Dernières actualités avec #Algarve


Le Figaro
17-07-2025
- Le Figaro
Voyage : un tiers des Français aurait déjà testé l'IA pour préparer ses vacances
Selon une étude Ipsos commandée par Kayak, un Français sur trois aurait déjà utilisé l'intelligence artificielle pour planifier un séjour. Gain de temps, idées originales… Une tendance naissante, encore loin de remplacer le flair du voyageur. Organiser ses vacances à la voix, en trois questions, sans jamais ouvrir une page de comparateur. Voilà la promesse que fait miroiter l'intelligence artificielle. Et à en croire une étude Ipsos menée février 2025 (*) mais dévoilée ce 16 juillet, les Français commenceraient à s'y faire : un sur trois aurait déjà utilisé une IA pour préparer un séjour. Une proportion qui grimpe à 53 % chez les moins de 35 ans. Si le chiffre intrigue, il n'étonne plus vraiment. Depuis l'essor de ChatGPT et consorts, les assistants numériques se multiplient. Demander un itinéraire en Toscane, un week-end plage-voiture-vignoble en Algarve ou une liste de bonnes adresses à Tokyo devient une formalité. Le tout sans tableaux Excel, sans 36 onglets ouverts — et surtout sans les fameux «10 conseils de blogueurs pour visiter Lisbonne comme un local». Publicité Gagner du temps… ou ne plus en perdre Selon les répondants, le principal intérêt de l'IA dans le voyage, c'est le gain de temps (46 %). Un raccourci qui fait mouche dans un univers de l'offre devenu labyrinthique. 73 % des sondés pensent d'ailleurs que ces outils simplifieront la planification à l'avenir. Et 40 % espèrent qu'ils leur souffleront des idées auxquelles ils n'auraient jamais pensé. Plus étonnant, 17 % seraient prêts à confier l'intégralité de leur séjour à une intelligence artificielle. L'algorithme en chef d'orchestre, l'humain en suiveur curieux. Une idée séduisante sur le papier, un peu moins quand il s'agit de gérer un check-in qui capote, un train qui saute, ou une grève qui redessine l'itinéraire à 7 heures du matin. À lire aussi Une «super app» plutôt que 20 sites différents : ce que l'IA changera pour préparer ses voyages L'IA, une boussole ? Pas encore un pilote Car pour l'heure, les IA ne réservent pas, ne comparent pas en direct, et ne vivent pas les contretemps. Elles inspirent, trient, structurent. Elles rassurent aussi parfois, par leur débit fluide et leur capacité à dégager une tendance. Mais de là à remplacer un carnet, une intuition ou une discussion en terrasse, il y a encore un pas. À l'origine du sondage, la plateforme de voyage Kayak, qui développe son propre outil conversationnel, comme d'autres le font déjà (Booking, Google, Hopper…). Un acteur parmi d'autres, dans une course où chaque acteur tente de devenir ce fameux copilote digital du voyageur moderne. Encore faut-il que le voyageur en ait envie. (*) Cette étude a été réalisée auprès d'un échantillon de 1000 Français âgés de 18 à 75 ans. L'échantillon a été constitué selon la méthode des quotas au regard des critères de sexe, d'âge, de région et de catégorie socioprofessionnelle. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne sur la plateforme Ipsos Digital du 21 au 24 février 2025. À lire aussi « C'est tout simplement bluffant» : l'IA française Le Chat fait-elle un bon agent de voyages ?


