Dernières actualités avec #FranceAngleterre

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10 hours ago
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DIRECT. France (F)-Angleterre (F) (Euro féminin 2025) à suivre en direct
Suivez en direct l'évolution du score et les statistiques du match opposant France (F) - Angleterre (F) qui se déroule au Stade du Letzigrund à Zürich afficher uniquement les temps forts (1) Chez les Anglaises, Toone est finalement remplaçante et c'est James qui commencera au milieu de terrain. On retrouvera bien Mead, Russo et Hemp sur le front offensif. Les compos sont connues. Les Bleues vont commencer avec le onze attendu. Sombath remplace Mbock en défense centrale au côté de Lakrar, tandis que Cascarino, Katoto et Baltimore emmèneront l'attaque. Geyoro, Jean-François et Karchaoui animeront l'entrejeu. Sarina Wiegman, la sélectionneuse néerlandaise des Anglaises, ne déplore aucune absente. Elle pourrait aligner aussi son équipe en 4-3-3 avec le onze suivant : Hampton - Bronze, Williamson, Greenwood, Carter - Walsh, Stanway, Toone - Mead, Russo, Hemp. Alors que Mbock est forfait, Laurent Bonadei devrait aligner son équipe en 4-3-3 avec De Almeida-Lakrar-Sombath-Bacha en défense devant Peyraud-Magnin, un milieu Geyoro-Jean-François-Karchaoui et une attaque Cascarino-Katoto-Baltimore. La France a terminé en tête du Groupe A3 des qualifications, remportant quatre de ses six matches pour terminer devant l'Angleterre, la Suède et la République d'Irlande. Les Françaises peuvent y croire car en qualifications, elles avaient battu les Anglaises l'an passé (31 mai 2024) à Newcastle. Des Anglaises qui avaient pris leur revanche en allant gagner à Saint-Etienne (2-1) quelques jours plus tard, le 4 juin. Ce groupe D est relevé avec également les Pays-Bas de Vivianne Miedema et Jackie Groenen, et le pays de Galles. Avec une première victoire ce soir, les Bleues enverraient déjà un signal d'envergure. En quête d'un premier trophée majeur, l'équipe de France entame son Euro en Suisse contre l'Angleterre, tenante du titre. Pas évident comme entrée en matière dans le groupe D, mais les Françaises voudront gagner pour mettre d'emblée la pression.


L'Équipe
12 hours ago
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À Zurich, les fans français, en infériorité numérique, restent ambitieux avant le choc face à l'Angleterre
À quelques heures du coup d'envoi de France - Angleterre, choc de l'Euro féminin programmé ce samedi soir à 21 heures, les supporters des Bleus se faisaient rares dans le centre-ville de Zurich, mais se montraient confiants dans leur capacité à se faire entendre une fois au stade. Ce samedi, vers 15 heures, à six heures du coup d'envoi d'Angleterre - France au Letzigrund, il se révélait difficile de dénicher, sous un soleil de plomb, des fans des Bleues dans le centre-ville de Zurich. Ainsi, dans la fan-zone située près de la gare, où était vendue de la fondue à emporter (un plat pourtant pas forcément recommandé en cas de fortes chaleurs), on ne voyait alors que des maillots siglés des Trois Lions. Puis on a entendu parler Français, mais il s'agissait en réalité d'une Suisse Romande qui portait une tunique floquée au nom de Foden et qui nous a rapidement fait comprendre qu'elle allait soutenir l'Angleterre au Letzigrund. Dans la foulée on s'est dirigé vers un homme assis sur une terrasse, portant un maillot bleu, mais il s'agissait là aussi d'une fausse piste, puisque le maillot en question portait le sigle du FC Zurich. C'est alors que, sur le trottoir, sont soudainement apparues Clara (26 ans), Florelle (32 ans) et Éva (29 ans), trois copines vivant et travaillant à Londres, venues à Zurich dans l'espoir d'assister à une victoire des Bleues, afin de pouvoir chambrer leurs collègues anglais de travail dès lundi. Le trio confirme la faible présence visuelle des sympathisants tricolores dans la capitale économique de la Suisse. « Déjà, ce matin, quand on a pris l'avion à Londres, on était les seules Françaises à bord, mais bon ça c'était un peu normal », confie en souriant Clara, qui ajoute : « Nous sommes arrivées en fin de matinée et depuis on n'a croisé que sept compatriotes... ». « Même