
« Un chien peut mourir en une heure » : attention aux cyanobactéries toxiques dans les plans d'eau
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Le Figaro
4 hours ago
- Le Figaro
Seine-et-Marne : une petite fille autiste de 11 ans meurt noyée dans une base de loisirs
La jeune victime a échappé à la surveillance des encadrants et son corps a été retrouvé immergé par un maître-nageur. C'est le troisième décès d'un enfant autiste de la région dans des circonstances comparables en une semaine. Une fille âgée de 11 ans est morte noyée dimanche dans une base de loisirs à La Grande-Paroisse en Seine-et-Marne, a appris l'AFP de source policière, troisième décès d'un enfant autiste de la région dans des circonstances comparables en une semaine. La victime, atteinte d'un trouble du spectre de l'autisme, participait à une sortie avec un centre situé à Arpajon, dans le département voisin de l'Essonne, d'après la source policière. Elle a échappé à la surveillance des encadrants et son corps a été retrouvé immergé par un maître-nageur, a ajouté la même source. Son décès a été déclaré sur place. Publicité Hausse du nombre de noyades Vendredi, un enfant de sept ans qui séjournait dans un centre de vacances appartenant à la ville de Bobigny et situé dans le département de l'Allier s'était noyé lors d'une sortie dans une plaine de jeux à Moulins. D'après une source proche du dossier, l'enfant était aussi atteint d'un trouble autistique. Le groupe était «encadré par une équipe de huit personnes - un taux d'encadrement renforcé en raison de la présence de deux enfants porteurs de handicap», selon le communiqué de la mairie de Bobigny. Lundi dernier, le même type de drame était survenu dans le Val-de-Marne. En sortie avec un centre de loisirs au parc interdépartemental des sports de Choisy Paris Val-de-Marne, un garçon autiste de 11 ans avait échappé à la vigilance de son éducatrice, selon une source policière. Il a été retrouvé en arrêt cardio-respiratoire un peu moins d'une heure plus tard dans le plan d'eau du parc et n'a pu être réanimé. Depuis le début de l'année, la hausse du nombre de noyades en France inquiète. Entre le 1er juin et le 23 juillet, 193 personnes sont mortes noyées, soit +45% sur un an, selon les derniers chiffres de Santé publique France. Parmi eux, 27 enfants et adolescents (15 en 2024) sont décédés.


Le Figaro
7 hours ago
- Le Figaro
Macron affirme que Poutine ne veut pas la paix mais une «capitulation» de l'Ukraine
La question des garanties de sécurité en faveur de l'Ukraine est au centre de l'élaboration d'un éventuel accord de paix. Elles auraient pour but de dissuader la Russie d'attaquer de nouveau l'Ukraine. Le président français, Emmanuel Macron, a affirmé dimanche que son homologue russe, Vladimir Poutine, ne voulait pas la paix mais une «capitulation» de l'Ukraine, à l'issue d'une réunion en visioconférence avec la «coalition des volontaires» alliés de Kiev. «Est-ce que je pense que le président Poutine veut la paix? Si vous voulez mon intime conviction, non. Il veut la capitulation de l'Ukraine, c'est ça qu'il a proposé», a jugé le chef de l'État français, en disant vouloir «une paix robuste, durable, c'est-à-dire respectueuse du droit international, (...) qui respecte la souveraineté, l'intégrité territoriale de tous les pays». Il a estimé au contraire que Donald Trump recherchait la paix entre la Russie et l'Ukraine. Publicité «Front uni entre Européens et Ukrainiens» À la veille d'une rencontre entre Donald Trump et le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, lundi à Washington, à laquelle Emmanuel Macron et plusieurs responsables européens doivent également participer, «notre volonté est de présenter un front uni entre Européens et Ukrainiens», et de demander aux Américains «jusqu'à quel point» ils sont prêts à contribuer aux garanties de sécurité qui seraient offertes à l'Ukraine dans un accord de paix, a encore dit le président français. La question des garanties de sécurité en faveur de l'Ukraine est au centre de l'élaboration d'un éventuel accord de paix car elles auraient pour but de dissuader la Russie d'attaquer de nouveau l'Ukraine. Il s'est montré prudent sur la possibilité avancée par Donald Trump de faire bénéficier à l'Ukraine de protections similaires à celles de l'Otan, sans pour autant que Kiev ne devienne membre de l'Alliance atlantique. «Je crois qu'un article théorique n'est pas suffisant. La question, c'est la substance», a-t-il estimé. «Comment nous assurer collectivement que l'ordre international est respecté et que notre sécurité à tous est protégée, parce qu'il en va de la sécurité des Européens et de la France», a-t-il encore déclaré depuis sa résidence d'été du Fort de Brégançon (sud-est de la France), après plus de deux heures de réunion de la «coalition des volontaires». «Il ne peut pas y avoir de discussions territoriales sur l'Ukraine sans les Ukrainiens» et, «de la même manière pas de discussion sur la sécurité des Européens sans eux», a ajouté Emmanuel Macron, demandant que ces derniers soient conviés aux prochains sommets sur l'Ukraine. «Nous allons demain (à Washington) pas simplement pour accompagner le président ukrainien, nous y allons pour défendre les intérêts des Européens», a-t-il souligné.


Le Figaro
9 hours ago
- Le Figaro
«Tremblez sales socialistes on va vous crever» : enquête ouverte après des menaces contre une permanence du PS
La photo d'un homme posant avec un poing américain et un foulard floqué d'une croix celtique devant la permanence de Villemomble en Seine-Saint-Denis a largement été diffusée sur les réseaux sociaux. Le PS accuse l'extrême droite. Une plainte a été déposée et les investigations sont en cours. «Si l'extrême droite tente de nous faire taire elle se trompe.» C'est ainsi qu'a répondu le Parti socialiste aux menaces de morts proférées vendredi à l'encontre de sa permanence de Villemomble, en Seine-Saint-Denis. Sur les réseaux sociaux, la photo d'un homme au visage dissimulé derrière un foulard noir floqué d'une croix celtique - couramment associé à des mouvements d'extrême droite néofasciste - a largement été diffusée. Il pose devant la permanence du Parti socialiste de la ville et brandit une main armée d'un poing américain. Un message accompagne cette image : «Sales socialistes on va vous crever…» Une menace qui, selon les membres du PS, provient de l'extrême droite. «S'attaquer à nos camarades, c'est tenter d'intimider tout un territoire qui incarne l'espoir d'une société plus juste, plus fraternelle et plus ouverte (...) Chaque menace renforce notre détermination à lutter contre ses idées de haine et renforce notre volonté de construire un avenir commun», a réagi l'organisation politique dans un communiqué diffusé sur les réseaux sociaux. Publicité Plainte déposée «Derrière les tentatives de la respectabilité, la violence n'est jamais loin : les nervis de l'extrême droite ne changent pas, ils doivent être recherchés et punis», a, de son côté, commenté Stéphane Troussel, président du département de la Seine-Saint-Denis et porte-parole du PS. Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, a annoncé son intention de déposer plainte. Contacté par Le Figaro, le parquet de Bobigny confirme ce dimanche avoir reçu la plainte et ouvert une enquête pour «menaces de mort» confiée au commissariat de Villemomble afin, notamment, d'identifier le ou les auteurs de la photo litigieuse.