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La FIA prolonge de dix ans le contrat avec la Formule E, le « sport automobile du futur »

La FIA prolonge de dix ans le contrat avec la Formule E, le « sport automobile du futur »

L'Équipe7 days ago
La Fédération internationale de l'automobile et Liberty Global, l'actionnaire principal du promoteur du Championnat du monde de Formule E, ont prolongé leur accord pour dix ans, jusqu'en 2048.
La Formule E a le temps de voir venir. Et de grandir. La FIA a en effet annoncé ce vendredi l'extension de son partenariat avec son promoteur Formula E Holdings Limited (dont Liberty Global est l'actionnaire principal), qui courrait déjà jusqu'en 2038, pour dix ans supplémentaires.
« Cette étape importante confirme notre engagement envers l'innovation, la durabilité et le progrès technologique, qui sont tous au coeur de l'identité et de la raison d'être uniques de ce Championnat. Je suis impatient de voir la Formule E se développer encore davantage, tant sur la piste qu'en dehors, dans les années à venir », se félicite Mohammed Ben Sulayem, le président de la FIA.
Lancée en 2014, la Formule E a obtenu le label de Championnat du monde à partir de sa septième saison (2020-2021). La onzième saison, qui se clôture ce week-end à Londres, a déjà vu à Berlin le couronnement du Britannique Oliver Rowland. Porsche, Jaguar, Nissan, Stellantis, Mahindra et Lola-Yamaha sont les constructeurs engagés.
« Nous croyons en la Formule E depuis le premier jour et cette prolongation réaffirme notre confiance dans son avenir, commente Mike Fries, le directeur général de Liberty Global. Il s'agit du sport automobile du futur : un Championnat qui combine les toutes dernières technologies, des courses acharnées et une mission qui a du sens. Grâce au soutien continu de la FIA, nous pouvons désormais franchir de nouvelles étapes importantes : développer ce sport, élargir sa base mondiale de fans et continuer à repousser les limites de ce que la course électrique peut accomplir. »
La troisième génération de monoplaces électriques, introduite cette saison par la FE, a marqué un pas en avant en termes de performance. « Cette prolongation à long terme du partenariat nous permet de continuer à développer la marque, à investir dans le produit et à offrir certaines des courses les plus captivantes qui ont fait notre renommée », se réjouit Jeff Dodds, le patron de la Formule E.
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Après Brice Samba et Seko Fofana, Arnaud Pouille n'a pas fini de mettre des touches Sang et Or au Stade Rennais
Après Brice Samba et Seko Fofana, Arnaud Pouille n'a pas fini de mettre des touches Sang et Or au Stade Rennais

L'Équipe

time36 minutes ago

  • L'Équipe

Après Brice Samba et Seko Fofana, Arnaud Pouille n'a pas fini de mettre des touches Sang et Or au Stade Rennais

