Dernières actualités avec #Béziers


Le Figaro
4 hours ago
- Politics
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Municipales 2026 : LR envisage de soutenir Robert Ménard à Béziers
Réservé aux abonnés INFO LE FIGARO - Sans étiquette aujourd'hui après avoir été élu avec le soutien du RN en 2014, l'édile de l'Hérault sera l'invité surprise des universités d'été des Républicains début septembre. La «vague bleue» pourrait passer par Béziers. Alors que Les Républicains (LR) considèrent qu'ils abordent les municipales de mars 2026 «en position de force», la droite s'est fixé l'objectif de rester «le premier parti en nombre d'élus locaux». Cela passe d'abord et avant tout, selon Bruno Retailleau, par le fait d'empêcher l'arrivée ou le maintien de «la gauche mélenchonisée». Cela passe aussi par le fait de soutenir, en contrepartie, ceux qui seraient en mesure de tenir le fameux «cordon sanitaire» anti-La France Insoumise, théorisé par LR. À neuf mois du scrutin prévu en mars prochain, une commission nationale d'investiture (CNI) doit se tenir le lundi 28 juillet prochain pour lancer officiellement la campagne municipale des Républicains, en désignant de premiers candidats. L'«option» Ménard Selon nos informations, une ville ne devrait toutefois pas figurer dans cette première liste, mais pourrait faire grand bruit dans les prochaines semaines : il s'agit de Béziers (Hérault), où la droite ne s'interdit…


Le Parisien
a day ago
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- Le Parisien
« Samedi soir, il aurait pu y avoir des morts » : récit d'une nuit de chaos à Béziers
Elle a tout perdu. De son appartement de la rue Jean-Franco à Béziers (Hérault) il ne reste que des cendres. La cause ? Un mortier d'artifice tiré « par maladresse » depuis la rue qui a atterri sur son canapé et embrasé l'entièreté de son appartement situé au 4e étage dans cet immeuble de logements sociaux. La « maladresse » s'inscrivait dans un contexte d'émeute dans le quartier de la Devèze où peu avant minuit samedi, une cinquantaine de jeunes ont tendu un guet-apens aux forces de l'ordre avec des poubelles et une voiture incendiées. Arrivés sur place, les policiers ont été accueillis par un tir nourri de mortiers d'artifice entraînant la blessure d'un agent lors de cette intervention délicate. La quinquagénaire occupante de l'appartement embrasé a été sauvée de justesse par l'intervention des sapeurs-pompiers. Mais, ses meubles et surtout son chat adoré ont disparu dans les flammes. « Elle est aujourd'hui en état de choc. Elle était déjà sous curatelle avant l'incendie de samedi, psychologiquement très fragilisée depuis le décès de son mari survenu en août 2021 », explique-t-on alors qu'une solution de relogement était à l'étude ce lundi après-midi au centre communal d'action sociale.


Le Parisien
2 days ago
- Politics
- Le Parisien
Nuit de violences à Béziers : les CRS resteront « autant qu'il le faudra »
Ils resteront aussi longtemps que nécessaire. Selon le préfet de l'Hérault, l'unité de CRS qui a été déployée à Béziers après le guet-apens tendu aux pompiers et aux forces de l'ordre samedi soir, restera dans la ville « autant qu'il le faudra ». François-Xavier Lauch a martelé sur BFMTV lundi soir que l'État « est là pour protéger les habitants ». Sur son compte X, il avait annoncé peu avant le déploiement d'une unité « nouvelle génération », spécialisée dans la lutte contre les violences urbaines et le trafic de stupéfiants. Ce week-end, des pompiers ont été appelés dans un quartier de cette ville moyenne de l'Hérault pour un feu de poubelle. Mais à leur arrivée, près d'une cinquantaine de personnes les attendaient, certains placés sur les toits des immeubles. Les soldats du feu ont alors contacté la police, entraînant l'arrivée de plusieurs membres de la brigade anticriminalité qui se sont retrouvés « piégés par des individus », selon la police. Ce qu'elle qualifie d'« émeute » a finalement pris fin à la suite de l'embrasement d'un appartement, touché par un tir de mortier d'artifice pendant ces violences. Pour François-Xavier Lauch, le guet-apens est lié « à notre action dans la lutte contre les stupéfiants ». Dans ce quartier de Béziers, six interpellations ont eu lieu depuis début juillet et un « appartement nourrice » (dans lequel est cachée la drogue) a été débusqué, a-t-il rapporté. « Ça ne fait pas plaisir aux délinquants du quartier », a jugé le préfet de l'Hérault. « À partir du moment où on attaque un marché (…), c'est un manque à gagner. Ils ne sont pas contents et ils l'expriment de manière illégale puisque leur marché est lui-même illégal », a confirmé de son côté le procureur de Béziers, Raphaël Balland, sur France info. Selon lui, la France était confrontée à « un phénomène qui se développe, en lien le plus souvent avec le trafic de stupéfiant ». Une « petite minorité » est prête « à tout pour faire de l'argent : attaquer les policiers, les concitoyens, et être terriblement durs entre eux », a-t-il décrit.


