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Impôts, Iran, budget, Bétharram… Ce qu'il faut retenir de l'interview de François Bayrou sur LCI

Impôts, Iran, budget, Bétharram… Ce qu'il faut retenir de l'interview de François Bayrou sur LCI

Le Parisien10-07-2025
Un face-à-face d'1h30 et une multitude de sujets. Ce jeudi soir sur LCI,
François Bayrou
était l'invité de Darius Rochebin. Cinq jours avant
la présentation du plan
de redressement des finances publiques et des grandes orientations du
budget 2026
, il a bien sûr évoqué le sujet, sans dévoiler ses mesures pour autant.
Le locataire de Matignon a ainsi pu s'exprimer sur une large palette de sujets politiques, économiques ou encore diplomatiques.
Le Premier ministre a tout d'abord été interrogé sur le sort de
Lennart Monterlos
, jeune Français dont
l'arrestation en Iran a été confirmée
par le chef de la diplomatie iranienne ce jeudi dans Le Monde. « Les autorités françaises sont en liaison avec les autorités iraniennes » ainsi « qu'avec sa famille », a assuré François Bayrou, précisant ne pas vouloir en dire plus « pour ne pas mettre en péril l'issue de cette affaire.
« Le devoir des pays est de ne pas persécuter des innocents qui sont parfois inconscients des risques qu'ils encourent », a encore dit le locataire de Matignon, réitérant la consigne du Quai d'Orsay de ne pas se rendre en Iran, pays accusé par la diplomatie française de mener « une politique délibérée », « assumée
de prise d'otages des Occidentaux
».
Interrogé par Darius Rochebin, François Bayrou évoque ensuite les finances publiques du pays, alors que le gouvernement
doit trouver 40 milliards d'euros
de coupes budgétaires afin de
réduire le déficit
. « On va fixer un cap », promet le Premier ministre, assurant que le gouvernement entend tenir l'objectif d'un déficit à 4,6 % du PIB en 2026.
« Depuis 50 ans, la France dépense plus que ses ressources. On est obligés d'emprunter l'argent qu'on n'a pas, ce qui créé des difficultés énormes », reconnaît Bayrou, pour qui « nous sommes dans cette situation parce qu'on ne produit pas assez ». « Il faudra faire des efforts », explique-t-il, disant souhaiter que
la dette cesse d'augmenter d'ici 2029
.
En ce sens, François Bayrou doit dévoiler mardi prochain, à 16 heures, les grandes lignes de son plan de redressement des finances publiques. En attendant, il répète plusieurs fois se refuser à tout commentaire sur le sujet.
D'ici mardi, les réunions politiques doivent s'enchaîner à Matignon, à Bercy ou encore à l'Élysée pour affiner les orientations choisies. Selon une source du ministère de l'Économie au Parisien,
Emmanuel Macron partagera sa vision « pour certains arbitrages »
. De la question du budget pourrait dépendre la survie du gouvernement de François Bayrou,
aujourd'hui déjà plus que fragilisé
.
Interrogé sur d'éventuelles
augmentations d'impôts
, François Bayrou a semblé botter en touche. « Non, pas principalement », s'est-il contenté de répondre, reconnaissant qu'il peut « y avoir, ici ou là, des efforts particuliers », mais pas d'augmentation d'impôt généralisée.
Le locataire de Matignon préfère avancer la piste d'une
réduction des dépenses publiques
, alors que selon lui, « certaines dépenses sociales doivent être contrôlées ».
Le Premier ministre a de nouveau défendu sa volonté de changer le mode de scrutin des législatives. « Je suis acquis à
l'idée de la proportionnelle
depuis longtemps », a-t-il déclaré. Et d'ajouter : « Je continuerai à défendre cette idée », avançant l'idée d'organiser un référendum sur cette question.
Est-ce une réaction à l'état de l'Assemblée nationale ? Il semble que oui, selon ses dires : « Le moins qu'on puisse en dire c'est que c'est inquiétant, attristant, navrant parfois (…) la capacité à débattre, parfois on y arrive mais pour l'essentiel, c'est un champ de bataille », a-t-il asséné.
Sur un tout autre sujet, le financement des partis politiques, le Premier ministre s'est aussi dit « déterminé » à « proposer la banque de la démocratie » avant l'automne.
Estimant « choquant » que les financements politiques soient « décidés par des banques privées », il assure que cette nouvelle banque, adossée à la caisse des dépôts, permettrait à tous de financer une campagne à condition de garantie financière, sans que la banque « se pose la question de savoir si vous lui plaisez ou pas ».
Darius Rochebin a ensuite questionné son invité sur le Rassemblement national, parti d'extrême droite qui connaît une forte progression électorale ces dernières années. François Bayrou a indiqué « combattre leurs idées » mais ne pas « écarter » les députés de ce parti, qui « fait partie de la démocratie ».
« Je ne refuse pas de leur serrer la main car ce sont des représentants du peuple, je les combats, je suis en désaccord mais je ne les regarde pas comme des pestiférés », a-t-il développé.
Sur les perquisitions de ce mercredi au siège du RN
pour des soupçons d'irrégularités financières
, Bayrou indique comprendre Jordan Bardella - qui a dénoncé une « incrimination floue » - mais ne pas l'approuver. « On a le sentiment d'être persécuté, j'ai vécu cela », a-t-il expliqué.
Le Premier ministre affirme être le « garant » de « l'unité du gouvernement », questionné sur les désaccords affichés par plusieurs ministres ces dernières semaines, comme sur
le dossier algérien
ou
les énergies renouvelables
.
« Il peut y avoir des opinions différentes mais il n'y a qu'une ligne de gouvernement », assure François Bayrou.
François Bayrou avait été entendu pendant plus de cinq heures le 14 mai par la commission,
rejetant avec virulence les accusations de mensonge
ou d'intervention dans les années 1990 auprès de la justice dans cette affaire. Il avait par la suite publié
sur un site Internet dédié
l'ensemble des pièces produites lors de son audition.
« Les victimes de Bétharram, je suis avec elles. J'ai fait la preuve que chacune des accusations était infondée. C'était une ignominie », a-t-il assuré sur LCI. Début juillet, la commission parlementaire avait estimé que le Premier ministre
n'a pas suffisamment agi
contre les violences survenues au sein de l'établissement catholique.
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Le Figaro

