Dernières actualités avec #DariusRochebin


Le Figaro
21-07-2025
- Entertainment
- Le Figaro
Après son congé maternité, Émilie Broussouloux ne reviendra pas sur LCI
VIDÉO - La journaliste de 34 ans, qui vient de donner naissance à son troisième enfant, débarque sur BFMTV à la rentrée. Elle présentait la tranche du 22 heures - minuit avec Darius Rochebin. Sa dernière sur LCI le 9 avril dernier était finalement un adieu. Émilie Broussouloux va quitter LCI pour rejoindre BFMTV dès la rentrée pour présenter la tranche du 22 heures - minuit, du vendredi au dimanche. Un basculement qui aura lieu dès le lundi 25 août, au retour de congé maternité de la journaliste de 34 ans qui vient de donner naissance à son troisième enfant, une petite fille nommée Nicole. Une surprise. Sur le plateau du «Buzz TV» en avril dernier, la présentatrice annonçait revenir sur la chaîne info du groupe TF1 dès la rentrée pour présenter «Le Grand dossier» et «22h Rochebin-Broussouloux» en duo avec Darius Rochebin : «Je serai de retour le 20 août pour les premières répétitions», prévenait-elle. Son ancien patron de LCI, Fabien Namias, qui dirige désormais BFMTV, l'a semble-t-il convaincue de le rejoindre. Publicité Émilie Broussouloux a débuté sa carrière dans le sport, à travers des piges pour la chaîne Infosport. Elle a ensuite réalisé des reportages pour «Stade 2» avant de devenir chroniqueuse dans la matinale de France 2, «Télématin». En août 2016, elle présente les Jeux olympiques de Rio sur France 4 avant de se faire embaucher par RMC Sport où elle présente la Premier League. Après un passage sur France 3, elle est recrutée par LCI en juin 2022. Depuis septembre 2023, la femme de Thomas Hollande co-animait la tranche 22 heures-minuit, d'abord avec Éric Brunet puis avec Darius Rochebin. Mais également «Le Grand Dossier», de 16h50 à 18 heures. La belle-fille de François Hollande et Ségolène Royal s'apprête ainsi à rejoindre la deuxième chaîne info de France qui connaît une vague de départs sans précédent depuis le rachat du groupe par le milliardaire Rodolphe Saadé. Une cinquantaine de journalistes, à l'instar d'Adeline François, Ashley Chevalier, Nicolas Doze ou Cédric Faiche, ont décidé de prendre leur clause de cession. La grille de rentrée risque d'être entièrement renouvelée. On sait déjà que Dominique Tenza, venu de M6, va reprendre la matinale. Marc Fauvelle, l'ancien matinalier de franceinfo, rejoint également les rangs de la chaîne, pour remplacer Benjamin Duhamel, parti à France Inter à la case du 19-20 heures. Après seulement une saison à la tête de «Télématin», Julien Arnaud débarque également pour tenir la case du 10 heures - midi.

Le Parisien
10-07-2025
- Business
- Le Parisien
Impôts, Iran, budget, Bétharram… Ce qu'il faut retenir de l'interview de François Bayrou sur LCI
Un face-à-face d'1h30 et une multitude de sujets. Ce jeudi soir sur LCI, François Bayrou était l'invité de Darius Rochebin. Cinq jours avant la présentation du plan de redressement des finances publiques et des grandes orientations du budget 2026 , il a bien sûr évoqué le sujet, sans dévoiler ses mesures pour autant. Le locataire de Matignon a ainsi pu s'exprimer sur une large palette de sujets politiques, économiques ou encore diplomatiques. Le Premier ministre a tout d'abord été interrogé sur le sort de Lennart Monterlos , jeune Français dont l'arrestation en Iran a été confirmée par le chef de la diplomatie iranienne ce jeudi dans Le Monde. « Les autorités françaises sont en liaison avec les autorités iraniennes » ainsi « qu'avec sa famille », a assuré François Bayrou, précisant ne pas vouloir en dire plus « pour ne pas mettre en péril l'issue de cette affaire. « Le devoir des pays est de ne pas persécuter des innocents qui sont parfois inconscients des risques qu'ils encourent », a encore dit le locataire de Matignon, réitérant la consigne du Quai d'Orsay de ne pas se rendre en Iran, pays accusé par la diplomatie française de mener « une politique délibérée », « assumée de prise d'otages des Occidentaux ». Interrogé par Darius Rochebin, François Bayrou évoque ensuite les finances publiques du pays, alors que le gouvernement doit trouver 40 milliards d'euros de coupes budgétaires afin de réduire le déficit . « On va fixer un cap », promet le Premier ministre, assurant que le gouvernement entend tenir l'objectif