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La mort de Bun Hay Mean, dit le «Chinois marrant», est accidentelle
La mort de Bun Hay Mean, dit le «Chinois marrant», est accidentelle

Le Figaro

time5 days ago

  • Entertainment
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La mort de Bun Hay Mean, dit le «Chinois marrant», est accidentelle

L'enquête de la police n'a révélé aucun élément induisant le suicide de l'humoriste mort le 3 juillet. Selon les investigations menées il aurait chuté accidentellement du 8e étage en tentant de récupérer son téléphone tombé dans une gouttière. Sa valise était prête, aucune lettre de suicide retrouvée, aucun autre élément suspect non semaine après la disparition de Bun Hay Mean à 43 ans, dont le corps sans vie a été retrouvé sur le trottoir du boulevard des Batignolles à Paris (XVIIe), devant son domicile, après une chute de huit étages, les circonstances de sa mort commencent à se préciser. La thèse de l'accident reste privilégiée, révèle Le Parisien, jeudi 17 juillet. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Quelques heures après l'annonce de sa disparition, son producteur, Philippe Delmas, avait révélé à l'AFP, que le « Chinois marrant », surnom que l'humoriste s'était attribué, aurait chuté « en essayant de récupérer son téléphone tombé dans la gouttière de son balcon ». Une hypothèse qui semble se confirmer. L'artiste n'a laissé aucun indice dans son appartement suggérant une mort volontaire. Il n'y a pas de lettre de suicide, aucun mot. Il n'y a également aucune bouteille d'alcool qu'il aurait pu boire avant de tomber accidentellement de son balcon. Raison pour laquelle les enquêteurs ont décidé de ne pas pratiquer d'analyses toxicologiques. Publicité En parallèle, l'autopsie n'a révélé aucun élément suspect. Enfin, sa valise était également prête, rangée dans un coin de son appartement, attendant le Jour J pour partir au Canada. Effectivement, Bun Hay Mean était attendu le vendredi 11 juillet, au lendemain de sa mort, à l'Olympia de Montréal pour y présenter son nouveau spectacle Kill Bun. Balai et téléphone retrouvés sur son balcon Si aucun élément suspect n'a été retrouvé, un téléphone a bel et bien été retrouvé dans une gouttière, à proximité du balconnet où l'humoriste avait l'habitude de fumer des cigarettes, raconte Le Parisien. Au même endroit, un long manche à balai a aussi été retrouvé, suggérant que l'humoriste aurait donc essayé de récupérer son téléphone. Le parquet de Paris a désormais autorisé la remise du corps à la famille. Selon le producteur de Bun Hay Mean, des obsèques auront lieu dans la plus stricte intimité. Le « Chinois marrant », traversait depuis plusieurs années des moments difficiles. L'année dernière, il avait dû être interné en hôpital psychiatrique après des comportements erratiques, avant d'être diagnostiqué bipolaire. Il avait décidé de parler de ses problèmes de santé mentale dans son tout nouveau spectacle, Kill Bun dont le titre est inspiré du film de Quentin Tarantino. Dans ce show, il souriait de sa santé mentale puis de sa reconstruction, toujours avec une petite pointe d'humour grinçant. Révélé dans le Jamel Comedy Club en 2014, il avait ensuite enchaîné les salles parisiennes puis nationales, avant de se faire une place dans le monde du stand-up. Il s'était également essayé au cinéma en jouant dans le dernier Astérix et Obélix : L'Empire du Milieu, dans lequel il interprétait Deng Tsin Qin, prince félon de Chine. « J'ai beaucoup aimé notre rencontre et qui tu étais ! Repose en paix mon pote ! Quelle tristesse » a salué Guillaume Canet, le réalisateur.