Avec l'arrivée probable de Przemyslaw Frankowski, le Stade Rennais accueillerait un nouvel élément passé par Lens. Ils sont nombreux dans ce cas depuis l'arrivée en octobre du président Arnaud Pouille. S'il est un maillot jaune qui a défrayé la chronique ces dernières semaines du côté de Rennes, c'est évidemment celui du FC Nantes, avec les signatures de Valentin Rongier et Quentin Merlin, formés sur les bords de l'Erdre. Mais si vous remplacez le vert par le rouge, vous avez la tunique Sang et Or du RC Lens, un club dont la réussite des dernières années semble inspirer en Bretagne. En effet, après Brice Samba et Seko Fofana, qui se sont engagés au mois de janvier (jusqu'en 2029), un autre ancien joueur du Racing (2021-janvier 2025) devrait les rejoindre d'ici quelques jours. S'il reste encore des points à éclaircir, les négociations avec Galatasaray sont très avancées au sujet de Przemyslaw Frankowski, dont l'arrivée sous forme de prêt avec option d'achat se dessine pour la fin de semaine. « Le leadership vient avec la confiance » : à Rennes, Seko Fofana doit redevenir un joueur qui compte Déjà d'accord pour rejoindre l'Ille-et-Vilaine, l'international polonais de 30 ans a fréquenté le gardien numéro 3 des Bleus (31 ans) et l'international ivoirien (30) sous les ordres de l'entraîneur Franck Haise... mais aussi de l'actuel président exécutif du Stade Rennais, Arnaud Pouille, qui y a exercé les fonctions de directeur général (2017-juin 2024). Là-bas, il a participé à l'essor sang et or, jusqu'à la Ligue des champions. Une réussite qu'il entend revivre avec Rennes où, en deux mercatos, il a initié ou validé les arrivées de nombreux anciens de la maison artésienne. Samba et Fofana arrivés en janvier Avec un Frederic Massara (l'ex-directeur sportif) déjà affaibli en janvier, Pouille a été déterminant dans la venue de Samba, arrivé avec le coach des gardiens lensois (Hervé Sekli) et de Fofana, qui s'était exilé en Arabie saoudite (Al-Nassr). Ces deux éléments expérimentés aux fortes personnalités correspondaient parfaitement à la volonté d'un club ambitieux d'essayer de sauver une saison mal embarquée, quitte à payer le prix fort en transferts (35 M€) et en salaires après un recrutement estival manqué dans les grandes largeurs par Massara. Dans leur sillage, le jeune Ayanda Sishuba (20 ans), formé à Lens - qui n'a joué que 2 minutes depuis sous le maillot rennais -, faisait également partie des nombreuses recrues de l'hiver. Mercato : Leo Ostigard quitte officiellement Rennes, Mohamed Jaouab vers Valladolid Après deux années sans Europe, Rennes entend retrouver des couleurs, et sa direction a entériné l'arrivée de Laurent Bessière (42 ans) en qualité de directeur de la cellule performance, un poste créé cet été puisque Thomas Choinard, lui, était responsable performance. Démissionnaire de Nice en mars, Bessière a côtoyé Arnaud Pouille à Lens entre juillet 2020 et novembre 2022, alors en tant que préparateur physique, et ce dernier connaît ses qualités. Mais il est à noter que ni l'entraîneur, Habib Beye, ni le nouveau directeur sportif, Loïc Désiré, les deux postes clés du secteur sportif, ne sont passés par Lens. C'est ce dernier qui chapeaute désormais la cellule de recrutement. Et c'est lui qui aurait d'abord poussé pour Frankowski. Par son réseau, Pouille tente donc d'accélérer le recrutement du Polonais, perçu comme prioritaire après avoir un temps envisagé la venue d'Anthony Caci (Mayence) pour ce poste.

Weah, Aguerd, Ordonez... Pour le mercato de sa défense, l'OM a des pistes mais prend son temps
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L'Équipe

timean hour ago

  • L'Équipe

Weah, Aguerd, Ordonez... Pour le mercato de sa défense, l'OM a des pistes mais prend son temps