d'un déficit à 4,6 % du PIB en 2026. « Depuis 50 ans, la France dépense plus que ses ressources. On est obligés d'emprunter l'argent qu'on n'a pas, ce qui créé des difficultés énormes », reconnaît Bayrou, pour qui « nous sommes dans cette situation parce qu'on ne produit pas assez ». « Il faudra faire des efforts », explique-t-il, disant souhaiter que la dette cesse d'augmenter d'ici 2029 . En ce sens, François Bayrou doit dévoiler mardi prochain, à 16 heures, les grandes lignes de son plan de redressement des finances publiques. En attendant, il répète plusieurs fois se refuser à tout commentaire sur le sujet. D'ici mardi, les réunions politiques doivent s'enchaîner à Matignon, à Bercy ou encore à l'Élysée pour affiner les orientations choisies. Selon une source du ministère de l'Économie au Parisien, Emmanuel Macron partagera sa vision « pour certains arbitrages » . De la question du budget pourrait dépendre la survie du gouvernement de François Bayrou, aujourd'hui déjà plus que fragilisé . Interrogé sur d'éventuelles augmentations d'impôts , François Bayrou a semblé botter en touche. « Non, pas principalement », s'est-il contenté de répondre, reconnaissant qu'il peut « y avoir, ici ou là, des efforts particuliers », mais pas d'augmentation d'impôt généralisée. Le locataire de Matignon préfère avancer la piste d'une réduction des dépenses publiques , alors que selon lui, « certaines dépenses sociales doivent être contrôlées ». Le Premier ministre a de nouveau défendu sa volonté de changer le mode de scrutin des législatives. « Je suis acquis à l'idée de la proportionnelle depuis longtemps », a-t-il déclaré. Et d'ajouter : « Je continuerai à défendre cette idée », avançant l'idée d'organiser un référendum sur cette question. Est-ce une réaction à l'état de l'Assemblée nationale ? Il semble que oui, selon ses dires : « Le moins qu'on puisse en dire c'est que c'est inquiétant, attristant, navrant parfois (…) la capacité à débattre, parfois on y arrive mais pour l'essentiel, c'est un champ de bataille », a-t-il asséné. Sur un tout autre sujet, le financement des partis politiques, le Premier ministre s'est aussi dit « déterminé » à « proposer la banque de la démocratie » avant l'automne. Estimant « choquant » que les financements politiques soient « décidés par des banques privées », il assure que cette nouvelle banque, adossée à la caisse des dépôts, permettrait à tous de financer une campagne à condition de garantie financière, sans que la banque « se pose la question de savoir si vous lui plaisez ou pas ». Darius Rochebin a ensuite questionné son invité sur le Rassemblement national, parti d'extrême droite qui connaît une forte progression électorale ces dernières années. François Bayrou a indiqué « combattre leurs idées » mais ne pas « écarter » les députés de ce parti, qui « fait partie de la démocratie ». « Je ne refuse pas de leur serrer la main car ce sont des représentants du peuple, je les combats, je suis en désaccord mais je ne les regarde pas comme des pestiférés », a-t-il développé. Sur les perquisitions de ce mercredi au siège du RN pour des soupçons d'irrégularités financières , Bayrou indique comprendre Jordan Bardella - qui a dénoncé une « incrimination floue » - mais ne pas l'approuver. « On a le sentiment d'être persécuté, j'ai vécu cela », a-t-il expliqué. Le Premier ministre affirme être le « garant » de « l'unité du gouvernement », questionné sur les désaccords affichés par plusieurs ministres ces dernières semaines, comme sur le dossier algérien ou les énergies renouvelables . « Il peut y avoir des opinions différentes mais il n'y a qu'une ligne de gouvernement », assure François Bayrou. François Bayrou avait été entendu pendant plus de cinq heures le 14 mai par la commission, rejetant avec virulence les accusations de mensonge ou d'intervention dans les années 1990 auprès de la justice dans cette affaire. Il avait par la suite publié sur un site Internet dédié l'ensemble des pièces produites lors de son audition. « Les victimes de Bétharram, je suis avec elles. J'ai fait la preuve que chacune des accusations était infondée. C'était une ignominie », a-t-il assuré sur LCI. Début juillet, la commission parlementaire avait estimé que le Premier ministre n'a pas suffisamment agi contre les violences survenues au sein de l'établissement catholique.


