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Accord Ekitike-Liverpool, l'Inter sur Lookman, la Juve pense à Rashford... Les 5 infos mercato du jour

Accord Ekitike-Liverpool, l'Inter sur Lookman, la Juve pense à Rashford... Les 5 infos mercato du jour

Le Figaroa day ago
Hugo Ekitike d'accord avec les Reds, Ademola Lookman ciblé par l'Inter Milan et Marcus Rashford sur la liste de la Juventus Turin : retrouvez toutes les infos mercato de ce jeudi.
Hugo Ekitike vers Liverpool ?
Vers un transfert surprise ? En quête d'un nouveau renfort dans le secteur offensif, le Liverpool FC aurait ciblé Hugo Ekitike. Et à en croire les dernières informations révélées par RMC Sport, les Reds seraient d'ores et déjà tombés d'accord avec l'attaquant polyvalent français autour d'un contrat de six ans, soit jusqu'en 2031. Reste désormais à trouver un terrain d'entente avec l'Eintracht Francfort. La formation allemande attendrait près de 90 M€ pour laisser partir son buteur acheté...16,5 M€ au Paris SG l'été dernier. Une somme qui ne devrait pas effrayer le club champion d'Angleterre. gé de 23 ans, l'ex-Rémois sort d'une très belle saison avec 15 buts et 8 passes décisives en Bundesliga.
Newcastle fonce sur Yoane Wissa
Toujours en quête d'un attaquant supplémentaire, le Newcastle United FC – qui avait un temps visé Hugo Ekitike – s'intéresserait à Yoane Wissa, rapporte Sky Sports News . L'attaquant polyvalent âgé de 28 ans, à qui il ne reste plus qu'une année de contrat, serait évalué à 35 M€. Le Congolais, passé par le FC Lorient, a réalisé une grande saison avec le Brentford FC, marquant 19 buts et délivrant 4 passes décisives en Premier League.
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Alassane Pléa aux Pays-Bas (officiel)
Il va découvrir un nouveau championnat. Après avoir évolué en Ligue 1 et en Bundesliga, Alassane Pléa s'apprête à évoluer en Eredivisie (Pays-Bas). L'attaquant âgé de 32 ans a été transféré du Borussia Mönchengladbach au PSV Eindhoven, a annoncé la formation néerlandaise. L'ancien Lyonnais s'est engagé pour trois ans, soit jusqu'en juin 2028. Montant de l'opération ? 3 M€. En 2024-2025, Alassane Pléa a inscrit 11 buts et délivré 4 passes décisives en Bundesliga.
L'Inter Milan pense à Ademola Lookman
Une potentielle recrue de choix. L'Inter Milan aurait passé la seconde pour s'attacher les services d'Ademola Lookman. Les Nerazzurri – qui auraient d'ores et déjà trouvé un accord de principe avec le Nigérian – seraient «en pourparlers» avec l'Atalanta Bergame, annonce Gianluca Di Marco de Sky Italia. La Dea réclamerait 50 M€ pour laisser partir son attaquant. Le club intériste espérerait pouvoir conclure l'affaire plutôt aux alentours des 40 M€. L'attaquant de 27 ans sort d'une nouvelle très bonne saison avec 15 buts et 5 offrandes en Serie A.
Sancho, Rashford...La Juventus s'active pour trouver un attaquant supplémentaire
Alors qu'elle finalise le transfert définitif de Francesco Conceiçao – pour un montant de 32 M€ –, la Juventus Turin s'activerait par ailleurs pour trouver un nouveau renfort offensif sur les ailes. Sky Sports News révèle que les Bianconeri auraient accéléré dans le dossier Jadon Sancho (25 ans). «Des discussions sont ouvertes entre la Juve, United et les représentants de Sancho», indiquent nos confrères. Le Britannique ne serait pas le seul joueur ciblé puisque la Vieille Dame aurait aussi pris des renseignements concernant Marcus Rashford (27 ans) qui devrait, selon toute vraisemblance, quitter le Manchester United FC cet été.
À VOIR AUSSI - Football : la saison historique du Paris SG
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« Recruter sans menottes, c'est un vrai plaisir » : la nouvelle provocation de John Textor à l'égard de la DNCG
« Recruter sans menottes, c'est un vrai plaisir » : la nouvelle provocation de John Textor à l'égard de la DNCG