Toujours en quête de renforts défensifs, en priorité dans l'axe, l'OM maintient plusieurs pistes chaudes et variées en parallèle. Sans être pressé par le temps. Au lendemain de l'arrivée enflammée de Pierre-Emerick Aubameyang, Igor Paixao, parti la veille au soir du Brésil, a eu droit à son tour, jeudi midi, à son premier bain de foule à l'aéroport de Marignane. Et l'OM ne compte pas ralentir le trafic aérien estival tout de suite, bien que son effectif approche de son état final à deux semaines de la reprise du Championnat. L'attaque va de nouveau laisser place à la défense dans le chassé-croisé des négociations. Après les arrivées de CJ Egan-Riley, libre, et de Facundo Medina, que Roberto De Zerbi souhaite utiliser dans le couloir gauche à la suite du départ de Quentin Merlin, l'entraîneur marseillais attend encore un défenseur central et, peut-être, un latéral gauche en fonction des opportunités du marché, Ulisses Garcia étant le seul spécialiste actuel du poste. Avec les arrivées d'Aubameyang et Paixao cette semaine, l'OM tient son attaque Le portrait-robot du central, dressé initialement par les dirigeants, est celui d'un joueur doté d'une certaine expérience qui évolue axial gauche. Dans cette optique, le dossier de Nayef Aguerd (29 ans) a longtemps été une priorité, et il faisait d'ailleurs l'unanimité à tous les étages du club. Mais l'international marocain, de retour d'un prêt plutôt réussi à la Real Sociedad, ne sera pas libéré si facilement par West Ham qui avait déboursé 35 millions d'euros pour le recruter à Rennes à l'été 2022. Les semaines se sont écoulées, et ce dossier complexe semble devoir se décanter dans les derniers jours du mercato. Trop incertain pour la direction olympienne ? Plusieurs pistes activées de Brighton au Club Bruges Fidèle à sa manière de fonctionner, elle a activé d'autres pistes depuis le début du mercato. Elle s'est par exemple renseignée sur Igor Julio courant juin. Le défenseur brésilien de Brighton coche de nombreuses cases : il a 27 ans, il peut évoluer axial ou latéral gauche et, surtout, il a été une saison sous les ordres de « RDZ » où il était considéré comme l'un de ses soldats. Mais le puissant défenseur semblait se diriger vers la Real Sociedad, qui a finalement opté pour Duje Caleta-Car cette semaine. De quoi relancer cette piste ? L'OM suit plusieurs profils, dont certains semblent différents des recherches originelles. Décryptage : rapide, générateur d'occasions, quel est le profil d'Igor Paixao, future recrue de l'OM ? Tel est le cas de Joel Ordonez, évoqué de sources belges. Le central du Club Bruges a une grosse cote sur le marché (environ 30 millions d'euros), appartenant à une génération dorée d'internationaux équatoriens (Willian Pacho, Piero Hincapié, Moisés Caicedo...) et affichant déjà une certaine expérience (120 matches, dont 12 de Ligue des champions), mais son âge (21 ans) et son pied fort (droit) ne collent pas aux besoins initiaux. L'Équatorien était absent de l'entraînement de son équipe jeudi, officiellement pour une blessure aux ischios. « Son transfert s'est ajouté à cela. Logiquement, cela lui passe par la tête », a réagi son entraîneur, Nicky Hayen. Déjà bien mieux loti défensivement que la saison passée à un mois de la clôture du mercato, l'OM n'est pas dans l'urgence. Un des autres dossiers chauds du mois d'août sera la résolution, ou non, de la signature de Timothy Weah, censé apporter de la concurrence à Amir Murillo et Mason Greenwood dans le couloir droit. Quatre jours après le coup de gueule de son représentant Badou Sambagué, Damien Comolli, le nouveau DG de la Juventus, visé sans être nommé, a réagi en évoquant le fond du deal : « Il veut aller à Marseille mais, dans le football, on ne peut pas choisir une équipe, car si la bonne offre n'arrive pas, on est laissé sur la touche. (...) L'offre de Marseille pour Weah n'est pas adéquate. J'ai discuté avec le joueur pour l'encourager à envisager d'autres offres. » Là encore, le temps fera son oeuvre.

Mondiaux de natation : le relais 4 x 200 m qualifié pour la finale… en attendant Léon Marchand
Mondiaux de natation : le relais 4 x 200 m qualifié pour la finale… en attendant Léon Marchand

Le Parisien

timean hour ago

  • Le Parisien

Mondiaux de natation : le relais 4 x 200 m qualifié pour la finale… en attendant Léon Marchand

