Dernières actualités avec #Européens


La Presse
7 hours ago
- Politics
- La Presse
Les Européens se réunissent pour discuter des garanties de sécurité
Le premier ministre britannique, Keir Starmer, et le président français, Emmanuel Macron, co-présideront une réunion de la « coalition des volontaires », mardi. Les Européens se réunissent pour discuter des garanties de sécurité (Paris) La France et le Royaume-Uni réunissent ce mardi en visioconférence la « coalition des volontaires », une trentaine de pays essentiellement européens, sur les garanties de sécurité au centre des discussions pour mettre fin au conflit en Ukraine. Agence France-Presse Le président français Emmanuel Macron a annoncé la tenue de consultations vers 12 h (6 h heure de l'Est) des « 30 pays qui travaillent sur des garanties de sécurité, pour les tenir au courant de ce qui a été décidé » à l'issue du sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine en Alaska vendredi dernier. Londres a confirmé que le premier ministre britannique Keir Starmer coprésiderait la visioconférence avec M. Macron. « Dans la foulée, on lance le travail concret avec les Américains et donc […] nos conseillers diplomatiques, ministres, chefs d'état-major lancent le travail pour voir qui est prêt à faire quoi », a expliqué M. Macron dans une entrevue diffusée mardi matin par une télévision française. PHOTO YVES HERMAN, AGENCE FRANCE-PRESSE Le président français Emmanuel Macron a annoncé la tenue de consultations des « 30 pays qui travaillent sur des garanties de sécurité, pour les tenir au courant de ce qui a été décidé » à l'issue du sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine en Alaska. Donald Trump a assuré lundi, sans entrer dans les détails, que les États-Unis « seraient impliqués » dans la sécurité future de l'Ukraine, un sujet crucial pour Kyiv et les Européens. « Nous leur donnerons une très bonne protection », a-t-il promis. M. Macron, qui avait accompagné lundi le président ukrainien à la Maison-Blanche avec d'autres dirigeants européens, a par ailleurs estimé qu'une rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine devrait avoir lieu en Europe. « Plus qu'une hypothèse, c'est même la volonté collective, a-t-il déclaré, ce sera un pays neutre, et donc peut-être la Suisse, je plaide pour Genève, ou un autre pays ». « Garanties de sécurité » Donald Trump doit commencer les préparatifs d'une rencontre entre MM. Zelensky et Poutine, qui rejetait jusqu'ici une telle réunion, au terme de ce qu'il a qualifié de « très bonne » entrevue lundi avec le président ukrainien et les dirigeants européens. Le président russe a finalement accepté le principe de cette rencontre, qui devrait se tenir dans les deux semaines, lors d'un entretien téléphonique lundi avec son homologue américain. « Nous sommes prêts à une rencontre bilatérale avec Poutine et après cela nous nous attendons à une rencontre trilatérale » avec la participation de Donald Trump, a de son côté déclaré M. Zelensky à la presse. Les éventuelles concessions territoriales exigées par la Russie à l'Ukraine, qui n'ont pas été abordées lundi à la Maison-Blanche, sont « une question que nous laisserons entre moi et Poutine », a-t-il ajouté. Dans un autre entretien à la chaîne américaine NBC News, Emmanuel Macron n'a pas caché qu'il ne partageait pas l'optimisme de Donald Trump sur la possibilité d'arriver à un accord de paix en Ukraine et a mis en garde contre toute « naïveté ». Vladimir Poutine est « un prédateur, un ogre à nos portes » qui « a besoin de continuer de manger [pour] sa propre survie », a-t-il dit, « c'est une menace pour les Européens ». PHOTO KEVIN LAMARQUE, ARCHIVES REUTERS Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, et le président américain, Donald Trump Lundi, le président américain et ses invités ont « discuté de garanties de sécurité pour l'Ukraine, des garanties qui seraient fournies par divers pays européens, en coordination avec les États-Unis d'Amérique », selon le président américain. Elles « seront probablement décidées par nos partenaires et il y aura de plus en plus de détails, car tout sera couché sur papier et officialisé […] d'ici une semaine à dix jours », a indiqué pour sa part M. Zelensky. « Augmenter les sanctions » Moscou refuse toute garantie de sécurité passant par l'OTAN et son mécanisme de défense collective, le célèbre article 5. Donald Trump a précisé sur son réseau Truth Social qu'une rencontre Zelensky-Poutine serait suivie d'une tripartite avec lui-même, visant à mettre fin à trois ans et demi d'un conflit meurtrier déclenché par l'invasion russe. « Je pense que nous avons eu une très bonne conversation avec le président Trump, c'était vraiment la meilleure », a déclaré pour sa part le chef de l'État ukrainien lundi. Avant une réunion élargie avec les dirigeants européens, les deux hommes avaient eu un entretien bilatéral dans le bureau Ovale. Le chancelier allemand Friedrich Merz, également présent lundi à la Maison-Blanche, a de son côté estimé que l'Ukraine ne devrait pas être contrainte de faire des concessions territoriales dans le cadre d'un éventuel accord de paix. « La demande russe visant à ce que Kyiv renonce aux parties libres du Donbass correspond, pour parler franchement, à une proposition visant à ce que les États-Unis renoncent à la Floride », a-t-il lancé. Emmanuel Macron a lui appelé à « augmenter les sanctions » contre la Russie si les futurs pourparlers échouaient. Donald Trump a répété lundi qu'il n'était selon lui pas nécessaire d'en passer par un cessez-le-feu avant un accord de paix définitif, alors que le plus sanglant conflit en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale se poursuit, avec des attaques de drones et de missiles balistiques russes. Pékin a dit mardi « soutenir tous les efforts » vers la paix, prônant « le dialogue et la négociation », comme « seule voie viable pour résoudre la crise ukrainienne ».


