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3 hours ago
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Scottie Scheffler pour un doublé en 2025, Rory McIlroy pour laver l'affront de 2019... Nos favoris pour le 153e British Open
Avec 156 joueurs au départ du British Open, la liste des favoris est logiquement conduite par les deux leaders du classement mondial, le n°1 Scottie Scheffler, qui vise un doublé en Grand Chelem après son succès au PGA Championship, et son dauphin Rory McIlroy, titré au Masters. ★★★★★ Scottie Scheffler (USA, 29 ans, n°1 mondial, 7e en 2024) Scottie Scheffler (29 ans) est naturellement le grand favori de ce 153e British Open. L'Américain arrive à Portrush dans la peau de numéro un mondial et fort de 3 victoires cette saison dont le PGA Championship au mois de mai. Même si les links ne sont pas (pour le moment) sa spécialité, depuis 2021 et sa première participation à The Open, le triple vainqueur de Majeurs n'a jamais loupé le cut et a même accroché deux top 10 (8e au Royal St. Georges en 2021 et 7e l'an dernier à Troon). « J'ai l'impression d'apprendre de plus en plus à chaque fois que je viens ici, a déclaré Scheffler avant le tournoi. Ce sont des parcours où il faut faire preuve de créativité et j'aime faire les choses de manière très créative. » Au top dans tous les compartiments du jeu, l'homme aux 146 semaines à la première place mondiale (dont 122 d'affilée) viserait, en cas de succès nord-irlandais, le Grand Chelem en carrière dès la saison prochaine à l'US Open. Rory McIlroy (ILN, 36 ans, 2e mondial, vainqueur en 2014) Vainqueur héroïque du Masters, Rory McIlroy a enfin bouclé son Grand Chelem en carrière. Un accomplissement qu'il a fallu digérer pour le numéro 2 mondial, qui n'a pas eu les résultats escomptés dans les autres Majeurs cette année (47e du PGA Championship, 19e de l'US Open). Mais le Nord-irlandais est chez lui à Portrush et aura à coeur d'effacer l'affront de 2019 où il n'avait pas su gérer ses émotions (carte de 79 le premier jour et un cut raté). « Si je ne suis pas motivé pour un British à domicile, je ne sais pas ce qui peut me motiver », avait-il déclaré après l'US Open. Le natif d'Holywood, à 1h30 de route du Royal Portrush, a affiché un net regain de forme la semaine dernière en s'offrant une belle 2e place au Scottish Open. De quoi le mettre en appétit avant ce dernier Majeur de l'année. ★★★★ Jon Rahm (ESP, 30 ans, 72e mondial, 2e en 2023) S'il y a bien un joueur du LIV Golf à suivre cette semaine, c'est Jon Rahm. Après une saison 2024 entachée par une blessure à un pied, l'Espagnol a retrouvé son jeu et les hauts des leaderboars. Deuxième de la saison régulière sur le LIV, le double vainqueur de Majeur (US Open 2021 et Masters 2023) s'est illustré en Grand Chelem cette année en accrochant deux top 10 (8e au PGA Championship et 7e à l'US Open). Rahm monte en puissance et ses résultats au British sont plutôt prometteurs : 11e à Portrush en 2019, il a terminé 2 fois sur le podium lors des quatre dernières éditions et reste sur une 7e place à Troon l'an dernier. Ses points forts (puissance, précision et force mentale) sont autant d'atouts dans les conditions de jeu particulièrement éprouvantes d'un links chahuté par le vent et la pluie. Xander Schauffele (USA, 3e mondial, 31 