
Rado Captain Cook, l'élégance du tennis
Les plus anciens se souviennent du temps où la marque était le partenaire horloger du tournoi de Roland-Garros… Rado célèbre cette année quatre décennies d'engagement auprès des plus grands tournois de tennis. C'est d'ailleurs depuis un tournoi, celui de Gstaad, que la marque suisse a dévoilé sa Captain Cook X Tennis Limited Edition (2950 €). Il faut dire que l'histoire de Rado en tant que sponsor dans le monde du tennis débute justement à Gstaad, en Suisse, en 1985, à l'occasion du Swiss Open. « Rado poursuit la même quête que le tennis, avec des avancées pionnières vers des matériaux toujours plus légers et résistants, une recherche constante de performance et une soif inépuisable d'innovation, explique Adrian Bosshard, CEO de Rado et par ailleurs ancien sportif professionnel. Notre approche de l'horlogerie est en perpétuelle évolution : nous défions sans cesse les conventions avec nos designs contemporains en nous efforçant de repousser les limites. Une question revient toujours : quelle est la prochaine étape ? »
Rado Captain Cook X Tennis Limited Edition
Rado
Cette montre en acier de 39 mm de diamètre simplement élégante, marie lunette tournante en céramique haute technologie plasma perlée et cadran au dégradé ruthénium et blanc. À l'intérieur du boîtier étanche à 300 mètres, on retrouve un calibre automatique R763 proposant une réserve de marche de 80 heures. Elégance tennistique oblige, cette édition limitée est livrée non seulement avec un bracelet acier grain de riz poli, mais aussi avec trois bracelets textiles de style NATO. Chacun correspond à une surface de jeu : bleu pour le dur, vert pour le gazon, orange pour la terre battue. Au dos du boîtier, on retrouve une gravure spéciale « LIMITED EDITION, ONE OUT OF 1985 » ainsi que des motifs en relief symbolisant les différentes surfaces de jeu (gazon, terre battue et dur) du tennis.
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Tottenham : à quelle heure et sur quelle chaîne TV voir la finale de la Supercoupe d'Europe ?
Un mois jour pour jour après la fin de sa saison 2024-2025 et une défaite face à Chelsea en finale de la Coupe du monde des clubs (0-3), le PSG est de nouveau sur le pont. Ce mercredi 13 août, Paris défie Tottenham en finale de la Supercoupe d'Europe, à Udine en Italie. Les vainqueurs de la Ligue des champions retrouvent donc les Londoniens qui ont glané la Ligue Europa pour lancer leur saison, quatre jours seulement avant leur premier match de Ligue 1, face à Nantes. Après une année exceptionnelle, le nouvel exercice débute par une polémique au Paris Saint-Germain. Artisan du sacre européen, Gianluigi Donnarumma est poussé vers la sortie et n'a donc pas été convoqué dans le groupe pour la première rencontre officielle de la saison. Fraîchement arrivé en provenance de Lille, le gardien français Lucas Chevalier honorera sa première titularisation.


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Un peu moins envers celui «qui a décidé (qu'il ne pouvait) plus faire partie du groupe ni contribuer aux succès de l'équipe». En l'occurrence, il s'agit de Luis Enrique, on l'a bien compris. Le technicien espagnol a été séduit par la perspective de disposer d'un gardien qui pourra apporter davantage que l'Italien de 26 ans à la relance, même si ce dernier «fait partie des meilleurs à son poste». Il ne faudrait toutefois pas oublier que le Paris-SG a proposé un contrat à l'ancien Milanais. Les discussions ont duré de longs mois avant d'aboutir à l'impasse que l'on connaît. Et l'agent de Gigio Donnarumma, Enzo Raiola, a livré sa version. À lire aussi PSG : «Déçu et attristé», Donnarumma fait (déjà) ses adieux... et règle ses comptes Gigio aurait préféré rester à Paris. Enzo Raiola Publicité Interviewé sur Sky Sport, ledit Enzo Raiola estime que «le PSG avait formulé des exigences différentes de celles du contrat standard de Gigio. Il a même fini par accepter des conditions inférieures, satisfait de la situation. Mais à un moment donné, en mars/avril, la situation a encore changé, et nous avons alors décidé de tout suspendre et de reparler après la finale de la Ligue des champions. Nous avons ensuite reparlé avant la Coupe du monde des clubs, et ils ont confirmé que les conditions ne changeraient pas. À ce moment-là, je leur ai dit que Gigio aurait préféré rester à Paris, son contrat arrivant à expiration». Cousin de Mino Raiola, décédé en 2022, Enzo Raiola fait en outre part de sa surprise. «Nous ne nous attendions pas à ce qui s'est passé ces dix derniers jours. En arriver à évincer Donnarumma après tout ce qu'il a fait pour le club était un énorme manque de respect. Nous verrons dans les prochains jours, notamment avec mes avocats, pour mieux comprendre leur position», promet-il, relevant que «les propos de Gigio (sur les réseaux sociaux) montrent clairement que le garçon est profondément désolé pour ce qui s'est passé, et nous aussi. Nous ne nous attendions pas à une telle situation de la part du PSG. Ces quatre années ont été marquées par le