Le Figaro
15-07-2025
- Politics
- Le Figaro
Dernière minute : 5 idées de voyages simples, beaux et accessibles
Envie de partir sans attendre ? Voici cinq idées de vacances faciles à organiser à la dernière minute, avec des vols directs, une offre hôtelière encore disponible et l'assurance d'un vrai dépaysement, du Portugal aux rives maltaises. Il suffit parfois d'un sac bouclé à la hâte et d'un billet déniché à la dernière minute pour changer d'air. Notre sélection de cinq destinations, faciles d'accès avec des vols directs réguliers, une belle offre hôtelière, un prix raisonnable et surtout, un goût de soleil. L'Algarve, le soleil du Portugal L'Algarve réussit le pari de la douceur de vivre, parfaite pour une escapade de dernière minute au soleil. Dimitri / L'Algarve coche toutes les cases pour un départ sur un coup de tête. Avec des vols directs pour Faro souvent à moins de 100 €, on débarque vite dans un décor qui change à chaque virage. Sur place, louer une voiture reste l'idéal pour vadrouiller librement dans la région, et pouvoir ainsi trouver des coins bien moins prisés par les touristes souvent trop nombreux. À Lagos, on admire les falaises de Ponta da Piedade à pied ou en bateau, avant de filer voir les grottes de Benagil et ce halo de lumière qui traverse la voûte rocheuse. Plus à l'est, Tavira dévoile un charmant centre historique où les clochers d'une vingtaine d'églises dominent les toits, et des plages accessibles en navette sur le Gilão. Publicité Si on aime marcher, les 70 km de sentiers de la côte vicentine longent falaises et plages presque désertes. Côté hébergement, on trouve de tout, des chambres d'hôtes pleines de charme aux petits hôtels confortables à prix doux. Même au cœur de la saison, il y a généralement une offre assez vaste pour trouver de la place sur un coup de tête. Et dans l'assiette, cataplana de fruits de mer, sardines grillées, pastel de nata au dessert régalent sans ruiner. L'Algarve réussit le pari de la douceur de vivre, parfaite pour une escapade de dernière minute au soleil. À lire aussi Cyclotourisme : cinq itinéraires pour parcourir l'Algarve à vélo Naples, l'authentique cité du Sud Troisième site touristique le plus visité d'Italie, la cité archéologique de Pompéi est certainement un incontournable de tout séjour à Naples. sola_sola / Naples, c'est un concentré d'Italie, facilement accessible en saison depuis plusieurs villes de l'hexagone. À peine descendu de l'avion, le Vésuve s'impose à l'horizon, les scooters slaloment trop vite et l'on suit l'arôme du café qui s'échappe des comptoirs. On s'égare dans le centro storico, on pousse la porte du Gesù Nuovo avec sa façade en pointes de diamant, ou celle de la chapelle Sansevero où le Christ voilé, sculpté dans le marbre au XVIII siècle, bluffe par le réalisme de son voile. Pour s'offrir une échappée d'un jour, les trains Circumvesuviana filent vers Pompéi ou au pied du Vésuve pour grimper au cratère. Depuis le port, des ferries relient Capri ou Ischia en moins d'une heure. Côté assiette, les prix sont doux pour la street food locale, la pizza napolitaine garde sa réputation, la sfogliatella brûle les doigts au petit déjeuner, et les vins du Vésuve accompagnent à merveille pâtes et ragù dans les trattorias locales. Naples est un vrai melting-pot . Maradona s'affiche sur les murs, les supporters du SSC Napoli débordent sur les trottoirs, et il suffit de se laisser guider entre ruelles et piazzettes sans plan trop strict, préparé du matin même pour le soir, ni de budget qui flambe. À lire aussi Naples confidentielle : 5 expériences à vivre dans la cité parthénopéenne Sofia, la promesse de la Bulgarie La cathédrale Alexandre-Nevski, bâtie après la libération du joug ottoman en 1878. Cavan / Posée au pied du mont Vitosha, Sofia est une alternative