
Guerre en Ukraine : Zelensky, spectateur impuissant du sommet entre Trump et Poutine ?
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Le Parisien
3 hours ago
- Le Parisien
Manifestation propalestinienne à Paris : amendes requises contre des militants délogés place de la République
Des amendes de 500 à 1 000 euros et des relaxes ont été requises mardi à l'encontre de sept militants délogés par la police de la statue place de la République, à Paris, sur laquelle ils étaient montés lors d'une manifestation de soutien à la Palestine mi-juin. Deux femmes et cinq hommes, âgés de 26 à 53 ans, ont comparu mardi devant le tribunal judiciaire de Paris pour « mise en danger de la vie d'autrui », « rébellion » et refus de donner leurs empreintes digitales. L'un d'entre eux est aussi poursuivi pour avoir refusé de déverrouiller son téléphone. Le procureur a demandé de relaxer les prévenus du chef d'accusation de « mise en danger de la vie » des forces de l'ordre, considérant que l'intervention des policiers, bien que « périlleuse », rentrait « dans le cadre de leurs missions ». Un camion de pompiers pour les déloger En revanche, le parquet a demandé au tribunal de condamner trois des sept prévenus pour « rébellion », soulignant que certains auraient tenté de mordre les forces de l'ordre ou de leur donner des coups de pied. [4/4] Cécile Vallin, les secrets d'une disparition Crime story raconte chaque semaine les grandes affaires criminelles. Écouter Le 14 juin, lors d'une manifestation propalestinienne, les sept militants sont montés sur la statue afin de vêtir Marianne, qui surplombe le monument, d'une chasuble aux couleurs du drapeau palestinien sur lequel était inscrit « Free Gaza ». À l'issue de cette action, conjointement organisée par Extinction Rebellion (XR) et EuroPalestine, des policiers ont tenté de faire descendre les militants, mais ces derniers auraient repoussé l'échelle des forces de l'ordre. En fin d'après-midi, les policiers ont finalement utilisé la nacelle d'un camion de pompiers pour déloger de force et interpeller les militants, assis en rond et attachés les uns aux autres. Débat sur le motif du procès Une vidéo filmée par un journaliste et relayée sur les réseaux sociaux montre notamment l'un des prévenus suspendu dans le vide, tenu entre les jambes d'un policier en rappel. À la barre, Charlotte C., 26 ans, un keffieh noir autour de la taille, a décrit une « action anodine », sans dégradation du monument. « Je ne comprends pas bien ce qui vous pousse à croire que j'ai mis en danger la vie de ces policiers », a-t-elle lancé, affirmant avoir écopé d'un « coccyx déplacé », de « brûlures » et d'« hématomes » lors de son interpellation. « Derrière, il y a une logique de politique pénale qui vise à réprimer ces manifestations », a dénoncé Me Alexis Baudelin, l'un des avocats de la défense.


Le Parisien
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- Le Parisien
L'Europe retrouvée
Un président des États-Unis rappelant d'ailleurs avoir « réglé six guerres en six mois » et s'imaginant dès lors — sans sourciller — récompensé du prix Nobel de la paix. Face à lui, des dirigeants venus à la rescousse de Volodymyr Zelensky, inquiets d'un possible désengagement de Washington et tremblant à l'idée de fâcher Donald Trump qui, deux jours plus tôt, applaudissait Vladimir Poutine sur le tarmac de l'aéroport d'Anchorage.


Le Parisien
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- Le Parisien
« Poutine veut conclure un accord pour moi » : Donald Trump et le mirage d'un « deal » en Ukraine
Depuis, le président américain ignore superbement les obstacles qui se dressent encore contre un traité de paix en Ukraine. Son homologue russe lui aurait confié son accord pour rencontrer le chef d'État ukrainien, après trois ans et six mois d'un conflit meurtrier. Une réunion trilatérale serait organisée ensuite, en présence de Trump cette fois. Les jurés du prix Nobel de la paix peuvent déjà préparer leur bulletin de vote…