Dernières actualités avec #FormuleE

L'Équipe
4 days ago
- Sport
- L'Équipe
Formule E - Londres : Nick Cassidy remporte le dernier ePrix de la saison
Déjà vainqueur de la course 1 samedi, Nick Cassidy a fait coup double en remportant le dernier ePrix de la saison, à Londres, ce dimanche. Oliver Rowland (Nissan) est sacré Champion du monde. À voir sur L'Équipe Le replay des qualifications de l'E-Prix de Londres Le résumé de la première course remportée par Nick Cassidy Cassidy et Jaguar remportent la première course à Londres Le replay de l'après course de l'E-Prix de Londres Le replay de l'E-Prix de Londres Le replay des qualifications de l'E-Prix de Londres Rowland sacré champion du monde de Formule E après sa 4e place Le replay de l'E-Prix de Berlin (14e manche) Buemi : « Je suis quand même content de marquer des points » Le replay de l'après course de l'E-Prix de Berlin (13e manche) Le replay de l'E-Prix de Berlin (13e manche) Le replay de l'avant course de l'E-Prix de Berlin (13e manche)


L'Équipe
6 days ago
- Sport
- L'Équipe
La FIA prolonge de dix ans le contrat avec la Formule E, le « sport automobile du futur »
La Fédération internationale de l'automobile et Liberty Global, l'actionnaire principal du promoteur du Championnat du monde de Formule E, ont prolongé leur accord pour dix ans, jusqu'en 2048. La Formule E a le temps de voir venir. Et de grandir. La FIA a en effet annoncé ce vendredi l'extension de son partenariat avec son promoteur Formula E Holdings Limited (dont Liberty Global est l'actionnaire principal), qui courrait déjà jusqu'en 2038, pour dix ans supplémentaires. « Cette étape importante confirme notre engagement envers l'innovation, la durabilité et le progrès technologique, qui sont tous au coeur de l'identité et de la raison d'être uniques de ce Championnat. Je suis impatient de voir la Formule E se développer encore davantage, tant sur la piste qu'en dehors, dans les années à venir », se félicite Mohammed Ben Sulayem, le président de la FIA. Lancée en 2014, la Formule E a obtenu le label de Championnat du monde à partir de sa septième saison (2020-2021). La onzième saison, qui se clôture ce week-end à Londres, a déjà vu à Berlin le couronnement du Britannique Oliver Rowland. Porsche, Jaguar, Nissan, Stellantis, Mahindra et Lola-Yamaha sont les constructeurs engagés. « Nous croyons en la Formule E depuis le premier jour et cette prolongation réaffirme notre confiance dans son avenir, commente Mike Fries, le directeur général de Liberty Global. Il s'agit du sport automobile du futur : un Championnat qui combine les toutes dernières technologies, des courses acharnées et une mission qui a du sens. Grâce au soutien continu de la FIA, nous pouvons désormais franchir de nouvelles étapes importantes : développer ce sport, élargir sa base mondiale de fans et continuer à repousser les limites de ce que la course électrique peut accomplir. » La troisième génération de monoplaces électriques, introduite cette saison par la FE, a marqué un pas en avant en termes de performance. « Cette prolongation à long terme du partenariat nous permet de continuer à développer la marque, à investir dans le produit et à offrir certaines des courses les plus captivantes qui ont fait notre renommée », se réjouit Jeff Dodds, le patron de la Formule E.