de choix pour découvrir les Balkans le temps d'un city-break de trois ou quatre jours, surtout quand la Méditerranée affiche complet. On arrive sur le boulevard Vitosha, bordé de pâtisseries bulgares, de bars à rakia et de librairies d'occasion, avec la montagne en vue. Un saut de tram et on passe du marché central couvert aux coupoles dorées de la cathédrale Alexandre-Nevski, bâtie après la libération du joug ottoman en 1878. Dans le même quartier, la mosquée Banya Bashi, la grande synagogue et l'église Sainte-Sophie témoignent du brassage culturel de la ville, à quelques rues les unes des autres. Sous les dalles du Largo, on découvre les fondations de Serdica, la cité romaine que Constantin le Grand aurait considérée comme sa seconde Rome. Pour s'évader, cap au sud vers les fresques du XIII siècle de Boyana ou les sentiers du mont Vitosha, parfaits pour un déjeuner avec vue sur la ville, avant que le soir, les parcs s'animent de joueurs d'échecs et de familles en promenade. Une capitale qui respire, pleine de contrastes, à mille lieues des clichés sur l'Europe de l'Est. À lire aussi Et pourquoi pas Sofia ? Week-end arty et décalé dans la capitale bulgare Marrakech, l'éclectique cité marocaine Dans les souks de Marrakech, on avance à petits pas : cuir à Souk Smata, épices à Rahba Kedima, lanternes à Souk Haddadine. Hortigüela / Publicité Envie de chaleur ? Marrakech, c'est l'occasion de bousculer ses habitudes. Depuis l'aéroport, on gagne la médina en moins de vingt minutes, et on se retrouve plongé dans un réseau de ruelles où tout se passe à pied. On part tôt pour profiter du calme, on monte sur une terrasse pour voir le soleil glisser sur la Koutoubia ou le minaret de Ben Youssef. On se perd dans la mellah avant d'admirer les salons du palais Bahia. Et au détour d'une ruelle, on tombe sur un fondouk, vestige de caravansérail devenu parfois atelier ou galerie d'art. Dans les souks, on avance à petits pas : cuir à Souk Smata, épices à Rahba Kedima, lanternes à Souk Haddadine. On réserve son riad quelques jours avant ou la veille au soir seulement, souvent avec patio et toit-terrasse. Sur place, on organise facilement une excursion sur un coup de tête vers les villages berbères, un vol en montgolfière au-dessus de l'Atlas, ou une nuit sous tente dans le désert d'Agafay, et ça, même en saison… Le soir, Jemaa el-Fna se transforme en restaurant à ciel ouvert, avec ses stands de tajines et de brochettes, et on dîne dehors, porté par le brouhaha si typique de la ville et sa chaleur (tant sur le plan climat, qu'humain). À lire aussi Dormir dans un riad à Marrakech sans se ruiner : nos 10 coups de cœur à moins de 150 € Malte, l'appel des eaux turquoise Petite capitale chargée d'histoire, La Valette veille au bout de sa péninsule. Fred / Au sud de la Sicile, Malte s'explore sans plan précis. C'est une destination facile à aborder, qui appelle à flâner. L'île tient dans un mouchoir de poche, mais chaque village a son caractère. Petite capitale chargée d'histoire, La Valette veille au bout de sa péninsule. Place forte des chevaliers de l'Ordre de Saint-Jean, convoitée par corsaires, Ottomans, Anglais, elle garde sur ses remparts la mémoire du Grand Siège de 1565, et ici ou là, on reconnaît les entrées des abris creusés pendant la guerre, aujourd'hui transformés en caves ou entrepôts. On se balade dans les ruelles, on repère les vieilles enseignes anglaises près de Strait Street, on s'arrête à la co-cathédrale Saint-Jean, joyau baroque qui reflète l'héritage des Chevaliers de Saint-Jean dans La Valette, pour admirer le Caravage, puis on grimpe sur les bastions guetter le coup de canon du Upper Barracca Garden à midi. Pour changer d'ambiance, on saute dans un ferry vers Vittoriosa ou Senglea, ou bien on file sur Gozo pour l'Inland Sea, Wied il-Għasri ou la Blue Grotto. Pas besoin de louer de voiture, les taxis blanc suffisent pour se déplacer, sans que l'on ai jamais vraiment besoin de s'éloigner de la mer. À lire aussi De Renzo Piano à Zaha Hadid : à Malte, un «archi-tour» de La Valette