ans, vainqueur en 2024) Vainqueur l'an dernier à Troon, Xander Schauffele a été freiné cette saison par une vilaine blessure aux côtes. Résultat : huit semaines de repos forcé et un retour progressif. Aucun cut manqué sur ses 12 tournois disputés, mais pas d'éclat particulier non plus. Huitième au Masters comme au Scottish Open la semaine dernière, le n°3 mondial retrouve peu à peu ses sensations. Impeccable en Majeur, l'Américain affiche 14 cuts passés consécutivement, avec 2 victoires l'an dernier (PGA Championship et The Open) et quatre top 10. ★★★ Ludvig Äberg (SUE, 9e mondial, 25 ans) Si l'on tient uniquement compte de son expérience au British Open, Ludvig Äberg n'a rien à faire parmi les favoris de cette 153e édition. Pris dans la tempête de Troon l'an dernier, pour ses débuts dans le plus vieux tournoi du monde, le Suédois avait raté le cut. Mais le 9e mondial possède le jeu complet pour dompter les caprices d'un links comme il l'a fait en remportant son deuxième titre sur le PGA Tour en février (Genesis Invitational). Sa 8e place au Scottish Open la semaine dernière indique un état de forme ascendant après ses deux cuts manqués au PGA Championship et à l'US Open. Sepp Straka (AUT, 8e mondial, 32 ans, 2e en 2023) Il ne fait jamais trop de bruit mais gare à cette « valeur sûre » comme le qualifie Romain Langasque. Installé dans le top 10 mondial (8e cette semaine), Sepp Straka compte deux victoires cette année sur le PGA Tour (The American Express et le Truist Championship). Sa deuxième place au Royal Liverpool en 2023, dans des conditions similaires à celles annoncées à Portrush, ainsi que sa 7e place au Scottish Open la semaine dernière, justifient pleinement le qualificatif employé par le Français. Viktor Hovland (NOR, 11e mondial, 27 ans, 4e en 2022) Depuis qu'il a regoûté à la victoire au Valspar Championship fin mars, après une traversée du désert l'an dernier, Viktor Hovland n'a plus raté un cut sur le PGA Tour. Troisième du dernier US Open, le charismatique manieur de balle norvégien a fini aux portes du top 10 la semaine dernière en Écosse, faisant oublier son abandon au Travelers après le troisième tour en raison d'une blessure au cou. ★★ Tyrrell Hatton (ANG, 23e mondial, 33 ans, 5e en 2016) Tyrrell Hatton n'est pas forcément un favori de premier plan mais un joueur que l'on voit souvent pointer le bout de son nez en Majeur. À l'aise sur les links, l'Anglais a remporté 3 fois le Dunhill Links Championship (2016, 2017 et 2024) et s'est classé 6e la dernière fois que le British a posé ses valises à Portrush, il y a six ans. Les conditions météo (pluie et vent) s'annoncent en plus similaires à celles de l'édition 2019, où Shane Lowry avait été sacré. Pas un handicap pour Hatton qui aura également à coeur de sécuriser sa place pour la Ryder Cup. Remonté à la 4e place au classement grâce à sa 4e place à l'US Open, l'Anglais du LIV est en mission mais devra tenir ses nerfs. Shane Lowry (IRL, 18e mondial, 38 ans, vainqueur en 2019) Justin Rose (ANG, 21e mondial, 44 ans, 2e en 2018 et 2024) ★ Matt Fitzpatrick, Collin Morikawa, Bryson DeChambeau À lire aussi Kim, du burn-out à l'instant de grâce La nouvelle approche de Roussin-Bouchard Saddier-Couvra, le British Open les attend Owen Wilson : «Quand j'ai vu Messi arriver vers moi...»


