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Les Bleues du 3x3 en effectif réduit à la Women's Series de Bordeaux
Les Bleues du 3x3 en effectif réduit à la Women's Series de Bordeaux

L'Équipe

time6 hours ago

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Les Bleues du 3x3 en effectif réduit à la Women's Series de Bordeaux

Vainqueure la saison dernière de la Women's Series, l'équipe de France vit un été bien plus compliqué sur le circuit mondial. Les Bleues seront outsiders à Bordeaux cette semaine (20-21 août). Les Bleues du 3x3 vivent un été bien particulier, un an après la désillusion des JO de Paris 2024. Championne du monde en 2022 et victorieuse du circuit mondial l'an dernier, l'équipe de France, en transition, est toujours en quête d'un premier podium cette année. Après ses 9es places à Marseille et Bucarest (Roumanie), les 4es places à Soumgaït (Azerbaïdjan) et Edmonton (Canada) et l'élimination en quarts de finale de la Coupe du monde en juin, l'étape de la Women's Series de Bordeaux (20-21 août), à la Placette de Munich, près de la Garonne, peut être l'occasion d'enfin retrouver des couleurs. La tâche sera rude pour le groupe France, qui sera composé de seulement trois joueuses (sur quatre possibles) : Myriam Djekoundade, Marie Milapie, Eve Wembanyama. Sur les six joueuses qualifiées pour former l'effectif (règle FIBA), trois sont blessées ou en cours de reprise avec leur club de 5x5. « On a touché l'or du bout des doigts » : la nouvelle vie des pionniers du 3x3 « On ne va pas être sur la meilleure configuration possible, concède l'entraîneur des Bleus, François Brisson. Forcément, quand tu pars à trois sur une compétition, sans rotation, c'est compliqué. Mais on a quand même des joueuses motivées, qui ont des repères ensemble. » La France, pointant actuellement à la 15e place du classement général (et sortie en juillet du top 10 mondial FIBA) n'a que très peu de chance de se hisser dans le top 8, synonyme de qualification pour la finale mondiale (à Shanghai, mi-septembre). « Cette année, on a fait le choix de privilégier le fait que nos clubs puissent bénéficier des joueuses sur la reprise de la saison, donc on ne participe pas aux deux dernières Women's Series, explique Brisson. C'est une année de transition. » Les Bleues auront aussi rendez-vous à Copenhague, lors de la Coupe d'Europe (5-7 septembre).

France-Italie : à quelle heure et sur quelle chaîne regarder l'entrée en lice des Bleues à la Coupe du monde féminine de rugby
France-Italie : à quelle heure et sur quelle chaîne regarder l'entrée en lice des Bleues à la Coupe du monde féminine de rugby

Le Figaro

time9 hours ago

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France-Italie : à quelle heure et sur quelle chaîne regarder l'entrée en lice des Bleues à la Coupe du monde féminine de rugby

Le XV de France entame la Coupe du monde samedi soir face aux Italiennes à Exeter, en Angleterre C'est parti pour la 10e édition de la Coupe du monde féminine de rugby. Pays hôte, et grande favorite, l'Angleterre, lance la compétition dès ce vendredi soir, face aux Américaines à Sunderland (coup d'envoi à 20h30, en direct sur France TV). Les Bleues de Manae Feleu et Marine Ménager, elles, enteront en lice samedi soir. Elles défieront les Italiennes au Sandy Park d'Exeter, ville du sud-ouest de l'Angleterre. Publicité Une rencontre inaugurale, dont le coup d'envoi sera donné à 21h15, à suivre en direct sur TF1. Et en live commenté sur le

« Une équipe qui vit bien » : les Bleues enfin en route pour le Mondial après une préparation constructive
« Une équipe qui vit bien » : les Bleues enfin en route pour le Mondial après une préparation constructive

L'Équipe

time10 hours ago

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« Une équipe qui vit bien » : les Bleues enfin en route pour le Mondial après une préparation constructive