L'Équipe

time18 minutes ago

  • L'Équipe

« Recruter sans menottes, c'est un vrai plaisir » : la nouvelle provocation de John Textor à l'égard de la DNCG

John Textor, l'ancien président de l'Olympique Lyonnais, a envoyé une nouvelle pique au gendarme financier du football français, en partageant fièrement sur Instagram la liste des recrues de Botafogo. John Textor n'en a pas fini avec le football français, et il le fait savoir. Sur ses réseaux sociaux, l'homme d'affaires américain s'est réjoui du recrutement de six joueurs par Botafogo. « Conquérir des trophées et recruter sans menottes, c'est un vrai plaisir », a lancé Textor, dans une formule lourde de sous-entendus. Avant d'ajouter qu'il appréciait de diriger un club « sans l'interférence d'un agenda politique ». Derrière sa déclaration provocante, Textor semble avant tout viser la DNCG, le gendarme financier du football français. En ligne de mire : la gestion drastique imposée à l'OL ces derniers mois, et qui a culminé fin juin par une rétrogradation administrative en Ligue 2, finalement infirmée en appel le 9 juillet. Le club est bel et bien maintenu en Ligue 1, mais sous strict encadrement de sa masse salariale et des indemnités de transfert. Si Michele Kang et Michael Gerlinger ont repris le flambeau et réussi à convaincre la commission d'appel, l'Américain de 59 ans, lui, n'avait pas convaincu la DNCG de la viabilité de son projet pour Lyon. Il y a quelques jours, il avait déjà taclé le gendarme financier et l'ensemble du foot français, affirmant que « la gouvernance en France ne fonctionne pas ».

L'après-match vu par Selma Bacha, latérale des Bleues et de l'OL : « S'il y a nul, c'est comme si j'avais perdu »
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L'Équipe

time24 minutes ago

  • L'Équipe

L'après-match vu par Selma Bacha, latérale des Bleues et de l'OL : « S'il y a nul, c'est comme si j'avais perdu »

