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Paris : pourquoi la baignade dans la Seine doit être interdite après des intempéries

Paris : pourquoi la baignade dans la Seine doit être interdite après des intempéries

Le Parisien7 days ago
La fermeture de ce lundi et dimanche tranche avec le sans-faute qui a marqué l'ouverture enthousiaste des sites de baignade dans la Seine, ce samedi à Bercy (XIIe), Bras-Marie (IVe) et Grenelle (XVe). La Ville a annoncé ce dimanche 6 juillet une
fermeture d'au moins 48 heures
, le temps que la qualité de l'eau redevienne conforme aux normes. Pour l'heure, le
drapeau rouge flotte donc sur les bords de Seine
. Pourquoi la baignade est-elle suspendue plusieurs jours lorsqu'il pleut ?
À Paris, eaux de pluie et eaux usées empruntent le même réseau. Lorsque les précipitations deviennent trop importantes, le système sature et le trop-plein est déversé dans la Seine. Une soupape de sécurité indispensable pour éviter que les égouts ne débordent dans les rues de la capitale.
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Droits de douane de Trump : l'UE menace de répliquer avec des mesures à hauteur de 72 milliards d'euros
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Le Parisien

time38 minutes ago

  • Le Parisien

Droits de douane de Trump : l'UE menace de répliquer avec des mesures à hauteur de 72 milliards d'euros

Une menace revue à la baisse. La Commission européenne a mis lundi sur la table des 27 pays membres de l'Union européenne une liste de représailles possibles à hauteur de 72 milliards d'euros, dans le cas où les États-Unis imposeraient des droits de douane de 30 % sur ses importations en provenance de l'UE. « Nous négocions d'abord, mais nous nous préparons en même temps », a assuré le commissaire européen Maros Sefcovic devant la presse, à l'issue d'une réunion des ministres du Commerce de l'UE à Bruxelles. Il a souligné qu'il s'agissait d'une position commune des Vingt-Sept. « Les ministres ont adopté une position totalement unie sur la nécessité d'être prêts à réagir » si nécessaire, a indiqué de son côté le ministre danois des Affaires étrangères Lars Lokke Rasmussen, dont le pays assure actuellement la présidence tournante de l'UE. Le commissaire européen, négociateur en chef côté européen dans ces difficiles tractations commerciales avec Washington, a confirmé son intention de poursuivre les discussions jusqu'à la date butoir du 1er août décidée par le président Donald Trump, y compris dès lundi avec ses homologues américains. Et Sefcovic d'ajouter : « Mais comme je l'ai déjà dit, il faut deux mains pour applaudir », et donc l'UE doit aussi préparer d'éventuelles représailles en cas d'échec des discussions. La liste de 72 milliards d'euros de marchandises américaines que l'UE pourrait cibler n'épuise pas le champ de toutes les possibilités, a-t-il encore indiqué. « Tous les instruments restent sur la table », a-t-il souligné. L'UE a déjà préparé une liste distincte d'importations américaines d'une valeur de 21 milliards d'euros qu'elle est prête à viser en raison des droits de douane déjà imposés par Trump sur l'acier et l'aluminium . Ces mesures sont actuellement suspendues. L'Union européenne espère toujours obtenir un accord avec les États-Unis après les nouvelles menaces de Donald Trump, mais la patience s'amenuise, ont par ailleurs indiqué lundi le négociateur en chef de l'UE et des ministres européens du Commerce. « J'ai l'intention de m'entretenir à nouveau avec mes homologues américains dans le courant de la journée, car je ne peux pas m'imaginer en rester là sans effort véritable », a déclaré Maros Sefcovic. Mais, a-t-il ajouté, « nous devons nous préparer à toutes les éventualités, y compris, si nécessaire, à des contre-mesures proportionnées et bien calibrées pour rétablir l'équilibre de notre relation transatlantique ». La décision du président américain, annoncée dans une lettre rendue publique samedi, a jeté un froid alors que les négociations commerciales étaient toujours en cours entre Bruxelles et Washington, avant la date butoir du 1er août. « L'incertitude actuelle causée par des droits de douane injustifiés ne peut pas durer indéfiniment », a souligné Maros Sefcovic. « Évidemment, la situation depuis samedi doit nous amener à changer de méthode », a renchéri lundi à Bruxelles le ministre français chargé du Commerce extérieur Laurent Saint-Martin , avant une réunion des ministres de l'UE. Et il ne faut avoir « aucun tabou », a-t-il martelé, y compris en annonçant dès lundi de premières représailles. L'UE avait déjà menacé en mai d'imposer des droits de douane sur des produits américains d'une valeur d'environ 100 milliards d'euros comprenant des automobiles et des avions, si les négociations échouaient. Les pays européens essayent de rester unis dans cette affaire, bien que leurs économies ne soient pas exposées de la même façon aux foudres douanières du président américain. Emmanuel Macron a exhorté samedi la Commission européenne à « défendre résolument les intérêts européens » et à « accélérer la préparation de contre-mesures crédibles ». Le chancelier allemand Friedrich Merz s'est dit dimanche d'accord avec le président français, précisant avoir discuté avec lui, avec Ursula von der Leyen et Donald Trump ces derniers jours. Il assure vouloir s'impliquer « intensivement » pour tenter d'arriver à une solution. La Première ministre italienne Giorgia Meloni a quant à elle mis en garde dimanche contre la perspective d'une « guerre commerciale » au sein du monde occidental. « L'Europe dispose de la puissance économique et financière nécessaire pour affirmer sa position et parvenir à un accord équitable et de bon sens. L'Italie fera sa part. Comme toujours », a-t-elle dit dans un communiqué, tandis que son opposition l'accuse de manquer de fermeté face à Washington. Depuis son retour à la présidence des États-Unis en janvier, Donald Trump a imposé des droits de douane fluctuants et généralisés à ses alliés et ses concurrents, perturbant les marchés financiers et alimentant les craintes d'un ralentissement économique mondial.