Le Parisien
2 days ago
- Science
- Le Parisien
Un bébé de 4 mois testé positif à la cocaïne à Béziers, ses parents mis en examen
Une affaire sordide. Un bébé de quatre mois a été testé positif à la cocaïne à l'hôpital de Béziers (Hérault) vendredi, a appris Le Parisien de source judiciaire, confirmant une information de BFMTV . Les deux parents ont été mis en examen. Le couple s'était rendu à l'hôpital pour faire examiner le garçonnet, qui présentait plusieurs hématomes sur son corps. Mais des analyses effectuées sur le bébé ont révélé qu'il était positif à la cocaïne. Les parents du nourrisson ont alors été placés en garde à vue. Ils nient être à l'origine des blessures de leur enfant et de la présence de drogue dure dans son corps. Ils ont été déférés devant un juge d'instruction samedi, avant d'être mis en examen. En outre, le père a été mis en examen pour des violences et des menaces de mort au préjudice de sa compagne. Il a été placé en détention provisoire. La mère du bébé, elle, est placée sous contrôle judicaire.


Le Parisien
3 days ago
- Politics
- Le Parisien
Violences nocturnes à Béziers, un appartement incendié par un tir de mortier
Un appartement a été incendié en présence de son occupante dans la nuit de samedi à dimanche dans un quartier sensible de Béziers ( Hérault ), lors de violences provoquées par une cinquantaine de personnes. « Entre 30 et 50 individus, dont certains encagoulés », s'en sont pris aux forces de l'ordre dans la nuit de samedi 19 à dimanche 20 juillet, après avoir déclenché un feu de poubelle dans le quartier de La Devèze, à Béziers, décrit au Midi Libre Fabrice Cantele, directeur de la police municipale. À leur arrivée, un groupe, muni de mortiers d'artifice, a tiré sur les agents, brûlant l'un d'eux au mollet. Un tir de mortier a également embrasé un appartement, involontairement selon les premières constatations. Il a « nécessité le sauvetage au moyen de l'échelle d'une personne bloquée au 4e et d'autres personnes réfugiées sur le toit. Les secours ont dû intervenir dans une situation tendue, sous protection des forces de sécurité intérieure », ont précisé les sapeurs-pompiers de l'Hérault. Le sinistre a totalement détruit l'appartement de 130 m2, qui appartenait à une personne âgée, sans faire d'autre victime que le chat de l'occupante. Selon le commissaire Éric Agniel, de la direction interdépartementale de la police nationale, ces violences sont le résultat d'« un guet-apens » organisé par les narcotrafiquants en réaction à « plusieurs interpellations et saisies de drogues depuis quelques jours dans ce quartier de la Devèze ». « Ils ont contacté eux-mêmes les pompiers pour un feu de poubelle (et) ils étaient près d'une cinquantaine, dont certains sur les toits des immeubles », à leur arrivée. À l'appel des pompiers, plusieurs membres de la brigade anticriminalité se sont alors rendus sur place « avant de se faire piéger par des individus », a expliqué le commissaire Agniel, selon qui « l'émeute a finalement été stoppée suite à l'embrasement de l'appartement ». Onze personnes ont été évacuées de l'immeuble, une famille de six personnes, selon Ici Hérault qui a été le premier média à évoquer les violences, a été relogée dans un hôtel. « Encore une fois, des personnes qui ne sont en rien responsables de tels événements sont mises en danger par les actes de quelques-uns. C'est dramatique (…) Il y a un blessé parmi nos rangs et je le déplore », a réagi auprès de Midi libre Bruno Bartocetti, responsable de la zone sud du syndicat FO unité SGP police. Aucune interpellation n'a eu lieu.