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« La meilleure chose à faire est de partir en beauté »  : Toni Kroos explique sa décision de prendre sa retraite sportive l'an dernier
« La meilleure chose à faire est de partir en beauté »  : Toni Kroos explique sa décision de prendre sa retraite sportive l'an dernier

L'Équipe

time21-07-2025

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« La meilleure chose à faire est de partir en beauté »  : Toni Kroos explique sa décision de prendre sa retraite sportive l'an dernier

Dans une interview accordée ce samedi à « El Pais », Toni Kroos est revenu sur sa décision de prendre sa retraite l'été dernier à 34 ans, alors qu'il était encore au sommet de son art. Toni Kroos est désormais retiré des terrains depuis un an. Au bout d'une saison marquée par un nouveau titre en Liga et une cinquième Ligue des champions, l'Allemand a tiré sa révérence par un Euro à la maison achevé en quarts de finale contre l'Espagne. Le numéro 8 du Real Madrid pendant dix ans, qui prend la parole régulièrement dans le podcast qu'il anime chaque semaine avec son petit frère Felix (Einfach mal Luppen), s'est enfin exprimé sur cette décision, prise à « seulement » 34 ans, ce samedi au journal espagnol El Pais. « J'y ai réfléchi plusieurs mois. Je ne me suis pas levé un matin en me disant : "Il faut que tu prennes ta retraite !" Non, j'y ai beaucoup, beaucoup réfléchi. J'avais déjà envisagé de prendre ma retraite l'année précédente, mais j'ai finalement décidé de renouveler mon contrat pour une année supplémentaire car le Real Madrid a beaucoup insisté. Mais cela n'a pas changé mon idée, qui a toujours été de prendre ma retraite au top. Je pense qu'il est difficile de faire mieux que ce que j'ai fait lors de ma dernière saison : je suis parti après avoir remporté la Liga et la Ligue des champions. Adios », a-t-il confié. Au sujet du timing, l'Allemand a assuré : « La meilleure chose à faire est de partir en beauté. Vous partez avec un grand sentiment parce que c'est vous qui avez pris la décision. Et avant que quelqu'un ne m'envoie sur le banc parce que je suis pas bon ou plus aussi important pour l'équipe, comme je l'ai été jusqu'à la fin, j'ai préféré partir. Ni mon entraîneur, ni ma famille, ni mon corps n'allaient me dire quand prendre ma retraite. »

À Madrid, une décision historique pour « protéger » les habitants du surtourisme
À Madrid, une décision historique pour « protéger » les habitants du surtourisme