Droits de douane : l'UE pourrait répliquer face aux États-Unis avec des mesures à hauteur de 72 milliards d'euros
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Le Figaro

timean hour ago

  • Le Figaro

Droits de douane : l'UE pourrait répliquer face aux États-Unis avec des mesures à hauteur de 72 milliards d'euros

Si le commissaire européen Maros Sefcovic souhaite «d'abord négocier», il assure «se préparer» au cas où les négociations échoueraient. La Commission européenne a mis lundi sur la table des 27 pays membres de l'Union européenne une liste de représailles possibles à hauteur de 72 milliards d'euros, dans le cas où les États-Unis imposeraient des droits de douane de 30% sur ses importations en provenance de l'UE. «Nous négocions d'abord, mais nous nous préparons en même temps», a assuré le commissaire européen Maros Sefcovic devant la presse, à l'issue d'une réunion des ministres du Commerce de l'UE à Bruxelles. Il a souligné qu'il s'agissait d'une position commune des Vingt-Sept. «Les ministres ont adopté une position totalement unie sur la nécessité d'être prêts à réagir» si nécessaire, a indiqué de son côté le ministre danois des Affaires étrangères Lars Lokke Rasmussen, dont le pays assure actuellement la présidence tournante de l'UE. Le commissaire européen, négociateur en chef côté européen dans ces difficiles tractations commerciales avec Washington, a confirmé son intention de poursuivre les discussions jusqu'à la date butoir du 1er août décidée par le président Donald Trump, y compris dès lundi avec ses homologues américains. Publicité Et Maros Sefcovic d'ajouter : «Mais comme je l'ai déjà dit, il faut deux mains pour applaudir», et donc l'UE doit aussi préparer d'éventuelles représailles en cas d'échec des discussions. La liste de 72 milliards d'euros de marchandises américaines que l'UE pourrait cibler n'épuise pas le champ de toutes les possibilités, a-t-il encore indiqué. «Tous les instruments restent sur la table», a-t-il souligné. L'UE a déjà préparé une liste distincte d'importations américaines d'une valeur de 21 milliards d'euros qu'elle est prête à viser en raison des droits de douane déjà imposés par Donald Trump sur l'acier et l'aluminium. Ces mesures sont actuellement suspendues.

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Le Figaro

time3 hours ago

  • Le Figaro

Logement, vacances gratuites, escape games... La bataille sans fin des employeurs pour attirer les saisonniers

Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Dépendants de ces travailleurs l'été, les secteurs du tourisme ou de l'agriculture peinent pourtant à en recruter, freinés notamment par le manque de logements. Les employeurs et les collectivités redoublent d'imagination pour les séduire. Durant les vacances d'été, ils sont indispensables à certains pans de l'économie tricolore. Les travailleurs saisonniers sont, cette année encore, largement courtisés par les employeurs et les collectivités, qui redoublent d'imagination pour les attirer. Le défi est d'ampleur, car le besoin en main-d'œuvre est considérable. Dans un récent rapport, la Cour des comptes a estimé le nombre de saisonniers à 1,5 million par an - sans compter les 312.000 intermittents -, la moitié dans le secteur du tourisme, l'autre dans l'agriculture. Les Sages rappelaient par ailleurs que le tourisme pesait pour 8% du PIB (produit intérieur brut) français en 2023 et la viticulture 16% de la production agricole. «Ces secteurs économiques stratégiques ne peuvent se développer sans travailleurs saisonniers», affirment-ils. Les employeurs font face à des défis de taille pour recruter, alors que les saisons s'étirent, ne faisant qu'accentuer les tensions. «Le logement et la mobilité sont les deux premiers freins au recrutement», constate Nicolas Savary, directeur de l'ANEFA (Association nationale pour l'emploi et la formation en agriculture). Plus de 400.000…

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