respect et d'excellents résultats, mais ces derniers jours, un château s'est effondré, et ils risquent d'effacer tout le bon travail accompli par Gigio sous ce maillot». À lire aussi PSG : «Déçu et attristé», Donnarumma fait (déjà) ses adieux... et règle ses comptes Rappelons que Donnarumma a rejoint Paris en 2021, à la fin de son contrat à Milan. D'abord en concurrence avec Keylor Navas, l'Italien a eu le champ libre dès sa deuxième saison parisienne… avec des performances cahin-caha, notamment dans les matchs à élimination directe en Ligue des champions. Tout a changé sur les derniers mois, avec des «performances incroyables» pour aider le PSG à monter sur le toit de l'Europe, dixit Marqui. Nouvelle politique salariale Performances qui n'ont, de toute évidence, pas fait bouger la proposition parisienne. Il convient d'ailleurs de souligner que, depuis 2021, le PSG a adopté une nouvelle politique salariale, avec une part variable liée à la performance. Permettre à Donnarumma de rester sur le précédent schéma n'aurait pas été tenable vis-à-vis des autres joueurs parisiens… Invité à commenter le choix technique évoqué par Luis Enrique ce mardi, en conférence de presse, à Udine, Raiola a sa petite idée : «En fait, si l'on parlait d'une prolongation, cela signifiait que Gianluigi faisait partie des projets d'avenir du PSG. Je ne pense pas que l'entraîneur aurait pu changer d'avis en un mois. C'est ce qui me désole le plus et me rassure, car à ce stade, il vaut mieux ne pas avoir renouvelé son contrat». 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PSG : «Déçu et attristé», Donnarumma fait (déjà) ses adieux... et règle ses comptes
Poussé vers la sortie après quatre ans au Paris-SG, le portier italien de 26 ans vide son sac sur les réseaux sociaux. Un message d'adieu avant l'heure, plein de classe et de respect. «On cherchait un profil de gardien différent». C'est ainsi que Luis Enrique a justifié l'éviction de Gianluigi Donnarumma, poussé vers la sortie après avoir largement contribué à la victoire parisienne en Ligue des champions, au printemps dernier. Quatre ans et 161 matchs après avoir posé le pied dans la capitale française, le portier international italien (74 sél.) de 26 ans vit sans doute ses derniers moments avant de partir. À Manchester City ? Suspense. À découvrir Le calendrier complet du PSG En attendant, le principal intéressé est sorti de son silence ce mardi, sur les réseaux sociaux, quelques minutes après la fin de la conférence de presse du Paris Saint-Germain, à Udine, à la veille d'une Supercoupe d'Europe contre Tottenham... pour laquelle il n'a pas été convoqué par Luis Enrique. Son successeur annoncé, Lucas Chevalier, lui, fait évidemment partie du voyage. À lire aussi PSG : dur, brutal, cynique... Donnarumma, légende déchue Malheureusement, quelqu'un a décidé que je ne pouvais plus faire partie du groupe ni contribuer aux succès de l'équipe... Gianluigi Donnarumma Publicité Un message en italien, en anglais et en français, adressé dans un premier temps «aux supporters spéciaux de Paris. Dès mon premier jour ici, j'ai tout donné, sur le terrain comme en dehors, pour gagner ma place et défendre le but du Paris Saint-Germain. Malheureusement, quelqu'un a décidé que je ne pouvais plus faire partie du groupe ni contribuer aux succès de l'équipe. Je suis déçu et attristé», grince-t-il, lui qui n'a jamais trouvé d'accord avec sa direction pour prolonger un contrat qui s'achève en 2026. Pas trop de doute, le «quelqu'un» évoqué par Donnarumma, celui qui «décide», c'est Luis Enrique, ce dernier ayant besoin d'un gardien doué à la relance pour faire progresser encore le jeu des champions d'Europe. C'est ce qu'il pense. L'ancien Milanais s'est ensuite adressé indirectement aux dirigeants du club de la capitale, afin de leur demander de le laisser faire ses adieux au public en personne. Ce dont plusieurs autres figures du club ont été privées, pour diverses raisons, comme Thiago Silva par exemple. «J'espère avoir l'occasion de regarder une dernière fois les supporters du Parc des Princes dans les yeux et de vous dire au revoir comme il se doit. Si cela ne se produit pas, je veux que vous sachiez que votre soutien et votre affection comptent énormément pour moi et que je ne les oublierai jamais. Je garderai toujours en moi le souvenir de toutes les émotions, des nuits magiques, et de vous, qui m'avez fait sentir chez moi», a déclaré le géant (1,96m) transalpin, lui qui avait succédé à Keylor Navas dans les cages parisiennes. Les deux avaient, un temps, cohabité. À lire aussi PSG : «On cherchait un profil de gardien différent», Luis Enrique se justifie pour Donnarumma La classe à l'italienne «À mes coéquipiers, ma deuxième famille, merci pour chaque bataille, chaque éclat de rire, chaque moment partagé. Vous serez toujours mes frères», a encore souligné Gianluigi Donnarumma dans ce message d'adieu. Et de conclure : «Jouer pour ce club et vivre dans cette ville a été un immense honneur. Merci, Paris». La classe à l'italienne pour cette légende parisienne.