L'Équipe
14-07-2025
- Sport
- L'Équipe
Qui est Oliver Rowland, le nouveau champion du monde de Formule E ?
Dominateur tout au long de la saison, Oliver Rowland a été sacré champion du monde de Formule E, dimanche à Berlin. Une consécration pour l'Anglais de 32 ans au parcours particulier. À 32 ans, Oliver Rowland est devenu le 10e champion de Formule E différent en onze saisons. Dimanche à Berlin, avant même les deux derniers E-Prix chez lui à Londres, l'Anglais a accroché un titre auquel il était promis depuis des semaines et un début de saison où il était rentré dans le top 2 lors de 6 des 8 huit premiers E-Prix. Ce sacre récompense un parcours osé qui a attiré l'oeil des plus grands. Il est le plus frenchie des pilotes anglais Si Rowland roule aujourd'hui avec Nissan, c'est parce qu'il a une longue expérience avec cette structure qui, au départ, avait été formée par Renault et Dams au Mans (sous le nom de Renault en 2014 et 2018). Si l'écurie se nomme aujourd'hui simplement Nissan et bat pavillon japonais, elle reste basée en France, à Viry-Châtillon désormais. L'Anglais a, lui, fait ses premiers pas avec Dams en 2017 pour participer au Championnat de Formule 2, pour sa première édition sous sa forme actuelle. Après sa victoire à Monaco, Rowland avait plaisanté avec L'Équipe sur le fait qu'au moment de ce choix, de nombreuses personnes en Angleterre lui avaient déconseillé de venir travailler avec des Français, qui étaient « bizarres ». Hilare, le natif de Barnsley (entre Leeds et Sheffield) se disait déjà tout content de ne pas avoir suivi ces avis ! Il fut pilote de réserve de Renault et Williams en F1 S'il n'a jamais pu atteindre la Formule 1, l'Anglais a connu quelques expériences auprès de la catégorie-reine. Pendant ses jeunes années, il a même eu le droit de tester deux F1, une McLaren en 2011 puis une Red Bull en 2015, grâce à ses performances. Le test de la RB8, notamment, avait été décroché car il occupait à ce moment-là la tête du Championnat de Formule Renault 3.5 alors que la marque française motorisait Red Bull. Il est ensuite devenu pilote de développement pour Renault en 2017 avant de filer chez Williams comme « pilote junior ». Mais il n'a jamais eu l'occasion de rouler en compétition, la réglementation sur les deux séances d'essais libres 1 données à des rookies par voiture et par saison n'étant entrée en vigueur qu'en 2022, une fois sa carrière orientée vers la Formule E. Il a reçu les encouragements de Verstappen Juste après avoir arraché son sacre au terme d'un E-Prix à rebondissements à Berlin, dimanche, Rowland a confirmé qu'il avait reçu un message d'encouragements d'un certain Max Verstappen lui-même. « Il m'a écrit hier soir (samedi), me disant de garder la tête et d'aller marquer des points. Franchement, ça représentait beaucoup pour moi parce que j'étais vraiment déçu de moi-même, a-t-il confié après son accrochage avec Stoffel Vandoorne qui a condamné sa course de samedi et avait ajouté une pénalité de cinq places sur la grille dimanche. C'est vraiment une attention sympa de sa part, c'est vraiment un super mec. » Il avait quitté sa précédente équipe en cours de saison Au cours de sa carrière en FE, Rowland n'a connu que deux écuries : Mahindra et Nissan. Après un remplacement d'une course pour l'équipe indienne en 2015-2016, il avait rejoint Nissan dans la foulée de sa troisième place au Championnat de F2 2017 (remporté par un certain Charles Leclerc), décrochant sa première victoire à Berlin en 2020. Puis après trois saisons, il avait rejoint Mahindra. C'est là que s'est joué le tournant le plus important de sa carrière. Après une saison et demie difficile (1 podium et 6 fois dans les points en 25 courses), il prend une décision radicale et quitte l'écurie en cours d'exercice sans avoir de plan B. « J'ai pris un gros risque en quittant un bon contrat mais je savais que j'avais besoin d'essayer quelque chose de différent », expliquera-t-il. Après six mois sans rouler, il renouera avec Nissan dès 2023-2024, gagnera deux fois et signera cinq podiums supplémentaires dès la première saison de cette réunion avant de dominer totalement 2024-2025. Et se plaçant déjà en favori pour 2025-2026 où le règlement ne va pas évoluer avant la révolution de la Gen4 la saison suivante.


