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La police française lacère au cutter un bateau rempli de migrants, Londres se félicite d'un « durcissement » de ses pratiques
La police française lacère au cutter un bateau rempli de migrants, Londres se félicite d'un « durcissement » de ses pratiques

Le Parisien

time17 hours ago

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  • Le Parisien

La police française lacère au cutter un bateau rempli de migrants, Londres se félicite d'un « durcissement » de ses pratiques

Les félicitations de Downing Street . Le gouvernement britannique a salué ce vendredi un « durcissement » dans les pratiques des forces de l'ordre françaises pour intercepter les migrants embarquant sur des bateaux dans le nord de l'Hexagone à destination de l'Angleterre , après la diffusion d'un reportage télévisé. Des images diffusées vendredi sur la BBC , tournées sur une plage proche de Boulogne-sur-Mer, montrent des membres des forces de l'ordre françaises se diriger dans l'eau peu profonde vers un bateau pneumatique contenant de nombreux migrants en son bord, parmi lesquels des enfants, et le crever à coups de cutter. Selon la préfecture des Hauts-de-France, vendredi à 8h30, un taxi-boat est venu embarquer des passagers sur la plage de Saint-Étienne-au-Mont (Pas-de-Calais). L'embarcation transportait déjà 30 personnes « lorsqu'une cinquantaine de migrants (hommes, femmes et enfants) s'est présentée sur la plage », a-t-elle précisé. Six militaires « sont restés en sécurisation lors de l'embarquement, en application des ordres ». À l'occasion de l'embarquement, « les personnes situées à l'eau à l'arrière du small-boat couraient un danger immédiat », ce qui a conduit les gendarmes à intervenir afin d'éviter une « prise de risque aux passagers d'un esquif d'évidence très fragile », a poursuivi la préfecture. « Aucune personne n'a été blessée ou a nécessité une prise en charge par les secours », a-t-elle ajouté. « Ce que nous avons vu ce matin était un moment important », a réagi un porte-parole du Premier ministre britannique Keir Starmer . « Nous saluons l'action des forces de l'ordre françaises pour intervenir dans les eaux peu profondes, et ce que vous avez vu ces dernières semaines est un durcissement de leur approche », a-t-il ajouté. « Nous voyons de nouvelles tactiques utilisées pour perturber ces bateaux avant qu'ils ne commencent leur voyage », a poursuivi le porte-parole. « Avec tous les autres leviers que le gouvernement active, nous pensons que cela peut avoir un impact majeur pour mettre fin aux tactiques utilisées par ces gangs » de passeurs, a-t-il poursuivi. Le Royaume-Uni fait pression sur la France pour que celle-ci modifie la « doctrine » d'intervention des policiers et gendarmes en mer afin de pouvoir intercepter jusqu'à 300 mètres des côtes les taxi-boats. Ces derniers embarquent des migrants directement dans la mer pour éviter les contrôles sur les plages. Conformément au droit international de la mer, une fois qu'une embarcation navigue, les autorités ne doivent faire que du sauvetage et ne sont pas supposées intervenir pour intercepter les migrants, afin d'éviter des noyades . En avril 2024, des journalistes de l'AFP avaient déjà été témoins d'une scène où un policier, avec de l'eau jusqu'aux genoux, avait planté son couteau dans le boudin d'une embarcation, sous les jurons d'un migrant en larmes. Ce dernier était finalement parti une heure plus tard à bord d'une autre embarcation de fortune surchargée. Le Premier ministre travailliste Keir Starmer, arrivé au pouvoir il y a un an et sous la pression de l'extrême droite qui progresse, a promis de « reprendre le contrôle des frontières » . Mais plus de 20 500 personnes ont traversé la Manche sur les six premiers mois de l'année 2025 , un record sur cette période. Cela représente une augmentation de près de 48 % par rapport à la même période de l'année dernière. Un record annuel avait été atteint en 2022 avec 45 774 arrivées de migrants.