Le boulot est fait. Pour espérer voir Léon Marchand en finale du 4 x 200 m… il fallait d'abord que ses camarades parviennent à se qualifier lors des séries vendredi matin. Les Bleus (Fuchs, Fente Damers, Pouillard et Le Goff) ont signé le 8e temps (7′06′'88), ce qui leur permet d'accrocher le dernier ticket pour le rendez-vous de l'après-midi (14h39 en France), auquel devrait se joindre le sextuple champion du monde . « Ça se pourrait bien, plaisante Le Goff. L'objectif, c'était d'abord de se qualifier. Peut-être qu'on a quelqu'un qui va rejoindre le relais ce soir donc ça peut être un bon coup de pouce… » Même avec le renfort du Toulousain, les Français auront fort à faire pour tirer leur épingle du jeu. « Il y a encore des petits problèmes à régler pour que ce soit vraiment bien, observe Fuchs. On peut être plus rapides… » Au lendemain de sa septième place dans un 100 m nage libre de folie remporté par le Roumain David Popovici avec le deuxième meilleur temps de l'histoire (46′'51), Maxime Grousset était déjà à l'eau vendredi matin dans le bassin de l'OCBC Arena. Engagé sur 100 m papillon, dont il a conquis le titre mondial en 2023, et 50 m nage libre, le sprinteur de l'Insep a finalement décidé de faire l'impasse sur le crawl. « Je me sens tout simplement mieux en papillon, autant profiter à 100 % de ce que je peux y faire », glisse le Néo-Calédonien titré sur 50 m papillon en début de compétition . Onzième temps des séries du 100 m papillon (51′'36), Grousset n'a pas forcé avant les demi-finales (vendredi à 13h10 en France). « C'était une course facile, je n'allais pas tout mettre dès ce matin, soupire le protégé de Michel Chrétien. Je suis un peu loin sur les murs, il y a plein de choses à revoir mais ce que je cherchais, ce n'était que de la fluidité et de la facilité. La page du 100 m crawl est tournée, ça m'a fait un peu ruminer hier soir (jeudi) bien sûr mais je suis reparti de l'avant. Il y a de belles choses à faire même s'il y a toujours une concurrence très rude. » Clément Secchi, l'autre Tricolore engagé sur la distance, est lui passé par la petite porte. « J'ai eu chaud, avoue le Provençal. Un petit centième (16e temps en 51′'58). C'est très serré. On va tout faire pour entrer en finale, moi j'y crois. L'attente pour entrer dans la compétition était un peu longue, mais j'ai l'habitude. Je suis bien, j'ai fait une super préparation, j'ai tout mis en place pour que ça s'aligner aux Championnats du monde. Il n'y a plus qu'à. » Un allant qui contraste avec la mine dévastée de Pauline Mahieu, 24e chrono matinal (2′12′'33) et renvoyée à l'hôtel dès les séries du 200 m dos. « C'était très dur, lâche la Nordiste, les yeux humides et la voix chevrotante. Je ne sais pas trop ce qu'il s'est passé. » Sur 50 m nage libre, Nikita Baez est vite sorti de la compétition . Le Lyonnais, qui quittait pour la première fois l'Europe, n'a pu faire mieux que le 22e temps des séries (22′'06). « Je suis déçu, lâche-t-il. Il va falloir analyser. J'ai eu des pics de stress un peu n'importe comment pendant la semaine, pendant les siestes, etc. Bizarrement, ce matin, je me trouvais non pas relâché, mais un peu mou et j'ai dû faire un effort. Mais je suis arrivé avec zéro expérience et je fais mon deuxième meilleur temps, donc tout n'est pas à jeter. Ça donne envie de revenir, je sens que je suis capable. » Passée à côté du 1 500 m , où elle avait conquis l'argent à Paris 2024, Anastasiia Kirpichnikova considérait qu'elle avait terminé sa semaine singapourienne. L'élève de Philippe Lucas à Martigues a finalement décidé de s'aligner sur 800 m, histoire de n'avoir aucun regret. Au cas où. « Je ne voulais pas penser après : et si j'avais essayé ?, souffle-t-elle à l'issue des séries après sa 11e place (8′28′'97). J'ai essayé, c'est bon, j'ai fini ma compétition… Après le stage terminal de Jakarta, je pensais réaliser mes meilleurs temps ici mais ce ne se passe pas toujours comme prévu. Bonnes vacances ! »

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