
EN DIRECT - Demi-finale de Wimbledon Sinner-Djokovic : dominant, le numéro 1 mondial prend une option sur la finale
Impuissant, Djokovic cède la première manche (3-6)
Comme à Roland-Garros il y a un mois, le 6e joueur mondial tente d'abréger les échanges au filet, sans grande réussite pour le moment. Résultat : un dernier jeu perdu au bout de 7 minutes de combat et déjà un handicap d'un set à remonter.

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L'Équipe
25 minutes ago
- L'Équipe
Les notes de Nice-Benfica : Jansson en difficulté, Mendy dépassé
Transparente sur le front de l'attaque, la recrue suédoise du Gym, Isak Jansson, ne s'est pas mise en valeur lors de la défaite de Nice face à Benfica (0-2), à l'entame du troisième tour préliminaire de Ligue des champions. En défense, la fébrilité du jeune Antoine Mendy a pesé lourd dans un match où il est impliqué sur les deux buts. À part une mauvaise relance au pied (15e), on ne pouvait rien lui reprocher jusqu'à la 88e minute. Il avait maintenu son équipe à flot sur le coup franc de Rios (30e), le tacle de Dante (39e) et une frappe d'Ivanovic (62e). Et puis est arrivée cette frappe de Florentino Luis où il est masqué par 2 joueurs devant lui puis trompé par le rebond... En première période, le défenseur a toujours semblé à la limite, à l'image de cette hésitation devant Schjelderup (6e) qui a causé la première occasion de Benfica. Il est aussi pris dans son dos sur le but lisboète (53e) et concède un jaune pour un coup de coude (85e). Rude. Il a eu pas mal de boulot et il s'en est plutôt bien acquitté, sauvant notamment les siens d'entrée face à Schjelderup, après l'hésitation de Mendy (6e). Il n'est peut-être pas le joueur le plus élégant balle au pied mais il devrait rendre de bons services aux Niçois durant la saison. C'est à sa sortie à la mi-temps que le Gym a coulé. La capitaine avait été présent dans l'impact, il n'avait pas hésité à jouer très haut par moments, il fut l'auteur d'un sauvetage exceptionnel devant Pavlidis (39e). Quelques minutes après, il se tenait le genou... Entré à la mi-temps à la place du capitaine, Oppong (note : 5) a réalisé une très grosse intervention d'entrée (47e). Mais il laisse trop de temps à Aursnes pour centrer sur le premier but (53e), même si Bard est tout aussi fautif, et se fait manger par Ivanovic (62e, sauvetage de Diouf). Il a su provoquer et enfoncer le bloc portugais à plusieurs reprises. Sa percée de la 50e minute s'est malheureusement terminée par une frappe écrasée. Défensivement, l'international français a toujours été propre et serein. Au niveau de l'événement, il n'a jamais été gêné balle au pied, créant des espaces quand il semblait en manquer. Son volume et ses appels ont grandement soulagé son équipe. Seul bémol, comme toujours, son imprécision dans les tirs de loin (30e, 71e). Sorti dès la 28e minute pour se voir remplacer par Louchet (4). Ce dernier a été juste dans ses passes, mais en jouant assez peu vers l'avant et en semblant un cran plus timide que Boudaoui, son partenaire du milieu, notamment dans les duels. Sa première période a été marquée par son centre de la 36e qui aurait pu être décisif. Il y a aussi eu sa reprise bien sentie à la 10e. Mais de son travail défensif, on retient sa double erreur sur l'ouverture du score (53e) : pris une première fois de vitesse, il est trop court pour gêner Aursnes, le passeur décisif. Il a eu le mérite de bloquer la première relance lisboète quand elle était de son côté, mais on attend évidemment plus d'impact dans le jeu. Il n'a presque jamais déséquilibré le bloc adverse. Il y a eu sa frappe enroulée à la 43e minute mais trop enlevée. Son centre de la 62e a également manqué