Mort de l'humoriste Bun Hay Mean : la thèse de l'accident privilégiée
Mort de l'humoriste Bun Hay Mean : la thèse de l'accident privilégiée

Le Parisien

time6 days ago

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  • Le Parisien

Mort de l'humoriste Bun Hay Mean : la thèse de l'accident privilégiée

Une semaine après le choc de l'annonce de sa disparition à 43 ans, les circonstances autour de la mort de l'humoriste Bun Hay Mean semblent se dessiner. Selon nos informations, la thèse de l'accident est privilégiée. Jeudi 10 juillet, le corps sans vie de l'ancien pensionnaire de la troupe du Jamel Comedy Club avait été retrouvé sur le trottoir du boulevard des Batignolles à Paris (XVIIe). Un décès visiblement consécutif à une chute de huit étages . Le comédien, vu dans le dernier « Astérix » de Guillaume Canet sorti au cinéma en 2023, vivait depuis plusieurs mois dans cet appartement du 8e étage, trouvé par sa production. Dans l'appartement, aucune lettre annonçant un suicide, aucun indice laissant présager d'une mort volontaire. En revanche, un téléphone a été retrouvé dans une gouttière, à proximité du balconnet où l'humoriste avait l'habitude de fumer des cigarettes. Au même endroit, la présence d'un long manche à balai accrédite le scénario de la tentative de récupération du portable qui tourne au drame. Dans l'appartement, sa valise, prête, attendait son départ imminent pour Montréal. Jeudi 10 juillet au matin, un assistant de production devait l'emmener à l'aéroport pour une date à l'Olympia, une salle canadienne d'environ 2000 places où l'humoriste devait jouer « Kill Bun », son nouveau spectacle dans lequel Bun Hay Mean revenait notamment sur sa mauvaise passe de l'été 2024. Présent à cette époque sur l'île de La Réunion dans le cadre de sa précédente tournée, il avait dû être interné plusieurs semaines en hôpital psychiatrique à la suite de comportements erratiques. Un diagnostic de bipolarité avait alors été posé. L'humoriste était, depuis, sous médicament pour réguler son humeur. Après quelques mois de repos, il avait décidé de remonter sur scène, depuis le printemps dernier, jouant notamment jusqu'au 28 juin dernier à l'Apollo (Paris Xe). Selon nos informations, l'autopsie n'a révélé aucun élément suspect. Aucune bouteille d'alcool n'a été recensée dans le logement de l'humoriste. Vu ce contexte, les enquêteurs n'ont pas décidé de pratiquer d'analyses toxicologiques. Et le parquet a autorisé la remise du corps à la famille qui, selon le producteur de l'artiste, Philippe Delmas, a signifié son souhait d'organiser des obsèques dans la plus stricte intimité. La disparition de cette figure du stand-up français a provoqué une importante vague d'émotion. De très nombreux artistes ont exprimé leur peine de voir partir cet humoriste d'une si grande générosité, de Jamel Debbouze à Booder en passant par Guillaume Canet, Hakim Jemili, Oxmo Puccino , Blanche Gardin, Doully, Manu Payet, Éric Judor…

Le stand-up français prend des dimensions de ouf
Le stand-up français prend des dimensions de ouf

La Presse

time15-07-2025

  • Entertainment
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Le stand-up français prend des dimensions de ouf

