoine Kombouaré pour tenter de raviver un semblant de jeu à la Beaujoire. Et après quelques semaines seulement, ce que le Portugais souhaite mettre en place dans ses animations est déjà perceptible, avec plus de tenue du ballon, quitte à mettre à contribution le gardien dans le jeu au pied. Un but a même été inscrit contre Rennes après une minute de possession, en amical (2-3, le 26 juillet). Les premiers pas de Castro On observe aussi plus de risques pour récupérer le ballon, avec l'envie de défendre haut, parfois jusqu'à la médiane, en travaillant les hors-jeu et en laissant des espaces dans le dos. À cela, il faut ajouter une politique consistant à travailler avec les jeunes. « Beaucoup de bonnes surprises », en a dit Castro. Une douzaine a été lancée en cette pré-saison, comme Tylel Tati ou Bahmed Deuff, et au moins quatre prétendent au 11, avec Louis Leroux et Dehmaine Tabibou en étendard. Ce n'est pas pour déplaire au centre de formation, lequel voit les fruits de son travail trouver une continuité. Et cela n'a évidemment rien d'anodin à Nantes, car c'est ce que le public local, qui avait fini par exprimer sa lassitude au mois de mai, réclame : l'alliage jeunes et jeu. Le défi de la succession des cadres La légère ombre au tableau est que les Canaris disposent de moyens drastiquement en baisse. Leur budget passe de 80 à 50 M€ et, comme beaucoup de clubs français privés de droits télé, le FCN a été contraint de vendre. Beaucoup. Par besoin de renouvellement ou nécessité, il a déjà cédé ses actifs pour plus de 40 M€, un record. Nathan Zézé, formé au club, a par exemple été acheté 20 M€ par Neom, un montant jusque-là jamais atteint par les Canaris, et il n'est pas impossible que Matthis Abline, meilleur buteur du FCN lors du précédent exercice (11 buts toutes compétitions confondues), soit à son tour attaqué d'ici à la fin du mercato. L'octuple champion de France parvient ainsi à souffler économiquement et à flirter avec l'équilibre, ce qui est déjà une petite victoire en cette période d'austérité, mais son vestiaire est donc amputé de plusieurs cadres. Si certains paraissaient essoufflés, leur succéder s'apparentera parfois un défi, à l'image de la place d'ailier laissée par Moses Simon (parti au Paris FC), prépondérant pour arracher le maintien la saison écoulée. Pour le moment, Nantes s'est lancé dans un marché d'opportunités, à bas coût, sans doute intelligent, mais parfois dénué de références en Ligue 1, ce qui n'offre pas beaucoup de garanties et peut, cette fois, instiller le doute chez les amoureux du FCN. À peine arrivé, le Serbe Uros Radakovic est, par exemple, déjà invité à partir... « Le terrain va parler », promet-on de concorde à la Jonelière. Pour une heureuse surprise ou un trompe-l'oeil ? De la capacité à se montrer patient avec Castro et les jeunes joueurs dépendra possiblement la qualité du millésime 2025-2026. Les fans, eux, n'ont pas baissé les bras. Malgré les derniers exercices éprouvants, ils seront encore plus de 13 000 abonnés.


L'Équipe
7 hours ago
- L'Équipe
« On est tombés sur plus fort que nous » : la réaction de Melvin Bard après la défaite de Nice face au Benfica
L'OGC Nice s'est incliné 0-2 face au Benfica Lisbonne mercredi soir au 3e tour préliminaire aller de la Ligue des champions. Melvin Bard revient sur cette défaite qui met les Niçois en mauvaise posture. « Il faut toujours y croire, ça va être dur mais il faut y croire, sinon autant ne pas y aller. » Melvin Bard se montre fataliste suite à la défaite de l'OGC Nice face au Benfica 0-2 mercredi soir au 3e tour préliminaire de la Ligue des champions. L'arrière gauche sait parfaitement que son équipe doit l'emporter mardi prochain à l'Estadio da Luz si elle souhaite rejoindre les barrages de C1. « Aujourd'hui, on est tombés sur plus fort que nous. On va aller là-bas avec des ambitions. On veut faire quelque chose, affirme le Français de 24 ans. Les blessés ? On va voir, on va faire avec, c'est comme ça, ça fait partie de la vie. La différence sur ce match ? Ils mettent beaucoup de mouvements, ils courent beaucoup, donc c'est très dur, mais c'est comme ça, c'est le foot. On doit élever aussi notre niveau de jeu, donc on va essayer de l'élever et essayer de faire quelque chose là-bas. »


L'Équipe
7 hours ago
- L'Équipe
Franck Haise constate la différence de niveau entre Nice et Benfica : « On n'est pas dans la même catégorie »
Franck Haise, l'entraîneur de Nice, a reconnu la supériorité de Benfica après la victoire des Lisboètes mercredi en match aller du 3e tour préliminaire de la Ligue des champions : « Ils sont plus forts que nous. » « Benfica était-il trop fort face à Nice ?Oui, je pense qu'ils sont plus forts que nous. On le savait avant et à la fin du match, je crois qu'on est obligés de constater qu'on a quasiment donné le mieux que l'on pouvait faire. Dans ces moments-là, il faut être très efficace. En marquant notre occasion au début de deuxième mi-temps à 0-0, ça peut évidemment changer la donne. Mais sur l'ensemble du match, on sent que nous, en faisant beaucoup, on a du mal à se créer beaucoup d'occasions franches. Et eux, on sent que c'est plus simple. On n'est pas dans la même catégorie. On le savait avant, on a essayé de les bousculer, mais à l'issue du match, on sait qu'on n'est pas dans la même catégorie. Étiez-vous prêts pour ce match ?On était prêts à faire ce match-là qui, aujourd'hui, n'était pas loin des 100 % de ce qu'on pouvait faire ce soir. Et forcément, quand je dis ça, c'est qu'il en manque, face à ce type d'adversaire. Parce que c'est un adversaire qui fait la Ligue des champions tous les ans. Et qui a une expérience, une dimension différente. Nous, on construit. Ils ont déjà l'habitude d'être sur les hauteurs, sur les sommets. Et on voit la différence ce soir, c'est tout. Coup dur pour Nice, battu par Benfica Comment aborder le retour ?On va l'aborder avec la même détermination qu'on avait au départ de ce match. C'est un match qui, malgré la déception, en plus de prendre un deuxième but comme ça, doit nous faire grandir. Nous dire, voilà ce que c'est le très haut niveau. Nous, on va espérer, on va tendre vers ce très haut niveau. Mais on n'y est pas. Les équipes qui sont régulièrement dans les 16 meilleures équipes d'Europe, on n'en est pas là. C'est juste la réalité. » Les notes de Nice-Benfica