Le Figaro
13-07-2025
- Sport
- Le Figaro
Formule E : Oliver Rowland sacré champion du monde à deux courses de la fin
Oliver Rowland a remporté le championnat de Formule E ce dimanche à Berlin. Une quatrième place lui a suffi pour détrôner Pascal Wehrlein alors qu'il reste encore deux courses à disputer. Le Britannique Oliver Rowland a été sacré champion du monde de Formule électrique (Formula E) à l'issue de la course organisée dimanche à Berlin et remportée par le Néo-Zélandais Nick Cassidy. Une quatrième place a été suffisante à Rowland, 32 ans, pour remporter la couronne mondiale alors qu'il reste encore deux manches à courir à Londres les 26 et 27 juillet. Il compte 184 points contre 125 pour son dauphin au classement, le champion sortant allemand Pascal Wehrlein, et ne peut plus être rejoint. Publicité Un titre constructeur indécis Rowland, qui pilote pour Nissan, a dominé la saison en remportant quatre des 14 manches disputées jusqu'ici. Il participe au championnat de Formule E depuis 2018 et son meilleur résultat final était jusqu'à présent une 4e place en 2024. Le Français Jean-Éric Vergne (DS-Penske), double champion de Formule E en 2018 et 2019, occupe actuellement la 6e place au championnat avec 89 points. Du côté des constructeurs, le titre reste encore indécis et sera attribué lors des courses disputées à Londres. Porsche est en tête avec 342 points devant Nissan (335) et Jaguar (279).


L'Équipe
13-07-2025
- Sport
- L'Équipe
Oliver Rowland sacré champion du monde de Formule E après sa 4e place à Berlin
Oliver Rowland a décroché le titre de champion du monde de Formule E dimanche après avoir fini 4e de la course 2 à Berlin. C'est Nick Cassidy (Jaguar) qui s'est imposé devant Jake Dennis (Andretti) et Jean-Éric Vergne (DS). Avec 50 points d'avance sur Pascal Wehrlein au départ de la 14e manche de la saison, Oliver Rowland était dans une position avantageuse pour aller décrocher le titre mondial en Formule E dimanche à Berlin. Mais sa 8e place sur la grille, à la suite d'une pénalité de 5 positions pour avoir causé un accrochage avec Stoffel Vandoorne (Maserati) samedi lors de la première course, alors que son principal rival était lui en pole, pouvait laisser planer un doute. D'ailleurs, le début de course, où le Britannique a été contraint de naviguer entre la 5e et la 8e place pendant que l'Allemand se positionnait clairement dans le top 3, n'a pas été à l'avantage du leader du Championnat. Mais sur une piste sèche, aucun pilote n'est parvenu à prendre un réel avantage, et on a eu le droit à une course en peloton. Ce sont donc les Attack Mode qui ont chamboulé la hiérarchie, et à ce jeu-là, Porsche s'est loupé dans sa stratégie. Lors du deuxième restart, au 25e des 41 tours, Rowland et de nombreux autres pilotes ont pris leur Attack Mode, mais Wehrlein a préféré patienter. L'Allemand a alors dégringolé dans la hiérarchie, jusqu'à la 15e place, et lorsqu'il a finalement pris son boost de puissance, huit tours plus tard, il n'a pas réussi à remonter, franchissant même la ligne à la 16e place. Cassidy, 20e sur la grille, 1er à l'arrivée Pour Rowland, cette erreur a été du pain béni, et il a alors pu se contenter de gérer, sans nécessité de gagner. Il a donc laissé d'autres pilotes batailler pour la victoire. Celle-ci est revenue à Nick Cassidy (Jaguar), qui était 20e sur la grille, son deuxième succès cette saison, devant Jake Dennis (Andretti) et Jean-Éric Vergne (DS), seulement 18e au départ. Avant les deux dernières courses, à Londres dans deux semaines, Rowland compte 184 points, soit 59 de plus que Wehrlein, qui n'a marqué dimanche que les 3 points de sa pole. À 32 ans, le Britannique, présent en Formule E depuis 2015, décroche ainsi le premier titre mondial de sa carrière, et son premier titre depuis la Formule Renault 3.5 en 2015.