Il y avait longtemps que le festival Juste pour rire, qui s'amorce à Montréal ce mercredi, n'avait pas accueilli un tel contingent européen, réjouissant reflet de l'effervescence française autour du stand-up à l'américaine. Parce que oui, les humoristes hexagonaux ont fini par troquer le quatrième mur pour un mur en brique. Le triste hasard aura voulu que ce soit au lendemain de la mort de l'humoriste français Bun Hay Mean que nous joignions au téléphone son camarade Jarry, d'une compréhensible fragilité au moment de parler de son ami. « Quand j'ai vu Bun pour la dernière fois, il y a dix jours, il me disait à quel point cette période lui manquait. » Quelle période ? Celle durant laquelle les deux potes ont fait leurs classes en tant que comiques, dans les soirées d'humour de la métropole française, qui commençaient à bourgeonner. « Il y avait quoi, trois endroits où on pouvait tester nos sketches à Paris ? On était payés au chapeau et quand on partait avec 15 euros chacun, on était tellement contents. » C'était au début de la décennie 2010, alors que frémissait avec de plus en plus d'ardeur un bouillonnement qui n'a pas cessé depuis autour des « standupeurs », comme on dit dans les coulisses du Zénith de Paris. « Ruée inédite sur les shows d'humour », titrait en janvier 2024 Le Parisien. « Aujourd'hui, le stand-up représente 80 à 90 % du marché de l'humour », note dans ce même article Pierre-Louis Malinet, responsable produits humour de France Billet, au sujet de cette génération pour qui David Chappelle est une référence beaucoup plus prégnante que celle de quiconque préférait obéir à un quatrième mur plutôt que d'échanger directement avec son public. Une génération à laquelle l'édition montréalaise de Juste pour rire fait la part belle. Entre Elena Nagapetyan, Caroline Vigneaux, Tom Baldetti, Waly Dia, David Voison et Thomas Angelvy, les Français n'y ont pas été aussi nombreux depuis la fin du règne de Gilbert Rozon. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE Josée Charland, cheffe de programmation de Juste pour rire « Ce qu'il y a derrière ce phénomène, c'est l'influence des plateformes comme Netflix, Prime et compagnie, avec lesquelles le stand-up américain est soudainement accessible à tous », observe Josée Charland, cheffe de programmation de Juste pour rire. C'est un style qu'on a adopté peut-être un peu plus rapidement ici au Québec que chez les Français, qui avaient une tradition plus forte de la théâtralité, même en humour. Josée Charland, cheffe de programmation de Juste pour rire Comme un refuge Laurie Peret, qui vient présenter à Montréal les 17 et 18 juillet son deuxième spectacle, À bientôt quelque part, évoque quant à elle l'influence d'autres plateformes, celles des réseaux sociaux. TikTok, Instagram et Facebook contribuent en bonne partie à ce que des humoristes européens puissent remplir l'Olympia de Montréal une fois (comme Paul Mirabel en juin dernier, en vue de son retour au Centre Vidéotron et à la Place Bell en avril 2026), deux fois (comme Laura Laune en novembre dernier) ou même trois fois (comme Nawell Madani, en septembre prochain). « Comme ce sont des artistes internationaux, il y a un côté un peu plus exclusif qu'avec des artistes locaux », fait valoir pour sa part Adrien Orlowski, fondateur de Singular Agency, la boîte qui, depuis trois ans, invite au Québec plusieurs de ces humoristes francophones d'Europe ou du Maghreb. « Ça génère tout de suite un engouement, parce que ça devient plus événementiel. Et puis il y a à Montréal un bassin d'immigrants qui constitue une bonne base. » C'est un numéro viral sur son accouchement qui aura mis la table pour Laurie Peret à son premier