time21 minutes ago

  • Le Figaro

Bourse de Paris : le CAC 40 recule après une salve de résultats, Société générale décolle

Le CAC 40 a passé la séance à digérer la vague de résultats semestriels qui s'est abattue sur la place boursière parisienne. La Bourse de Paris est tirée vers le bas par des poids lourds tandis que le reste des marchés financiers a été refroidi par les déclarations de la Fed. La tendance du marché Ce jeudi, les investisseurs ont été obligés d'éplucher de nombreux résultats après cette profusion de publications semestrielles. Des annonces de chaque coin du monde qui ont créé de grandes différences entre les gagnants et les perdants du jour. Dans ce contexte, le CAC 40 a ouvert dans le vert, comme la plupart de ses consœurs européennes. À découvrir Suivez Le Figaro Bourse sur WhatsApp Porté par les résultats de Société générale, l'indice français a même dépassé les 7 900 points, mais l'enthousiasme est vite retombé. Dans la matinée, les marchés financiers ont eu le temps d'ingurgiter les bons résultats comme les mauvais. Ces derniers ont fini par plomber la Bourse de Paris. Le CAC 40 a progressivement glissé avant de basculer dans le rouge. Publicité Le passage en territoire négatif n'a pas arrêté cette lente descente, qui s'est poursuivie jusqu'à la fin de la séance. Une situation qui contraste avec Wall Street. Les indices américains volent encore de record en record grâce aux bonnes performances de Meta et Microsoft. Ce dernier est d'ailleurs la deuxième entreprise mondiale, derrière Nvidia, a dépassé les 4.000 milliards de dollars de capitalisation boursière. Du côté des indices en France et dans le monde CAC 40 - 1,14% 7 771,97 points SBF 120 - 1,10% 5 900,17 points DAX - 0,81% 24 085,12 points FTSE 100 - 0,08% 9 132,04 points Nikkei + 1,02% 41 069,82 points Dow Jones* - 0,12% 44 408,10 points Nasdaq* + 0,77% 21 292,72 points *indice arrêté à la clôture des bourses européennes Le fait du jour Cette séance était très certainement l'une des plus chargées de l'année avec plus d'une trentaine de publications de sociétés, rien que sur la place parisienne. Certaines sociétés ont tiré profit de ce bilan de milieu d'année tandis que d'autres ont été sanctionnés en Bourse. À l'exception de Société générale et Accor que nous développons plus bas dans l'article, voici un petit retour des publications à retenir ce jeudi. Legrand fait partie des grands gagnants du jour (+ 1,80%) après avoir annoncé le relèvement de ses objectifs 2025. Le fabricant de matériels et d'équipements électriques prévoit désormais une croissance comprise entre 10% et 12%, contre 6% à 10% auparavant. Même constat pour Safran (+ 3,10%) puisque le motoriste a décidé d'ajuster ses prévisions pour 2025. Le groupe français s'attend désormais à une hausse de son chiffre d'affaires comprise entre 10% et 12%, un résultat opérationnel courant ajusté de 5 à 5,1 milliards d'euros et un cash-flow libre de 3,4 à 3,6 milliards d'euros. Dans les progressions du jour, ils sont quelques-uns a dépassé des hausses à deux chiffres à l'image de Mersen (+ 11,06%) et Emeis (+ 15,01%). L'exploitant de maisons de retraite poursuit son redressement avec un chiffre d'affaires et des indicateurs opérationnels dans le vert. Publicité De son côté, Schneider Electric (- 4,58%) affiche un chiffre d'affaires en hausse de 8% au premier semestre, mais le recul de sa marge brute a été pointé du doigt par les investisseurs. Pour Bouygues (- 7,26%), son bénéfice net a reculé de 7% et son chiffre d'affaires est en dessous des attentes des analystes (26,9 milliards d'euros contre 27,04 milliards d'euros anticipés). ArcelorMittal (- 2,58%) souffre à cause de ses prévisions de ventes. La sidérurgiste a annoncé l'abaissement de ses objectifs de croissance de la consommation apparente d'acier hors de Chine de 1,5% à 2,5%, contre 2,5% à 3,5% précédemment. De leurs côtés, Sanofi (- 7,81%) et FDJ United (- 8,24%) chutent également après des résultats en demi-teinte. En revanche, d'autres valeurs ont été davantage épargnées à l'image de Renault (- 1,48%), Airbus (- 1,58%) et Vinci (- 2,64%). Les valeurs en vue Le Top Société générale est en tête du CAC 40 lors de cette séance avec une hausse de 6,88%, à 55,96 euros. La banque française a été particulièrement saluée par les investisseurs. Depuis quelques jours, un relèvement des objectifs et un rachat