Arrosage, piscines, lavage des voitures… les restrictions d'eau se durcissent en France face à la sécheresse
Arrosage, piscines, lavage des voitures… les restrictions d'eau se durcissent en France face à la sécheresse

Le Parisien

time20 hours ago

  • Science
  • Le Parisien

Arrosage, piscines, lavage des voitures… les restrictions d'eau se durcissent en France face à la sécheresse

Arroser son jardin ou laver son véhicule à domicile n'y est plus possible. En effet, des mesures de restriction d'eau ont été mises en place dans la zone de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais) ainsi que sur une partie des Bouches-du-Rhône, placées en alerte sécheresse, comme indiqué vendredi les préfectures de ces deux départements. 29 communes des Bouches-du-Rhône ont ainsi été placées en « alerte renforcée » sécheresse, notamment Aix-en-Provence, et dix autres en état d'alerte, précise la préfecture, qui invoque le « déficit pluviométrique ces deux derniers mois et les températures particulièrement élevées de ces dernières semaines (qui) ont engendré la baisse des cours d'eau et des nappes du département ». Les prélèvements directs en cours d'eau, hors prélèvements des associations syndicales autorisées, sont interdits dans plusieurs secteurs les secteurs. La zone concernée par l'alerte renforcée s'étend depuis le nord de l'étang de Berre à Aix, puis vers l'est jusqu'à la limite du département voisin du Var. Y sont interdits pour les particuliers les arrosages de pelouses et massifs, le remplissage des piscines privées ou encore le lavage des véhicules à domicile. L'irrigation gravitaire ou par aspersion des surfaces agricoles est interdite de 8 à 20 heures. Dans le Pas-de-Calais, les bassins-versants côtiers du Boulonnais sont placés « en situation d'alerte » et ceux de l'Audomarois, du delta de l'Aa, de la Lys, de la Marque et de la Deûle en situation de vigilance renforcée. La préfecture justifie cet arrêté par « un déficit record ( des précipitations ) observé par Météo France dans la région Hauts-de-France ces derniers mois », entraînant des « sols désormais plus secs que la normale de l'ordre de -30 à -60 % ». Des restrictions sont également en vigueur dans l'ensemble du département voisin du Nord, placé en vigilance renforcée la semaine passée. Dans le Pas-de-Calais, dont une partie était en vigilance sécheresse depuis le 19 mai, la préfecture a décidé vendredi de restrictions « pour diminuer significativement la consommation d'eau, afin de préserver les ressources en eau potable et les milieux naturels ». Parmi ces mesures figure, pour les agriculteurs, l'interdiction d'irriguer les samedis et dimanches entre 11 et 16 heures en zones de vigilance renforcée, et entre 10 et 18 heures en zone d'alerte. Les particuliers et les collectivités, sont touchés par « essentiellement des mesures de bon sens », dont l'interdiction d'arroser pelouses et jardins entre 11 et 16 heures en zones de vigilance renforcée et de 9 à 19 heures en zone d'alerte. Les entreprises doivent, elles, réduire leur consommation d'eau de 5 % en zones de vigilance renforcée et de 10 % en zone d'alerte. Dans le Nord, l'arrosage des pelouses, potagers, espaces verts publics ou privés, espaces sportifs, sont notamment interdits entre 11 et 16 heures , et l'irrigation agricole est interdite les samedis et dimanches de 11 à 16 heures. La préfecture du Loiret avait déjà annoncé fin juin des mesures de restrictions d'eau renforcées face à la sécheresse dans le département, interdisant les habitants d'arroser leur jardin et de remplir leur piscine.

Tadej Pogacar peut-il aussi remporter le maillot vert sur le Tour de France 2025 ?
Tadej Pogacar peut-il aussi remporter le maillot vert sur le Tour de France 2025 ?

L'Équipe

timea day ago

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Tadej Pogacar peut-il aussi remporter le maillot vert sur le Tour de France 2025 ?