seule-en-scène, étrenné dans de petits lieux comme La Nouvelle Seine, un cabaret situé dans une péniche. Elle nourrissait pourtant des ambitions de chanteuse, avant de participer en 2015 à un concours d'humour, auquel une amie lui avait suggéré de s'inscrire. « L'humour avait toujours été pour moi une soupape, par rapport à mon apparence qui m'a longtemps complexée, sans jamais pourtant que je pense à en faire une carrière, confie-t-elle. Ce que j'ai trouvé dans les comedy clubs, c'est un refuge, un endroit où enfin être moi-même. » Une rare proximité Comment expliquer une telle effervescence ? Nordine Ganso, 28 ans, qui donnera mercredi et dimanche à l'Olympia son spectacle Violet, vante l'accessibilité d'une forme d'art où la proximité avec le performeur prime. « Le stand-up à Paris, ça a pris une dimension de ouf », dit-il en rappelant l'influence d'une émission comme le Jamel Comedy Club, diffusée de 2006 à 2016. Jamel Debouzze et sa troupe seront d'ailleurs aussi de cette édition de Juste pour rire, les 16 et 17 juillet, à l'Olympia. Le stand-up a un tel succès parce que les gens aiment bien les choses simples, sincères. Le stand-up, c'est l'honnêteté pure. L'humoriste Nordine Ganso Jarry pousse l'analyse sociopolitique un peu plus loin. « Je pense qu'en France, on est dans un climat plutôt anxiogène », suggère celui qui participera samedi au Gala de la francophonie animé par Mehdi Bousaidan. « Les gens, présentement, ont besoin d'énergie et de courage. Ils ont besoin de sentir pendant quelques instants que rien n'est grave, dit-il. Et je pense que l'humour peut leur donner la force d'être qui ils sont, de croire en leurs rêves. L'humour, c'est un outil de paix, d'amour et de vivre ensemble. » Qualité comparable L'humoriste québécois Colin Boudrias, qui a effectué trois séjours en Europe à partir de 2023, a pu constater de visu que le buzz (!) autour du stand-up est bien réel. « J'avais entendu dire que le niveau n'était vraiment pas comparable avec le Québec, mais ce sont de vieux préjugés, souligne-t-il. Le niveau est similaire à chez nous. Je pense que les humoristes ont compris que dans un contexte où il y a beaucoup d'offre, l'important, c'est de sortir du lot, de trouver son originalité. » PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, ARCHIVES COLLABORATION SPÉCIALE L'humoriste québécois Colin Boudrias « La seule différence que je perçois encore quand je vais dans les comedy clubs à Paris, c'est au plan de l'écriture », ajoute Josée Charland, en précisant ne pas vouloir généraliser indûment. « Le rythme, ça, ils l'ont, ça va, mais les jeunes humoristes émergents mettent un peu plus de temps à arriver à maturité côté écriture, parce qu'il n'y a pas à Paris d'équivalent à l'École nationale de l'humour. » Dans un contexte de surexposition de bien des humoristes québécois, Josée Charland estime, à l'instar d'Adrien Orlowski, que l'effet de rareté n'est pas sans lien avec le succès de leurs homologues français en visite à Montréal ou à Québec. La forte présence européenne dans la programmation de Juste pour rire à Montréal permet aussi à l'entreprise de bien camper l'identité distincte de ses deux festivals. L'édition de Québec de Juste pour rire, anciennement le ComediHa! Fest Québec, continuera de miser sur ses valeurs sûres comme les galas et ses grands bien-cuits, mettant en vedette des artistes d'ici. « On ne s'en est pas caché, conclut Josée Charland. On veut que Montréal redevienne la plaque tournante mondiale de l'humour et cette internationalisation-là est impossible sans l'apport de la francophonie. » Juste pour rire Montréal se tient du 16 au 27 juillet. Consultez le site du festival