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7 hours ago
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« Envie de profiter et de donner le meilleur de moi-même » : Romain Langasque confiant avant le British Open
Romain Langasque dispute cette semaine son sixième British Open. Le Français s'est confié à l'issue de sa dernière partie d'entraînement mercredi. « Romain, dernière journée d'entraînement ce mercredi au British Open, comment vous sentez-vous ?J'ai fait une très bonne reco hier (mardi), une très bonne reco aujourd'hui (mercredi). Mon jeu monte en puissance et je me sens vraiment très bien, sincèrement. C'était top dans des conditions parfaites. Justement, quelle valeur ont des parties d'entraînement dans les conditions parfaites quand on sait que le temps va changer les prochains jours ?C'est vrai que là, ce n'est pas vraiment la réalité. Il fait très beau, il y a très peu de vent. Même celle d'hier, c'était un vent opposé dès deux premiers jours. Demain (jeudi), ce sera un parcours qui va vraiment être différent de ce que j'aurais vu pendant les recos mais on prend des infos et on essaye d'avoir des repères. On regarde un peu les roughs, les tours de green, on essaye des coups, les bunkers pour voir quels clubs peuvent passer ou non. C'est vraiment de l'observation plus que du jeu. Mais c'est aussi très agréable de travailler dans ces conditions-là. Ça permet de prendre le temps et de ne pas être en train de batailler avec la pluie. « Ce sont des joueurs du PGA Tour qui jouent très bien aux Etats-Unis. Pour moi, ça me fait juste réaliser qu'ils ont deux bras, deux jambes et qu'ils ne sont pas forcément meilleurs que nous » Vous avez fait votre partie d'entraînement avec Martin Couvra mais aussi Sahith Theegala. C'est bien d'avoir des joueurs comme lui dans une partie ?Ce sont des joueurs du PGA Tour qui jouent très bien aux États-Unis. Pour moi, ça me fait juste réaliser qu'ils ont deux bras, deux jambes et qu'ils ne sont pas forcément meilleurs que nous. Martin et moi, on joue largement aussi bien, peut-être même mieux que beaucoup de mecs là-bas. Encore une fois c'était sympa de voir autre chose que ce qu'on voit en Europe. Le plus impressionnant ou plutôt la plus grosse différence qu'on a entre eux et nous, c'est le détachement. Ils tapent des coups, ils jouent, ils sont tranquilles. Je trouve que ça, c'est une vraie différence, un peu à l'image d'un Dustin Johnson. Même si lui, c'est un peu l'extrême, mais voilà, c'est tranquille. Il est arrivé, il tape ses coups. S'il est mauvais il en retape un. Il n'y a pas de drame, il y a pas stress, C'est ça que je retiens le plus, dans l'attitude des Américains. ils sont très détachés, chill. Vous êtes de retour au British avec une petite revanche à prendre sur l'an passé où vous aviez dû abandonner ?C'est vrai que l'année dernière, je crois que je n'ai jamais eu d'émotions aussi hautes et aussi basses en 15 jours. Je fais 3e au Scotch Open (Écosse), qui est sûrement une de mes plus belles performances en carrière vu le champ de joueur qu'il y avait. La semaine d'après, je dois abandonner après 8 trous au British Open qui est pour moi le plus beau tournoi du monde. Il y a une atmosphère et une énergie incroyable et c'est un type de jeu qui me convient très bien. Il faut manier la balle, il faut créer, imaginer. C'est un golf qui me parle. Une revanche ? je ne sais pas mais en tout cas, il y a beaucoup d'envie de profiter et de donner le meilleur de moi-même. On vous a vu à côté d'un jeune supporter, dans les cordes. c'est Henry, un petit qui me suit avec son papa depuis 3 ans, à chaque British. Ils sont adorables et pas du tout envahissants. Hier (mardi), je l'ai pris avec moi pendant 3 trous, il était comme un fou et ce matin je l'ai fait putter sur un green. Il s'en souviendra toute sa vie. Et je me dis que si j'avais été à sa place, j'aurais kiffé pouvoir vivre un moment comme ça. »


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Ludvig Äberg, avant le British Open : « Gagner un Majeur ? J'ai l'impression d'avoir les outils pour y arriver »