si on est moins nombreux que les Anglais, on va quand même se faire entendre une fois au stade, je ne me fais pas de soucis » Zoé, supportrice de l'équipe de France Deux autres Françaises nous rejoignent ensuite, Prune et Zoé, des étudiantes d'INSA Hauts de France, une école d'ingénieurs basée à Valenciennes. « C'est vrai que les Français ne sont pas très visibles, mais quand on se croise, on se sourit, on s'encourage, indique la seconde, vêtue d'un maillot porté par Clara Mateo, que cette dernière lui a remis à l'issue d'un match de Ligue des nations. Même si on est moins nombreux que les Anglais, on va quand même se faire entendre une fois au stade, je ne me fais pas de soucis. On est hyper motivées en tout cas ». Un constat partagé par Valentin (30 ans), un membre des Irrésistibles français aperçu un plus tard non loin d'un fast-food : « Il y aura quand même 2000 fans des Bleues au Letzigrund, c'est largement suffisamment pour mettre l'ambiance, même en infériorité numérique. Ca me rappelle, le match France - Pays-Bas (0-0, le 21 juin 2024), lors du dernier Euro masculin. En face, les Néerlandais étaient dix plus fois nombreux que nous, mais on les avait éteints. On est les meilleurs supporters d'Europe ! ». Reste à le prouver ce soir, à partir de 21 heures.


L'Équipe
17 hours ago
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L'Anglaise Lucy Bronze « choquée » par l'absence de Wendie Renard avec l'équipe de France pour l'Euro
À la veille du match France-Angleterre pour la première journée de l'Euro féminin ce samedi (21 heures), l'Anglaise et ancienne Lyonnaise Lucy Bronze a estimé que le jeu des Bleues sera affaibli par l'absence de Wendie Renard. À la veille du match France-Angleterre, ce samedi (21 heures) pour la première journée de l'Euro féminin, l'Anglaise et ancienne Lyonnaise Lucy Bronze a estimé que le jeu des Bleues sera affaibli par l'absence de Wendie Renard (34 ans), non sélectionnée pour la compétition. Même si elle sait que la France, comme l'Angleterre, est une équipe en pleine transition, la latérale droite, championne d'Europe en titre avec sa sélection et triple vainqueure de la Ligue des champions avec l'OL et Renard (2018, 2019, 2020) s'est dite « choquée » par la décision de Laurent Bonadei de se séparer de sa capitaine. « Wendie est une bonne amie. Elle incarne parfaitement ce que je qualifierais de capitaine, a estimé Bronze (33 ans), vendredi devant les médias. J'aurais préféré qu'elle soit là. Je pense que cela aurait été bénéfique pour le jeu, pour l'équipe de France. J'aurais adoré qu'elle soit sur le terrain samedi. Je suis sûr qu'elle sera dévastée de ne pas participer à l'Euro. Le manager a pris une autre direction. C'est comme ça que fonctionne parfois le football. C'est un choc. »

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21 hours ago
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« Je vois même leurs visages sur des paquets de chips et des pots de mayonnaise » : en Angleterre, les footballeuses sont devenues des stars
Depuis leur titre de championne d'Europe conquis en 2022, les Anglaises, adversaires de la France samedi (21 heures) lors de la phase de groupes de l'Euro, ont gagné en popularité, et en exposition, mais elles sont également plus exposées aux critiques. Quel que soit le résultat de France-Angleterre (samedi à 21 heures), on peut d'ores et déjà révéler les vainqueurs médiatiques, en Grande-Bretagne, de la soirée qui s'annonce : il s'agira de la famille Russo. Puisqu'Alessia (26 ans), l'attaquante de pointe des Three Lionesses, devrait se mettre en valeur face aux Bleues, à l'occasion d'un choc retransmis sur ITV1, avant que, dans la foulée, ITV2 ne diffuse Love Island, la version anglaise de l'Île de la tentation, à laquelle participe Giorgio (30 ans), le grand frère de la buteuse, un beau gosse gestionnaire de compte dans le civil. Cette coïncidence temporelle, qui aurait pu apparaître anecdotique il y a quelques années, a passionné la presse outre-Manche ces derniers jours, car Russo fait partie des internationales anglaises dont la notoriété a explosé à la suite de leur sacre à domicile lors du Championnat d'Europe 2022. Depuis, on l'a vue