Mort de Bun Hay Mean : « Je me rappellerai toute ma vie de sa première vanne », réagit Booder
Mort de Bun Hay Mean : « Je me rappellerai toute ma vie de sa première vanne », réagit Booder

Le Parisien

time13-07-2025

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  • Le Parisien

Mort de Bun Hay Mean : « Je me rappellerai toute ma vie de sa première vanne », réagit Booder

Depuis jeudi, et l'annonce de la mort de son ami Bun Hay Mean , il ne « réalise pas ». Booder a été le premier humoriste de renom à proposer des premières parties à l'humoriste disparu cette semaine à l'âge de 43 ans après une chute mortelle de huit étages . Parti se réfugier quelques jours au calme dans le centre de la France, le comédien se confie pour la première fois sur le lien qui l'unissait à celui que l'on surnommait « Chinois marrant » et à qui il a offert ses premières scènes dès 2005-2006 quand Bun Hay Mean avait 24-25 ans.

Mort de Bun Hay Mean : « Je perds un vrai frère », réagit Jamel Debbouze
Mort de Bun Hay Mean : « Je perds un vrai frère », réagit Jamel Debbouze

Le Parisien

time12-07-2025

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Mort de Bun Hay Mean : « Je perds un vrai frère », réagit Jamel Debbouze

Il est celui qui lui avait ouvert en grand les portes de la notoriété. Dans la nuit de vendredi à samedi, Jamel Debbouze a réagi à la mort, jeudi, de l'humoriste Bun Hay Mean, à l'âge de 43 ans. Un improvisateur hors pair qui avait été révélé en intégrant la saison 7 du Jamel Comedy Club en 2014. « Je repense à nos fous rires, à nos discussions qui partaient dans tous les sens, à ta façon de voir le monde. Ta douceur, ton humour, ta lucidité, ta colère juste… » énumère sur ses réseaux sociaux Jamel. Qui se souvient de la soirée très spéciale du Marrakech du rire 2019 . Ce soir-là, après un sketch particulièrement enlevé sur les clichés qui collent aux Chinois , l'humoriste français d'origine sino-cambodgienne avait provoqué une standing ovation avant que Jamel ne le rejoigne sur scène. Le maître de cérémonie avait alors rappelé le parcours chaotique de son « poulain ». « Ce jeune, il n'y a pas si longtemps, dormait encore dans la rue et aujourd'hui il a mis debout le palais Badi », avait rappelé Jamel Debbouze sous les applaudissements de la foule. Bun Hay Mean, en pleurs, avait quitté la scène sur une ultime pirouette humoristique : « C'est pas des larmes, je suis allergique aux Arabes. » « Ému, les yeux plein de larmes, tu as réussi à finir ton passage avec une fulgurance dont je me souviendrai toute ma vie… Tu nous as tous fait vibrer ce soir-là, écrit ce vendredi Jamel Debbouze sur Instagram. T'étais brillant, libre, entier… Et derrière tout ça, une vraie pudeur, une sensibilité immense, un cœur énorme. Tu me manques déjà. Comme beaucoup, je perds un vrai frère. » Kyan Khojandi a également pris la parole ce vendredi sur Instagram, postant de vieilles photos où Bun Hay Mean et Khojandi, jeunots, côtoient leur collègue Kheiron. « Quelle tristesse, a réagi le cocréateur de la série Bref . On a tellement joué partout ensemble, sur des palettes en plein air jusqu'aux plus grandes scènes. Je me rappelle de ce producteur qui était venu nous voir et nous avais dit : En fait, votre spectacle, c'est trois connards qui disent de la merde pendant une heure , et on a répondu : Exactement ! en rigolant. » « Tu m'as vite tendu la main dans ce métier. Je me souviendrai de ces moments où tu lévitais sur scène tellement tu faisais rire les gens, et ta gentillesse sans limite à te ruiner toi-même », a poursuivi Kyan Khojandi. La générosité de Bun Hay Mean a été rappelé par beaucoup d'artistes. Comme le Suisse Alexandre Kominek , qui avait été hébergé par son aîné. « Tu m'as accueilli sur ta scène à mes débuts alors que tu ne me connaissais pas… J'ai tant appris à tes côtés, tu as ouvert mes yeux de hiboux sur ce métier. Lorsque tu es parti en tournée, tu m'as pris dans tes valises. Tu m'as accueilli chez toi quand j'étais dans la plus grande galère (…). Repose en paix, tu es enfin sur ton nuage magique. » Dans un message adressé aux « amis et fans de Bun Hay », son producteur Philippe Delmas a tenu à « remercier sincèrement (le public) pour l'immense vague de messages de soutien, de sympathie et de tendresse que vous nous avez adressés ». « Face aux nombreuses demandes concernant les funérailles, la famille nous a fait savoir que celles-ci se dérouleront dans un cadre strictement familial, conformément aux volontés de chacun », a poursuivi la production de l'artiste.

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