Le HuffPost France
13 hours ago
- Entertainment
- Le HuffPost France
L'EuroMillions du mardi 19 août est seulement le troisième de l'Histoire à proposer le jackpot maximal
EUROMILLIONS - En plein cœur de l'été, le tirage de l' EuroMillions de ce mardi 19 août est particulièrement attendu. Pour la troisième fois seulement de l'histoire du jeu, une cagnotte maximale de 250 millions d'euros est en jeu. Le précédent remontait au mois de juin, quand une cagnotte similaire, plafonnée, avait été proposée une première fois aux joueurs européens, sans trouver de gagnant. Mise en jeu une seconde fois, c'est finalement un Irlandais qui avait décroché le jackpot. Au total, cette nouvelle cagnotte à hauteur de 250 millions d'euros peut être remise en jeu quatre fois si elle ne trouve pas preneur. Lors du quatrième éventuel tirage, s'il n'y a toujours pas d'heureux élu, les joueurs qui ont trouvé cinq bons numéros et une étoile se partagent la somme. Un nouveau cycle repart alors, avec une cagnotte fixée à 17 millions d'euros. Pour le moment en France, c'est une jeune Polynésienne de Tahiti qui détient le record du plus gros gain remporté à l'EuroMillions. Le 15 octobre 2021, alors qu'elle jouait pour la première fois, elle avait validé les cinq bons numéros et deux étoiles, empochant 220 millions d'euros. À noter que s'il y a un vainqueur du gain maximal de cette cagnotte du 19 août et qu'il est français, celui-ci intégrera directement le classement des 500 personnes les plus riches du pays, juste derrière le directeur général de GL Events, Olivier Ginon (255 millions d'euros), indique Le Figaro, se basant sur le classement 2025 de Challenges. Les joueurs ont jusqu'à 20h15 ce mardi pour valider leur ticket.