L'Équipe
09-07-2025
- Sport
- L'Équipe
« Toujours faim » : 100 victoires et un appétit encore vorace, la machine à gagner Pogacar continue son règne sans partage
Vainqueur de sa 18e étape sur le Tour, ce mardi, Tadej Pogacar a atteint la barre symbolique des cent succès depuis ses débuts professionnels en 2019. Une véritable machine à gagner qui n'entend pas s'arrêter en si bon chemin. « C'est un rêve, c'est le plus beau jour de ma vie sur un vélo. » Sa bouille pas totalement dégrossie irradiait ce 21 février 2019, sur les hauteurs de Foia, à 900 mètres d'altitude, balayées par le vent et la grisaille lors de la 2e étape du Tour d'Algarve, son premier succès professionnel. La mâchoire en tension, Tadej Pogacar venait de passer la ligne sans cacher sa souffrance, ouvrant une ère que personne n'a vu venir, que personne ne pouvait imaginer, hormis peut-être Wout Poels et Enric Mas aux premières loges à l'instant d'être concassés dans le dernier virage par un môme de 19 piges. Six ans et demi ont passé, le Slovène a atteint la barre des cent victoires professionnelles, la dernière, ce mardi, dans le grand huit rouennais, quand le Néerlandais et l'Espagnol, ses premières victimes, ont pris un petit coup de pelle en ne levant les bras respectivement qu'à huit et quatre reprises depuis 2019. Vainqueur du Tour de l'Avenir, la saison précédente, sous les couleurs de Ljubljana Gusto Xaurum, celui qui n'était pas encore « Pogi » débutait alors sa carrière professionnelle avec l'équipe UAE Emirates et, très vite, il empila les succès, le classement général de l'Algarve, puis celui du Tour de Californie en mai, et en été, trois étapes et la 3e place de la Vuelta remportée par son compatriote Primoz Roglic qu'il martyrisa, un an plus tard, à la Planche des Belles Filles, pour son premier Tour de France victorieux. Le voilà à cent, « une statistique incroyable », soufflait son équipier Pavel Sivakov, assis sur les marches du car de la formation émirienne. Simone Pedrazzini, l'un des directeurs sportifs, semblait sonné de le voir gagner sa 18e étape sur la Grande Boucle : « c'est incroyable. On dit toujours que c'est incroyable mais cela revient à chaque fois. Il arrive encore à me surprendre. » « C'est un des meilleurs coureurs de l'histoire, c'est extraordinaire ce qu'il réalise, analyse de son côté le coureur français. Il gagne avec tellement de facilité qu'on n'en prend pas vraiment conscience. Cela devient presque normal. Il est encore jeune, on ne sait pas jusqu'où il peut aller. » « J'essaie toujours, mais c'est impossible contre toi » Mathieu Van der Poel s'adressant à Tadej Pogacar Jusqu'où il veut aller plutôt puisque le champion du monde empile les trophées et les bouquets de fleurs un peu quand il le souhaite, porté par une forme d'hyperactivité qui l'amène à vouloir toucher à tout, le Giro remporté l'an dernier, Paris-Roubaix, en avril, où il buta sur Mathieu Van der Poel, et sur lequel il reviendra tant qu'il ne s'imposera pas au vélodrome. Battu ce mardi, le Néerlandais n'est pas rancunier et alors qu'il récupérait à côté de son bourreau qui lui demandait s'il avait essayé d'attaquer, il préféra en rire : « j'essaie toujours mais c'est impossible contre toi. » L'aveu d'impuissance d'un des plus grands champions de l'histoire, encore Maillot jaune pour une paille, situe la place du Slovène dans ce sport, tout en haut, fort de ses trois Tour de France, de son Giro, sans oublier ses huit Monuments et tout ce qu'il a pu gratter parce que c'est un glouton maladif, toujours prêt à se goinfrer, même