La latérale gauche de l'équipe de France et de l'OL, Selma Bacha, raconte ses après-matches, notamment son besoin de « remercier » les supporters et le difficile contrôle de ses émotions en fonction du résultat. « Quelle est la chose que vous faites après le coup de sifflet final qui vous paraît essentielle ?Pour moi, il est important d'aller saluer les supporters. Ils font l'effort de venir nous voir. Qu'on ait perdu, qu'on ait fait un match nul ou qu'on ait gagné, pour moi, il est essentiel d'aller les remercier. Cela s'appelle du respect. Ça me tient à coeur de faire le tour. Si je peux donner un maillot ou faire quelques photos, je le fais. Comment se passe le retour dans le vestiaire ?Ça dépend ! Si on a gagné, moi, avec mon grain de folie, je suis contente, je crie. Je n'ai qu'une envie, c'est de fêter la victoire avec mon équipe. S'il y a match nul, je suis une compétitrice, c'est comme si j'avais perdu. Je vais à ma place et je suis énervée. Je boude, comme quand il y a une défaite. Il y a des défaites dans ma carrière qui m'ont fait très mal. Je peux pleurer. Dans ces cas-là, je prends vite ma douche, je rentre chez moi ou à l'hôtel. Mais personne ne me parle. Je reste dans ma bulle quand j'ai perdu. Qu'est-ce que la défaite provoque comme émotion ?J'ai de la haine en moi. Maintenant, je suis plus mature, j'ai plus d'expérience. Je sais me contrôler. Mais si je m'écoutais, je pourrais crier. Connaissant mon tempérament, je peux dire des choses que je ne vais pas penser. J'ai trouvé un bon truc, c'est que personne ne m'adresse la parole. Je reste focus sur moi-même. « Les JO, ça a mis les deux semaines de vacances, presque trois semaines » Combien de temps mettez-vous à redescendre ?Ça dépend. La Coupe du monde 2023 (élimination en quarts de finale par l'Australie aux tirs au but, 0-0 a.p., 6-7 aux t.a.b.), ça a mis une semaine. Les JO (élimination en quarts par le Brésil, 0-1), ça a mis les deux semaines de vacances, presque trois semaines. Les Jeux, j'y ai tellement cru que ça m'a fait trop mal. J'ai été tellement déçue. Quels étaient vos sentiments après cette défaite ?Il y a des matches où tu te dis, c'est injuste, on ne mérite pas. Il y a des matches où, il faut dire la vérité, on est passé à côté. Quand c'est le cas, je suis frustrée, car on n'a pas le droit. Quand il y a des matches à enjeu, tu n'as pas le droit de passer à côté. Comme la Ligue des nations (en 2024, contre l'Allemagne puis l'Espagne). Je n'ai pas de mal à le dire, quand je suis nulle, je suis nulle. Cela a été le cas sur ce stage-là, et on n'a pas existé face à l'Espagne. Vous souvenez-vous de la première fois où vous êtes montée sur un podium chercher une médaille ?C'était ma première finale de Ligue des champions, avec l'OL, à l'âge de 17 ans (en 2018, 4-1, a.p., contre Wolfsburg). Je me revois avec mon petit chignon et mes grosses joues, c'était juste incroyable. Quelle fierté ! Moi, j'ai pleuré alors que de base quand je gagne, je ne pleure jamais. J'ai pleuré, car c'était un truc de fou. Je ne pensais pas qu'on allait gagner étant donné qu'on perdait 1-0 (à la 93e minute). Je me souviens de la haie d'honneur des adversaires, tu passes, tu es si contente. Tu serres la main, on te remet la médaille et tu attends la capitaine qui ramène la Coupe. Tu fais la fête pendant un ou deux jours (rires). Êtes-vous de celles qui lancent les chants après la victoire dans le vestiaire ?Non. Pour cela, il y a Melvine (Malard) en équipe de France. À l'OL, il y avait Ellie (Carpenter, partie à Chelsea depuis), elle le fait en français ! Elle est forte. Les petites jeunes aussi le font quand elles viennent. La dernière fois, c'était Liana Joseph quand on avait joué contre le Paris-Saint-Germain. Je suis juste là pour crier et danser. Même à l'entraînement, quand on gagne, il faut nous voir ! Des fois, on a tendance à oublier, mais ce sont des moments importants qui unissent le groupe. Avez-vous déjà disputé une coéquipière après un match ?Quand j'étais plus petite, je rentrais dans le vestiaire, je criais après tout le monde, comme sur le terrain. Je disais : ''toi, t'es nulle !''. Avec l'expérience, la maturité, cela ne m'arrive plus. Si une coéquipière fait une erreur et qu'on a perdu à cause de cela, je serai frustrée, évidemment. Mais après le match, aller la voir et lui reprocher ? Cela va encore plus la mettre mal. Cela ne sert à rien d'en rajouter, car elle-même, elle sait. « Si demain, je suis Championne d'Europe, du monde ou olympique, je crois que je pleure » Votre plus belle célébration d'après-match ?Quand on avait fait le triplé (2019), on était parti à Saint-Tropez (Var). On l'avait fêté avec le président (Aulas), les filles. On fêtait la fin d'une belle année. Le fait d'être là, cela signifiait qu'on avait tout gagné. On se déplaçait partout avec nos coupes ! On profitait. C'était un gros budget pour le président, mais on le méritait. Je l'ai fait deux fois, c'était magnifique (en 2020). Cela me manque. J'espère que là, on va faire une belle célébration avec l'équipe de France. Pas Saint-Tropez, mais les Champs-Élysées. J'aimerais trop. C'est un rêve, une motivation... Il faut qu'on arrête de parler, de promettre des choses. On est compétitrice, on veut gagner des trophées. Vraiment. Mais après, on déçoit tout le monde. J'ai décidé de ne plus parler et on verra. Vous avez déjà imaginé la célébration si vous gagnez l'Euro ?Descendre les Champs-Élysées ! Mais même rentrer au Stade de France avec la musique, ce serait le feu. Quand je vois les garçons comme ça... Le bus, on est sur le toit. Je m'imagine tous les jours une victoire en finale avec la France. C'est vraiment quelque chose à laquelle je suis attachée. C'est important pour moi de faire vibrer les gens qui nous suivent et nous soutiennent. Si demain, je suis Championne d'Europe, du monde ou olympique, je crois que je pleure. Ce sont tellement de sacrifices. On a toutes les qualités pour cela. Maintenant, c'est à nous ! Il faut arrêter de parler et il faut agir. » À lire aussi Quel manager Bonadei est-il devenu ? Bonadei : «Montrer qu'elles ne sont pas des divas» Pourquoi Mbeumo vaut 81 M€ Comment les joueurs vivent-ils les incertitudes de l'été ?