Le Figaro
4 days ago
- Business
- Le Figaro
«Ça peut paraître légitime mais c'est illégal» : qu'est-ce que la discrimination à l'IBAN, dénoncée par la Commission européenne ?
De nombreux Européens se retrouvent dans l'impossibilité de payer à cause d'un IBAN qui n'est pas relié à un compte bancaire local. Une pratique interdite depuis 2014 en Europe et sanctionnée depuis 2021 en France. C'est une discrimination qui agace particulièrement les autorités européennes. De nombreux citoyens se retrouvent régulièrement dans l'impossibilité de payer à cause de la domiciliation de leur banque. Par exemple, un résident français qui souhaite utiliser un IBAN allemand risque de voir son paiement refusé par un professionnel tricolore. L'IBAN commence par les deux premières lettres du pays et il est suivi ensuite de chiffres. En France, il ressemble ainsi à ceci : FRXX XXX XXXX et en Allemagne, il commence par «DE». L'IBAN permet notamment d'émettre ou de recevoir un virement SEPA ou de payer par prélèvement directement depuis son compte bancaire. Mais, en Europe, certains professionnels refusent ces virements et prélèvements d'un autre État membre. «Une banque, un fournisseur d'accès internet, une salle de sport n'accepte pas votre IBAN et insiste sur le fait que vous avez besoin d'un compte bancaire local ? Même si cela peut paraître légitime, c'est illégal. C'est ce qu'on appelle la discrimination à l'IBAN», explique le site de l'initiative Accept my IBAN. Lancée par plusieurs entreprises du secteur européen des technologies financières, comme Wise, N26 ou Revolut, elle permet de recueillir les plaintes des citoyens pour les remonter aux autorités européennes. Pour éviter cette discrimination, la banque en ligne Revolut a lancé un IBAN français en 2022, suivi par la néobanque allemande N26 en 2023. Publicité «Quelle ignorance !» Le 5 août dernier, un internaute a partagé son mécontentement sur le réseau social X : «Le propriétaire d'une agence de location de voiture a essayé de voler mon argent à cause d'une discrimination liée à mon IBAN. Cet idiot prétendait que je ne pouvais pas utiliser un IBAN européen pour payer. Quelle ignorance !» Dans ce cas, la Commission européenne recommande «d'introduire une plainte auprès de l'autorité nationale compétente du pays dans lequel vous avez été confronté à cette discrimination». Selon les Échos, 4688 plaintes ont été déposées auprès d'Accept my IBAN de 2021 à mars 2025, principalement en France, en Allemagne et en Espagne. Cette pratique devrait pourtant ne plus avoir lieu depuis plusieurs années. Depuis le 1er août 2014, les professionnels sont tenus d'accepter tout IBAN domicilié dans la zone SEPA. Cette dernière comprend les 27 pays de l'Union européenne, mais aussi l'Islande, le Liechtenstein, la Norvège, la Suisse, le Royaume-Uni, Andorre, Monaco, Saint-Marin, le Vatican, le Monténégro et l'Albanie. En France, la Répression des fraudes a la possibilité de sanctionner cette pratique depuis 2021 et d'infliger jusqu'à 75.000 euros d'amende à une personne physique et 375.000 euros d'amende à une personne morale.


Le Parisien
6 days ago
- Politics
- Le Parisien
Guerre en Ukraine : Zelensky, spectateur impuissant du sommet entre Trump et Poutine ?
Exclu du sommet, le président ukrainien n'a fait qu'afficher sa fermeté, mettant en garde contre des « décisions prises » sans l'Ukraine. Il a d'ailleurs estimé que la venue de Poutine - visé par un mandat d'arrêt international - était « une victoire » pour le Kremlin, pendant que lui se retrouve pris en étau, mais soutenu par les Européens.


24 Heures
03-08-2025
- Sport
- 24 Heures
La Suisse termine les championnats de tir européen avec neuf médailles
L'équipe nationale a brillé lors des Européens de Châteauroux. Le Fribourgeois Gilles Dufaux s'est illustré avec trois podiums. Publié aujourd'hui à 14h53 Gilles Dufaux a bouclé les Européens avec une nouvelle médaille. imago images/Kˆbi Schenkel Swiss Shooting a conclu les Européens de Châteauroux en décrochant deux médailles dimanche lors de l'ultime journée. Les tireuses et tireurs suisses ont fêté neuf podiums au total depuis vendredi. Sacré samedi dans le par équipe à la carabine de petit calibre à 300 m avec Pascal Bachmann et Sandro Greuter, Gilles Dufaux a bouclé ces joutes en se parant d'argent dans le match aux trois positions à la carabine à 300 m. Le Fribourgeois de 30 ans a obtenu le même métal par équipe dans cette discipline, avec les mêmes partenaires. Ce trio de choc avait démarré en beauté ces joutes vendredi en remportant le titre en position couchée à 300 m. Pascal Bachmann a en outre conquis l'argent en individuel au petit calibre samedi. Chez les dames, le trio Marta Szabo Bouza/Anja Senti/Sarina Hitz a cueilli l'argent samedi à la carabine de petit calibre. Les Suissesses n'ont en revanche pas réussi à s'illustrer dans le match aux trois positions dimanche. Elles avaient brillé vendredi, signant le doublé en position couchée à 300 m (Senti devant Szabo Bousa) tout en s'adjugeant l'or par équipe. Plus d'articles sur le tir sportif: ATS Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.