L'équipe de France rejoint ce mardi la Thaïlande, où elle disputera son premier match du Championnat du monde dès vendredi. Loin de figurer parmi les favorites, mais gonflée par une préparation constructive. C'est leur dernière étape de l'été, la plus importante. Quelque sept heures de vol et deux de décalage horaire vers l'Ouest attendent les Bleues qui décollent ce mardi de Busan, en Corée du Sud, pour Chiang Mai, dans le nord de la Thaïlande, en passant par Pékin. Même climat très chaud et humide, qui a provoqué quelques maux de gorge la semaine dernière par contraste avec la climatisation en intérieur, mais beaucoup plus de pression. Car dans trois jours, après une première journée d'entraînement, mercredi, puis une séance pour se familiariser avec le terrain de l'International Exhibition and Convention Centre, jeudi matin, elles entameront le premier Championnat du monde de l'équipe de France féminine depuis 1974, face à Porto Rico (vendredi, 11h, en direct sur L'Équipe live). Les Bleues sont prêtes après leur série de cinq matches amicaux Après une Ligue des Nations terminée à la 9e place, avec cinq victoires en douze rencontres, puis deux semaines de préparation intensive à Bordeaux, le groupe de César Hernandez, réduit à quatorze joueuses pour le Mondial a eu droit à un dernier stage en Corée, émaillé de cinq matches amicaux, pour parfaire système de jeu et condition physique. Résultat : deux défaites, face au Japon (1-3) il y a une semaine, et à la Tchéquie (2-3) vendredi, et trois victoires, face au pays hôte mercredi dernier (3-2), à la Suède samedi (3-0), et l'Argentine dimanche (3-0). « On finit en gagnant le dernier match du tournoi, c'est toujours une bonne chose pour la confiance », se réjouit le sélectionneur espagnol, qui a profité du séjour coréen pour faire tourner son effectif. « On a pu tester en match tout ce qu'on avait travaillé à Bordeaux à l'entraînement, tout en maintenant les joueuses en forme, poursuit Hernandez, qui opte encore pour l'anglais en interview, avant, promet-il, de répondre en français dès l'année prochaine. On a inclus des solutions à l'attaque, peaufiné la connexion avec la pipe, les ailes, le block... » « Par moments, on joue vraiment un très bon volleyball, mais on a besoin de constance. On a travaillé là-dessus, et on a plus de stabilité, de confiance. » César Hernandez, sélectionneur de l'équipe de France Les Bleues ont également pris le temps d'étudier Porto Rico, leur premier adversaire au Championnat du monde (vendredi, 11h), avant d'affronter le Brésil (dimanche, 14 h 30) et la Grèce (mardi 26, 11h), dans l'espoir de se qualifier pour les huitièmes, voire d'atteindre les quarts de finale. Un objectif raisonnable ? L'équipe de France a indéniablement progressé depuis son premier match de Ligue des Nations, sans ses joueuses majeures, le 4 juin à Pékin (défaite 3-1 face à la Turquie). « Par moments, on joue vraiment un très bon volleyball, mais on a besoin de constance, estime le sélectionneur. On a travaillé là-dessus, et on a plus de stabilité, de confiance. Les joueuses croient plus en elles. » Marc Francastel, directeur de la performance à la Fédération française, a accompagné les Bleues en Chine, en juin, et a retrouvé, à Bordeaux puis en Corée, « une équipe qui vit bien ». Selon lui, « César a réussi à mettre l'accent sur le collectif, et à créer un groupe avec des joueuses qui prennent leurs responsabilités. Il insiste beaucoup sur le fait que chacune a un rôle dans l'équipe, et laisse la liberté de prendre des risques, notamment à l'attaque ». S'il faudra encore du temps passé en commun pour se connaître, se comprendre et faire passer sa manière de travailler, Hernandez est satisfait de ces premiers mois à la tête de l'équipe de France, où il s'est attaché à constituer un groupe le plus homogène possible. « Je voulais arriver à ce point où il devient difficile de choisir les joueuses pour chaque match », se réjouit-il. En progrès, mais encore loin des meilleures équipes mondiales, les Bleues, emmenées par la solide Héléna Cazaute, peuvent s'attendre à de nombreux obstacles. À commencer par la blessure de la réceptionneuse-attaquante Maéva Schalk, victime d'une entorse à la cheville droite à l'entraînement samedi et qui restera indisponible encore quelques jours.

Les Bleues déjà à l'heure anglaise avant leur entrée dans leur Coupe du monde, samedi contre l'Italie
Les Bleues déjà à l'heure anglaise avant leur entrée dans leur Coupe du monde, samedi contre l'Italie

L'Équipe

time11 hours ago

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Les Bleues déjà à l'heure anglaise avant leur entrée dans leur Coupe du monde, samedi contre l'Italie