Deux ans après son entrée fracassante dans le monde professionnel, Ludvig Äberg fait partie des cadors du golf mondial. Solide membre du top 10, le Suédois de 24 ans croit en ses chances avant le début du British Open et ce malgré deux cuts ratés au PGA Championship et à l'US Open. Deux ans après son entrée fracassante dans le monde professionnel, Ludvig Äberg fait partie des cadors du golf mondial. Solide membre du top 10 (il est 9e cette semaine après avoir été 4e il y a un an), le Suédois de 24 ans aborde son deuxième British enrichi par l'expérience de l'an dernier, quand la tempête de Troon avait emporté son swing et ses certitudes. Et même s'il reste sur deux cuts ratés en Majeur, au PGA Championship et à l'US Open, le cyborg au sourire carnassier croit en ses chances d'ouvrir son compteur en Grand Chelem, comme il l'a confié lors d'une table ronde organisée par son sponsor Mercedes-Benz. Le British Open « Je me sens mieux préparé » « L'an dernier, je me souviens que c'était difficile, que nous avions dû faire face à des défis naturels compliqués, avec beaucoup de vent. Mais je me souviens aussi à quel point c'était cool. J'adore l'aspect historique de ce jeu, c'est ce qui m'excite le plus. Ce tournoi existe depuis 1860, et j'ai vraiment ressenti cela l'an dernier. J'aurais aimé jouer un peu mieux, mais cette fois-ci, je me sens mieux préparé. J'ai grandi en jouant dans le sud de la Suède où il y a beaucoup de vent, pas forcément sur des links (parcours sablonneux en bord de mer) comme celui-ci, mais j'ai toujours aimé jouer le British Boys, le British Amateur plusieurs fois, le Lytham Trophy et Fairhaven aussi. J'ai donc eu ma part d'expériences sur ce type de parcours que j'apprécie parce que c'est très différent. Il y a beaucoup plus d'adaptation, de créativité et c'est un endroit sympa pour jouer au golf. Je pense être un peu mieux préparé que l'an dernier aux conditions. La pluie et le vent sont des facteurs que j'ai un peu sous-estimés l'an passé. Je n'avais pas abordé le tournoi en pensant que ce serait aussi important et j'ai été un peu pris au dépourvu. Cette année, je sais par expérience que c'est un gros problème et j'aurai cet état d'esprit d'acceptation, quelle que soit la situation. » Sa saison jusqu'à présent « J'ai beaucoup appris sur mon jeu et sur moi-même » « Cette année, j'ai beaucoup appris sur mon jeu et sur moi-même, sur ce qui me convient et sur ce qui ne me convient pas. J'ai vu de bonnes choses la semaine dernière en Écosse (il s'y est classé 8e), de bonnes choses sur lesquelles je peux m'appuyer et j'ai hâte de prendre le départ jeudi. Mais si je pouvais le faire d'un coup de baguette magique, je changerais probablement pas mal de choses dans ma saison jusqu'à présent. Non pas parce que mon jeu fer a été mauvais ou mon driving, ou mon wedging ou mon putting : je pense que j'ai été un peu déséquilibré dans toutes les parties de mon jeu. Je changerais donc ma façon de m'entraîner et de me préparer à ces événements, je serais plus efficace dans mes entraînements à la maison et un peu plus affûté quand le tournoi arrive. Il est possible aussi que les attentes après mes débuts réussis sur le Tour aient été difficiles à gérer. J'ai toujours eu l'idée que cela faisait partie du jeu et du fait d'être un athlète évoluant à un très haut niveau. C'est la même chose dans tous les sports, au football, au tennis ou dans n'importe quelle profession : si vous avez de bons résultats, l'attention sera beaucoup plus grande. Et je considère que j'ai beaucoup de chance d'être dans cette situation après mes deux premières années en tant que professionnel. J'attends donc beaucoup de moi aussi et il en sera toujours ainsi. » Gagner un Majeur « Avoir des objectifs, ça facilite les choses » « Il est évident qu'il faut tout mettre en place en quatre jours de tournoi, mais j'ai l'impression que les expériences que j'ai vécues en Majeurs, comme dans les autres tournois, au cours des vingt-quatre derniers mois, m'ont fait prendre conscience que je pouvais y arriver. Que j'avais les capacités et les outils pour remporter un Grand Chelem. Dans un tournoi comme celui-ci, la motivation pour gagner et être performant est à son maximum. Tous les joueurs qui sont là ont le même état d'esprit. Comme je l'ai déjà dit, j'aime l'histoire. Lorgner un trophée sur lequel sont gravés tous ces grands noms du jeu, qui remontent aux années 1970, 60, 50, c'est ce qui m'enthousiasme. Il est important d'avoir des objectifs. Ça facilite les choses de savoir ce que l'on veut atteindre et comment y parvenir. Mais il est difficile de dire ''hé, je veux gagner tel ou tel tournoi'' parce