Sprinteurs les plus en vue depuis le début de la saison, Tim Merlier et Jonathan Milan convoitent logiquement le maillot vert que Jasper Philipsen a déjà remporté. Mais Tadej Pogacar peut aussi tout rafler. Le classement par points est traditionnellement une affaire de sprinteurs, puisque le barème réserve les meilleures récompenses aux journées sans difficulté majeure. Gagner une étape de plaine rapporte cinquante points, quand ceux qui lèvent les bras en haute montagne en récoltent seulement vingt. Mais le maillot ne se joue pas qu'à l'arrivée car les sprints intermédiaires vont animer la course et peuvent être décisifs dans la quête du maillot vert, qui sourit aux grosses cuisses et aux plus réguliers. Pogacar, capable de tout gagner Bernard Hinault est le dernier coureur à avoir porté le maillot jaune et le maillot vert à Paris, en 1979. La possibilité d'un doublé appartient donc à une autre époque, mais Tadej Pogacar est du genre à bousculer tous les records et ses limites restent inconnues. Si le classement par points n'est pas un objectif pour le Slovène (26 ans), le profil de ce Tour et le barème peuvent lui permettre de le remporter sans même le vouloir vraiment : cinquante points sont attribués aux étapes pour puncheurs à Boulogne-sur-Mer, Rouen et Mûr-de-Bretagne, pendant la première semaine, et trente points attendent le vainqueur du Mont Ventoux, alors que les étapes de montagne n'en rapportent normalement que vingt. Quatrième du classement par points en 2024, après avoir levé les bras six fois, Pogacar a les moyens de se rapprocher en 2025, s'il décide d'exploiter chaque opportunité en première semaine. C'est assez improbable, mais possible. Philipsen, l'habitué Devancé l'année dernière par Biniam Girmay, Jasper Philipsen (27 ans) a remporté le maillot vert en 2023 et rêve de s'habiller en jaune pour la première fois, en gagnant samedi à Lille. Ce serait la meilleure façon de chasser les interrogations nées d'une première partie de saison contrastée. Le Belge ne compte que deux victoires, Kuurne-Bruxelles-Kuurne et la deuxième étape du Tour de Belgique, mais il assure se sentir mieux qu'en 2024 et sa polyvalence l'aidera à mieux résister que ses concurrents quand la route va s'élever. Il pourra encore s'appuyer sur l'expertise de Mathieu Van der Poel pour lui ouvrir la voie lors des sprints, et son équipe est la plus dense dans ce registre avec l'apport de l'Australien Kaden Groves. Merlier, leader avec Evenepoel Remco Evenepoel est la star de Soudal Quick-Step mais il partage le gâteau cette année avec Tim Merlier, le sprinteur qui déboule avec son poisson-pilote Bert Van Lerberghe. Notamment vainqueur de deux étapes de Paris-Nice, du Grand Prix de l'Escaut et de la Classique de Bruxelles, le champion d'Europe a assez de références pour se poser en favori dans la course au maillot vert, dès le premier week-end, tout près de la maison. Alors que quatre années se sont écoulées depuis son premier succès sur le Tour, Merlier (32 ans) n'a plus envie de patienter. Milan, le costaud Son impressionnant gabarit va souffrir en montagne mais l'allongement des délais est une bonne nouvelle pour Jonathan Milan (24 ans), qui pourrait s'épargner des frayeurs sur la route vers Paris. Avant de transpirer dans les cols, l'Italien de Lidl-Trek a tout ce qu'il faut pour terrifier la concurrence en plaine : sa puissance s'est exprimée partout cette saison, au Dauphiné Libéré, à Tirreno-Adriatico ou au Tour des Émirats arabes unis. Vainqueur du classement par points lors de ses deux participations au Giro, en 2023 et 2024, il découvre le Tour avec la même ambition.