Arrivée vendredi soir à Exeter où elle disputera son premier match de la Coupe du monde face à l'Italie samedi, l'équipe de France a pris ses marques dans son décor so british avant d'entrer de plain-pied dans sa préparation pour la compétition. Parce qu'il est dit et répété que cette Coupe du monde ne ressemblera à aucune des précédentes, il fallait bien donner le ton d'entrée. S'il est de tradition chez les garçons et chez les filles de débuter la compétition par une cérémonie de bienvenue, l'organiser dans une cathédrale gothique du XIIe siècle sort du cahier des charges habituel. Et quand les Bleues de France et d'Italie, adversaires samedi à Sandy Park mais réunies pour l'occasion samedi après-midi, ont découvert le cérémonial dans la cathédrale Saint-Pierre d'Exeter, elles ont senti qu'elles étaient bien conviées à un raout pas banal. Manae Feleu n'en revenait pas : « Vivre une cérémonie pour une Coupe du monde, c'est déjà spécial. Mais dans une cathédrale ! On ne s'attendait pas à un endroit aussi sacré ! » Un hôtel façon cottage dans la campagne anglaise Sacré, le sport en général l'est en Angleterre. Et le rugby en particulier à Exeter, fief des Chiefs plusieurs fois champions d'Angleterre et champion d'Europe en 2020 face au Racing 92. Mais cette fois, honneur aux dames. La Section féminine des Chiefs était présente, comme nombre de joueuses de clubs de la région, près de 600 personnes pour lancer la fête du rugby dans le Devon. Et l'évêque du diocèse d'Exeter de sourire face à cette ambiance relâchée : « C'est l'évènement le plus bruyant que nous ayons jamais eu ici ». Les Bleues, arrivées tard vendredi soir après un passage par Londres et un long transfert en car de près de 300 kilomètres vers le sud-ouest du pays, ne pouvaient pas espérer plus british comme décor. À commencer par leur hôtel, façon cottage dans la campagne anglaise avec vue sur le parc, le golf et... le terrain d'entraînement. Sitôt sorti, sitôt sur la pelouse. British aussi, la météo avec des températures très loin de celles que le groupe a connu à Marcoussis durant sa préparation. Et même quelques gouttes le soir après une journée couverte. Ce lundi, c'était la véritable mise en route après la semaine de coupure qui a suivi la fessée face à l'Angleterre en match de préparation le 9 août (6-40). Après un week-end d'obligations diverses et variées (cérémonie le samedi, dimanche shooting pour l'organisation et la FFR avec en point d'orgue la photo d'équipe sur le terrain de Woodbury Park), les joueuses ont attaqué par un entraînement musculaire lundi avant celui à haute intensité aujourd'hui mardi. Aucune circonstance atténuante pour les Bleues samedi Les questions, les analyses, voire les doutes alimentés par la lourde défaite face aux Red Roses vont pouvoir être abordés durant la semaine de préparation au rendez-vous face à l'Italie samedi à Sandy : l'indiscipline qui a coûté cher face à des Anglaises qui n'ont pas eu à forcer leur talent pour punir systématiquement leur adversaire, le peu de ballons d'attaque qui plus est mal exploités. Pour ce premier rendez-vous, il n'y aura plus de circonstances atténuantes (fatigue de la préparation, manque d'automatismes après deux mois sans jouer) et les Bleues se souviennent combien elles avaient souffert pour s'imposer à Parme lors du dernier Tournoi des Six Nations (victoire 21-34 après avoir été menées 21-12 à la pause). On sent de l'impatience, l'envie d'attaquer enfin la compétition après une si longue préparation. Et parce qu'il n'y a pas de meilleure façon de balayer la gamberge que de se lancer dans le match. La composition d'équipe sera annoncée jeudi. Et vendredi les Françaises découvriront Sandy Park. Les buteuses prendront le temps de prendre leurs marques sur la pelouse où évoluent les Chiefs d'Exeter. Mais c'est à la « maison », sur leur pelouse de Woodbury Park que l'équipe effectuera sa dernière répétition avant d'entrer dans le vif du sujet.

Coupe du monde de rugby féminine : en images, la cérémonie d'accueil des Bleues à la cathédrale d'Exeter
Coupe du monde de rugby féminine : en images, la cérémonie d'accueil des Bleues à la cathédrale d'Exeter

Le Figaro

timea day ago

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Coupe du monde de rugby féminine : en images, la cérémonie d'accueil des Bleues à la cathédrale d'Exeter

Le XV de France féminin, qui entrera en lice samedi soir face à l'Italie, a été reçu dans un cadre majestueux. C'est la tradition. À chaque Coupe du monde, féminine et masculine, les équipes participantes ont le droit à une cérémonie d'accueil. Les Bleues y ont participé samedi, dans un cadre exceptionnel puisque Manae Feleu, Romane Ménager et leurs coéquipières ont été reçues dans une cathédrale. Celle d'Exeter, bourgade du sud-ouest de l'Angleterre où les Françaises ont établi leur camp de base et disputeront leurs deux premières rencontres, est particulièrement remarquable. L'édification de la cathédrale Saint-Pierre remonte au 12e siècle, d'abord en architecture normande pour s'achever en style gothique. Publicité «Le lieu était incroyable, confirme la co-capitaine de l'équipe de France, Manae Feleu. Je pense qu'on ne s'attendait pas à un endroit aussi sacré. C'était vraiment quelque chose d'unique. Vivre une cérémonie pour une Coupe du monde, c'est déjà spécial. Mais là, dans une cathédrale, ça l'était encore plus. Je pense que les filles ont toutes apprécié. C'était tellement incroyable d'être dans cet endroit.»

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