d'un Tour d'Émilie la saison dernière car il ne voulait pas traîner avant d'étrenner son maillot arc-en-ciel enfilé à Zurich, six jours plus tôt. Un palmarès encore à distance de celui d'Eddy Merckx (279 victoires professionnelles et 158 au même âge) ou de Bernard Hinault (146 mais 5 Tour de France). Pourtant, la marge se rétrécit autant que sa popularité ne cesse de croître dans des proportions absolument folles. Si Lenny Martinez a remporté le Prix de la combativité, le staff de Pogacar l'aurait mérité aussi pour ses slaloms au milieu d'une foule posée devant le bus d'UAE Emirates- XRG, indélogeable. Les « sorry, sorry » bienveillants laissèrent place à des « move, move » plus autoritaires et nécessaires tant les spectateurs grignotaient l'espace et l'oxygène de l'équipe du Slovène. L'assistant Giuseppe Desiderio tenta bien de glisser aux fans du premier rang que le Slovène ne reviendrait pas au car, ils restèrent, sentant l'entourloupe. « Il attendait la 100e victoire, il la voulait sur le Tour et il l'a. Ailleurs, elle aurait eu un autre goût » Mauro Gianetti, le manager général d'UAE Emirates-XRG Acculés contre les coffres du véhicule d'UAE, ils eurent raison de planter la tente, de risquer de se faire écraser les arpions par les cars d'Israël-Premier Tech et de Lidl-Trek, car le vainqueur du jour finit par ouvrir la marée humaine sans même étendre les bras. Le ressac l'accompagna jusqu'à sa porte, il signa quelques autographes, prêta son sourire carnassier à des photos floues et volées, entretenant sa dimension irrationnelle. Ailleurs, en Slovénie, il est devenu comme un guide et sa maman Marjeta nous confiait, mardi, qu' « on parle beaucoup plus de cyclisme et du Tour à la télévision et à la radio depuis, les émissions sont plus longues et il y a de plus de gens qui se mettent au vélo, même des personnes âgées. » Ce mardi, perchés sur des poubelles à deux mètres du sol, l'âge n'avait plus d'importance et s'agglutinaient les amoureux de la première heure, les vieux râleurs (« une heure qu'on attend ! »), les ados en direct sur TikTok, un Pikachu juché sur ses ergots, des convertis de la dernière heure, séduits par sa bonhomie sur les réseaux sociaux et dans la vie de tous les jours. En course, il se transforme en tueur. Avant de s'imposer dans les rues de la cité normande, il comptait onze victoires depuis le début de saison et il n'est pas interdit de croire que son cerveau débarrassé de toute émotion, clinique, a calculé qu'un succès lors de la dernière étape du Dauphiné, au Plateau du Mont-Cenis, l'aurait privé du prestige de la Grande Boucle, ce que ne chercha pas à nier Mauro Gianetti, le manager général : « Il attendait la 100e victoire, il la voulait sur le Tour et il l'a. Ailleurs, elle aurait eu un autre goût. C'est un accomplissement incroyable pour un si jeune gamin. » Qui n'en a pas fini de traumatiser toute la cour de l'école, anticipe Sivakov, interrogé pour savoir si son leader est encore plus fort que l'an passé : « Il a toujours été exceptionnel. Il est très fort et il y aura d'autres étapes pour s'amuser, pour prendre du plaisir, faire mal aux autres. » À l'issue d'un protocole qu'il vit comme un fardeau, il a précisé que « toutes les victoires ont quelque chose de spécial mais ma première victoire professionnelle au Tour d'Algarve a été quelque chose d'incroyable pour moi. Je ne l'oublierai jamais. » Quatre-vingt-dix-neuf succès plus tard, la boucle n'est pourtant pas bouclée et comme il le publia sur Instagram, il a « toujours faim » de ce cyclisme qui est un jeu pour lui, une punition pour les autres. À lire aussi Pogacar, des dégâts mais un Vingegaard toujours là Vauquelin et Grégoire à fond mais au plafond Bryan Coquard sur les freins après son carton jaune Vingegaard : «Ma meilleure performance sur une minute»