Comment la Voix du Nord se prépare au Tour de France
Comment la Voix du Nord se prépare au Tour de France

Le Soir

timea day ago

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Comment la Voix du Nord se prépare au Tour de France

On n'oublie pas, pour le référencement, pas de titre avec 'La Grande Boucle'. C'est 'le Tour de France', et rien d'autre. » Dix jours avant le grand départ, la rédaction de La Voix du Nord affine les derniers réglages de sa couverture de l'événement, depuis un bureau du journal, à Lille, avec, en vidéo-conférence, les responsables des différentes éditions régionales. Le briefing est serré, la consigne est claire : pour parler du Tour de France, inutile de chercher la paraphrase poétique, la métaphore même éculée, on y va au plus simple. Tant pis pour l'effet de répétition, c'est l'efficacité qui prime. Autour de la rédactrice en chef adjointe du journal, Béatrice Frère, le responsable du service sportif, le journaliste en charge du cyclisme, les principaux responsables du web passent en revue les différentes étapes du Tour, qui démarrera à Lille samedi, avant de baguenauder de Douai à Boulogne-sur-Mer dimanche, puis de rallier Valenciennes à Dunkerke le lundi 7 juillet.

Tour de France : les six étapes qu'il ne faudra surtout pas manquer cette année
Tour de France : les six étapes qu'il ne faudra surtout pas manquer cette année