d'actions planaient dans les attentes des analystes, qui n'ont pas été déçus. «Nous publions à nouveau ce trimestre de très bons résultats avec une performance commerciale et financière solide dans tous nos métiers. Croissance des revenus, réduction des coûts, amélioration du coefficient d'exploitation et de la rentabilité : nous sommes en avance sur toutes nos cibles annuelles au premier semestre et ainsi en mesure de les revoir à la hausse pour l'année 2025», a déclaré Slawomir Krupa, directeur général, dans un communiqué. Publicité En effet, la troisième banque française a annoncé de nouvelles anticipations pour l'exercice 2025 avec un coefficient d'exploitation inférieur à 65%, contre moins de 66% auparavant, et une rentabilité sur actif net tangible d'environ 9%, contre plus de 8% précédemment. Société générale a profité de ses bons résultats pour annoncer le lancement d'un rachat d'actions d'un milliard d'euros dès le 4 août prochain. La société va également introduire un acompte sur dividende de 0,61 euro par action au titre du premier semestre 2025. Le Flop Accor a connu un accueil bien moins avenant que lors de ses résultats trimestriels. Le groupe hôtelier est la lanterne rouge du CAC 40 avec une baisse de 9,60%, à 44,66 euros. La société est sanctionnée en Bourse par les investisseurs pour deux facteurs principaux. Si Accor enregistre un chiffre d'affaires en hausse de 5,1% au premier semestre, ses revenus atteignent 2,75 milliards d'euros, soit moins que 2,82 milliards d'euros attendus par le consensus. Cet indicateur inférieur aux attentes s'explique notamment par les effets du taux de change qui pénalise le groupe : «Les effets de change ont un impact négatif de 69 millions d'euros, liés essentiellement au real brésilien (-13%), au dollar australien (-4%) et au dollar canadien (-4%)», est-il annoncé dans le communiqué. Le sixième groupe hôtelier mondial voit également son revenu par chambre disponible (RevPar) progresser de 4,1%, à 78 euros, mais les analystes tablaient sur des chiffres plus élevés. Si la division «Luxe & Lifestyle» maintient son rythme de croisière (+ 5,6%), des turbulences sur les marchés européens et chinois sont attendues pour le prochain semestre. La citation du jour « Afin d'atteindre ses objectifs, le Comité a décidé de maintenir la fourchette cible du taux des fonds fédéraux entre 4,25 % et 4,5 %. […] Pour évaluer l'orientation appropriée de la politique monétaire, le Comité continuera de suivre l'impact des informations reçues sur les perspectives économiques. Il sera prêt à ajuster l'orientation de la politique monétaire si des risques susceptibles d'entraver la réalisation de ses objectifs apparaissent. » Dans un communiqué, la Réserve fédérale américaine (Fed) a annoncé hier le maintien de ses taux d'intérêt. Si deux gouverneurs ont voté contre cette décision, une première depuis 1993, les marchés financiers sont moins optimistes sur une baisse des taux en septembre. «Jerome Powell n'a donné aucun signal clair quant à une éventuelle baisse en septembre, décevant les investisseurs qui espéraient des indications plus accommodantes», assure dans une note John Plassard, responsable de la stratégie d'investissement chez Cité Gestion Private Bank. D'après l'outil CME FedWatch, la probabilité que les taux restent une nouvelle fois inchangés à la prochaine réunion est passée à plus de 60%. Donald Trump s'est emporté en qualifiant Jerome Powell, patron de la Fed, de «trop stupide et trop politique pour faire ce boulot». L'agenda du vendredi 1er août Après une avalanche de résultats des sociétés ces derniers jours, le rythme ralentit pour terminer la semaine. Seuls Atos, Axa, Engie, Bonduelle et Orano sont attendus au programme du côté de la place boursière parisienne. À Tokyo, il faudra surveiller les publications de Nintendo et Nippon Steel. Outre-Atlantique, les investisseurs suivront les résultats de Chevron, ExxonMobil ou encore Kimberley-Clark. Au-delà des sociétés, l'actualité s'annonce chargée aux États-Unis avec des indicateurs pour le mois de juillet : la confiance des consommateurs de l'Université du Michigan, l'indice d'activité manufacturière ISM ou encore le taux de chômage. La date du 1er août signifie également que les surtaxes douanières entreront en vigueur pour tous les partenaires commerciaux de la première puissance économique mondiale.