Le Figaro
09-07-2025
- Business
- Le Figaro
À quelques jours de la présentation des orientations budgétaires, François Bayrou sera l'invité de LCI ce jeudi soir
Alors que le premier ministre s'est engagé à ne dévoiler «aucune des mesures» de son plan de redressement des finances publiques avant mardi prochain, il répondra cinq jours plus tôt aux questions de Darius Rochebin. Faut-il s'attendre à un avant-goût de ce que François Bayrou dévoilera la semaine prochaine aux Français ? À quelques jours de sa présentation, prévue 15 juillet prochain, du plan de redressement des finances publiques et des grandes orientations pour le budget 2026, le premier ministre sera l'invité de LCI , ce jeudi soir. Il répondra aux questions de Darius Rochelin dès 20h45. Une intervention médiatique qui a de quoi interroger, alors même que le Béarnais s'est engagé à ne «déflorer aucune des mesures» avant mardi. Mi-juin, François Bayrou avait esquissé la philosophie guidant ses arbitrages : pour économiser 40 milliards d'euros et tenter de combler le lourd déficit du pays, le gouvernement entend «demander» un «effort» à «tous les Français». Un effort présenté comme «global» et hiérarchisé. Autre indice donné : un plan d'action sur «quatre ans», avec pour objectif de «revenir (...) à un certain équilibre des finances publiques» afin qu'on «touche le point où la dette n'augmente plus». D'ici 2029, il s'agira moins de «revenir» à «l'équilibre des finances publiques» que d'atteindre un «certain équilibre des finances publiques». Dans cette logique, le premier ministre pourrait également lancer un appel pour trouver de nouvelles pistes d'économies. À lire aussi Sondage : François Bayrou baisse à nouveau et le président stagne Publicité Outre le budget, François Bayrou devrait également être interrogé sur l'ensemble des sujets qui ont marqué, et marqueront, l'actualité des mois à venir. Entre les tensions persistantes avec l'Algérie, le vote très décrié de la loi Duplomb, le risque de censure croissant à la rentrée, et la présidentielle de 2027 qui réveille les appétits au sein du bloc central, le premier ministre sait qu'il est attendu au tournant.


Le Figaro
05-07-2025
- Entertainment
- Le Figaro
Après son congé maternité, Émilie Broussouloux ne reviendrait pas sur LCI
La journaliste de 34 ans, qui vient de donner naissance à son troisième enfant, débarquerait sur BFMTV à la rentrée. Sa dernière sur LCI le 9 avril dernier était finalement un adieu. Selon les informations du Parisien, Émilie Broussouloux va quitter LCI pour rejoindre BFMTV dès la rentrée. Un basculement qui aura lieu à la rentrée, au retour de congé maternité de la journaliste de 34 ans qui vient de donner naissance à son troisième enfant, une petite fille nommée Nicole. Une surprise. Sur le plateau du «Buzz TV» en avril dernier, la présentatrice annonçait revenir sur la chaîne info du groupe TF1 dès la rentrée pour présenter «Le Grand dossier» et «22h Rochebin-Broussouloux» en duo avec Darius Rochebin : «Je serai de retour le 20 août pour les premières répétitions», prévenait-elle. Son ancien patron de LCI, Fabien Namias, qui dirige désormais BFMTV, l'a semble-t-il convaincue de le rejoindre. Publicité Émilie Broussouloux a débuté sa carrière dans le sport, à travers des piges pour la chaîne Infosport. Elle a ensuite réalisé des reportages pour «Stade 2» avant de devenir chroniqueuse dans la matinale de France 2, «Télématin». En août 2016, elle présente les Jeux olympiques de Rio sur France 4 avant de se faire embaucher par RMC Sport où elle présente la Premier League. Après un passage sur France 3, elle est recrutée par LCI en juin 2022. Depuis septembre 2023, la femme de Thomas Hollande co-animait la tranche 22 heures-minuit, d'abord avec Éric Brunet puis avec Darius Rochebin. Mais également «Le Grand Dossier», de 16h50 à 18 heures. La belle-fille de François Hollande et Ségolène Royal s'apprêterait ainsi à rejoindre la deuxième chaîne info de France qui connaît une vague de départs sans précédent depuis le rachat du groupe par le milliardaire Rodolphe Saadé. Une cinquantaine de journalistes, à l'instar d'Adeline François, Ashley Chevalier, Nicolas Doze ou Cédric Faiche, ont décidé de prendre leur clause de cession. La grille de rentrée risque d'être entièrement renouvelée. On sait déjà que Dominique Tenza, venu de M6, va reprendre la matinale. Marc Fauvelle, l'ancien matinalier de franceinfo, rejoint également les rangs de la chaîne, à une case encore inconnue.