de précision. Son manque de jambes s'est clairement vu en seconde période, où il a été moins mobile qu'avant la pause. Bien que peu servi, il a eu plusieurs ballons intéressants à négocier, mais dont il n'a pas fait grand-chose même s'il a eu le mérite de se mettre dans le sens du but à plusieurs reprises. Le Suédois a commencé par plusieurs remises hasardeuses mais il a ensuite joué à l'endroit et offert plusieurs bons ballons à ses partenaires, comme celui pour Moffi à la 22e minute. En seconde période, il a en revanche disparu. L'entraîneur n'a pas réservé de surprises dans sa composition et a dû faire avec les blessures de Sanson et Dante. Il a mis du temps à sortir ses deux ailiers pourtant inoffensifs. Boga et Diop n'ont toutefois pas offert plus de solutions Si c'est la recrue Ivanovic (6), d'abord maladroite, qui a ouvert le score sur le centre d'un Aursnes (7) très présent (53e), les Niçois ont aussi beaucoup subi face aux innombrables qualités de Pavlidis (7), à qui il n'a manqué qu'un but. Remises, sens du placement, frappes dans le bon timing, le Grec a été un son expérience lui permet de rattraper quelques coups, Otamendi (4) a parfois été en difficulté, à l'image de ce petit pont concédé face à Moffi (39e) et ou de ce slalom de Clauss (52e). Au milieu, la paire Rios (6)-Barrenechea (6), d'abord timide, est montée en puissance au fur et à mesure du match.


L'Équipe
25 minutes ago
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« Je n'étais pas partie... » : Iga Swiatek réfute l'idée d'une mauvaise saison avant son titre à Wimbledon
Avant de lancer le WTA 1000 de Cincinnati, Iga Swiatek a voulu faire une petite mise au point pour tous ceux qui considèrent son sacre à Wimbledon comme un retour après des mois difficiles. Avant de gagner Wimbledon, presque à la surprise générale tant elle n'avait jamais brillé sur gazon, Iga Swiatek traversait ce qu'on ne pouvait guère qualifier de sa meilleure saison. Aucun titre au compteur, même sur sa très chère terre battue, et une seule finale (sur gazon !) avant Wimbledon. De quoi parler de retour après son sacre anglais. Un terme qui n'est pourtant pas au goût de la Polonaise. « De retour... Je pense que c'est un concept inventé par les médias et qu'il va falloir me l'expliquer, lâche-t-elle sans chercher à faire de l'humour. Je ne suis jamais partie, j'étais bien là. Même si d'autres filles ont pu performer ces six derniers mois, cela ne veut pas dire que je n'étais pas là... » Vraiment pas à l'aise avec l'idée d'un retour, elle insiste. « Il y a eu pas mal de tournois où j'ai bien joué, où j'étais en demi-finales. C'est le sport, ça arrive, on ne peut pas gagner tout le temps. Mais je n'étais pas partie, j'étais bien là. » Message reçu fort et clair. « C'est difficile d'arriver à profiter des victoires en Grand Chelem. Là, je me suis dit que j'avais le droit d'en profiter et tant pis si je perdais au deuxième tour du prochain tournoi. » Iga Swiatek sur son break après son titre à Wimbledon Au pire, elle veut bien concéder qu'elle est de retour de vacances post Wimbledon. « Cinq jours de vacances. Trois et demi, si on enlève les transports... Mais j'en avais besoin. J'ai refait le plein d'énergie. J'ai passé du temps sur un bateau avec des amies et j'en avais besoin. » Mais il y a quand même eu un passage par Montréal avant de retrouver l'Ohio et Cincinnati. Une défaite en huitièmes de finale face à Clara Tauson (7-6, 6-3) qui ne prête pas à conséquence et qui était entachée de trop de mauvais réflexes hérités du gazon. « J'ai voulu trop faire de coups gagnants », ajoute-t-elle. Un nouvel état d'esprit Surtout, elle avait anticipé cette défaite. Elle détaille. « C'est