Le HuffPost France

time08-07-2025

  • Politics
  • Le HuffPost France

À Madrid, une décision historique pour « protéger » les habitants du surtourisme

ESPAGNE - Après Palma de Majorque, où les habitants sont descendus protester dans les rues contre le surtourisme, ou Ibiza, qui a limité le nombre de véhicules pendant l'été, c'est au tour de Madrid d'agir. La capitale espagnole a porté sa pierre à l'édifice après une décision « historique » d'un tribunal d'ordonner la fermeture de dix appartements en location touristique, situés dans un même immeuble. C'est à la suite de la plainte d'une famille que ce tribunal madrilène a décidé qu'il y avait des limites au droit à la propriété. « C'est un jugement pionnier, a affirmé l'avocat de la famille cité par El Pais et repéré par Le Parisien. Ce n'est pas la mairie qui a demandé la fermeture des appartements, mais une simple famille. » Lire aussi À Ibiza, la colère des urgentistes contre les boîtes de nuit et leurs clients en consommation abusive de drogues Comme le précise le média espagnol, cette décision n'est pas liée à une infraction. Les logements étaient aux normes et avaient légalement le droit d'exister. Mais les nuisances qu'engendraient leurs locataires éphémères ont eu raison des occupants de l'un des rares appartements habités en permanence. Le tribunal a pointé du doigt une atteinte au « droit à l'intimité et à la vie privée ». « Graves problèmes de santé » La famille concernée habite dans cet immeuble depuis quatre ans, subissant nuisances sonores et insalubrité de la part des touristes de passage. El Pais évoque les fêtes bruyantes organisées la nuit par des locataires ivres et les chariots de ménage dans les couloirs, quand ceux-ci ne sont pas le théâtre d'ébats sexuels. Les conséquences morales sur la famille ont été telles que la mère en a perdu son emploi. Le jugement évoque de « graves problèmes de santé » liés à cette accumulation de faits. Malgré les interventions de police et les amendes salées, la situation est restée inchangée jusqu'à ce que la plainte soit déposée. Comme le souligne Le Parisien en citant le média espagnol, le tribunal a ainsi ordonné la fin des locations touristiques et « l'interdiction de développer à l'avenir cette activité » dans l'immeuble. Quant aux quatre entreprises responsables de la gestion des locations, elles ont été condamnées à indemniser la famille : 37 000 euros, dont 9 833 euros pour chacun des deux enfants. En mai, le gouvernement espagnol avait demandé à Airbnb de retirer plus de 65 000 annonces d'hébergement touristique de sa plateforme, estimant qu'elles violaient la loi sur la publicité de ce type de logement. Le gouvernement a déclaré que les locations de courte durée de la plateforme aggravent la crise du logement en Espagne, alors que le pays accueille un nombre record de touristes.

« Une décision historique » : des appartements en location touristique fermés à Madrid pour « protéger la vie privée » des résidents
« Une décision historique » : des appartements en location touristique fermés à Madrid pour « protéger la vie privée » des résidents

Le Parisien

time08-07-2025

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  • Le Parisien

« Une décision historique » : des appartements en location touristique fermés à Madrid pour « protéger la vie privée » des résidents

La ville de Paris pourrait clairement s'en inspirer. Un tribunal de Madrid, la capitale espagnole , vient d'ordonner, pour la première fois, la fermeture de dix appartements en location touristique situés dans un même immeuble, pour « protéger la vie privée » des résidents. Comme le rapporte El Pais qui évoque « une décision historique », la fermeture de ces appartements n'est pas liée à une quelconque infraction sur leur existence en tant que tel , mais bien parce que les allées et venues des touristes remettaient en question « le droit à l'intimité et à la vie privée » d'un couple et de ses enfants. Propriétaire de l'un des rares logements permanents encore habités dans cet immeuble de 60 appartements, la famille, qui vivait ici depuis quatre ans, subissait, selon le jugement, des « nuisances sonores » , « l'insalubrité » ou encore des « graves problèmes de santé ». Le quotidien espagnol cite notamment des chariots de ménage dans les couloirs, des serviettes jetées devant leur porte, sans oublier des fêtes organisées par des locataires « pour la plupart ivres » qui utilisaient les parties communes à toute heure — « même pour y avoir des relations sexuelles », selon le témoignage d'un policier. Les conséquences pour la famille étaient trop nombreuses, allant des troubles du sommeil, à des soucis de dépression, causant notamment la perte de l'emploi pour la mère. Épuisés par l'inefficacité des interventions policières ou encore des amendes de la municipalité (d'un montant de plus de 16 000 euros), les propriétaires s'étaient résolus à porter plainte. Le tribunal a finalement décidé que le droit à la propriété avait ses limites. « C'est un jugement pionnier, affirme l'avocat de la famille, Miguel Rubio. Ce n'est pas la mairie qui a demandé la fermeture des appartements, mais une simple famille. » Le jugement ordonne donc la fin des locations touristiques en cours et « l'interdiction de développer à l'avenir cette activité » dans l'immeuble. Les quatre entreprises, responsable de la gestion des appartements en location, ont été condamnées à indemniser la famille à hauteur de 37 000 euros dont une partie est destinée aux deux enfants (9 833 euros chacun).

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