en une de nombreux magazines (Women's Health, Wonderland, Elle...) et elle a noué des partenariats avec JP Morgan, Google Pixel ou encore Adidas. La défenseuse Leah Williamson, la capitaine des Lionnes, a bénéficié d'un élan similaire, signant des contrats avec Gucci, Nike et Pepsi, tandis que l'ailière Chloe Kelly, autrice du but victorieux en prolongation face à l'Allemagne à Wembley, en finale de l'Euro 2022 (2-1, a.p.), a bénéficié d'une couverture flatteuse de son mariage l'an dernier par le magazine British Vogue. « Chloe est également devenue ambassadrice des sous-vêtements Calvin Klein, ce qui aurait été inimaginable pour une joueuse avant l'Euro 2022, analyse Tia Foreman, arrière droit de l'équipe féminine de Fulham (4e division anglaise) et analyste pour Ipsos UK. De même, il est significatif que les Lionesses aient récemment reçu la visite du Premier Ministre (Keir Starmer), ce qui n'était jamais arrivé, je crois, avant grande une compétition... » Suzanne Wrack, qui couvre le foot féminin pour le Guardian depuis 2017, confirme que le pic de popularité des joueuses de la sélection s'illustre de différentes manières : « Désormais, elles apparaissent sur le tapis rouge lors des soirées prestigieuses, elles remettent des prix lors de cérémonies, et, ces derniers jours, je voyais même leurs visages, en faisant mes courses, sur des paquets de chips, sur des boissons et des pots de mayonnaise... » Si les internationales anglaises ont tiré parti, financièrement parlant, de leur changement de statut (le salaire annuel de l'attaquante Lauren James, égérie notamment de Nike et Optimum Nutrition, est ainsi estimé à 1,2 M€ annuel), elles ont également dû s'habituer à subir une pression médiatique croissante. En effet, 125 journalistes britanniques ont été accrédités à l'occasion de l'Euro 2025, essentiellement pour suivre l'équipe d'Angleterre, qui, il y a dix ans, lors des Mondiaux au Canada, n'avait attiré qu'une petite dizaine de reporters. « Une approche parfois condescendante, comme lorsque les joueuses étaient présentées comme des "girls", a laissé place à une analyse précise, et parfois critique, des performances » Stacey Pope, sociologue à l'université de Durham « La nature des articles consacrés aux Lionesses a changé, analyse par ailleurs Stacey Pope, sociologue à l'université de Durham. Une approche parfois condescendante, comme lorsque les joueuses étaient présentées comme des girls, a laissé place à une analyse précise, et parfois critique, des performances ». Une évolution parfois mal vécue, la gardienne Mary Earps ne supportant pas, par exemple, le traitement par la presse de son retrait de la sélection fin mai. « On a fait de moi la méchante, c'était un peu dur de lire certaines choses », a-t-elle confié lundi dans le podcast Happy Place. Et plusieurs joueuses anglaises retenues pour disputer l'Euro vont se couper des réseaux sociaux lors des prochaines semaines, de peur d'y lire des commentaires blessants, à l'instar des milieux Ella Toone et Grace Clinton, ou de Russo. Celle-ci a décrit le fait de « scroller » sur son téléphone pendant une compétition comme « un piège » aux conséquences potentiellement « dévastatrices ». Elle devra donc trouver un autre moyen samedi soir, pour savoir si sa prestation a suscité plus d'engouement que celle de son frère. L'Angleterre vise la passe de deux À lire aussi Wiegman : «J'ai toujours perçu la France comme une force» Katoto, une star qui fuit la lumière Gondomar pleure ses enfants Diogo Jota et André Silva Les joueurs du PSG bien entourés


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a day ago
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« Il n'y a pas de round d'observation », selon Laurent Bonadei, le sélectionneur de l'équipe de France avant d'affronter l'Angleterre à l'Euro