difficile d'arriver à profiter des victoires en Grand Chelem. Pour mon premier Roland-Garros, c'était naturel car c'était le dernier tournoi de la saison 2020. Mais par la suite, même en prenant quelques jours, il y a la saison sur gazon qui arrive très vite et il faut tout de suite se mobiliser. Après, Wimbledon, c'était un peu différent et j'ai voulu en profiter. D'habitude, ce n'est pas quelque chose que je m'autorise tellement, je pense tout de suite au prochain tournoi. Là, je me suis dit que j'avais le droit d'en profiter et tant pis si je perdais au deuxième tour du prochain tournoi. Gagner Wimbledon, c'est quelque chose qui me restera toute la vie. Et il m'a fallu un peu de temps pour y arriver. » « Je gagne un tournoi, je prends une serviette, ça fait un souvenir. » Ce qui lui reste aussi, c'est l'emballement inattendu autour de son goût pour les pâtes aux fraises, « Non, ce n'est pas possible, les gens ne se sont pas mis à en manger... » et pour sa passion pour les serviettes de Wimbledon. « Honnêtement, je ne m'attendais pas à ce que ça devienne des ''hot topics''. Les serviettes, pour être franche, elles ont disparu chez mes amis et ma famille. Il ne m'en reste qu'une seule. Après, ça reste un beau souvenir quand on a gagné un Grand Chelem. Je me vois bien dans 30 ans tenir une serviette et me dire que j'avais gagné ce tournoi. Voilà, je gagne un tournoi, je prends une serviette, ça fait un souvenir. » L'organisation du WTA 1000 de Cincinnati est prévenue et les stocks sont prêts. Les raisons du retour de Venus Williams


L'Équipe
25 minutes ago
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Royer, Mannarino et Atmane qualifiés pour le tableau principal du Masters 1000 de Cincinnati, Jacquemot éliminée
Les Français Valentin Royer, Adrian Mannarino et Terence Atmane se sont qualifiés pour le tableau principal du Masters 1000 de Cincinnati, ce mercredi. Elsa Jacquemot s'est inclinée sèchement à la porte du premier tour, tandis que d'autres Tricolores ne sont pas encore fixés à cause d'un orage dans l'Ohio. Il y aura au moins dix Français au premier tour du Masters 1000 de Cincinnati. Vainqueur de l'Australien Li Tu ce mercredi (7-5, 6-3), Terence Atmane se hisse dans le tableau principal du tournoi, tout comme son compatriote Adrian Mannarino, tombeur du Tchèque Dalibor Svrcina en deux sets (6-3, 6-4). Pourtant mal embarqué, Valentin Royer a lui aussi décroché sa place pour le premier tour en renversant Liam Draxl (2-6, 6-3, 6-4). Après Toronto, le joueur de 24 ans, classé 111e à l'ATP, se qualifie en Masters 1000 pour la deuxième fois consécutive. Il se rapproche ainsi du top 100 mondial, à quelques semaines de disputer l'US Open (25 août - 7 septembre), tournoi pour lequel il a reçu une wild-card. Une seule Française assurée de jouer le 1er tour Dernier Tricolore à prendre part aux qualifications chez les messieurs, Arthur Cazaux est venu à bout du 147e mondial Mark Lajal (4-6, 6-1, 6-2) ce mardi, le match ayant été reporté à cause des conditions météo. Il affrontera Thiago Agustín Tirante (n°130) pour son deuxième match de la journée, si le temps le permet, dans l'optique de rallier le tableau principal. Chez les dames, petite déception pour Elsa Jacquemot (22 ans, n°100), battue en une heure et 39 minutes par la Bulgare Viktoriya Tomova (6-4, 6-1). Caroline Garcia, bénéficiaire d'une wild-card, est pour le moment la seule Française assurée de disputer le premier tour, dans l'attente des résultats de Varvara Gracheva et Léolia Jeanjean, dont les matches ont été interrompus à la suite d'un orage. Bonzi affrontera Arnaldi, deux potentiels chocs entre Français au 2e tour... le tableau du Masters 1000 de Cincinnati