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« On ne naît pas raciste » : à Sarcelles, tous unis pour lutter contre les préjugés

« On ne naît pas raciste » : à Sarcelles, tous unis pour lutter contre les préjugés

Le Parisien10-07-2025
Des sourires, de la gêne, mais surtout de la surprise devant les différentes situations mettant en avant l'importance des préjugés. Une trentaine de personnes, jeunes et/ou représentants d'associations locales, se sont réunies ce jeudi 10 juillet au matin à la maison de quartier Watteau, à Sarcelles (Val-d'Oise), pour une rencontre autour du documentaire «
Sommes-nous tous racistes ?
» ,
récemment diffusé sur France 2.
L'occasion d'échanger autour des expériences proposées dans le reportage, en compagnie de Mathias Ott, délégué interministériel à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT +.
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La décision des Sages, qui peuvent censurer tout ou partie de la loi, sera scrutée de très près, alors qu'une pétition demandant l'abrogation du texte a recueilli plus de 1,9 million de signatures, un record pour une telle démarche. Le Conseil constitutionnel rendra «a priori» le 7 août sa décision très attendue sur la contestée loi Duplomb, qui réintroduit de manière dérogatoire un pesticide, a annoncé l'institution vendredi à l'AFP. La décision des Sages, qui peuvent censurer tout ou partie de la loi, sera scrutée de très près, alors qu'une pétition déposée sur le site de l'Assemblée nationale et demandant l'abrogation du texte a recueilli plus de 1,9 million de signatures, un record pour une telle démarche. Publicité Des députés et sénateurs de gauche ont saisi mi-juillet le Conseil constitutionnel, arguant que la loi, adoptée au Parlement le 8 juillet, est incompatible avec la préservation de l'environnement et le droit à la santé. «obstruction de la gauche» Les députés dénoncent également les conditions d'examen du texte. Aucun amendement n'avait pu être débattu dans l'Hémicycle de l'Assemblée, le texte ayant été rejeté d'entrée par ses défenseurs pour contourner ce qu'ils avaient qualifié «d'obstruction» de la gauche. La loi du sénateur Les Républicains Laurent Duplomb autorise notamment la réintroduction sous condition de l'acétamipride, un pesticide de la famille des néonicotinoïdes interdit en France mais autorisé ailleurs en Europe. Ce produit, toxique pour la biodiversité et potentiellement pour la santé humaine, est réclamé par les producteurs de betteraves ou de noisettes, qui estiment ne pas avoir d'alternative contre les ravageurs et subir une concurrence déloyale des producteurs étrangers. Les requérants auprès du Conseil constitutionnel estiment que cette réintroduction contrevient notamment aux principes de précaution et de non-régression environnementale. Publicité La loi, présentée par ses défenseurs comme une réponse aux manifestations du monde agricole de 2024, contient d'autres mesures controversées, par exemple le relèvement des seuils d'autorisation environnementale pour les élevages intensifs ou encore la facilitation du stockage de l'eau pour l'irrigation des cultures (méga-bassines). Si le texte n'est pas censuré par le Conseil constitutionnel, la gauche appelle d'ores et déjà Emmanuel Macron à demander une nouvelle délibération de la loi au Parlement, comme le lui permet la constitution. Si elle est bien promulguée par le président, plusieurs groupes de gauche dont les socialistes, ont annoncé vouloir porter une proposition de loi abrogeant les dispositions du texte agricole.

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Une forte odeur de brûlé imprègne encore la cage d'escalier. Au lendemain de l'incendie qui s'est déclaré ce jeudi après-midi, l'immeuble situé au 6 rue Berthie-Albrecht, à Saint-Cyr-l'École (Yvelines), porte les stigmates du feu dans le sous-sol. Une énorme trace noire recouvre la façade latérale, idem sur la porte intérieure qui donne accès aux caves. Ce vendredi, le bilan des blessés se veut rassurant. Sur les cinq personnes hospitalisées jeudi soir, seul un adolescent de 16 ans était encore au centre hospitalier de Percy, à Clamart (Hauts-de-Seine) en raison de graves brûlures. Apparemment, ce dernier n'habiterait pas le bâtiment. « Je venais à peine de rentrer quand les jeunes ont commencé à tambouriner et frapper sur les portes à coups de pied en criant : il y a le feu, il y a le feu. Une fois dans l'escalier, on n'y voyait rien et on avait du mal à respirer » , raconte un habitant. « On n'a pas vu de flammes mais une énorme fumée, se souvient une résidente de l'immeuble d'en face. La rue était bouclée, il y avait beaucoup de pompiers. » Pas moins de 66 professionnels ont été appelés sur cette intervention qui a duré trois heures, jusqu'à 20 heures. Si l'heure est au soulagement, certains résidents n'ont que peu de doutes sur l'origine de l'incendie. « Ça fait des mois qu'on ne peut plus dormir parce que ça deal dans la cave et ça fait le bordel jusqu'à 5 heures du matin, assure un habitant. Ils arrivent, retournent les conteneurs à poubelle, qu'ils soient vides ou pleins, pour s'asseoir dessus, ils mangent et ils y restent la nuit. J'avais prévenu qu'un jour ça finirait mal, voilà on y est. » Jeudi soir, tous les locataires ont eu le feu vert pour regagner leur logement, l'eau et l'électricité avaient déjà été rétablies, le gaz ce vendredi matin. Une enquête est en cours pour permettre d'identifier l'origine de l'incident et surtout ses auteurs. La police scientifique est venue jeudi pour relever des empreintes et des éléments qui serviront sans doute à orienter les investigations.

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