Le PSG dévoile une nouvelle collection « Matchday » en 7 coloris
Le PSG dévoile une nouvelle collection « Matchday » en 7 coloris

L'Équipe

time29 minutes ago

  • L'Équipe

Le PSG dévoile une nouvelle collection « Matchday » en 7 coloris

Après une saison historique, le Paris Saint-Germain prolonge la magie au-delà du terrain avec une collection inédite et stylée. Baptisée « Matchday Rituals », cette nouvelle gamme de maillots incarne l'esprit des Rouge et Bleu, à enfiler comme un rituel d'avant-match. La rédaction de L'Equipe n'a pas participé à l'écriture de cet article. Le PSG ne se contente plus d'éblouir l'Europe sur la pelouse. Désormais, il habille aussi les coeurs battants du club : ses supporters. Conçue en collaboration avec Nike, la collection Matchday Rituals permet aux fans d'afficher une tenue qui fusionne élégance sportswear et ADN football. Chaque maillot est conçu comme un symbole d'appartenance. Son tissu orné d'un motif en relief répété dans huit langues évoque les rituels universels des jours de match. Une manière subtile d'ancrer ce vêtement dans l'intimité du supporter et la culture du club. Matchday Fit : entre confort et identité Le maillot Matchday adopte une coupe taillée pour l'action, avec des manches contrastées et ajustées pour une silhouette dynamique. Le col en V blanc, souligné de détails colorés, apporte une touche décontractée. Le blason tissé du PSG complète l'ensemble, marquant le lien communautaire et générationnel qui unit les fans du club. Cette collection se distingue aussi par son approche esthétique. Le style épouse l'exigence moderne du sportswear, tout en affirmant son lien avec l'univers du football. À mi-chemin entre maillot d'avant-match et vêtement du quotidien, il s'adresse à ceux qui vivent le club, en tribune comme dans la rue. Sept coloris pour incarner l'esprit parisien L'une des grandes forces de la collection Matchday réside dans sa diversité chromatique. Le PSG et Nike proposent sept versions du maillot : - Rouge - Bordeaux - Blanc - Noir - Bleu - Bleu nuit - Violet Autant de nuances pour incarner la pluralité du public parisien, de l'élégance classique à l'audace urbaine. Un lancement dans le sillage d'une saison d'exception Ce lancement s'inscrit dans la foulée d'une saison 2024-2025 exceptionnelle. Le PSG a réalisé un quadruplé national et européen (Ligue 1, Coupe de France, Trophée des Champions, Ligue des Champions), terrassant au passage des géants européens : 4-0 contre le Real Madrid, 4-0 face à l'Atlético Madrid, 2-0 puis 5-0 face au Bayern et à l'Inter en phase finale de Ligue des champions. Seule ombre au tableau : une défaite en finale de la Coupe du monde des clubs contre Chelsea (3-0). Les coéquipiers d'Ousmane Dembélé retrouveront Tottenham le 13 août prochain en Supercoupe d'Europe. Contenu sponsorisé. Certains liens de cet article sont trackés et peuvent générer une commission pour L'Equipe. Les prix mentionnés le sont à titre indicatif et sont susceptibles d'évoluer.

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