Laurent Bonadei, le sélectionneur de l'équipe de France, qui démarre son Euro, ce samedi face à l'Angleterre (21h), est satisfait de rentrer rapidement dans le vif du sujet face aux tenantes du titre. « Est-ce une bonne chose de commencer fort contre l'Angleterre tenante du titre ?On entre dans le vif du sujet, il n'y a pas de round d'observation. On a dans notre groupe les deux derniers vainqueurs des deux derniers Euro avec la même coach (Sarina Wiegman) qui a aussi disputé les deux dernières finales de la Coupe du monde. C'est une très bonne coach, une référence dans le football féminin mondial. On est en position de challenger. J'ai vu qu'elle nous avait positionnés en favoris. C'est le jeu du bluff de ce premier match. À partir du moment où on n'a encore rien gagné, les favoris de ce groupe sont l'Angleterre et les Pays-Bas. Cela ne veut pas dire qu'on manque d'ambition. On va aborder ce groupe avec l'ambition de vouloir gagner tous nos matches. Je crois que si on parle de la France, de l'Angleterre et des Pays-Bas, il ne faut pas oublier ce pays de Galles qui a fait deux matches nuls contre la Suède, qui est qualifiée pour les demi-finales de la Ligue des nations lors de la phase de poules. Toutes les équipes sont à prendre en considération. Chaque match va être relevé. À quel point est-ce important d'avoir un bon état d'esprit avant la compétition ? On a presque l'impression qu'il n'y a pas de pression dans le groupe ?Oui, c'est important quand on reste longtemps ensemble, sur une préparation avec beaucoup d'efforts et d'exigence demandés, qu'il y ait des moments où on peut relâcher. On a travaillé hier (jeudi) et avant-hier (mercredi) beaucoup sur l'aspect tactique offensif et défensif. En général, les veilles de match, on aime bien proposer des jeux, des toros, des choses qui leur permettent de s'amuser, de décompresser, de ne pas forcément tout de suite faire le match dans la tête avant le match. Il est important de vivre chaque chose en son temps, étape après étape. Elles auront le temps d'avoir la pression, de se refermer un peu demain. Malgré cela, je leur dis toujours que la plus grande fierté que je peux avoir, c'est qu'elles soient elles-mêmes, qu'elles jouent leur football avec leurs qualités et leurs défauts. Elles peuvent se tromper, le plus important c'est qu'elles prennent du plaisir sur le terrain. Ça reste du football, c'est un jeu, un spectacle. On doit aussi transmettre des émotions à des personnes présentes dans le stade. On entendait que le stade aura peut-être plus de supporters anglais, à Newcastle, il y avait plus d'Anglais que de Français, cela ne nous a pas empêchés de gagner. On va aller jouer ce match avec de la détermination, de l'ambition, du plaisir et des sourires. Ça va être une belle fête, les stades sont remplis. C'est une grande fête dans un beau pays. Qu'est-ce qui vous impressionne le plus dans cette équipe d'Angleterre ?C'est une équipe qui peut nous ressembler avec beaucoup de variété sur le plan offensif. Si la coach décide de faire jouer (Lauren) Hemp sur le côté gauche, elle va peut-être être un petit peu plus collée à la ligne que si c'est James qui entre sur son pied droit. Elles ont la capacité à bien défendre en bloc sur un bloc médian, quand elles ont le ballon, à rapidement se projeter sur le côté. Elles ont des joueuses au milieu qui peuvent amener de la variété dans les courses et à se projeter dans la verticalité quand (Alessia) Russo décroche et que l'équipe se sert de cette joueuse en point d'appui. Après, reste à savoir comment elles vont gérer le départ de (Millie) Bright en défense. Mais il y a de bonnes joueuses capables de jouer des diagonales avec de très bons ballons. On est averti, on les a observées. Avec le staff, on a essayé de regarder chaque détail de cette équipe pour leur poser des problèmes et prendre en considération leur force et éviter qu'elles prennent confiance dans le jeu. Il va faire très chaud, l'équipe de France est-elle prête pour le combat ?Effectivement, demain, à Zurich, il va faire entre 27 et 30 degrés mais je pense qu'à 21 heures, la température devrait redescendre. L'UEFA a mis en place la possibilité de pauses fraîcheur. Je voulais un match très difficile contre le Brésil à Grenoble où il faisait très chaud, c'était une étuve. C'était la meilleure manière de préparer ce match. Cela ne veut pas dire que cela nous donne toutes les garanties de gagner le match, les joueuses sont prêtes. J'ai senti un regain de fraîcheur, j'ai senti beaucoup de détermination. Demain (samedi), cela devrait faire un beau match. »