Livret A à 1,7 % au 1er août : combien d'intérêts allez-vous perdre… et comment limiter la casse ?
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Il descend, doucement mais sûrement. Le taux du livret A passe ce vendredi 1er août à 1,7 % et ce pour les six prochains mois. Le 1er février déjà, il avait été ramené de 3 % à 2,4 %. « Il reste nettement au-dessus du niveau de l'inflation de juin, qui s'est établie à 1 % », explique la Banque de France selon laquelle ce placement, exonéré d'impôts et de cotisations sociales, « continuera donc à protéger le pouvoir d'achat de ses détenteurs ». Le rendement réel (c'est-à-dire la différence entre la rémunération et l'inflation) de ce produit d'épargne détenu par 58 millions de Français reste en effet largement positif , ce qui n'avait pas été le cas, par exemple, entre 2016 et 2024.

L'opérateur boursier Euronext lance son opération pour racheter la Bourse d'Athènes
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L'opérateur boursier Euronext lance son opération pour racheter la Bourse d'Athènes

L'opérateur boursier paneuropéen Euronext a indiqué jeudi avoir officiellement lancé la procédure de rachat d'Athex, le gestionnaire de la Bourse d'Athènes, pour un montant de 412 millions d'euros. «Euronext annonce le dépôt d'une offre publique d'échange» visant «à acquérir la totalité des actions de Hellenic Exchanges-Athens Stock Exchange (»Athex«)», a-t-il expliqué dans un communiqué. L'offre publique d'achat «prendrait la forme d'un échange d'actions», à un «taux de conversion fixe de 20.000 actions Athex pour une action Euronext». Concrètement, les détenteurs de titres d'Athex pourront les échanger contre des actions Euronext, sur la base de ce ratio. Cette opération valoriserait chaque action Athex «à 7,14 euros», et l'ensemble de la société à «412,8 millions d'euros», a détaillé le groupe. «Avec cette offre, Euronext franchit une nouvelle étape vers un marché européen des capitaux plus intégré et plus compétitif», a déclaré Stéphane Boujnah, PDG du groupe, dans son communiqué. Publicité Athex a de son côté confirmé dans un communiqué jeudi avoir reçu une «offre conditionnelle non contraignante d'échange d'actions de la part d'Euronext». Cette offre bénéficie du «soutien unanime» du conseil d'administration, a-t-il ajouté. À lire aussi L'arsenal d'Euronext pour aider les entreprises européennes de la défense à se financer Euronext, qui détient déjà les Bourses de Paris, Amsterdam, Bruxelles, Dublin, Lisbonne, Milan et Oslo, avait déjà annoncé sa volonté d'acquérir la Bourse d'Athènes début juillet. Mais la première proposition transmise à Athex, qui valorisait chaque action à «6,90 euros», avait été écartée par l'opérateur grec, a détaillé ce dernier. A «la suite de discussions et de négociations», ayant abouti à la signature d'un «accord de coopération» mercredi, le groupe français a finalement «soumis une proposition révisée» atteignant les 7,14 euros l'action, acceptée par le groupe grec. Le conseil d'administration d'Athex promet donc qu'il «s'abstiendra de toute action (...) susceptible de faire obstacle à l'offre» et à «fournir les informations et assistances raisonnables» permettant son bon déroulement. Avec cette opération, Euronext attend des «synergies de 12 millions d'euros par an à partir de 2028», et les coûts de l'intégration s'élèveront à «25 millions d'euros».

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