que je suis plus un gars qui s'appuie sur le processus. Si je fais telle chose, à l'entraînement ou dans ma préparation, cela me donnera une chance d'y arriver. Lorsque je suis passé professionnel en juin 2023, je me souviens que tout ce que je voulais, c'était entrer dans le top 50 mondial, car cela signifiait que je pourrais jouer tous les Majeurs l'année suivante. Une fois que j'y suis parvenu, je voulais gagner un tournoi, puis un grand tournoi, et participer à la Ryder Cup, ce que j'ai réussi à faire. » La Ryder Cup « Je ne veux plus jamais manquer une édition » « C'est l'année de la Ryder Cup (du 26 au 28 septembre à Bethpage) et tous les Européens que je connais veulent faire partie de cette équipe. J'ai vécu une expérience formidable il y a deux ans (à Rome) et après ça, je ne veux plus jamais manquer une édition. La chose la plus importante que j'ai retirée de cette semaine a été d'apprendre à connaître un peu plus mes coéquipiers. La plupart d'entre eux, les McIlroy, Rahm ou Rose, je ne les avais vus jouer qu'à la télé et je ne leur avais jamais parlé. C'était donc à la fois très cool, mais j'étais aussi très nerveux à l'idée d'être rookie. Heureusement que j'ai pu gagner en Suisse (Omega Masters, début septembre 2023) juste avant. Égoïstement, c'était vraiment bien d'avoir au moins une victoire professionnelle à mon actif et d'avoir été choisi en même temps. Mais comme tout débutant, je me demandais si j'allais être assez bon. Mardi dernier, nous avons eu un petit dîner décontracté en Écosse avec Luke Donald (le capitaine européen), et l'accueil du public américain (dans la banlieue de New York) a été un sujet de conversation. Qu'on le veuille ou non, ce sera un facteur, et ce sera différent de tout autre tournoi classique. Luke a beaucoup d'expérience dans ce domaine et il sera un excellent capitaine pour aider les membres de l'équipe à embrasser la situation au lieu d'essayer de la fuir. » Ses parties en Ecosse avec Martin Couvra « Il a certainement une belle carrière devant lui » « J'ai trouvé qu'il avait bien joué la semaine dernière quand nous avons partagé les deux premiers tours de l'Open d'Écosse. Je me souviens de lui quand il était encore amateur, nous avons souvent joué ensemble en Europe et en Afrique du Sud. Ses cheveux un peu longs sortaient de sa casquette (rires). Il a réussi de belles choses jusqu'à présent, évidemment en gagnant sur le Challenge Tour en tant qu'amateur, puis en obtenant sa carte pour le DP World Tour où il a gagné en Turquie (en mai). Il peut vraiment jouer du bon golf. J'ai pu voir la façon dont il contrôlait le vol de la balle dans le vent, dont il faisait rouler la balle sur les greens de manière très efficace. Il a certainement une belle carrière devant lui. Pour qu'il continue à bien jouer, il faut qu'il reste ce petit enfant, ce gars qui veut vraiment apprendre des autres et s'amuser sur un parcours, c'est très important. C'est sympa de voir de jeunes Européens monter en puissance comme lui. » Sa passion pour le foot « Steven Gerrard était le héros de mon enfance » « Je jouais moi-même au football quand j'étais gamin et Steven Gerrard était le grand héros de mon enfance. Je l'aimais en tant que joueur, mais aussi comme capitaine du Liverpool Football Club dont je suis toujours supporter. Ce qu'il s'est passé il y a deux semaines (les décès de Diogo Jota et de son frère, tués dans un accident de voiture) est absolument terrible. J'ai été vraiment bouleversé et triste quand j'ai appris la nouvelle, pour la famille et pour le club. Le Paris-Saint-Germain nous a éliminés en Ligue des champions, et même s'ils ont été battus en finale de la Coupe du monde des clubs, ça reste la meilleure équipe d'Europe. Après Liverpool... (Rires.) »


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2 days ago
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The Open 2025 : Escale à Portrush
Au programme cette semaine du podcast Swing, une émission spéciale consacrée au 153e British Open, qui aura lieu en Irlande du Nord. Émission spéciale British Open 2025. Le dernier Majeur de l'année se déroule cette semaine en Irlande du Nord du côté du Royal Portrush : parcours, favoris, les Français engagés, vous saurez tout sur cette 153e édition. Romain Langasque, qui participe à son 6e British Open, sera avec nous, sans oublier notre quiz spécial Portrush !