Le Figaro

timea day ago

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  • Le Figaro

Tour de France : les six étapes qu'il ne faudra surtout pas manquer cette année

Sur les 21 étapes du Tour de France dont le départ sera donné samedi, Le Figaro a retenu six journées charnières. Où, quand et pourquoi il faudra être devant son écran (ou au bord des routes) ces jours-là. La deuxième étape Où : étape entre Lauwin Planque et Boulogne-sur-Mer (209 km) Quand : le dimanche 6 juillet À découvrir Le classement du Tour de France 2024 Pourquoi : dans le triptyque du Nord, il ne faudra surtout pas rater la deuxième étape et l'arrivée à Boulogne-sur-Mer le lendemain d'une journée inaugurale réservée aux sprinteurs. Pas de pavés au programme, une première partie plutôt plate et calme avant une seconde moitié de parcours vallonnée sous un temps maussade. Il faudra se préparer à un feu d'artifice des puncheurs avec trois dernières côtes qui vont faire des dégâts. Christian Prudhomme, le directeur du Tour, présente : «On ne va pas monter le Galibier ou le Tourmalet dans le Nord, le Pas-de-Calais mais l'arrivée à Boulogne se trouvera après trois côtes très rudes dans les dix derniers kilomètres. Ce sont des côtes qui font à peu près un kilomètre avec des pentes à 10-12%, parfois 15%.» Un final explosif. Publicité Qui va gagner : On mise sur Wout van Aert, le coureur tout-terrain de l'équipe Visma Lease a Bike qui répondra avec brio aux premières banderilles dans cette édition de Tadej Pogacar. Le profil de la deuxième étape. ASO La sixième étape Où : entre Bayeux et Vire Normandie (201,5 km) Quand : le mercredi 9 juillet Pourquoi : un tracé normand à la sauce alpine ! Sur 201,5 km, le peloton va devoir avaler 3500 mètres de dénivelé positif à travers le Bessin, la Suisse normande et le bocage. Il faudra donc être très fort, notamment dans la dernière des six difficultés du jour, la côte de Vaudry (1,2 km à 7,2%). Un passage bref et brutal comme les aiment les meilleurs baroudeurs. Qui va gagner : la veille, le champion olympique du chrono Remco Evenepoel aura sans doute mis tout le monde d'accord sur le contre-la-montre de Caen. Tadej Pogacar prendra sa revanche. Le Slovène est trop joueur pour ne pas tenter sa chance sur le terrain accidenté. Le profil de la sixième étape. ASO La dixième étape Où : entre Ennezat et Le Mont-Dore Puy de Sancy (165,3 km) Quand : le lundi 14 juillet Pourquoi : Après une grosse première semaine, place à la première explication en montagne de cette édition le 14 juillet. Un menu indigeste pour le peloton qui aura le droit à une journée de récupération bien méritée le lendemain. Huit ascensions dont sept de deuxième catégorie (un record sur l'épreuve) et 4500 mètres de dénivelé. Les favoris auront à cœur de marquer les esprits dans le décor enchanteur de la région du Puy-de-Dôme avant d'attaquer les redoutables Pyrénées. Publicité Qui va gagner : le jeune Lenny Martinez (21 ans) a coché avec un feutre rouge cette journée de fête nationale sur son agenda mais Tadej Pogacar aura sans doute des fourmis dans les jambes avec ce premier test montagneux, histoire de tester l'état de forme de la concurrence avant la haute montagne. On mise donc sur le Slovène. Le profil de la dixième étape. ASO La seizième étape Où : entre Montpellier et le Mont Ventoux (171,5 km) Quand : le mardi 22 juillet Pourquoi : incontournable et magique Mont Ventoux. Un classique du Tour de France avec son ascension de 15,7 km à 8,8% de moyenne pour rejoindre l'Observatoire, sous le soleil et à travers un paysage lunaire sans arbre. Tout coureur rêve d'accrocher le Géant de Provence culminant à 1910 m à son palmarès. Cette étape intervient après un jour de repos et il est parfois difficile de relancer la machine après cette pause. Qui va gagner : la scène idéale pour un duel entre Pogacar et Vingegaard, évidemment. On se souvient qu'en 2021 où le Mont Ventoux avait été escaladé deux fois, le Slovène avait été distancé par le Danois avant de refaire son retard dans la descente (Wout van Aert s'était imposé) mais les deux hommes se neutraliseront cette fois en attendant l'étape reine deux jours plus tard vers le col de la Loze. Le poids plume Lenny Martinez (1,68 m et 52 kilos) prendra sa revanche et s'imposera, s'offrant la plus belle ligne de son palmarès. Le profil de la 16e étape. ASO La dix-huitième étape Où : entre Vif et Courchevel-Col de la Loze (171,5 km) Quand : le jeudi 24 juillet Publicité Pourquoi : quelle entrée explosive dans les Alpes avec cette étape reine de l'édition 2025. Col du Glandon suivi du col de la Madeleine avant la montée vers Courchevel et le col de la Loze. Un programme indigeste de 5450 mètres de dénivelé et 70 km d'ascension. Le Tour de France, s'il n'est pas joué avant cette journée, trouvera probablement son vainqueur dans les pentes menant à Courchevel. Qui va gagner : Jonas Vingegaard. L'équipe Visma Lease a Bike pourrait tenter un gros coup au cours de cette journée épuisante. On se souvient qu'il y a deux ans, Pogacar avait craqué dans la dernière ascension, abandonnant six minutes au maillot jaune... Les pentes sont dures et pourraient de nouveau convenir au leader de l'équipe néerlandaise. Le profil de la 18e étape. ASO La vingt et unième étape Où : entre Mantes-la-Ville et Paris (132,3 km) Quand : le samedi 27 juillet Pourquoi : le Tour de France va fêter cette année le cinquantième anniversaire de l'arrivée sur les Champs-Élysées. Une célébration un peu particulière puisque le tracé va reprendre une partie du parcours olympique en grimpant à trois reprises la Butte Montmartre. Un programme qui divise le peloton, certains comme Jonas Vingegaard ou Wout van Aert estimant que ce détour va ajouter du stress inutile. Les sprinteurs ont du souci à se faire car la dernière ascension dans le nord de la capitale n'est qu'à six kilomètres de l'arrivée. Ça va attaquer dans tous les sens. Qui va gagner : Julian Alaphilippe. S'il parvient à garder un peu de jus après le passage des Alpes, le chouchou des Français pourrait faire sauter la banque et réserver au public un fabuleux bouquet final en attaquant tardivement. Compte tenu des risques de chutes sur des routes étroites, le peloton devrait rester sage un bon moment dans les rues de Paris avant que les puncheurs ne tentent de faire sauter le cadenas mis en place par les équipes de sprinters.

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